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Mon éducation de soumise 6

Chapitre 3

souillée mais heureuse

SM / Fétichisme
Une main se pose sur ma joue, il me semble reconnaître celle de mon maître, mais je ne suis pas sûre, malgré cela, je me sens en sécurité. Cet inconnu descend ensuite ses mains au niveau de ma poitrine et commence à malaxer mes seins, il les caresse, les bouge dans tous les sens délicatement et plus brutalement, les presse, me pince les tétons. Puis il descend sa main le long de mon ventre jusqu’à ma chatte, cela me fait immédiatement mouiller encore plus. Il me caresse la chatte et le clito délicatement puis vient ouvrir ma bouche pour me faire sucer ses doigts. Je n’ai presque plus de doute, c’est bien lui. Et j’en ai la confirmation lorsqu’il enlève ses doigts et qu’il m’embrasse.
— Tu es dans la plus belle des tenues ma pute, maintenant ouvre ta bouche.
J’ai à peine le temps de lui obéir que son sexe épais est déjà dans ma bouche et ses deux mains dans mes cheveux. Maître imprime un rythme lent pour que ma bouche profite du moindre centimètre de ce bâton de plaisir. Il prend un malin plaisir à le sortir et à caresser mon visage avec, puis à le mettre à l’entrée de ma bouche sans que je puisse le prendre, rien que pour me frustrer. Il rentre et sort à chaque va-et-vient en enfonçant son sexe bien profondément à chaque fois. Il le remet ensuite et vient jusqu’au fond de ma bouche, j’ai le nez dans son torse et je n’arrive quasiment plus à respirer. Il fait durer cela trois secondes à peine, mais ce sont trois longues secondes à mon goût. Puis il continue de me prendre la bouche à grands coups de reins et de gorge profonde en maintenant bien ma tête avec mes cheveux. Son membre est vraiment épais, et le fait d’avoir la bouche remplie comme cela me force à baver abondamment. Je sens cette bave couler le long de ma gorge et sur mes seins.
Maître qualifie ma bouche de trou à bite, de bouche de pute qui ne mérite que d’être remplie de bite et de foutre. Puis il accélère ses va-et-vient, je ne sens même plus mon coup tellement celui-ci suit le rythme imposé par les deux mains ancrées dans mes cheveux. Je sens son sexe faire des spasmes et je comprends qu’il va jouir, à ce moment-là, maître m’ordonne d’enlever le masque. Il sort de ma bouche et vient se déverser sur mon visage, je reste abasourdi par cette pipe très frustrante pour moi. Arthur me donne sa queue à nettoyer.
Il m’ordonne de rester à quatre pattes et de l’accompagner jusqu’à la table, à ses pieds, voilà où je me retrouve. Pour l’accompagner, mais aussi pour partager un verre avec lui. Il se pose sur le fauteuil et moi je reste au pied de celui-ci. Il me dit que c’est pour que je n’oublie jamais quelle est ma place. On échange ensuite sur beaucoup de choses, je lui demande de me pardonner mon retard et comment il sait que j’ai oublié mes jouets intimes. Il m’explique qu’il est normal que je sois perturbée par le peu de consignes que j’ai eu avant ce rendez-vous. Il m’explique aussi qu’il a fait exprès de ne pas me rappeler de prendre la pochette. Il me dit qu’aujourd’hui, et pour que cela me serve de leçon afin que je n’oublie plus, il va me punir de coups de cravache supplémentaires, ajoutés à la punition pour mes dix minutes de retard. Nous reprenons un verre, et j’ai toujours son sperme plein le visage qui ruisselle lentement.
Maître m’ordonne de rester à quatre pattes, il me dit d’écarter les cuisses et de me cambrer pour que mes fesses ressortent. Ça y est, ça va commencer, ma première vraie punition, je sens le premier coup s’abattre.
— Un, merci maître,— Deux, merci maître, — Trois, merci maître, — Quatre, merci maître.— Cinq, merci maître.
