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mon éducation de soumise la suite

Chapitre 1

la premiere nuit ensemble

Trash
Ce texte est la suite des histoires « mon éducation de soumise », et « mon éducation de soumise (6) » écrite précédemment sous le pseudo Leilasoum75, et Leietromyslut.
Le vendredi, je me réveille et je m’aperçois que je n’ai pas envoyé le vocal avant de dormir. Je l’envoie ainsi que la photo de mes seins, et je vais me préparer pour ma dernière journée de travail de la semaine. Mon maître rentre ce soir, je le vois demain, j’ai hâte. En début d’après-midi, je reçois un message.
— C’est quoi ce bordel ?— Qu’y a-t-il maître ?— Qui a pris la photo ? Et avec qui t’es-tu fait jouir ? Je suis à deux doigts de tout arrêter.— Maître c’est avec mon amie Romane, je vous en ai déjà parlé, ce n’était pas volontaire, je vous prie de me pardonner.— C’est-à-dire ? Explique-moi.— J’ai raconté à Romane les défis que vous m’avez imposés cette semaine et elle a voulu m’aider à réaliser la photo. S’en ai suivie une soirée à la maison comme souvent, on a recommencé à discuter de cela et de fil en aiguille on s’est touchées mutuellement et elle m’a proposé d’enregistrer tout ça.— OK on discutera de tout cela demain soir, il y a des choses à remettre en place, il me semble.— Très bien maître.
Je suis toute retournée par cette discussion, je ne sais pas ce qui va m’arriver demain soir, mais je sais que mon maître n’est pas content.Le samedi la journée passe, à dix-sept heures comme prévu, je vais récupérer la clef du logement que mon maître a loué pour la nuit. Il doit arriver dans deux heures et je dois me préparer et faire le repas pour nous. Je commence par faire le tour du propriétaire, il y a une très belle salle de bain avec baignoire et douche, une chambre avec un lit à barreau, un petit salon avec canapé et fauteuil et une cuisine plutôt grande.
Je file ensuite prendre une douche, car il faut toujours que je sois propre lors de nos rendez-vous. Je vais ensuite préparer le repas que je laisse mijoter tranquillement. Puis je retourne à la salle de bain m’habiller comme maître le souhaite. La tenue imposée pour cette soirée est une tenue de soubrette avec une brassière qui retient juste ma poitrine, une minijupe qui cache à peine le dessous de mes fesses, un string ficelle, et une paire de talons haut. Je me maquille très peu, mais maître m’as demandé de mettre du rouge à lèvres, et de me faire les ongles. Arthur arrive comme prévu vers dix-neuf heures. Je suis devant les casseroles avec beaucoup de musique et je ne l’entends pas arriver. Lorsqu’il entre dans la cuisine, il ne me laisse pas me retourner, il se cale dans mon dos, m’appuie contre le plan de travail et se colle à moi. A l’oreille il me dit que ça fait une punition de plus de ne pas être prête quand son maître arrive.
Il me prévient que cela va être une soirée de souffrance pour moi du coup. Puis il attrape un objet dans son sac et soulève ma brassière. Il attrape mes seins et attache une paire de pinces à chaque téton, relié par une chaîne. La douleur m’envahit à ce moment-là. Je n’ai jamais ressenti cela. Il m’a déjà tiré les tétons lors de nos rapports, mais rien à voir avec la douleur que j’ai là. Au fur et à mesure, je commence à ne plus les sentir, mon maître m’attrape par la taille et commence à se frotter contre mon cul. Malgré la douleur au niveau de mes seins dès que je bouge, j’ai terriblement envie qu’il me prenne. Il commence à tirer sur la chaîne, cela ravive la douleur d’un coup.
