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Mon éducation de soumise.

Chapitre 2

Initiation

SM / Fétichisme
Me voilà en pleine réflexion sur la conduite à tenir, d’un côté, j’ai envie de lui dire que je veux passer à autre chose de plus concret bien qu’il soit en relation. De l’autre, je n’ai pas envie de faire ce pas la car je ne sais pas s’il apprécie ce genre d’initiative.J’ai également sa réponse précédente en tête au sujet de sa relation avec cette femme mariée.
— Elle a besoin d’un homme à ses côtés, et avec moi, elle est satisfaite.
Qu’entend-il par là ?
Bien trop curieuse de le savoir, je me risque à lui écrire pour lui indiquer mon attirance pour lui.
[SMS]> Salut Arthur> je ne sais pas trop par où commencer> depuis le début, nos conversations me plaisent> et votre physique me plaît également.> Cela ne me suffit plus.> Je ne veux pas spécialement une relation sérieuse> je me dis qu’on peut aller boire un verre et voir comment se passe la soirée.< Bonjour Leila.< Merci pour cette proposition.< Je dois vous avouer que vous ne me laissez pas indifférent non plus.< Ma réponse va peut-être vous paraître bizarre ou vous faire peur, même si j’espère que ça ne sera pas le cas.< Je ne vais dire ni oui ni non à votre proposition.> Pourquoi ?< Comme vous le savez, je suis en relation avec une femme< et je suis plutôt quelqu’un d’exclusif et de fidèle< En plus je ne pense pas que vous recherchez le type de relation que j’ai à vous proposer.> Oui j’ai bien compris que vous êtes en relation.> Quel type de relation avez-vous à me proposer et qui soit censé me faire peur ?< Je suis un homme dominant et le seul type de relation que j’ai sont des relations dominant/ soumise.< J’ai bien précisé relation, car je ne souhaite pas de coup d’un soir < je veux une relation suivie< La partenaire que j’ai actuellement doit partir d’ici un mois, car elle est mutée< Ma réponse n’est pas ferme, parce que le choix ne m’appartient pas< Si vous voulez vraiment qu’il se passe quelque chose entre nous, il faut que vous acceptiez de devenir ma soumise. > OK...< vous pourrez y trouver un immense bonheur et je ferais tout pour que cela arrive< mais il faut que je vous prévienne.< ça sera dur, ça sera sale, vous allez devoir obéir et vous plier à mes exigences, vous serez à ma merci, je vais faire de vous mon jouet< mais le plaisir que vous pourrez en retirer sera équivalent.> OK c’est noté. Je ne m’attendais pas à cela mais ça a le mérite d’être clair.

Notre discussion s’est arrêtée ici et je vous avoue ne pas savoir quoi en penser. Je comprends de quoi il s’agit, je sais ce que sais, enfin je pense le savoir. Quoi qu’il en soit, c’est le genre de choses sur lesquelles je fantasme fréquemment. Ou du moins à ce moment, je pense que cela ne se résume qu’à ça.
Après quelques jours sans discuter, ma curiosité reprend le dessus, je lui écris et je lui dis qu’avant de prendre une décision, je veux en savoir plus sur ce genre de relation. Il me parle des règles de la soumise, des us et coutumes de ce milieu. Mais surtout, j’en apprends plus sur ses habitudes à lui. Il m’explique qu’il est « dur, exigeant et sévère » il m’explique qu’il cherche un partenaire impliqué, pour une relation suivie. Il m’apprend qu’il peut demander des photos, des vidéos, et ce qu’il veut encore et que je dois lui répondre dans le temps imparti. S’il m’appelle, je dois décrocher immédiatement et qu’en sa présence et en public, je ne peux parler sans son accord, et bien d’autres choses encore.
Les jours passent et ma curiosité ne cesse d’augmenter, car ce qu’il me raconte, ses mots, et la façon dont il m’explique tout cela me plaisent beaucoup et me perturbent aussi. Je ne suis pas sûre de pouvoir supporter cela et à la fois cela me fait quelque chose. Je lui demande également la façon dont il s’occupe de sa partenaire, ce qu’il demande comme vidéo ou comme photo. Pour le tester un peu, je lui envoie une photo de ma poitrine en lui demandant si c’est ce genre de photo qu’il aime et qu’il demande. Il me répond « que si c’était à sa demande, le soutien-gorge ne serait pas présent sur la photo », car d’après, lui c’est inutile. Nos discussions sur le sujet du sexe pour évoquer ses attentes et les miennes se font de plus en plus profondes et régulières. Un soir alors qu’il en a marre que cette discussion se fasse par message, il décide de m’appeler. Je suis tellement perturbée que je laisse sonner sans décrocher.
