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Mon Cousin, ma Tante et les autres

Chapitre 8

A nouveau partagé sur une plage

Gay
Je suis avec mon oncle, sur une plage tranquille. Nos habitudes libertines font que je me donne à mon oncle sans retenue. Alors qu’il me baise, trois visiteurs se joignent à nous. Je suis surpris, mais Théo me tranquillise :
— T’inquiète pas ! ils sont là depuis longtemps, ils ne te feront pas de mal, regarde comme ils sont sympas...
En effet, ils paraissent aimables, sourient et se rapprochent sur leurs genoux :
— Bonjour ! vous êtes magnifique, c’est votre papa ?— Euh... OUI ! (compte tenu de la position prise par Théo peu avant, je continue à jouer le jeu)— Nous pouvons rester ?...(Théo de répondre)— Oui, si mon fils veut bien, il n’a pas beaucoup d’expérience avec les autres ... John, tu veux bien qu’ils restent ? ... qu’ils participent ? (je murmure sans savoir pourquoi) — Oui ... Papa.
Oui à quoi ... qu’ils participent, en tout cas, c’est ce qu’ils ont compris. Théo reprend sa danse, mon cul l’attendait.
Le plus jeune des trois, d’environ 30, s’installe sur la serviette et me présente sa queue à sucer, mon oncle/mon papa me soulève le bassin et me met à quatre pattes en levrette, ce qui permet au visiteur le plus âgé de se placer sur mon côté et de me sucer, tandis que le dernier, un peu plus 40 ans, disparaît derrière mon oncle pour me peloter les couilles et probablement celles de Théo qui continue à m’enculer.
Théo a repris sa danse dans ma salle des plaisirs où le service des plats s’effectue, les va-et-vient sont rapides, puis lents. De mon côté, ma bouche a pris la verge qui m’est offerte. C’est du lourd, un gros calibre, le gland est très gros arrondi comme un cèpe, brun foncé. Appuyé sur mes coudes, je lui caresse l’entrejambe et ma bouche habituée pourtant aux grosses dimensions l’absorbe avec difficulté, mes lèvres branlent le monsieur pendant que le plus âgé me bouffe bourgeon et tronc ... il n’a pas sucé depuis combien de temps cet affamé ? Et tout ce petit monde s’accorde et se coordonne.
Je suis au centre des attentions des quatre. Je pense que je me dois de faire jouir de manière mémorable chacun de ces baiseurs. Théo a de l’avance, sa bite n’en peut plus, les desserts sont servis, la salle est en fêtes, elle semble déborder de jouissance, encore un coup de reins plus fort, plus profond et la queue arrose toutes les parois de foutre. Théo reste dans mes fesses, perd de sa force, sa chair se confond progressivement avec la mienne.
Mes quatre baiseurs se calment ensemble. Le Monsieur qui me pelotait les couilles par-derrière vient et me chuchote à l’oreille :
— Tu la veux ? .....(Je vois, son sexe dur, long ... il est beau, j’en ai envie).— Oui ! si vous voulez ... allez-y doucement (en moi-même, je pense, oui j’ai envie de renouveler ce que j’ai connu en Bretagne- voir "Mon cousin, mon amant 5")
Il rejoint Théo qui a compris et quitte sa position, sa bite glisse et baisse la tête à la sortie de mes fesses, un peu de sperme s’en écoule le long du périnée et de mes couilles. D’un coup, mon cul est repris par une bite dure comme du béton, plus fine, plus longue, je pense que le méat débouche dans mes intestins comme avec Dom. Il apprécie le fourreau qui l’entoure, qui s’adapte immédiatement à la taille, qui le masse, je contracte mes muscles et mon anus. Il y est et y est bien, il prend son temps, il bouge tranquillement, il ramone la pièce, y fait son trou, se l’approprie. Il me complimente :
— Tu baises comme une fille, c’est une vraie chatte que tu as ! j’adore ton massage.
Il me prend par la taille et me fait aller d’avant en arrière à sa cadence, il se branle dans mon ventre. Je suis son sex-toy et il me manipule comme un tube dans lequel il a mis sa queue pour jouir.
Puis il change les rôles, je redeviens un vagin qu’il laboure, moi immobile et lui en mouvement. Il me pénètre profondément de toute la longueur de son sexe. Il sort de mon cul comme Théo pour y pénétrer profond jusqu’aux intestins. Il renverse tout dans ma salle des plaisirs, sa jeunesse lui donne la résistance, ses coups, malgré ses mains qui me retiennent, me font aller d’avant en arrière et fixent le rythme de ma fellation sur son copain. Le pauvre homme resté sous mon ventre cesse de me sucer tellement je suis bousculé. L’homme me ramone comme jamais je ne l’ai été. J’ai l’impression de jouir, ma bite tressaute de plaisir, celui qui me baise s’en empare et m’astique avec l’idée de me faire juter tout de suite. Tout a une fin et d’un dernier coup de reins, il me crache toute sa sauce dans les intestins. Il reste en place et me branle jusqu’à ce qu’il sente mon sperme gonfler l’urètre et tout lâcher en trois, quatre jets sur la serviette.
