Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 181 J'aime
  • 4 Commentaires

Mon Cousin, ma Tante et les autres

Chapitre 9

Ma tante me gode

Hétéro
J’ai presque 19 ans. Depuis une semaine, je suis en vacances chez ma tante Jade près de Montpellier, alors que son, fils après m’avoir déniaisé, est devenu mon amant, elle me fait découvrir les plaisirs de la bisexualité.
Hier au retour de la plage où mon oncle m’a partagé avec des inconnus, j’étais épuisé et la soirée a été très calme, peut-être trop pour Jade qui ne cessait de me faire des bisous. Je me suis couché tôt, seul, dans ma chambre, pour me réveiller tard ce matin.
Je retrouve ma tante à son habitude, nue dans le jardin sur la chaise longue en train de lire à l’ombre. Je m’approche d’elle et la surprends :
— Bonjour Jade !— John ! Bonjour mon Chéri... (on se fait un gentil bisou du bout des lèvres)...— As-tu bien dormi ?... Théo est parti voir un copain, il rentrera après déjeuner... Il m’a raconté vos exploits d’hier, m’a dit comment deux types se sont vidés dans ta bouche, que tu t’es fait mettre comme une vraie pute par trois mecs l’un après l’autre et comment un autre t’a doigté à te faire juter... je vais raconter ça à ta maman !— Euh !?!???... Je blêmis.— Mais non ! Grand couillon, ça, c’est notre histoire, je ne lui dirai pas non plus comment tu me baises bien... Viens m’embrasser et enlève-moi ce maillot ridicule.
Libéré de mon maillot, je m’agenouille près de Jade, un bras au-dessus de sa tête, une main sur son sein et mes lèvres sur sa bouche. Elle s’empare immédiatement de ma tige au repos, nos langues se retrouvent après une séparation bien trop longue. Jade me le confirme en murmurant :
— Mon chéri, tu es méchant de m’avoir abandonnée ainsi hier, je m’étais faite toute belle et étais particulièrement excitée après ma séance de massage, mon esthéticienne a un don pour me mettre dans un état sans pareil.
Elle me sourit, reprend notre baiser et sa masturbation, je réponds avec ma langue et une douce caresse sur son sein en excitant son mamelon de ma paume de main. Nos gémissements se font écho... après un long baiser très amoureux, Jade revient sur terre :
— Veux-tu un café ? (je réponds oui de la tête)... J’en prendrai un aussi et viens on va se mettre sur le canapé, ça sera plus confortable pour toi, bien que j’aime bien t’avoir ainsi à mes genoux, un peu comme mon esclave... ma bête de sexe (elle me presse la tige et la tire pour que je me lève, elle sourit, termine par un bisou et se lève).— Moi aussi Jade, j’aime comme tu me prends !— Être mon esclave sexuel ?................ Non ! Le SM c’est une autre histoire ! Sois l’amant qui me correspond et j’en serais très heureuse !
Installés sur le canapé, Jade se met dans mes bras, la tête sur mon épaule, ma main posée négligemment sur son sein, je lui tripote le téton... on est bien ainsi tous les deux, comme deux amoureux. Elle me demande de lui conter mon déniaisement par son fils. (voir mon cousin, mon initiateur). Nos caresses deviennent plus appuyées, elle me prend la queue, je glisse les fesses au bord du canapé et la lui offre en ouvrant largement mes cuisses. Sa bouche plonge vers mon ventre pour accompagner mon récit de la première fellation de mon cousin et ses doigts miment la rencontre avec l’inconnu en Bretagne. Les tensions augmentent, ma bite bande à l’extrême, elle a la vulve débordante de cyprine, elle me sourit :
— Je comprends pourquoi tu es un chaud du cul comme ça... attends, on va s’amuser tous les deux, je reviens.

Jade revient peu après, habillée d’un gode-ceinture qui me paraît monstrueux aussi gros que mon poignet et long presque comme mon avant-bras. Le gode est semblable à la perfection à un sexe noir, le prépuce dégagé, le gland en forme de poire très pointue avec son frein bien dessiné, les veines très marquées sur la bite et les couilles bien séparées, il est tellement lourd qu’elle le tient d’une main :
— Tu ne t’es jamais fait prendre par un black ? Tu vas voir paraît-il que le gode a été fait à partir d’un moule d’une vraie bite... viens dans la chambre, on sera mieux.
