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Mon dépucelage avec la mère de mon copain

Chapitre 3

Hétéro
Le jour attendu arriva, je me rappelle, c’était un vendredi matin. Je n’avais pas auto-école ce jour-là, mais je n’avais pas averti ma mère pour passer la journée chez mes grands-parents. Christiane m’avait donné rendez-vous chez elle, à 9h00 le matin et on devait passer la journée ensemble. Elle avait prétexté être malade à son travail et son mari. Ce dernier ne rentrant que vers 18h00, cela nous laissait du temps pour nous amuser.Etant d’un naturel ponctuel, j’arrivais chez elle un peu avant 9h00. Elle m’ouvrit la porte de son appartement, elle était encore en peignoir.
— Entre et installe-toi dans la chambre de Pierre (son fils, j’ai changé volontairement son prénom), tu es arrivé plutôt que je le prévoyais et je ne suis pas prête ! Je vais à la salle de bain, lis un livre ou une BD.
Je rejoignais donc la chambre de mon copain (absent chez sa grand-mère le reste des vacances), mais je n’avais pas le cœur à lire. J’écoutais la douche couler, et stressais de ne pas être à la hauteur de cette belle femme mûre. Nous avions certes fait une fois l’amour dans la voiture, mais de manière rapide et inconfortable, et c’était ma première fois. J’aurais pensé être en érection importante m’imaginant la suite, mais au contraire, le stress me coupait tout. Je l’écoutais ainsi se laver à travers la fine cloison de la chambre qui donnait sur la salle de bain. J’aurais voulu aller la voir nue se lavant, mais j’eus peur de sa réaction et je restai à l’attendre dans la chambre. Au bout d’un moment qui me parut interminable, elle entra dans la chambre sans que je l’entendisse dans mon dos. Elle m’embrassa la nuque, je sursautai bêtement. Je me retournai et découvris Christiane totalement nue, encore humide de sa douche. Je la dévisageai de haut en bas rapidement. Elle était superbe: une magnifique femme de 42ans très bien proportionnée, petite, mais un corps de rêve, une jolie poitrine et un joli triangle poilu mais très bien entretenu.
Elle se plaqua contre moi, et humidifia par la même occasion mon tee-shirt blanc. Elle déboutonna rapidement mon short, me l’ôta ainsi que mon slip avec empressement. Nous nous embrassâmes, puis rapidement elle se fit tomber sur le lit en me maintenant. Je tombai donc sur elle. J’ôtai mon tee-shirt humide et commença à caresser et admirer en même temps ce corps sublime. Je promenais mes mains sur ses seins puis les massais délicatement avant de descendre vers cette jolie touffe de poils qui masquait son sexe. Je caressais celle-ci, c’était doux et très agréable, elle se tortillait sous mes attouchements.
— Allez ! Pénètre-moi, j’ai envie de te sentir en moi !
Sans un mot, je la pénétrai. C’était bien chaud et très humide, mon érection fut à son comble très rapidement, et je perdis le contrôle. Mon sperme envahit son vagin. Je restais en elle tellement ce fut bon mais trop court pour moi et sûrement pour elle. Je ne connaissais pas la jouissance féminine, mais je n’ai constaté chez elle qu’un peu de plaisir, pas la même chose que j’avais ressentie. Elle me serra dans ses bras et m’embrassa. J’étais avachi sur elle et en elle. Au bout d’un moment qui me parut court, je sentis mon sexe reprendre du volume et de la vigueur. J’avais tellement envie de recommencer. Elle se dégagea de moi, me retourna sur le dos et me chevaucha:
— Tu as pris du plaisir ?— Oui, mais c’était trop court, et toi je t’ai fait du bien ? dis-je naïvement.— Tu as été trop rapide mais c’est normal pour un débutant, ce sera mieux le prochain coup !
Elle m’embrassa puis descendit petit à petit le long de mon corps alternant bisous et léchage. Elle se glissa entre mes jambes et débuta une fellation. Sa langue parcourait mon sexe de haut en bas puis s’attardait sur mon gland. Puis, elle le goba et le téta. C’était délicieux. J’avais des spasmes dans tout le corps. Elle me rabattit les jambes vers ma tête pour atteindre l’espace entre mes couilles et mon anus et s’attarda dessus avec sa langue. Mon érection était encore plus puissante. Elle me chevaucha de nouveau et s’empala sur mon sexe. Elle mena la danse, je pelotais ses seins qui ballotaient à chaque mouvement de rein. Cela dura un bon moment, et je ne sais pourquoi, je me suis retiré, l’ai mise à quatre pattes et l’ai prise en levrette. Avec une telle excitation sexuelle, je devenais plus hardi. J’allais et venais en elle de plus en plus nerveusement, elle gémissait pour la première fois pour mois. Je ne sais pas si c’est à cause de ma première éjaculation précoce, la deuxième mis beaucoup plus de temps à venir et laissa Christiane le temps de jouir longuement sous mes coups de reins.