Nous discutons et de fil en aiguille, il commence à me raconter une de ses séances avec une ancienne soumise. Il me raconte la tenue qu’il lui impose, comment il l’insulte, ce qu’il exige d’elle sexuellement. Tout cela commence à me donner chaud et mon soutien-gorge n’est plus qu’un lointain souvenir. J’ai une main sur le téléphone, et une autre qui me caresse les seins. Il rentre dans les détails en me disant comment il l’attache, dans quelle position il la pénètre, ce qu’il lui impose, les objets qu’il utilise. Au fur et à mesure de son récit et sans même que j’en ai conscience, ma main descend entre mes petites lèvres et je commence à me caresser et à me doigter. Lorsqu’il raccroche, je prends conscience de deux choses, la première c’est que j’ai tellement mouillé que la place où je suis sur le canapé est trempée, la seconde que je veux vivre la même chose que ce qu’il m’a raconté. Je laisse passer la nuit pour réfléchir et me calmer.
Le lendemain à ma grande surprise, je le retrouve dans le métro, il ne le prend plus depuis que les beaux jours sont revenus. Je ne lui raconte pas l’état dans lequel m’a mise son récit, mais je prends quand même mon courage à deux mains pour lui dire que j’ai envie de vivre une expérience semblable. Il me répond qu’il va y réfléchir et qu’il m’écrit, car il doit sortir du métro pour rejoindre son chantier. En fin d’après-midi, je reçois un message.
[SMS]< initiation prévue pour vous vendredi 19h au Raphael chambre 123. Ne soyez pas en retard< Les autres consignes plus tard.
Je sens immédiatement ma température qui monte, je ressens le besoin de me toucher, heureusement que je suis encore une des rares au bureau à cette heure-ci, car l’orgasme qui suit est intense. On est lundi, je sens que la semaine va être longue et chaude, j’ai hâte.Le lendemain, je n’ai pas du tout la tête au travail, prends rendez-vous chez mon esthéticienne pour me faire épiler le maillot pour un résultat comme il m’a dit aimer. Un ticket de métro avec un léger duvet de poil. Je prends rendez-vous chez le coiffeur également et décommande toutes mes activités prévues vendredi soir.Pas de nouvelles d’Arthur pendant deux jours, et mercredi, je reçois un message.
[SMS]< Si c’est toujours bon pour vous vendredi soir, voilà d’autres consignes.< Tenue imposée : robe légère près du corps, très peu de maquillage,< culotte en dentelle noire, pas de soutif, car votre poitrine ne mérite pas cela< talons hauts obligatoires.> c’est noté.
Je fais le check up complet dans ma tête, robe j’ai, talons hauts aussi, les culottes que j’ai ne me plaisent pas donc il faut passer en acheter une, le maquillage, ça sera facile. Je n’ai pas l’habitude de ne pas mettre de soutien-gorge, mais j’ai la chance que mes seins soient fermes et se tiennent bien tout seuls.
Une fois rentrée à la maison, je me fais le scénario en tête et je me gode frénétiquement, on n’est que mercredi, je ne vais pas tenir à ce rythme-là.Le vendredi, la journée passe plus que lentement et je suis prise de doute, est-ce que je veux vraiment y aller ou pas ? Dans quoi je me lance ? Qu’est-ce qu’il va bien vouloir me faire ?Ma curiosité surpasse mes peurs et je décide de me préparer, je me maquille, je prends le temps d’enfiler ma tenue imposée et rien que de me dire ça m’excite un peu, je me demande ce que va devenir cette robe par la suite.
Je prends le métro avec une seule chose en tête, ce rendez-vous.J’arrive enfin, je prends l’ascenseur et je sens que mon cœur bat à mille à l’heure. Une fois arrivée devant la porte, je suis à deux doigts de faire demi-tour, pourtant machinalement, je frappe à la porte. Arthur ouvre, il est là en chemise pantalon de costume, ses chaussures au pied, très bel homme. Il me prie d’entrer, et de me détendre, car « il ne m’arrivera rien d’autre que du plaisir ce soir » il m’embrasse la joue et me demande d’enlever ma robe, puis de rentrer. Je passe devant, tout intimidée, et je me détends après le compliment sur ma culotte qu’il trouve très à son goût. La pièce est très peu éclairée, mais je distingue quand même un tapis, et des serviettes posées par-dessus.
Arthur m’invite à prendre place à genoux dessus. Je suis face à lui en culotte et talons, seins à l’air, à sa merci et pourtant je suis excitée comme pas possible, je mouille déjà beaucoup. Il me donne un verre d’eau, et m’explique que le safe word est rouge, et que c’est encore ma dernière chance de faire demi-tour. Je reste là face à lui, il me bande les yeux, m’attache les deux poignets dans le dos et me dit « à partir de maintenant, je ne veux pas vous entendre et vous avez interdiction de bouger de là, c’est compris ? Profitez de cette soirée. » Je lui montre que c’est compris.
