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Mon épouse et les chiens d'un ancien refuge

Chapitre 3

Zoophilie
MON EPOUSE ET LES CHIENS D’UN ANCIEN REFUGE 3

Après leur virée à l’ancien refuge de chiens, les deux filles projettent d’y retourner prochainement.Elles s’y étaient rendues dernièrement pour retrouver ce groupe de chiens en semi abandon, elles désiraient s’accoupler et prendre leur pied comme avait raconté mon épouse lorsque nous y étions allés.Bernadette et Christelle son amie s’étaient fait prendre copieusement ce jour là par plusieurs mâles dotés d’attributs qui n’avaient pas laissé les deux filles insensibles, surtout Christelle qui selon les dires de ma femme avait exprimé son plaisir assez bruyamment ce qui avait attiré trois chercheurs de champignons.Devant le tableau qui s’offrait à eux, les trois hommes au début un peu surpris de trouver ces deux femmes au milieu de la forêt entrain de copuler avec des amants à quatre pattes avaient, et je les comprends, voulu profiter de la situation et de ces deux cochonnes.Un peu gênées au début, les deux copines n’avaient pas fait trop de difficulté pour les satisfaire, bien au contraire, après s’être fait prendre par un labrador et un berger allemand elles avaient pris de la bonne bitte de mecs.Elles ont projeté d’y retourner la semaine prochaine, nullement contrariées ou gênées par l’intervention des trois types de la fois précédente.
Elles retrouvent l’endroit assez facilement, aussitôt arrivées elles distribuent victuailles et friandises tout en choisissant les mâles assez bien pourvus qui leurs plaisent et qui auront le privilège et la chance de se faire ces deux femelles en chaleur.
Mon épouse Bernadette va vous raconter son après-midi assez tumultueux au refuge.Comme la fois précédente, nous nous dirigeons avec deux beaux mâles que nous avons choisis vers un hangar qui tient encore debout pour être à l’abri d’éventuel chercheur de champignons ou promeneur égarés.Suivis par les deux mâles, nous salivons tout en plaisantant de la bonne baise qui nous attend.Nous sommes en train de nous asseoir en ayant ôté au préalable nos petites culottes déjà trempées, quand des grognements se font entendre, en se retournant, nous avons devant nous une sorte de berger allemand assez terrifiant et surtout très agressif.La bête est assez grande et surtout très corpulente, elle est dotée d’une imposante crinière, elle montre ses crocs assez dissuasifs tout en grognant, en le voyant les chiens fuient en tous sens, laissant la place à cet imposant animal qui doit à n’en pas douter être le mâle dominant du groupe.Devant une telle agressivité, apeurées nous nous relevons pour rejoindre la voiture, la bête toujours en montrant ses imposantes canines grogne en nous regardant tout en s’approchant de nous.Je regarde mon amie qui comme moi n’en mène pas large, que faire pour ne pas nous faire mordre, nous prenons la sage décision de nous asseoir en écartant les cuisses et en déposant du lait concentré sur notre entre cuisses.L’animal qui semble un peu plus calme ; il s’approche méfiant, nous ne sommes pas très rassurées quand il passe son impressionnante langue sur nos minous pour lécher le lait.Le berger allemand en passant de l’une à l’autre, électrise nos sexes en nous envoyant des ondes dans tout le corps, avec un tel traitement nous nous abandonnons.Je regarde ma copine, qui les yeux mi-clos, les cuisses bien ouvertes, sa tête renversée en arrière semble délirer en prononçant des mots assez crus et en encourageant son amant à aller plus en elle.En regardant l’animal, je m’aperçois que sous son ventre, un sexe d’une grosseur et d’une longueur impressionnante a fait son apparition et pointe dans notre direction.Il a un sexe hors du commun, tout rouge qui vire vers le violet avec une pointe assez effilée qui goutte abondamment et continuellement.J’en fais part à Christelle qui lorsqu’elle aperçoit ce membre ne peut s’empêcher de pousser un cri de surprise, ce n’est pas possible dit-elle, il ne pourra nous prendre avec un tel engin, de plus, il doit avoir un nœud qui va nous déchirer.Le mâle commence à s’arque bouter, en