Arthur caresse mes seins puis il descend le long de mon corps, il soulève ma jupe, puis la ficelle de mon string, il caresse ma chatte déjà toute trempée et il lubrifie mon petit trou avec, il recommence cela plusieurs fois avant d’y insérer un plug. Il me prend ensuite par la main et m’ordonne de me mettre à quatre pattes puis il m’emmène dans le salon. Il s’assoit sur le fauteuil et je m’assois à ses pieds. Il me rappelle que je suis à lui, que je peux décider d’arrêter si je souhaite, mais que je dois le prévenir. Il me demande si je compte récidiver à prendre du plaisir avec quelqu’un d’autre et si oui que je peux partir maintenant. Je lui réponds que non. Il me demande ce que j’attends de lui. Je lui réponds que j’attends qu’il me punisse. Il me demande de promettre de ne plus faire d’écart avec qui que soit si ce n’est pas de son initiative. Ce que j’acquiesce. Puis il me demande de lui montrer mon téléphone pour vérifier les photos.
Je lui donne, il regarde la photo de mes seins, puis celle de Romy, puis il me demande si j’ai pris du plaisir. Je lui réponds que oui, il me dit que ce n’est pas étonnant avec une paire de mamelles comme celle de Romy. Je lui demande si elle lui plaît, il me répond qu’il y mettrait bien sa bite. Prise de jalousie, je lui réponds que la mienne est à sa disposition quand il le souhaite et que je veux que ce soit encore ainsi longtemps.
— C’est bien ma petite pute, alors viens dire bonjour à ton maître et on ira manger, puis je te punirai ensuite.

A ces mots, je sais ce que j’ai à faire, je dégrafe son pantalon, il se lève pour le laisser descendre puis je descends son boxer. Son sexe jaillit devant moi et sans attendre je le prends en bouche, j’éprouve tellement de plaisir à le retrouver. Je commence des va-et-vient et prenant bien le temps de coller mes lèvres et ma langue sur cette grosse tige. Je monte et descends chaque fois le plus lentement et le plus loin possible, puis je me retire. Maître m’a excitée j’ai envie de le branler entre mes seins, je cale sa bite au milieu et je les serre fort, puis je commence à monter et descendre assez vite.
— Cela vous plaît, maître ?— Oui, ma belle salope continue, tu es vraiment ma petite chienne.— Oui je suis tout à vous, maître.
Je continue de monter et descendre tout en léchant par petits coups sa bite quand elle arrive en haut de mes seins. Je desserre mon étreinte et je le reprends en bouche cette fois-ci en le suçant rapidement. Je veux qu’il jouisse dans ma bouche, j’attends cela depuis une semaine qu’il m’honore de sa semence. Peu de temps après, je reçois de gros jets dans la bouche et je commence à en recracher un peu tellement j’ai la bouche remplie. Arthur continue d’enfoncer sa bite bien profonde et j’ai du mal à tout avaler. Il se retire pour me laisser avaler et reprendre mon souffle. Nous passons ensuite à table, je lui demande si je dois me mettre à table à côté de lui ou à ses pieds. Il me dit que je connais la réponse. Nous passons un très bon repas même si le fait de manger assise par terre, sur un coussin à ses côtés n’est pas le plus agréable.
Après le repas, Arthur accroche une laisse à la chaîne qui relie mes pinces à tétons. Il m’ordonne de l’accompagner au salon en marchant à quatre pattes. Il joue sur la tension de la chaîne pour me faire souffrir, la douleur est intense, mais je l’ai choisie. Et j’avoue que je commence à apprécier. Il me demande ensuite de monter sur le fauteuil face au dossier, jambes écartées. Il m’attache les mains ensemble derrière le dossier et il attache la laisse au meuble d’à côté. Il m’explique que cette punition fait suite au vocal et au plaisir solitaire. La punition s’élève à cinquante coups de cravache. Un premier s’abat sur mon dos, je ne m’attendais pas à ce qu’il frappe si fort, le second s’abat sur mes fesses, ça me brûle et en même temps l’après-douleur me crée des frissons. Le troisième s’abat sur ma chatte moins fort, mais cela me pique les lèvres quand même. Je dois compter les coups à haute voix comme d’habitude.