A la fin de mon exploit, je m’étalai sur le lit complètement mort. J’étais plus fatigué que lorsque je courrais les 20 minutes à l’école, mais avec un sentiment de bien-être que je n’avais jamais ressenti avant. Puis vint un sentiment de culpabilité d’avoir fait l’amour à la mère de mon pote.Elle sentit ce changement alors qu’elle caressait mon corps bouillant.
— Qu’est-ce qu’il t’arrive mon grand ?— Je ne sais pas, peut-être qu’on n’aurait pas dû faire cela ?— Tu culpabilises ? Regarde-moi si je culpabilise ! Ça fait longtemps que tu es le copain de mon fils, je n’avais pas de pensée sur toi avant, mais depuis que tu es devenu un homme, tu me plaisais. Avant, j’ai eu quelques amants de mon âge voire plus, mais ce n’était pas ce que j’attendais.
— qu’est-ce que tu attendais ?— J’avais envie d’un jeune fougueux, et ce qui m’excitait le plus c’était de te dépuceler. Je voyais bien que tu étais un grand timide et Pierre m’avait dit que peu de filles s’intéressaient à toi.— En effet, et les seules que j’apprécie ne semble ne me vouloir que comme bon copain et confident et pas comme petit ami.— Alors ne regrette pas, je voulais faire l’amour avec toi et je n’ai pas regretté mon initiative, parce que si je comptais sur toi il y aurait rien eu, n’est-ce pas ?— Depuis cet été je fantasmais sur toi, mais je n’aurais jamais osé si tu n’avais pas fait le premier pas. Mais je t’ai tout de même appelé!— J’avoue que j’ai eu peur que tu ne le fasses pas malgré notre aventure sur le retour des vacances !— J’ai longuement hésité— Allez va te laver
J’allai à la salle de bain. Il y avait une grande baignoire qui servait aussi de douche.
— Ne ferme pas la porte complètement sinon tu ne verras rien la lampe est foutue, mais mon mari attend le déluge pour la changer.— OK. Je pris donc ma douche la porte entre-ouverte car il faisait vraiment sombre. Au moment où je coupai l’eau, elle arriva avec une serviette, je n’avais pas fait attention qu’il n’y en avait pas à ma main avant, et entreprit de m’essuyer.— Je peux le faire tu sais, lui dis-je— Laisse-moi faire cela me fait plaisir de m’occuper de toi. D’ailleurs c’est mon programme de la journée, tu vas être un roi.
Elle commença par mon dos mon thorax puis s’attarda longuement sur mon sexe. Ne pouvant me contrôler, un début d’érection pointa sous ses caresses.
— Tu es en forme, ça fait plaisir. Sors de la baignoire !
Je sortis, elle s’agenouilla devant moi et entreprit de me faire une nouvelle fellation. Elle ne pensait qu’au sexe me dis-je mais j’aimais de plus en plus cela. Nous refîmes l’amour sur la moquette de la salle de bain. Après tous ces ébats, la faim se fit sentir.
— Rhabille-toi, je vais faire le déjeuner. J’avais eu l’occasion de déguster sa cuisine, un vrai cordon bleu, j’allais me régaler. Elle avait en effet fait de bons petits plats. Elle s’était habillée mais très légèrement d’un top à bretelles et d’un short assez court qui lui moulait le sexe et les fesses. On pouvait d’ailleurs distinguer son pubis poilu au travers. En me servant elle faisait exprès de frotter sa poitrine sur ma tête et de m’embrasser dans le cou. Tout le repas se passa comme cela.— Installe-toi dans le canapé et prend un film qui te plaît à Pierre, le magnétoscope est là, le temps que je débarrasse et fasse la vaisselle.
Je pris donc un film que je n’avais pas vu et le visionna. Dès qu’elle eut fini ses corvées, elle vint s’asseoir à côté de moi au début sagement. Regardant mon film, je ne perçus pas son manège au début. Elle avait enlevé son short et avait passé une jupe qu’elle avait volontairement remontée jusqu’en haut de ses cuisses. Voyant que je ne m’intéressais pas plus que cela à elle, elle la remonta un peu plus me montrant qu’elle n’avait pas de culotte.
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