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Mon dépucelage avec la mère de mon copain

Chapitre 1

Hétéro
Voilà mon histoire: à cette époque j’avais 18 ans un garçon timide qui n’avait jamais osé draguer une fille, bien que j’en avais très envie. Mon copain avait des difficultés en maths et les autres matières scientifiques, je l’avais donc aidé dans ses révisions pour son rattrapage du BAC. Ma famille uniparentale n’étant pas fortunée, je ne partais pas souvent en vacances. Mon copain ayant eu son BAC, il me proposa de partir en vacances avec lui et ses parents à côté de Perpignan pendant 15 jours. J’étais un peu gêné, mais il me persuada d’accepter en remerciement et parce qu’on s’éclaterait mieux à deux.Nous partîmes donc pour Perpignan au début du mois d’août en voiture avec ses parents, qui étaient ravis de l’aide que j’avais fournie à leur fils unique. Le début des vacances fut banal, nous allâmes tous les jours à la plage et nous discutions avec des jeunes de notre âge. Une jeune fille brune très sexy me plaisait beaucoup, j’en rêvais la nuit, sans jamais oser le lui dire. De son côté, elle semblait me considérer comme un bon copain et ne m’envisageait pas, enfin je ne le pense pas. Un midi, j’ai eu une bonne conjonctivite, je ne sais pourquoi. Mon œil pleurait et la mère de mon pote Christiane de son prénom, le remarqua. Je lui dis que ce n’était rien et m’essuya l’œil plusieurs fois. A la fin du déjeuner, mon pote et son père, un grand bonhomme gros et pas facile, partirent à la plage. Ce jour-là, avec ma conjonctivite je n’en avais pas très envie, je restais donc à l’appartement de location. Sa mère, qui ne nous accompagnait pas souvent à la plage, resta aussi.
— Tu veux que je te mette des gouttes pour ton œil, je vois que tu as mal ?— si tu veux. On se tutoyait cela faisait une semaine que nous partagions le même appartement et elle me traitait comme son fils. Elle avait 42 ans, une très belle femme d’un mètre soixante et Torres bien proportionnée, une belle poitrine, brune cheveux mi-longs. Elle arriva avec son flacon.— couche-toi sur le dos, ce sera plus facile !
Je m’exécutai. Elle se pencha sur moi et me mit une goutte de son collyre dans l’œil. Penchée ainsi, j’ai les yeux dans le décolleté de son tee-shirt et je pus apercevoir brièvement ses deux seins dans un joli soutien-gorge blanc en fine dentelle. Cela me fit rougir, et mon sexe prit de l’ampleur. Elle me regarda dans les yeux avec un léger sourire, mais je finis par fuir ce regard pénétrant. Le reste de la journée se passa sans autre événement. Le lendemain, elle me proposa d’aller visiter la région alors que ses deux hommes allaient comme toujours à la plage. Je ne sais pourquoi, par peur de l’inconnu, par gêne, je refusai gentiment allant à la plage aussi. Toute l’après-midi à la plage, je m’ennuyai et pensa à Christiane.Le lendemain, une soirée était organisée à la résidence, avec une soirée dansante. Tout le monde dansait, et restait comme d’habitude comme un con sur une chaise à les regarder. Christiane me voyant seule me força à danser avec elle. J’étais novice et maladroit en la matière. Elle était vêtue d’un pantalon blanc assez moulant de ses jolies formes et d’un top très largement décolleté montrant le haut de ses seins délicieusement enfermés dans un soutien-gorge à balconnets. Elle me colla pendant les différentes danses, se débrouillant pour que mon sexe frotte sa jambe, et le sien, la mienne. Cela m’excita beaucoup, mais je tâchais de ne pas le montrer. A la fin de la soirée elle me proposa d’aller se promener sur la plage. J’acceptai. Au cours de la promenade nous discutâmes de plein de choses, mais aucunement de quoi que ce soit en rapport avec le sexe. A mis chemin elle me proposa de m’asseoir sur un banc, je prétextai que j’étais fatigué par peur de la suite. Nous fîmes demi-tour. Elle cassa malencontreusement le talon de sa chaussure.
Elle me demanda de lui tenir la main pour rentrer ce que je fis sans arrière-pensée. Mais rapidement je sentis qu’elle se rapprochait de moi et que sa main caressait la mienne. Un malaise me prit tout autant qu’une bouffée de chaleur et je retirai ma main.Les jours selon elle me proposa de nouveau des promenades seuls tous les deux, mais par peur de l’inconnu et vis-à-vis de mon copain et son père je refusai.La fin des vacances arriva, ses parents et moi remontâmes à Paris tandis que nous laissâmes mon copain chez sa grand-mère qui habitait près de Perpignan. Durant le voyage de retour j’étais assis derrière madame et monsieur était obnubilé par sa route. J’étais en short et tee-shirt car il faisait chaud. Je me suis assoupi un moment que je fus réveillé par une douce caresse de mes mollets. La main de Christiane était passée derrière son siège côté porte pour que son mari ne s’aperçoive de rien, et me caressait la partie dénudée de ma jambe. A ce moment je ne sais pourquoi, alors que j’ai refusé avant ses avances discrètes, je la laissais faire. Voyant que je ne retirais pas ma jambe elle continua délicatement. Je pris un certain plaisir à ses caresses. Je m’affalai un peu plus dans la banquette pour que ce soit plus aisé pour elle. Elle le sentit et progressa son ascension jusqu’à ma cuisse. Elle la caressa longuement mais elle était à bout de bras et ne m’atteignait qu’à mi- cuisse. Cela était déjà très bon, j’en bandais.
Son mari s’arrêta à la station-service pour prendre de l’essence et un café, nous restâmes dans la voiture, moi à moitié assoupi sous la douceur des caresses de Christiane. Son mari parti, elle prit de l’assurance, elle se retourna vers moi sourire aux lèvres:
— tu vois ça te plait mes caresses !— oui, dis- très timidement et gêné de la situation que je ne contrôlais pas.
Elle plaça de nouveau sa main sur ma cuisse en la caressant, puis monta progressivement sous la jambe de mon short. Elle caressa délicatement la bosse que faisait mon sexe dans mon slip. J’eus un mouvement de recul mais elle me tenait. Elle glissa sa main chaude sous l’élastique de mon slip et commença doucement à me caresser le sexe. C’était la première fois qu’une main autre que la mienne me caressait ainsi. J’eus une grosse érection. Elle continua et je me laissai faire passif. Son mari revint et se remit normalement assise. Le reste du voyage, je me débrouillai comme au début pour lui faciliter la tâche en me vautrant sur la banquette pour que mon entre jambe soit à la portée de sa main droite. Elle me caressa pendant tout le reste du voyage.
Arrivé chez moi, ils me déposèrent devant ma maison. Lorsque je l’embrassai pour la remercier de ses vacances elle me glissa furtivement un papier dans ma poche. Rentré à la maison dans ma chambre, je retire le papier de ma poche et je lis: si tu as apprécié ce qui s’est passé pendant le voyage, appelle moi et son numéro de portable.
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