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Mon émancipation sexuelle en club.

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Mon émancipation sexuelle en club.
Je me prénomme Brigitte, j’ai 25 ans, mariée depuis 4 ans à Marc, qui est de 3 ans mon aîné. Nous habitons les environs de Lille dans un petit appartement.Nous menons une vie normale, un peu trop d’ailleurs, c’est-à-dire métro, boulot, dodo comme la plupart de nos contemporains. Notre vie a basculé lors de la rencontre de Françoise, une ancienne connaissance de lycée. C’était en plein supermarché. Je ne l’avais pas revue depuis 3 ans et je dois dire qu’elle avait drôlement changé. Coiffure à la garçonne, pull cache-cœur qui mettait sa poitrine en valeur et une mini-jupe au dessus de botte cuissarde. Même pour une femme, je l’ai trouvé fort sexy.Comme le temps me manquait, on se promit de se téléphoner. Par expérience, je ne comptais pas trop dessus, mais j’en touchais tout de même un mot à mon mari, en lui racontant notre rencontre.Le mercredi soir, le téléphone sonne et c’était Françoise qui tenait sa promesse. Après différentes modalités, on convient de se faire un resto pour le samedi suivant.D’après la description que j’avais faite de mon amie, Marc me propose de m’habiller un peu sexy. Je choisis de mettre un pantalon blanc, un petit string pour la transparence. Un chemisier blanc, et pour lui faire plaisir, pas de soutien. Le tout recouvert d’une chasuble noire, boutonnée sur le devant, arrivant un peu en dessous des fesses. Mon compagnon me trouve à son goût, car lui seul savait pour ma poitrine libre.Nous arrivons au restaurant en même temps que nos convives. Françoise nous présente son compagnon. Il s’appelle Julien, pas mal physiquement, la trentaine, habillé tout de blanc de la chemise aux chaussures. Mais c’est lorsqu’elle enlève son manteau que j’ai le souffle coupé. Elle porte un chemisier rouge transparent, un soutien de la même teinte et une mini-jupe à volant écossaise. A côté d’elle, au point de vue sexy, je fais bonne sœur. Le repas se passe de manière harmonieuse et c’est au dessert que Julien nous demande ce que l’on compte faire de la soirée. Comme rien n’était prévu, il nous propose de passer la nuit dans un petit club, où paraît-il, on peut y faire ce que l’on veut sans aucune obligation ni tabou. On n’avait déjà entendu parler de ce genre d’endroit, mais l’on savait qu’il fallait être parrainé. Marc fini par me convaincre que c’était l’occasion de s’amuser en dehors des sentiers battus et c’est en voiture nous suivons nos amis jusqu’à une petite fermette isolée dans la campagne.Il était 23 heures et déjà quelques voitures garnissaient le parking. On se retrouve devant la porte et par un judas, le portier identifie Julien et on nous ouvre.À l’intérieur, après un petit couloir, nous arrivons à un vestiaire. Françoise nous explique que l’on a une armoire réservée pour y placer nos vêtements. Nous enlevons nos manteaux et lorsque j’aperçois mon amie, elle a enlevé son soutien et l’on voit sa poitrine dont les bouts pointent à travers le chemisier. Je constate également qu’elle a enlevé ses bas et a les jambes nues. Ils nous entraînent vers la salle de danse qui se compose d’une petite piste entourée de 3 jeux de fauteuil en U. Celui de droite étant libre, nos comparses s’installent au fond et nous sur un coté. Une serveuse, en mini et soutien-gorge prend notre commande. L’ambiance, aidée par l’alcool, devient de plus en plus chaude, mais étonnement, l’on s’y habitue facilement. Françoise a son chemisier ouvert sous la poitrine, mais comme l’on voie déjà tout, ce n’était pas plus choquant. Par contre, à force de se trémousser dans le fauteuil, elle montre son string sans aucune gêne. Marc se rince l’œil, mais vu l’ambiance, je ne pense même pas à être jalouse. Sur la piste, deux filles se trémoussent puis se rapprochent, s’enlèvent mutuellement leurs tee-shirts, puis s’embrassent passionnément sein contre sein.