Puis je ne sais pas combien de temps j’ai attendu, mais cela m’a paru long. Soudain, on frappe à la porte, je comprends qu’il n’attend pas que moi, et cela me fait peur, j’hésite à utiliser le safe word et tout arrêter. Puis je l’entends ouvrir et parler à une femme. Il lui explique qu’elle ne sera pas toute seule ce soir, mais que la femme dans la pièce ne pourra pas la voir, mais seulement l’entendre. Puis il la fait rentrer et la félicite pour sa tenue en lui disant qu’elle est charmante pour cette dernière soirée. Je n’ai jamais vu cette femme, mais j’en déduis que c’est sa soumise, je vais donc l’appeler M. J’entends Arthur qui explique à M qu’il va commencer par la punir de son retard de quinze minutes à leur séance précédente. Il lui demande de lui rappeler le barème de coup pour la punition, cela me fait froid dans le dos, mais elle répond naturellement, « deux coups pour une minute de retard Maître ».
Je fais rapidement le calcul dans ma tête, cela fait 30 coups, je souffre pour elle rien que d’y penser et je me demande si je suis prête à endurer cela. Mais le fait qu’elle l’appelle maître m’excite au plus haut point, je ne m’en rends pas compte tout de suite, mais je mouille sans arrêt depuis qu’elle est arrivée. Il lui demande de choisir un des objets prévus pour ça sur le lit. M lui répond qu’elle lui laisse choisir l’objet, mais lui demande en échange de ne pas la frapper toujours au même endroit. Arthur accepte, et on passe aux choses sérieuses. Je l’entends marcher et j’entends ce que je pense être une cravache s’abattre sur le corps de M. Les coups se succèdent sur différentes parties de son corps, et ses « aïe » suivis souvent de gémissements ou de « humm » me laissent penser qu’elle y prend du plaisir.
Après chaque coup, M doit lui dire « merci maître », je sens mon plaisir monter, et ce, de plus en plus après chaque coup, l’entendre prendre du plaisir m’excite, je commence à comprendre ce que Arthur a voulu faire, je suis à deux doigt de l’orgasme.
Les coups s’arrêtent et Arthur félicite sa « petite pute » d’avoir tenu si bien et lui ordonne d’allonger « son corps de chienne » sur le dos sur le lit. Je n’en peux plus, je serre les dents pour supporter cet orgasme sans qu’ils s’en aperçoivent. Je n’entends rien à part les gémissements et des « hhhmmm » de plus en plus fréquents et de plus en plus forts de M. Je comprends qu’il est en train de lui faire un cunni quand elle lui dit « s’il vous plaît maître continuez, je vais jouir comme la petite salope que je suis ». Je suis littéralement en chaleur, et je dégouline à tel point que ma culotte n’absorbe plus et que je coule le long de ma cuisse.
J’entends un grand cri de plaisir, puis Arthur qui lui demande si « sa petite salope aime la langue de son maître » ce à quoi elle répond « j’adore votre langue, maître, mais rien n’est comparable à votre bite, je vous en supplie, défoncez-moi une dernière fois comme il se doit » ces mots, ce langage, ce vocabulaire, c’est exactement ce genre de choses sur lesquelles je fantasme. J’entends claquer à répétition, il est sûrement en train de la prendre en levrette, j’entends également de grosses fessées et M qui crie carrément.
Arthur la traite de tous les noms et lui demande comment elle aime la queue de son maître, ce à quoi elle répond « bien profonde et bien dure » puis j’entends M crier de nouveau, un crie similaire à celui de son orgasme de tout à l’heure et qui m’en fait venir un également à moi aussi. Je n’en peux plus, je suis ko, littéralement dans un état second, je prends tellement de plaisir. Mais c’est sans compter sur celle que m’a réservée Arthur.
Je l’entends dire à M que pour finir de la punir, il ne va pas l’honorer de sa semence ce soir et il lui ordonne d’aller se détendre à la douche, en attendant qu’il la rejoigne.Il s’approche de moi, il se met devant moi, descend délicatement ma culotte et commence à caresser l’intérieur de ma cuisse toute mouillée. Puis il remonte délicatement jusqu’à ma chatte trempée, le passage de ses doigts qui m’effleurent à peine me fait jouir de nouveau. Je le sens ensuite face à moi qui s’agite et d’un coup, je me retrouve avec sa semence en grande quantité sur les seins, quel plaisir de me faire honorer ainsi.
Il détache mes mains tout en les maintenant, approche sa tête de mon oreille, et me dit « vous avez été parfaite, une dernière consigne, attendez que j’ai fermé la porte de la salle de bain pour enlever votre bandeau, rhabillez-vous sans vous nettoyer, vous serez belle comme cela. ». J’attends d’entendre la porte de la salle de bain, je prends 5 minutes pour reprendre mes esprits, et je détache le bandeau. Je regarde le lit, il est ravagé. Je regarde mes seins, ils sont couverts de sperme, je suis fière, j’ai envie de mettre le doigt dedans et de goûter son sperme, mais je me dis que j’aurais bien d’autres occasions pour cela. Je remets ma robe, je constate que son sperme commence à l’imprégner, il a raison, je me sens belle. Je sors, je suis tellement chaude encore que l’air frais me fait le plus grand bien.
Une fois arrivée chez moi, j’enlève ma robe, je constate qu’il me reste pas mal de sperme sur les seins, je me mets dans mon lit et l’envie de me doigter me prend quand je repense à cette soirée. Je commence à peine que je m’effondre de sommeil, heureuse.
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