Cela fait vraiment plus mal que le martinet, d’autant plus qu’il ne retient pas ses coups. Heureusement pour mes fesses, il alterne une sur deux, donc la douleur s’atténue. Ce qui me donne du répit aussi, c’est que la fréquence de ses coups n’est pas régulière. Je sais qu’il fait cela pour que je ne m’y attende pas. Le pire c’est que cela fonctionne, car je suis sur le qui-vive avant chaque coup. Mais comme j’y prends un également du plaisir, je suis impatiente que le coup arrive. L’action du plug et des boules de geisha qui réagissent à chaque impact ne font qu’augmenter ce plaisir. Au huitième coup, je commence à avoir de plus en plus mal, des larmes de douleur perlent sur ma joue, et paradoxalement, mon corps se remplit de plaisir et de bonheur encore plus. Au dixième, je suis en larmes, larmes qui se mélangent au sperme encore présent sur ma joue, larmes de douleur et de bonheur en même temps, c’est dur, mais je suis à ma place.
— Onze, merci maître.— Douze, rouge rouge rouge.
Il est sorti, notre safeword, maître arrête tout sur-le-champ, il me prend dans ses bras et me demande pourquoi je l’utilise. Je lui explique que c’en est trop pour moi, j’ai les fesses qui me brûlent et me piquent en même temps. Je lui explique que je prends conscience de tout ce que ce statut de soumise implique notamment en termes de douleur physique. Pourtant paradoxalement, je prends beaucoup de plaisir, du plaisir à être puni, du plaisir mélangé à la douleur physique, du plaisir à surmonter cette épreuve et à aller au bout de moi-même. Arthur m’explique que l’on va faire une pause, il me câline, il m’embrasse, il fait preuve d’autant de tendresse que de dureté. Je lui demande si je peux me nettoyer ce qu’il refuse, car il veut me souiller jusqu’à la dernière minute. Il me dit également qu’il va soulager ma douleur, mais que la punition n’est pas finie. Pour la finir, il a prévu une punition psychologique. Mon maître part et revient avec un seau plein de glaçons.
Je dois me mettre à genoux, les mains sur le dossier du fauteuil. Il commence à masser mes fesses avec des glaçons, ce mélange chaud froid me donne des frissons. Il n’oublie pas un seul centimètre de mes fesses rougies par la cravache. Il en profite au passage, il joue avec le plug ou avec les boules de geisha, ce qui me permet de rester en chaleur. Je retrouve peu à peu mes esprits et je savoure ce soin délicat à mon cul encore tout marqué par ce jouet terriblement efficace, tant pour la douleur que pour le plaisir.
— Maître, je suis prête pour la punition psychologique. — Tout à l’heure ma belle pute, rien ne presse, profite de ce moment.
Le seau de glaçon est à moitié vide, ce massage et cette tendresse ravivent encore plus mon désir pour lui. Mon maître attrape une sangle qu’il passe à mes poignets, puis sous le fauteuil, et qu’il accroche enfin au niveau de mes chevilles. Le niveau de chaleur de mon corps monte en flèche, je ne sais pas ce qui m’attend, tout ce que je sais, c’est que je ne peux pas faire un seul mouvement. Arthur enlève les boules de geisha et le plug, et d’un coup, je sens une main gelée venir caresser mon entrejambe. Le contact du glaçon me fait immédiatement tressaillir et mon corps tout entier frissonne. Il parcourt mes lèvres avec ce petit carré gelé, et son autre main enlève le plug de mon trou arrière. Sa langue vient remplacer délicatement le plug et le glaçon continue son action de torture à l’entrée de ma chatte. Putain que c’est bon de se faire lécher à cet endroit-là.