Sur le fauteuil de gauche, trois hommes seuls viennent de s’installer.Puis, un slow commence. Marc m’invite sur la piste. Il me caresse doucement le dos, puis les seins. Sa main descend et il malaxe mon pubis avec passion. M’embrasse avec une fougue que je ne lui connaissais plus. En revenant à la table, il m’avoua s’amuser comme jamais. Un autre couple est arrivé en face de nous. La quarantaine, lui habillé chemise pantalon et elle d’un tailleur jupe courte. Par contre, Julien et Françoise se caressent comme s’ils étaient seuls, chemisier ouvert, les seins à l’air et la jupe retroussée. J’observe les couples en train de danser et j’éprouve un certain plaisir à jouer au voyeur. Mon amie se lève et me propose de la suivre aux toilettes. Là bas, en me refaisant une beauté, je lui fais part de ma déception concernant mes vêtements. Je dois faire plutôt godiche parmi les autres. Elle me répond qu’il y a moyen d’arranger cela. Elle me fait enlever le pantalon, le chemisier et je me retrouve avec juste mon string et ma chasuble ultra courte. Il est vrai qu’à présent, j’ai une tenue digne de l’endroit, mais je crains que Marc ne rouspète. Elle me rassure en m’expliquant, que plus je montrerais, plus il sera amoureux. Afin de mieux me convaincre, elle soulève sa jupe et enlève son string. Elle me dévoile ainsi un sexe de jeune fille tout épilé. Tant pis, je me lance et nous revenons dans le dancing. Marc me regarde, et me tend la main pour m’aider à m’asseoir avec un sourire d’approbation. En m’asseyant, ma chasuble s’ouvre jusqu’au nombril en dévoilant ma petite culotte. Mais cela, en fin de compte, m’amuse et je ressens un plaisir inconnu dans mon bas ventre. Marc devient effectivement de plus en plus amoureux, et tout en m’embrassant, déboutonne ma robe pour me caresser les seins. En face de nous, la fille, la veste ouverte sur une forte poitrine, a sorti le sexe de son copain qu’elle masturbe en douceur. La scène semble irréelle, le type d’en face, le sexe à l’air, Françoise assise avec autant d’indécence que tout à l’heure, à la différence près qu’elle expose son minou au vu de tous et moi, au milieu de tout cela, je m’aperçois que cela me plaît et voudrais même aller encore plus loin. Le seul problème, je ne sais pas comment va réagir Marc. Un nouveau slow, Marc m’entraine sur la piste et me chuchote à l’oreille « Merci, mon amour ». A ces mots, je crois avoir envie de jouir, tellement je suis heureuse. Il me caresse de nouveau la poitrine, détache encore deux boutons. Plus qu’un seul bouton tient la chasuble. Puis glisse une main sur ma hanche et commence à descendre tout doucement le string. Un dernier sursaut, je retiens sa main. De l’autre, il descend l’autre côté. Et puis zut, si cela lui plaît, qu’il me foute à poil au milieu de tous. J’enlève moi-même le dernier rempart et me mets à frotter mon pubis sur le sexe de mon homme. Je m’écarte un peu, malaxe son sexe, glisse ma main sur sa braguette et lui sors son vis. Je continue à danser ainsi, au milieu des autres, en sentant sa queue contre moi. C’est sublime. À la fin de la danse, nous rejoignons le fauteuil. En m’asseyant, je croise vite les jambes afin de cacher ma nudité. Marc, m’embrasse de nouveau, glisse sa main et les écarte. Lorsqu’il se retire, je suis assise, jambes ouvertes face à l’autre couple. A présent l’homme tient lui-même son sexe qu’il masturbe tout en fixant ma toison offerte. A la vue de ce spectacle, pour qu’il ne soit pas en reste, je me penche vers mon mari, lui sors sa bite et la caresse en douceur. Tout à coup, changement de musique par le dj. La musique d’une farandole et une chaîne se forme. Une femme nous tend la main pour les rejoindre. Nous nous retrouvons ainsi a former un petit train qui sillonne dans le dancing. Un homme vient me chercher. Je fais quelque pas de danse avec lui, puis il s’agenouille, me fait asseoir sur ses genoux et m’embrasse à pleine bouche. Je sens sa main me caresse la poitrine, descendre à l’entrejambe et me passer furtivement sur le minou. Je le quitte et va chercher mon mari dans la file. Il me fait virevolter, puis, me serre dans ses bras et m’embrasse longuement. Je sens sa main descendre le long de la chasuble et détache le dernier bouton. La ronde se termine et nous rejoignons nos amis. J’avance, robe ouverte, pratiquement nue et cela me plait à tel point que mon entrejambe en est tout humide. A peine assise, Françoise me demande de l’accompagner aux toilettes. Je la suis, toujours offerte aux regards de tous. A peine arrivé dans le corridor, mon amie me colle au mur, et en me pétrissant le sein me déclare qu’elle me connaissait pas aussi chaude et que je l’excite comme une folle. Sur ce, elle m’embrasse longuement. Ma main droite, remonte le long de sa jambe, arrivée au bord de la jupe, j’hésite, puis plonge ma main vers sa vulve. J’y introduis deux doigts et cherche son clitoris. Je le malaxe doucement jusqu’à que mon amie quitte mes lèvres pour gémir de plaisir. Françoise s’écarte de moi, puis s’accroupis. M’embrasse la foufoune et je sens sa langue s’introduire en moi, m’explore et me boit sans retenue. Un type s’approche, nu, me saisi les seins de ses deux main puis m’embrasse sur la bouche. Sa langue entoure la mienne et m’emprisonne. Mon amie s’écarte, je sens la queue de l’homme se masturber sur mon ventre. Je suis figée de plaisir. Il m’écarte les jambes et introduis son sexe en moi et m’empale sur son pieu de chair. Il commence son mouvement de va-et-vient, en se retirant complètement puis en s’enfonçant au fond de mon vagin. Plusieurs vagues de plaisir me submergent jusqu’au moment où il décharge dans plusieurs longs jets qui me font comme une onde de choc. Je sens le sperme qui dégouline le long de mes jambes. Le type se retire, appuie ses mains sur mes épaules et me force à m’accroupir. Il me présente son sexe devant mes lèvres. Je le saisis et le nettoie de sa semence. Je redescends doucement sur terre en m’apercevant que mon mari me regarde, en se masturbant. Il s’approche de moi. Je ne sais que penser entre peur, honte et justification. Il me saisit les lèvres, m’embrasse et me déclare : « je t’aime et je suis fier d’avoir une vraie femme qui sait jouir auprès de moi ». Il s’introduit en moi directement, c’est une autre queue, c’est différent, mais les ondes recommencent en montant en puissance et après seulement quelques mouvements, il éjacule. Le plaisir est tellement intense que j’ai l’impression de voler. Il se retire et nous rejoignons notre canapé. Enfin, épuisée, nous nous rhabillons et quittons ce lieu pour j’espère y revenir…
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