Il continue comme cela en alternant de façon aléatoire entre ma chatte, mon dos et mes cuisses. Je souffre à chaque coup, mais je veux qu’il soit fier de moi. Je lui demande quand même une pause au bout du trentième. Il me l’accorde et s’absente quelques minutes, j’en profite pour reprendre mes esprits et frotter mes yeux. Il revient et termine avec les vingt derniers coups. Je les encaisse un peu mieux. Je finis même par prendre du plaisir sur les derniers... il se glisse ensuite derrière moi, vient caresser et huiler mon corps pour me soulager. C’est très agréable et cela fait du bien de voir son côté attentionné. Il en profite pour jouer avec le plug qui décore toujours mon cul et pour caresser mes lèvres et mon clito. Puis il enlève le plug et il vient rentrer brutalement. Il commence avec des va-et-vient bien puissants tout en tirant mes cheveux. Il ne ralentit pas la cadence et il agrémente le tout de fessées plutôt fortes.
J’ai mal un peu partout et je ressens cette douleur qui mélangée au plaisir perturbe complètement mes sensations. Sa bite qui glisse en moi et qui me donne un plaisir fou, et ses mains qui tapent mon cul d’une violence non feinte me font crier comme jamais. J’ai rarement eu l’occasion qu’on me prenne le cul, mais avec lui j’en deviens folle, j’adore cela. Mais j’avoue que là c’est d’une violence incomparable à d’habitude, et pourtant il me faut à peine quelques minutes de plus pour jouir. Maître ne s’arrête pas à mes cris de jouissance, il y va toujours aussi fort. Je sens son membre épais coulisser dans mon conduit arrière à chaque va-et-vient.
— Maître j’adore votre queue, continuez de vous faire plaisir dans mon cul j’adore ça...— Je sais que tu aimes ça petite pute. À qui tu appartiens ?— À vous, maître.
Il continue de me pilonner le cul encore quelques minutes puis il sort et il jouit sur le sol.
— Tu vas lécher ça par terre maintenant, comme une petite chienne que tu es.
Juste après cela il me détache, me fait descendre, je me remets à quatre pattes, il s’assoit sur le fauteuil et il appuie sur ma tête avec son pied... je me retrouve la tête juste au-dessus de cette petite flaque de semence. En temps normal, j’adore la recevoir en bouche ou la lécher sur mes seins. Ou mon visage quand il éjacule dessus, mais là j’avoue que je sens que c’est au-delà de mes forces, et pourtant j’ai choisi cette situation. Voyant que je ne réagis Arthur me rappelle que ce n’est pas une demande, mais un ordre.
— Je sais maître, mais là je n’y arrive pas ,cela me bloque.— OK, alors tu nettoieras toi-même et tu trouveras une punition adéquate pour ce refus.— Oui, maître.
Je prends soin d’accrocher ma laisse au lit qui n’est pas trop loin et vais dans la salle de bain. Avant qu’il entre je lui demande comment je suis censée nettoyer en étant accrochée.
— Trouve une solution toi-même, petite pute, c’est toi mon esclave et pas l’inverse. Mais ça doit être nettoyé quand je sors de la douche.— Très bien maître.