Maître change les glaçons à chaque fois qu’ils fondent et parfois pour changer, il fouille mon puits de plaisir avec ses doigts gelés. Il joue comme cela avec mes trous pendant plusieurs minutes, puis il arrête. Je sens désormais son gland à l’entrée de mon petit trou. Je vous avoue qu’à ce moment-là, j’appréhende ma première sodomie de soumise. J’ai choisi d’être là et je sais qu’il le fait toujours avec bienveillance et délicatesse. Mais mon petit trou sert très peu d’ordinaire, bien que j’aime beaucoup ça, mais je ne sais pas comment je vais pouvoir accueillir cette queue si épaisse. Maître rentre délicatement le bout de son gland et je sens mon petit trou s’écarter non sans difficultés. Il commence de légers va-et-vient à l’entrée de mon anus et je le sens s’enfoncer un peu plus loin à chaque fois. Ça y est, il est vraiment dedans, peut-être pas à fond, mais ce qui est en moi, je le sens déjà énormément. Il commence délicatement ses va-et-vient.
— Alors comment ça fait de se faire prendre le cul ma salope. — J’aime beaucoup.— J’aime beaucoup maître, espèce de chienne !!!
En même temps qu’il me corrige, sa main s’abat sur une de mes deux fesses.
— J’aime beaucoup, pardon maître.
Il accélère légèrement et je sens qu’il continue de rentrer en moi malgré l’étroitesse de mon couloir anal. J’ai légèrement mal, mais cela n’est rien comparé au plaisir qu’il me procure. Je sens cette queue puissante limer chaque morceau de mon couloir arrière et Arthur agrémente cela de fessées délicatement dosées. Décidément, j’adore cette queue pendant qu’il me prend par-derrière, je me laisse aller complètement. Ses mouvements sont de plus en plus rapides et mon plaisir de plus en plus fort. C’est rare que je dise ce genre de chose, mais je lui dis que j’ai envie qu’il me prenne le cul bien fort. A ces paroles, il ne se fait pas prier et augmente encore la cadence, ses deux mains attrapent mes cheveux et me voilà à me faire enculer, cambrée comme pas possible. Je sens cet orgasme monter et il ne faut que quelques coups de reins supplémentaires pour me faire exploser.
Je demande à Arthur l’autorisation de jouir, ce qu’il accepte, mais en m’ordonnant de crier que je suis une pute et que je jouis. Sans pouvoir vous expliquer pourquoi je me mets de nouveau à pleurer et je remercie mon maître de me donner autant de plaisir. Le sperme présent sur mon visage est encore là, même si une partie est tombée au sol à cause du mélange avec mes larmes. Maître continue de me pilonner un petit peu avant de me détacher et de m’ordonner de venir à genoux devant lui. Je m’exécute et il vient mettre son sexe dans ma bouche pour quelques va-et-vient, puis il ressort pour jouir de nouveau sur mon visage, enfin il me fait nettoyer sa queue.
— Tu es magnifique recouverte de foutre, petite salope. Reste là, je reviens.
Il réapparaît aussitôt avec son téléphone et vient prendre en photo mon visage “de pute bien souillée”. Je fais mon plus beau sourire et je me demande en même temps ce que va devenir cette photo au vu de ce que j’ai dû faire avec l’autre. Mon esprit n’est occupé que par une seule chose, répondre à ses exigences, lui faire plaisir et lui montrer que je peux être une bonne soumise. Maître attrape une paille et me donne un peu de champagne à boire. Je ne me fais pas prier tellement tout cela me donne chaud. Arthur m’ordonne de me lever et de me mettre face à un grand miroir, jambes écartées, et de me tenir bien droite.
— Puisqu’on n’a pas fini ta précédente punition, je vais t’en donner une moins douloureuse et qui te rappellera ta future place.
Il m’annonce que je dois répéter à haute voix et pendant cinq minutes la phrase suivante : je suis la pute de mon maître, il est bon et bienveillant, je lui dois dévouement, respect et obéissance. Je me répète plusieurs fois la phrase dans la tête avant de me lancer. Je vois Arthur à côté qui a sorti son téléphone et qui est en train de me filmer. Durant ces cinq minutes, je passe par beaucoup d’émotions. La première minute, je balbutie et je bafouille et cela m’énerve. La deuxième, je suis fière, car je prends de l’assurance. Durant la troisième, j’ai un léger dégoût de me voir comme cela avec du sperme sur le visage et les seins. Je passe les deux dernières à pleurer sans même savoir pourquoi, je pense que c’est un mélange de soulagement et de honte. Maître me félicite d’avoir tenu jusqu’au bout. Il m’ordonne de me tourner vers lui alors qu’il s’assoit sur le fauteuil. Il me regarde et me contemple, pensant que je reste immobile.