Satisfait, il se retire et me donne une grande claque sur les fesses.
— Tu es une bonne salope toi, tu sais y faire avec ton cul !!!
Je vais pour me relever lorsque celui que je suçais depuis le début me dit :
— Attends, il y a un troisième homme ... tu ne vas pas me laisser ainsi ? Après la pipe que tu m’as taillée et tous ces compliments, un troisième coup ne te fait pas peur ? Ça va être ton dessert, tu vas voir.
Sans attendre de réponse, il prend la place à peine libérée, mon fourreau très souple s’adapte à la taille, taille qui augmente au fur et à mesure des visiteurs.
Celui qui était sous mon ventre, l’homme de plus de 70 ans s’assoit à ma tête, me présente sa queue pour que je lui rende le service reçu. Sa queue devait être impressionnante et il en reste un beau morceau, elle a perdu un peu de force et de virilité, mais en bouche, elle revit, je la lèche, la suce tant et si bien qu’elle trouve suffisamment de vigueur pour se vider dans ma bouche. Le sperme est beaucoup moins épais, presque liquide et moins fort en goût, rapidement malgré tous mes soins, la bite redevient trop souple pour que je la suce, de toute manière, elle m’a donné tout ce que ses fruits trop mûrs contenaient comme jus :
— Mes potes ont raison, tu es une sacrée suceuse, tu réveillerais un mort.
Pendant ce temps sous l’œil attentif de mon oncle, le troisième homme m’encule avec art, attention, il se fait plaisir dans ma salle devenue piscine de sperme, son gland agite le bain et le fait déborder, régulièrement, je sens du jus couler le long de mes cuisses, en plus du "Clap... Clap" de son pubis contre mes fesses s’ajoute un "Floc... Floc" du débordement de la piscine. Il me baise bien, il me baise longtemps, j’aime comme il me prend par la taille pour me faire bouger le bassin... tous mes muscles le massent et le retiennent, sa bite s’affole, se contracte puis dommage... tout s’accélère, il m’arrose au moins de quatre jets puissants, puis se calme et se vide dans mon cul. Mon anus se contracte, mes abdominaux le massent encore pour le remercier de cette bonne bourre, une triple baise qui se termine par un feu d’artifice. Il se retire et tout ce qu’il a déchargé sort de mon cul plein à ras bord de sperme.
Les trois visiteurs nous quittent aussi simplement que les précédents avec un merci, le dernier me donne une grande claque sur le cul, décidément, ça me semble une habitude chez les libertins satisfaits de leur coup, les deux autres une petite tape sur le dos ou l’épaule. Théo est tout sourire :
— Eh bien ! Tu t’es fait bien démonter. Le dernier, qu’est-ce qu’il t’a mis, il t’a laissé la marque de sa main sur le cul... Bravo ! Tu as assuré et je crois que tu as bien joui.— Oui c’est vrai, c’était bon, ils étaient plus sympas et plus cool que la brute de ce matin, vous trois à la queue leu leu, j’ai joui du cul, mais j’ai à nouveau les couilles pleines !!!— Oh ! la journée n’est pas terminée, tout à l’heure, on trouvera bien quelques soiffards de jute, pour l’instant, viens te baigner, t’en as plein le cul, ça coule on va te suivre à la trace.
Je porte la main à mon cul, il est resté ouvert et effectivement, le sperme coule tout au long de mes jambes.
Après un bain apaisant, nous revenons à nos serviettes. Mon oncle est intarissable avec ses histoires de rencontres et de partages, nous bavardons encore un moment, des promeneurs passent, s’intéressent à nous, mais face à notre stoïcisme, s’éloignent.
Le soleil est moins chaud à présent. Ces histoires d’orgie ont fait renaître nos envies, Théo se branle d’une main et me caresse de l’autre ... sorte d’invitation que je ne refuse pas. Je me place à quatre pattes entre ses cuisses pour le sucer, appuyé sur les coudes, je prends à deux mains sa queue qui reprend vie après s’être épanchée dans mes entrailles. Elle est vraiment impressionnante par son épaisseur, aussi grosse que celle de mon dernier visiteur et les veines qui la parcourent, je la regarde, recouvre le gland du prépuce et le retire au maximum vers le bas, deux trois fois de suite, puis le gland bien dégagé, je pointe ma langue dans le méat, fais quelques bisous du bout des lèvres avant de commencer à le sucer goulûment et bruyamment "Hum ! Hum ! Hum" (je ressemble à l’affamé des 3 copains d’avant) tout en lui massant les couilles et le masturbant... jusqu’à ce que :
— Bonsoir ... (un passant s’intéresse plus maintenant à notre jeu qu’avant à notre discussion, et Théo de répondre)— Bonsoir ...