Elle s’allonge sur le dos au milieu du lit :
— Viens sur moi et suce-le comme tu ferais avec Dom.
Le gode s’élève haut au-dessus du ventre de Jade. Je me mets à califourchon sur son visage, m’appuie sur les mains de chaque côté de ses hanches et me penche légèrement vers son ventre pour prendre en bouche le haut du gode. Ma position très relevée ne lui permet pas de me sucer la queue, s’élevant droite le long du ventre vers le ciel, elle s’intéresse donc uniquement à ma rondelle que je positionne bien au-dessus de sa bouche, sa langue est très active et se plante dans mon anus.
En bouche, le gode ne me paraît pas plus large que la queue de Théo, par contre, elle est beaucoup plus longue. Tel que je suis, je ne peux prendre que le bourgeon gros et pointu. C’est la première fois que je suce un sex-toy, les détails sont impressionnants, mais ça reste inanimé, avec peu de souplesse et un goût de caoutchouc. Je le suce sans vraiment de plaisir, uniquement pour accompagner la préparation anale pratiquée par Jade.
De ses deux mains, elle m’écarte les fesses et ses doigts se placent autour de mon anus. Ils s’amusent à l’écarter ou au contraire à le presser en le relevant comme un petit volcan au-dessus de la rondelle. Sa langue ne cesse de le titiller... m’exaspère, je n’y tiens plus, Jade poursuit sa feuille de rose jusqu’à :
— Viens que je te prenne comme tu aimes... en levrette, petit cochon !
Je n’attendais que ça, je me mets comme un chien face au miroir, les cuisses bien ouvertes en creusant au maximum les reins. Notre image dans le miroir est terriblement excitante.
Jade à genoux sur le côté de mes fesses, me plante directement deux doigts dans l’anus, tourne la main de droite à gauche pour caresser l’intérieur de la cavité, ressort, y met la langue et encore de la salive, puis retourne dans mes profondeurs avec trois doigts qu’elle place sur mon point sensible. Elle me regarde, sourit et me fait dans le vide un bisou du bout des lèvres.
— Tu aimes ça ! Hein ? Tu es un vrai petit cochon.
Les doigts s’activent, l’anus se contracte pour mieux s’ouvrir ensuite. Elle considère que je suis disponible, se positionne derrière moi, plante la pointe du gland dans l’anus, me prend par les hanches puis pousse le gode d’un coup sec. La tête allongée et conique me pénètre facilement, elle trouve immédiatement sa place dans ma cavité. Mon anneau n’est pas habitué à une telle ouverture. Je ne peux m’empêcher de gémir de douleur.
— Aïïïïe !!! Que c’est gros... tu m’as déchiré ?— Non ! Mon Chéri, détends-toi, laisse-moi faire.
Elle sait qu’elle doit lui laisser le temps d’accepter cet envahisseur. L’anus a été forcé, il doit s’élargir et s’habituer à la circonférence du tronc, véritable pont entre mes fesses et la ceinture de Jade. Maintenant, c’est « ouvre-toi ou je te déchire ».
Jade se cramponne à mes hanches, son regard ne quitte pas mes yeux dans le miroir. Elle n’a naturellement aucune sensation de sa poussée, elle sait que l’ouverture de mes chairs est douloureuse, mais qu’elles vont s’habituer, le tronc glissera doucement jusqu’au fond de mon ventre. Elle lit sur mon visage mes crispations, mes douleurs, mes relâchements, mes contractions, et adapte sa progression, elle voit le moment où elle doit s’arrêter, éventuellement céder un peu de terrain pour que mes chairs l’accueillent plus facilement, la désirent...
— C’est bon Jade... doucement comme ça, je m’ouvre à toi, là où nul autre est venu !
Elle s’enfonce lentement, en va-et-vient dans mon fourreau habitué aux labours. Le gode me pénètre encore et encore, il bouscule tout. Mon ventre ne connaît pas une telle pénétration, le corps est plus large, mais surtout plus long, il bute au fond de la cavité. Mes yeux se ferment, ma respiration se bloque. Jade sait ce qui se passe au fond du rectum...
— Ça va mon Chéri ?— Oui, tu es au fond !— Je sais, sois tranquille, détends-toi... je vais t’ouvrir encore plus, plus loin que Dom !