Il m’ordonne ensuite de me mettre à quatre pattes et de faire le tour de la pièce comme cela avant de le rejoindre au niveau du fauteuil. Je me rassois à ses pieds comme il me l’impose.
— Tu es une bonne petite soumise, je suis fier de toi. — Maître, je suis honorée de répondre à vos attentes. — Et moi est-ce que je réponds aux tiennes ? — C’est plus dur que ce que je pensais, mais je m’accroche maître. — A quoi t’attendais-tu ? — À un peu moins de douleur physique, même si j’y prends goût petit à petit.— Prends-tu du plaisir ? — Je n’ai jamais autant joui qu’avec vous maître. — Est-ce que tu comprends pourquoi je suis si exigeant avec toi ? — Pour que je sois bien éduquée maître. — Qu’est-ce que tu es ? — Votre pute, maître. — Qu’est-ce que je peux faire de toi ? — Tout ce que vous voulez maître. — C’est bien, tu apprends vite. — Maître, allez-vous partir après ? — Tu veux dire à la fin de notre rendez-vous ? — Oui maître. — Oui tu pourras récupérer tranquillement et te nettoyer, la chambre est pour toi toute la nuit. — Maître quand passera-t-on la nuit ensemble ? — Quand j’estimerai que tu le mérites ma belle pute. — J’en ai envie, maître. — Tu sais ce que cela signifie si on passe la soirée et la nuit ensemble ? — Comment ça maître ? — Eh bien si on passe la nuit ensemble, comme ton corps de soumise m’appartient, je peux faire ce que je veux de toi toute la nuit. — Je sais bien maître.— Et tu sais que tu seras à mon service le soir si j’ai faim, ainsi que le lendemain matin également. — Oui maître.— Tu sais également qu’au moindre faux pas, tu seras punie ? — Je le sais, et j’en ai envie, maître, même si j’appréhende. — OK alors j’étudierai ta demande. — Merci maître. — Pas de quoi, maintenant mets ton corps de pute à genoux devant moi, attrape ma queue et branle-moi.
Je me mets à genoux et prends son sexe à pleine main. Je fais des va-et-vient délicats pour le satisfaire. J’accélère, je ralentis, je le regarde, il semble prendre du plaisir, j’ai terriblement envie de le reprendre en bouche, mais je ne dois pas. Je continue donc à astiquer son manche avec plaisir et frustration en même temps. Maître caresse mon bras, mes seins, mes tétons, il passe sa main dans mes cheveux. Au bout de quelques minutes, il se lève, pose son sexe au niveau de mon front, et il commence à se branler. Une ou deux minutes après, il gicle de nouveau sur mon visage, il contemple sa semence fraîche sur mon visage déjà bien garni et il se rhabille. Il m’amène ensuite mon téléphone, attache une de mes mains au fauteuil et finit de se rhabiller. Il démarre une Visio et me dit de décrocher, puis il m’explique que je dois rester comme ça avec le téléphone en main pointé vers mon visage jusqu’à ce qu’il me donne l’ordre d’arrêter.
Puis il s’en va, au début, il ne dit pas un mot, puis on discute un peu. Je lui fais part de ma grande frustration de ne pas avoir eu son sperme en bouche et le remercie pour l’orgasme anal qu’il m’a procuré. Un quart d’heure plus tard, il sort de son taxi et m’autorise à me détacher et à aller me nettoyer, puis il raccroche. Je file sous la douche, notre rendez-vous a duré tellement longtemps que son sperme séché colle sur mon visage. J’attrape à deux doigts sa semence fraîche pour en déguster un peu puis je me lave. Je file ensuite me glisser dans le lit, qui fait bien vide juste pour moi. J’envoie un message à Romy comme promis pour lui dire que le compte rendu se fera demain, et je m’écroule.
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