J’attends que l’eau commence à couler et j’évalue toutes les possibilités qui s’offrent à moi. Je ne sais pas pourquoi j’ai fait ça, mais au final j’ai ramassé avec mes doigts et je me le suis étalé sur tout le corps... J’ai pris soin d’en mettre un peu dans ma bouche quand même pour en profiter. Quand mon maître sort de la salle de bain la première chose qu’il voit, c’est que la tache qu’il a faite a été nettoyée. Il vient près de moi, m’embrasse, me détache et il m’invite à venir avec lui dans la salle de bain. En arrivant dans celle-ci, je constate qu’un bain est prêt avec de la mousse et de l’encens. Il me dit que c’est pour moi et que je peux en profiter. Je m’installe dedans et à ma grande surprise c’est lui qui prend soin de me laver. J’apprécie tellement ce moment de tendresse et d’attention de sa part, c’est un véritable moment de partage. Cela me permet de mesurer également combien je compte pour lui. J’adore ses mains qui glissent partout sur mon corps avec délicatesse. Je me laisse totalement guider et je profite à fond de ces moments de contact délicat et de complicité. J’ai très envie de le remercier de la façon qu’il préfère, mais je le ferais plus tard dans la soirée. À ma sortie de la salle de bain, je vois sur le lit une sublime tenue composée de bas, d’un string, et d’un soutien-gorge harnais. Je lui demande si je dois le mettre de suite. Il me répond que non que je ne dois que l’essayer. Nous passons un peu de temps à discuter tout en buvant. L’ensemble me va très bien, même si je n’ai pas l’habitude de porter ce genre de soutien-gorge.
Vers minuit Arthur me demande de remettre la tenue qu’il m’a offerte et d’aller chercher la dernière pièce qui la complète dans la penderie. Il s’agit d’un grand trench de couleur bleu marine. Je comprends tout de suite ce que nous allons faire et cela me fait peur, mais en même temps cela m’excite énormément. Maître s’habille également et il m’ordonne de laisser le trench légèrement ouvert, mais attaché avec la ceinture. Nous allons ensuite nous promener près d’un étang jouxtant un casino. C’est un étang plutôt passant même si l’heure fait qu’il y a souvent moins de monde. Nous croisons des gens seuls qui promènent leurs chiens, des couples qui se promènent, tous me regardent avec ce regard intrigué. Un homme que nous recroisons s’arrête pour nous saluer et féliciter mon maître pour « la beauté de sa partenaire ». Arthur lui demande s’il est du milieu et cet homme plutôt âgé répond qu’il l’a été et ose demander à mon maître si je peux me dévoiler plus. Arthur lui répond qu’il m’autorise uniquement à ouvrir le trench, mais que lui ne doit pas quitter sa place. Il me regarde, je comprends qu’il faut que je m’exécute. Je défais la ceinture et j’ouvre entièrement le trench. Arthur m’indique quelques instants après de le refermer. Le monsieur nous remercie et nous reprenons notre balade.
Ce sentiment d’être un trophée est bizarre et à la fois, je vois que Arthur y va en douceur pour ce qui est de l’ exhibition.
Nous continuons de nous balader et nous nous enfonçons dans un endroit discret. Après quelques centaines de mètres de marche, nous nous arrêtons. Arthur m’attrape et m’embrasse, puis il ouvre mon trench et vient caresser mes seins, il attrape mes tétons et les pince en les tirant vers le bas. Je m’agenouille tout de suite et je commence à enlever son pantalon, et à ma surprise il n’a pas de boxer. Je prends deux secondes pour admirer ce tronc dressé devant moi et dont j’ai tellement envie depuis tout à l’heure.
Je le lèche et fais des va-et-vient avec ma main, puis je le prends en bouche. Arthur met sa main sur ma tête, et il prend le contrôle du rythme. Il va profond et lentement, puis il bloque sa bite au maximum de mes capacités. Ce sexe énorme lime ma bouche à coups d’aller-retour puissant. Quel plaisir de sentir ce gland énorme se balader en moi. Je prends de plus en plus de plaisir à me faire baiser la bouche, à sentir cette bave couler le long de mon menton, puis glisser le long de mon cou, pour venir maculer mes seins. Son sexe rentre de plus en plus loin et de plus en plus facilement. Je prends énormément de plaisir à être utilisée pour lui faire plaisir de la sorte. Au bout d’une dizaine de minutes, il honore ma bouche de sa semence par des jets puissants. Il ressort et m’ordonne de frotter mon visage contre son sexe de sorte que je nettoie celui-ci. Maître me relève et me félicite, puis nous faisons demi-tour et reprenons le chemin de notre appartement.