Elle prend son temps, maintient la pression sur le gode, au fond, elle est à la porte des intestins... l’ouverture s’élargit. Calmement, je reprends ma respiration, la cavité se détend, les parois se relâchent, la porte du fond s’ouvre et accueille les derniers 5 ou 6 centimètres du gode. Ses couilles rejoignent les miennes, la ceinture se colle à mes fesses, la victoire est totale.
Jade ne bouge plus, elle attend un regard approbateur de ma part, un sourire. A peine reçu, elle bouge imperceptiblement surtout pour conforter sa place dans mes entrailles. Cette sorte de caresse au plus profond de mon ventre provoque un afflux de sucs et un abandon total de la place au visiteur. Mon visage se décontracte, mes lèvres font un bisou et un signe... « je suis à toi »
Jade augmente l’amplitude des mouvements en collant sa ceinture à mes fesses à chaque aller-retour. Elle me laboure ainsi longtemps juste le fond de mon ventre, l’ouverture des intestins étant acquise, elle besogne alors tout le rectum, elle ne regarde à présent que le tronc d’ébène allant et venant dans mon cul :
— Qu’est-ce que tu mouilles mon Chéri, c’est vrai, comme dit ton cousin : une vraie petite pute !— Oui Jade... et j’aime comme tu me prends.— Tu es bien ouvert... ça va être la chevauchée fantastique !
Alors, tout change, plus de précautions, le gode sort intégralement de mon cul mouillé de ma jouissance pour replonger en direct jusqu’au fond. La pénétration est longue et prend du temps même si le rythme s’accélère. Parfois, Jade fait de petits aller-retour, courts et très rapides sur 7 - 8 centimètres, parfois au contraire, ce sont les 25 centimètres qui vont et viennent. Mon fourreau est parfaitement lubrifié de ma mouille et épouse parfaitement la taille du gode. Jade va-et-vient entre mes reins et je la rejoins, elle crée en moi une vague de jouissance inconnue.
Elle me regarde intensément, je me relève presque totalement sur mes genoux, le gode me frappe alors la paroi latérale de la cavité, Jade m’aide en me prenant les tétons et en se collant à mon dos, nos lèvres se rejoignent :
— On va changer de position, viens sur moi !
Elle me quitte, s’allonge sur le dos, le gode trempé de ma mouille, bien droit sur le pubis, il s’élève tellement haut que je l’enjambe accroupi comme pour m’asseoir, je m’empale sur le tronc qui me sert de tuteur. Installé sur le gode, je peux alors me mettre à genoux, limitant ainsi la course à la moitié de la longueur du sex-toy.
Je reste ainsi sur mes genoux, droit tenu par ce tuteur dans mon ventre et adopte un mouvement vertical de haut en bas, je m’appuie sur la poitrine de Jade, ses tétons bandent, je les roule et les tire entre mes doigts.
Jade me prend la bite et les couilles et commence à m’astiquer au rythme de ma montée et de ma descente sur le gode. Mon cul est liquéfié, je n’ai plus aucune retenue, elle me branle sans idée de faire durer la masturbation... Je lâche ses tétons, pars en arrière, m’appuie sur ses genoux, les yeux fermés vers le ciel, mon éjaculation est longue et puissante... AAAHHHHH... OUIIIIIIIII
Je jouis de tout mon corps, mon cul n’est que jouissance, mon sperme recouvre la poitrine et le ventre de ma tante... Le tuteur dans mes entrailles me retient, je tombe sur le côté, Jade m’accompagne en pivotant sur elle-même. On s’éloigne l’un de l’autre, le gode sort de mon cul, en deux mouvements, Jade se libère du gode-ceinture et revient dans mes bras pour se coller à moi, mon sperme s’étale sur nos ventres et nos poitrines. D’une main au-dessus de sa tête, je lui caresse les cheveux, de l’autre, je vais dans le dos de la racine des cheveux à la raie des fesses en la tenant contre moi, tout comme elle, d’une main, elle me tient le dos tandis qu’elle place l’autre entre nos pubis. Nos lèvres se soudent, sa langue me pénètre, me caresse, je suis anéanti, je reprends ma respiration comme si j’avais fait une course à pied.
Ses baisers d’amour deviennent de tendres bisous du bout des lèvres. Je me détends, nos mains caressent avec beaucoup de douceur le dos de l’autre.
