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Mon épouse, l'escorte et moi

Chapitre unique

Avec plusieurs femmes
Anna et moi sommes mariés depuis dix ans. Notre vie sexuelle, au départ très calme, s’est progressivement améliorée ces dernières années, et plus encore ces dernières semaines après qu’Anna se soit ouverte à de nouvelles expériences plus hard (note de l’auteur : voir les trois épisodes intitulés « Anna se lâche »).
Assis dans le canapé avec mon laptop, je termine un rapport quand une idée me vient. Je navigue vers un site bien connu des amateurs sur lesquels les escortes postent leurs annonces, en sélectionne quelques-unes et j’appelle Anna.
— Comment tu les trouves ?— Elles sont jolies, surtout celle-là! Mais que fais-tu sur ce site ?— Elle te plaît ?— Oui, mais réponds à ma question ?— Tu aimerais lui faire l’amour ?— Tu es tombé sur la tête ?— Non, pourquoi ? N’est-ce pas toi qui m’as dit un jour que tu regrettais de ne pas avoir baisé avec une copine le jour où tu en as eu l’occasion ?— Oui, mais bon, j’étais bourrée et je n’aurais jamais dû te dire cela. Et puis ce n’est possible donc pourquoi poser la question !— Mais si, c’est possible, cette fille reçoit les couples. On peut l’appeler, si tu veux ?— T’es sérieux ?— Oui.
Sans attendre sa réponse, je me lève pour aller chercher mon téléphone portable et je reviens m’asseoir, sous les regards incrédules de mon épouse. Tout en composant le numéro présenté, je vérifie rapidement liste des « possibilités » proposées par Adriana, une jolie blonde russe de vingt-huit ans. Il y a deux ou trois choses intéressantes auxquelles je n’aurais pas pensé...
Après quelques sonneries, on décroche.
— Allo ?— Bonjour, je viens de voir votre annonce sur Internet. Vous acceptez les couples ?— Oui, tout à fait.— Etes-vous disponible ce soir ? Mon épouse et moi voudrions louer vos services pour deux heures ?
Nous convenons de l’heure du rendez-vous qui aura lieu chez elle.
Samedi soir, dix-neuf heures. Adriana recevant de l’autre côté de Bruxelles, il est temps de se mettre en route. Anna porte une jupe droite et un chemisier classiques, et comme elle s’est préparée seule, je ne sais pas ce qu’elle a choisi comme dessous. Tant mieux, j’aurai la surprise.
Comme souvent le samedi soir, la circulation est dense, mais nous arrivons à l’heure à destination. Adriana reçoit dans un quartier calme du sud-est de Bruxelles. Comme convenu, je l’appelle pour lui dire que nous sommes arrivés à proximité et elle nous invite à la rejoindre dans son appartement au dernier étage d’un immeuble de construction récente.
Je sonne et une dizaine de secondes plus tard, notre hôte nous ouvre. Habillée d’un pantalon et d’un chemisier, elle est plus grande que je ne l’imaginais et rien ne laisse deviner la manière dont elle gagne sa vie. « Discrétion assurée », disait son annonce. Elle nous invite à la suivre vers le salon et nous offre un verre. Pour Anna, ce sera un alcool traditionnel russe et pour moi, vodka orange.
Alors que nous sirotons notre apéritif, Adriana, qui s‘est absentée quelques minutes, réapparait, cette fois dans une tenue nettement plus professionnelle : elle porte un joli ensemble string et soutien-gorge en fine dentelle rouge complétée par une belle paire d’escarpins à talons hauts. Mais c’est vers mon épouse que se tourne mon regard : je ne veux rien rater de ses réactions. Adriana vient s’asseoir à côté de ma moitié et commence à l’embrasser du bout des lèvres, tout en déboutonnant son chemisier. Anna, d’abord réticente, se détend peu à peu. Elle est maintenant en soutien-gorge et son choix du jour s’étant porté sur celui à demi-bonnets, cela permet à Adriana de lui lécher le bout des seins. De mon côté, je commence à caresser mon sexe, qui produit maintenant une bosse bien apparente sous mon pantalon.
Après quelques minutes, Adriana se lève et nous invite à l’accompagner vers la chambre. Là, elle s’approche d’Anna, déboutonne sa jupe, qui tombe sur ses chevilles et l’attire avec elle vers le lit, sur laquelle elle se couche sur le dos.