Ce sentiment d’être un trophée que l’on peut montrer à tout le monde est assez spécial. C’est bizarre et jouissif à la fois, j’espère que maître est content de moi.
Une fois rentrés, nous allons nous coucher, Arthur est délicat avec moi, nous faisons l’amour plusieurs fois dans la nuit à mon plus grand plaisir. Arthur est doux, délicat, sauvage, et se préoccupe toujours de mon plaisir. Je suis réveillée le matin par une odeur de pain chaud. Quand je décide d’émerger, je trouve Arthur vêtu uniquement d’un boxer. Je suis volontairement en string et avec un haut en soie, ce qu’il ne manque pas de relever. Je viens me mettre à genoux devant lui, mais il me relève et m’attrape par le cou, il serre à peine et me dit :
— Tu n’as pas l’impression de désobéir de façon flagrante, ma chère pute ?— Si maître, mais peut-être que j’ai envie d’être punie.— J’adore cette délicieuse provocation dans ce cas.— Que désires-tu comme punition ?— Je pense qu’une quinzaine de coups de cravache en guise de fessée me ferait le plus grand bien, maître.— Très bien alors, déshabille-toi et fous-toi à quatre pattes comme la petite chienne que tu es.— Oui maître.
À ces mots, je m’exécute pendant qu’il va chercher la cravache dans le salon. Pour la première fois de ma vie, je suis impatiente d’être punie et de me faire frapper. Je sens le plaisir et l’enthousiasme de mon maître et cela m’excite encore plus. Je me mets à quatre pattes avec les fesses bien relevées vers l’arrière. Il revient et sans un moment d’attente commence à fouetter mon cul sans retenue. J’alterne entre cris de douleur et de plaisir selon la dureté de l’impact, mais en réalité je prends énormément de plaisir. Comme j’en ai l’ordre, je compte à voix haute le nombre de coups et remercie mon maître à chaque fois. Une fois qu’il a fini, Arthur vient se caler derrière mon cul et il commence à lécher mon petit trou. Je suis déjà bien excitée à cause des coups de cravache et du souvenir des précédentes sodomies que j’ai déjà prises dans la nuit. Sa langue caresse avec délicatesse mon anus et je sens que je chauffe de partout.
Il s’arrête puis saisit mon téléphone, et me dit de lui faire confiance. Il rentre délicatement son gros pieu dans mon couloir intime et commence à me pilonner d’avant en arrière. Son sexe énorme a toujours un peu de difficulté à rentrer, mais c’est quand même bien plus facile et agréable qu’au début. Sa bite profondément en moi est un régal, il alterne douceur et brutalité, profondeur et surface, sort et re-rentre le tout sans ménager mon petit trou. Pendant une bonne vingtaine de minutes, j’ai de multiples orgasmes, puis il m’ordonne de venir lui montrer ma face de pute. J’ai à peine le temps de me mettre en place que je reçois tous ses jets sur mon visage. Je reste comme cela un long moment pendant qu’il me prend en photo sous tous les angles. Moi qui suis plutôt timide et réservée, je commence à me lâcher devant son, ou plutôt mon objectif. Je ramène le plus de semence possible à ma bouche avec mon doigt, ce qu’il ne manque pas d’immortaliser.
Cette matinée commence sous les meilleurs auspices et ce moment de détente est appréciable avant de m’atteler au rangement et au ménage de notre nid de plaisir du week-end. Je le fais en musique pendant que Arthur part, lui, profiter une dernière fois du casino. Nous nous retrouvons pour rendre l’appartement, dans la foulée. Arthur me ramène chez moi et m’embrasse fort. Une fois seule, je prends conscience que pas un instant dans le week-end je n’ai été autre que moi-même et que je prends un profond plaisir dans cette condition de soumise.
Nous finissons le week-end en passant une grande partie de la soirée au téléphone alternant entre discussion drôle, agréable et profonde.
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