— Ça va mon chéri ?... J’ai rarement vu un homme jouir comme toi en se faisant enculer... reste ainsi, on est bien ensemble !
Sa main sur mon pubis devient coquine, elle chatouille mon sexe qui ne tarde pas à reprendre un peu de volume entre nos ventres, ce qui réveille ses envies... un cercle vicieux est amorcé, sa main s’assure de la fermeté du tronc, du plein des bourses, elle me fait pivoter sur le dos et m’enjambe. Poitrine contre poitrine, elle relève le bassin, me prend d’une main le manche et avec agilité s’y empale. Appuyée sur ses genoux elle commence à se limer sur le tronc. La situation ne lui convient pas, elle passe les deux jambes entre mes cuisses, je complète son mouvement en enlaçant ses cuisses de mes jambes. Je reste figé sur le lit, poitrines et lèvres soudées, avec un doux gémissement de satisfaction, elle commence à me baiser.
Rati, Vénus et Aphrodite à la fois, de tout son corps, elle sacrifie à l’amour. Son vagin s’anime, il me caresse, il me masse, il me traie, son bassin danse, monte et descend, son ventre tourne autour du tronc sur lequel il est fiché. Mes mains posées sur ses fesses suivent le rythme, massent, écartent les globes, mes doigts glissent dans la vallée et excitent le petit trou, la pulpe des doigts s’enfonce dans la rondelle au rythme de la danse de Jade.
Les gémissements de satisfaction s’amplifient, deviennent de plaisir puis se transforment en râles de jouissance... une première fois, puis on continue à baiser, la déesse d’Amour en veut beaucoup et j’ai beaucoup d’envie, beaucoup à lui donner. La déesse fait durer le plaisir, l’intensifie... mon bassin accompagne à présent la fornication, tout mon corps se met en mouvement, Jade connaît mes réactions, elle se retient, mon sperme bouillonne... je ne peux plus, elle ne peut plus et c’est l’explosion de jouissance jumelée, j’arrose le vagin de longs jets et lui les accueillent en contractions successives, on jouit, on râle, on crie ensemble :
— OUI ! OUI ! OUIIII ! OUIIIIIII.....
On reste accouplés ainsi longtemps, elle, allongée sur moi, immobile, mes mains sur ses fesses immobiles, nos lèvres, nos langues unies immobiles... le silence... le bonheur parfait.
Je sors de ce monde parfait, je libère les cuisses de mon amante, reprends le baiser sur la bouche, tourne sur le côté légèrement, elle continue le mouvement et pivote sur le dos me libérant totalement... encore un instant :
— John !, ton cousin t’a déniaisé et tu es devenu son amant, puis nous nous sommes rencontrés, je t’ai fait découvrir l’amour au féminin, tu es devenu mon amant et bisexuel. A présent, tu es prêt à avoir une sexualité épanouie, à la vivre au pluriel et à partager toutes les orgies qui s’offriront en distinguant ce qui est aimé de baiser !— C’est vrai Jade et j’en suis heureux, j’aime le sexe sous toutes ses formes et avec tous, hommes ou femmes et ce, grâce à toi, grâce à Dom.— Viens John, mon Chéri, il est temps, prenons maintenant la douche ensemble !
Elle se lève, la chatte luisante de mouille, sa main retient mon sperme et je la suis, mon sphincter se contracte pour retenir toute ma jouissance anale.
Nous nous retrouvons dans la douche, les mains se libèrent, les orifices se vident, les corps s’unissent, les lèvres se soudent en un long baiser amoureux sous la pluie de la douche :
— Tu veux bien laver ta tante ? Ton oncle va arriver ! Ça ferait mauvais effet qu’il retrouve sa femme dans les bras de son amant !
Nous rions, je m’applique bien, je lave, je caresse, je masse, je m’attarde sur les zones sensibles... je la branle, je la doigte, je la pince, elle me rejoint dans mes gestes... je pense aux douches en Bretagne avec mon cousin, je me tourne, m’appuie au mur, écarte les jambes et lui offre mon fondement qu’elle visite longuement avec quatre doigts puis me donne deux claques sur chaque fesse :
— Suffit ! John, préparons-nous, je vais faire le déjeuner avant que Théo n’arrive.
................. La relation de John avec sa tante et tous les autres continue... sous un autre titre, avec le plaisir de retrouver ses lecteurs.
Diffuse en direct !
Regarder son live