J’ai la bouche pleine, ne dis rien et continue à sucer... message que le passant considère comme un accord de participation.
Je pense qu’il se met à genoux près de mes fesses. Il commence à les caresser et les frapper alternativement de plus en plus fort, ce qui m’échauffe et m’excite passablement, je creuse les reins pour mieux lui offrir mon postérieur, la fessée dure puis probablement satisfait du rosé de la peau obtenu, il s’attaque à ma rondelle qu’il lèche en m’écartant les deux globes. C’est un pro de la frappe et de la lèche, j’aime et me cambre d’autant plus, je sens mon anus s’ouvrir, il en attend beaucoup plus, signes reçus 5/5 par le visiteur. Sa langue me pénètre facilement, il plonge un doigt dans mes fesses, suivi d’un deuxième qui se porte tout de suite sur mon point Q. Il constate probablement que je ne suis plus vierge, Hihihi :
— Dis donc mon coquin, tu t’es fait bien mettre aujourd’hui, tu en as encore plein le fion !!!
Le visiteur est un expert de ce type de massage et mon anus lui facilite cette branlette, son autre main s’intéresse à ma bite et la caresse sans vraiment la branler, juste pour se rendre compte du bienfait produit dans mon cul, elle se contracte et se détend au même rythme qu’il me masse la paroi anale.
De mon côté, je continue à sucer, branler, masser mon oncle tandis que le passant s’active dans ma caverne à présent avec trois doigts... les rythmes s’accélèrent des deux côtés, je sens Théo se contracter, se retenir puis exploser dans ma bouche, son éjaculation est moins puissante. Je relève ma tête pour mieux regarder l’inconnu.
Le visiteur me manipule avec force, floc ! ... floc !... floc ! il veut me faire jouir comme un animal, une bête de sexe, il est violent, mais j’aime cette violence, contrairement à celle de ce matin :
— Allez sale pute ! donne-moi tout ton foutre, qu’est-ce que tu mouilles cochonne, ton cul déborde de jute, combien de mecs t’ont baisée aujourd’hui ? ... Réponds salope !!! Combien ?— Trois...— Ouais, t’es une belle pute et t’en as pompé combien ?— Euh deux... trois !— Je ne te connais pas... Je viens de me faire vider les burnes... Tiens, suce un peu voir s’il y en a encore une goutte...
Il me lâche le temps de s’allonger près de moi, me présenter sa bite molle, avant de me reprendre en mains. Mon oncle libère la place, je suce sans beaucoup de succès, je m’applique, je me positionne mieux face à lui, mes mains s’attaquent à la tâche... doucement, le visiteur reprend vie avec une petite érection qui me facilite le travail, la bite n’a plus vraiment besoin du tuteur de mes mains, ceci étant, les couilles restent flasques...
Lui aussi se positionne mieux, il me branle de nouveau le cul (duquel s’écoule le trop-plein de jouissance) tout en me suçant la queue à présent... Mon sperme bout depuis un moment, il remonte du plus profond de mes couilles, je laisse venir, le point de contrôle est dépassé, ma bite se contracte violemment à plusieurs reprises, le jus de mes fruits est abondant malgré la dernière traite, j’explose dans la bouche de l’inconnu. Ma jouissance est puissante, il avale, me presse les couilles, masse le canal... aspire toute ma substantifique moelle... ma jouissance lui fait un effet aphrodisiaque, sa queue se redresse, se gonfle, se contracte pour chercher dans ses couilles du jus... du jus, il y en a... une toute petite giclée que j’avale.
— Avec moi salope, ça fait quatre ! tu es une sacrée bouffeuse de bites, punaise ! me faire juter en fin de journée comme ça, je n’aurais jamais cru.
Comme les autres, le visiteur se relève comme si rien ne s’était passé, nous remercie, nous salue ...
— A la prochaine !!!! à très bientôt j’espère, tu es une belle cochonne (et à titre de remerciements, lui aussi me donne une grande claque sur les fesses !)
Nous nous relevons, il se fait tard, nous nous préparons et rentrons retrouver Jade ... Ce soir, ce sera repos et tranquillité, je suis vidé, je n’en peux plus.
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