mimant une saillie et en essayant de pénétrer la belle brune qui devant un tel membre est prise de tremblements à la limite de l’évanouissement.La bête s’impatiente et grogne en montrant de nouveau son imposante dentition, il semble nous menacer...N’ayant pas d’autre solution, je prends la décision de me positionner à quatre pattes, le cul bien cambré en écartant au maximum les cuisses, pour lui montrer ma soumission.L’animal saute prestement sur mon dos, sous son poids, je manque de m’affaisser sur le sol, ses longues pattes avant enserrent mon buste tandis qu’il tente de me pénétrer.Je sens son haleine chaude sur mon cou, sa langue pendante laisse couler de la salive sur le haut de mon dos.Sa pique n’arrive pas à s’insérer dans mon abricot, j’entends ses grognements et ses dents qui claquent quand subitement il réussit à s’insérer dans mon intimité grâce à l’aide de ma copine venue à mon secours qui a positionné l’énorme tige à l’entrée de ma vulve.Je pousse un cri de douleur quand je sens l’énorme queue me pénétrer assez violemment et surtout profondément, on aurait dit un poignard qui me traversait le ventre, la douleur s’atténue peu à peu pour laisser place à une montée de jouissance, qui est de courte durée, car maintenant je sens sa boule qui m’élargit mon utérus.Je fais part à mon amie qu’il va me déchirer car son nœud grossit toujours et me fait terriblement mal, je suis affolée et au bord de l’évanouissement, sous la douleur je ne sens pratiquement plus mon bas ventre.De toute façon il m’est impossible de bouger avec une telle masse sur le dos, la bête s’immobilise enfin, tandis que de puissants jets de liquide séminal fusent au plus profond de ma matrice ainsi élargit.Ma copine me regarde un peu inquiète en me demandant si çà va et en essayant de me rassurer.Un peu plus tard elle me fera part de sa peur, car j’étais toute rouge et je transpirais abondamment, la bouche grande ouverte, ma figure marquée par la douleur qui me tenaillait, et surtout la peur d’être blessée par un tel membre.Pendant ce temps, deux autres mâles berger allemands se sont approchés de Christelle pour tenter de la saillir, en les voyant venir, la brune se positionne à quatre pattes, ce qui semble les encourager à poursuivre l’action.Le premier grimpe sur son dos en tentant de la pénétrer sous les grognements du mâle dominant qui ne peut que le regarder s’enfiler ma copine qui se cambre au maximum en écartant bien ses jambes.Au bout de vingt bonnes minutes, mon amant se désaccouple laissant échapper une quantité impressionnante de liquide.Je ne sais si c’est la peur, mais l’autre chien se libère rapidement en tirant assez violemment sous les protestations et les cris de douleurs de sa partenaire.Les deux chiens s’enfuient dans la forêt en grognant et en se mordant.Trois autres chiens font leur apparition, deux labradors et le rottweiler noir, nous restons sur notre faim et nous les appelons en leur montrant des friandises.Ils prennent très vite possession de nos minettes qu’ils lèchent copieusement en faisant pénétrer leur imposante langue assez profondément.Les cuisses bien ouvertes, nos abricots bien éclatés laissent échappés des effluves qui ne laissent pas indifférent les trois lascars.Nous ayant copieusement léchées et mangées nos minettes, nous nous positionnons pour nous faire grimper par les deux plus rapide.Ayant pitié du troisième, un peu hésitante je le fais coucher devant moi, et pendant que son copain m’enfile, j’entreprends de lui sucer sa bite.Il se laisse faire s’abandonnant cuisses grandes ouvertes à ma bouche qu’il doit prendre pour un sexe de chienne, car au bout d’un moment, je sens un liquide couler dans ma bouche dont le goût n’est pas désagréable. Rassasiées, nos sexes dégoulinant, nous regagnons notre voiture car la nuit commence à tomber, un certain goût dans ma bouche me rappelle que je viens de me faire éjaculer dans ma bouche et ce pour la première fois par un chien.Mais ce n’est pas désagréable, nous avons bien pris notre pied et nous reviendrons à nouveau leur rendre visite pour bien sûr nous faire grimper…
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