— Tu me plais beaucoup, Anna. J’aimerais beaucoup sentir ta langue sur ma chatte !
Elle écarte les jambes et attrape à deux mains le visage d’Anna qu’elle attire vers son sexe. Anna commence à la lécher, encouragée par Adriana qui la guide pendant plusieurs minutes. Puis Adriana repousse Anna, se relève et m’invite à me coucher sur le lit puis se tourne vers Anna :
— Anna, je veux te regarder faire l’amour avec ton mari !
Anna monte sur le lit, vient se placer à califourchon au-dessus de moi et attrape ma bite pour l‘introduire dans son vagin. Alors qu’elle s’affaire sur moi, elle ne voit pas qu’Adriana, debout derrière elle, a enfilé un gode ceinture. Elle s’approche d’Anna, pose les mains sur ses fesses, les écarte légèrement et se baisse pour lui lécher le petit trou. Anna se rapproche de moi pour m’embrasser sauvagement. C’est le moment que choisit Adriana pour introduire lentement le gode dans le cul d’Anna, qui visiblement ne s’y attendait pas. Elle me lance un regard de réprobation pour me faire savoir qu’elle n’est pas dupe et a parfaitement compris que j’avais planifié toute l’affaire avec notre hôte. Adriana et moi coordonnons nos mouvements pour démonter Anna, qui ne tarde pas à jouir bruyamment.
La tension retombée, je me lève et demande à notre hôte de m’indiquer la direction de la salle de bains.
A mon retour, j’entends des chuchotements et des éclats de rire venant de la chambre. Anna et notre hôte m’y attendent, debout devant le lit, se caressant mutuellement. Anna a remis sa lingerie, mais elle aussi porte maintenant un gode ceinture de bonne taille. C’est quoi le plan ? J’avoue que je n’avais pas prévu que les choses prendraient ce tour-là.
— Allez, approche, me dit-elle.— Euh...— Ah, tu es maintenant moins fier que quand tu décharges dans ma bouche ! Allez, monte sur le lit !
Je m’exécute, un peu fébrile. Anna vient se placer devant moi, Adriana derrière.
— Allez, suce !— OK, OK...— Mais, putain, tu bandes ! Ça t’excite ?
Je préfère ne pas répondre et me rapproche du gode, qu’Anna m’enfonce dans la bouche. Je commence à le sucer et, dans le même temps, je sens une sensation de froid sur mon anus : Adriana est en train de laisser couler du lubrifiant pour pouvoir introduire son gode dans mon petit trou.
Voilà, c’est fait, le gode est maintenant profondément enfoncé dans mon cul : me voilà donc, devant mon épouse, sodomisé par une pute. Je suis à la fois très excité et un peu honteux d’être livré comme cela à ce que je comprends maintenant être un fantasme de mon épouse. Pendant de longues minutes, Adriana me ramone le trou de balle tout en me poussant vers le gode maintenu devant moi par ma femme, sur lequel je fais maintenant des gorges profondes en émettant des bruits de succion désordonnés et des râles de plaisir provoqués par la sodomie.
Après quelques minutes, Anna indique à notre hôte de s’arrêter. Celle-ci se retire, elles se lèvent toutes les deux et viennent s’agenouiller au pied du lit :
— Allez, viens ici, tu l’as bien mérité.
Je m’approche des deux coquines qui, une fois à leur portée, commencent à me sucer à tour de rôle. La pénétration du gode m’a sérieusement chauffé et je ne vais pas tenir bien longtemps.
— Je vais jouir !
A ces mots, Anna attrape ma bite et me masturbe vigoureusement devant le visage d’Adriana, qui est venue se placer face à moi, bouche grande ouverte. Les jets de foutre s’étalent sur son visage, quelques-uns atterrissant à l’intérieur de sa bouche. Anna lève les yeux vers moi pour me jeter un regard salace et se rapproche d’Adriana pour l’embrasser à pleine bouche. Puis elle se relève et me lance, avec du sperme à la commissure des lèvres:
— Alors, mon salaud, tu ne t’attendais pas à ça ! Ça t’a plus ?
Je reste sans voix : moi qui pensais surprendre mon épouse avec cette expérience, j’ai été pris à mon propre jeu.
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