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Mon épouse et le médecin

Chapitre 4

Luc et le "lâcher prise"

Hétéro
Souvenons-nous: Luc et Marie, couple quinquagénaire, ont voulu agir pour un renouveau de leur sexualité commune. Luc rêvait d’organiser une rencontre candauliste avec un homme disponible, et le fantasme du médecin convenait aussi à Madame. Madame qui ne demandait rien, mais convenait que la routine s’était trop clairement installée après toutes ces années où l’éducation des enfants avait conduit à privilégier "la famille". Au détriment de l’amour physique et charnel, renvoyé à l’arrière-plan.

Trouver le partenaire idéal n’était pas si simple. Longtemps leurs tentatives étaient restées infructueuses. Mais finalement Marc était apparu dans le scénario. Et son profil convenait à Marie. La rencontre coquine avait bien eu lieu, et le plaisir, assez court mais intense, avait répondu présent... comme ils l’espéraient... 

La suite n’allait pas suivre tout à fait les voies envisagées au départ... 

Luc, en bon cérébral un peu obsessionnel, avait pensé et repensé à ce moment qui l’avait tant excité. Il avait souhaité une suite. Marie n’était pas contre tenir son rôle pour un deuxième épisode, après le succès du "pilote", comme on dit pour les séries télévisées. Cette fois, Luc n’y participa pas directement, tout en tenant les rènes du scénario. Il en était si l’on veut le "démiurge". Celui qui organise. La femme, comme la Reine aux échecs, était la pièce maitresse de la partie...

Mais cette deuxième rencontre déclencha chez Marie un plaisir qui n’était pas initialement prévu: celui de voguer seule, sans son mari, à la découverte de sa propre libido libertine. Ainsi s’envisagea une troisième étape, imprévue au départ. Marc le médecin sortait de son rôle de partenaire disponible, pour proposer une amicale partouze où participerait un psy que lui, Luc, ne connaissait pas. Une certaine Nicole viendrait "faire la quatrième", comme on dit dans les parties de cartes. C’est une femme mature un peu nympho à qui le mari peinait à garantir seul tout le SAV attendu. Il s’agirait d’une rencontre sans les deux conjoints. Qui pouvaient alors devenir deux... "cons disjoints"?

Pour le coup, si Luc n’était qu’un manipulateur, avant tout soucieux de satisfaire ses propres fantasmes, en somme un égoïste, le masque allait tomber: il allait probablement freiner la réalisation de cette partouze suggérée par un autre. Au reste, de quoi venait-il se mêler, celui-là? Pouvait pas rester A SA PLACE? Mais refuser cette suite, n’était-ce pas risquer une possible "entrée en crise" entre les deux époux?

S’il acceptait sans discuter que Marie aille partouzer avec ces trois-là, il perdait le contrôle sur la destinée de ce couple un peu trop sage qu’il avait voulu bousculer...

Il y avait bien sûr une troisième suite possible : celle du couple soudain libéré des contraintes de la possession et de la jalousie. Madame y deviendrait clairement pilote de sa propre destinée d’apprentie libertine. Et Luc s’y soumettrait. Soit de bonne grâce, heureux peut-être de partager l’existence d’une épouse soudain libre. Soit il s’y résoudrait un peu forcé, pour ne pas perdre la face... Mais peut-être, en son for intérieur n’en pensant pas moins. Avec la possibilité de voir s’installer progressivement le fameux " polyamour ", si simple et joyeux en théorie... Mais plus incertain, en pratique... Pouvant -oui-déboucher sur l’éclatement du couple: "Chéri. Je pars vivre avec Marc". 

En clair, s’en remettre aux lois de l’inconnu.


Luc songea longtemps à ces différentes possibilités. 

Marie évoqua bien l’email, mais n’obtint pas rapidement une réponse claire... Elle décida donc de vivre l’histoire à son rythme. Une fois par semaine, elle se mit à baiser avec Marc, qui devenait donc peu à peu un amant régulier. Elle aimait comment il la prenait, elle aimait céder un peu à ses envies, et découvrait avec son amant la saveur des orgasmes successifs, que Luc n’avait que rarement su déclancher. 
Elle aimait surtout comment Marc savait la sodomiser. 

Le rituel du lavement, qui au début l’avait tout de même clairement gênée, s’était progressivement installé comme un moment inavouable mais complice. Disons les choses: Marc aime ça, que je chie devant lui, mon amant aime se branler en me matant si impudique! J’aime obéir à ce moment. J’aime chier devant lui. Mon secret le plus intime, le plus personnel, je l’offre à mon amant comme preuve de notre complicité sexuelle. 

De ce jeu sensuellement pervers, que d’aucuns pourraient juger malsain ou dégoutant, elle ne dit rien à son mari, mais s’en ouvrit à son amant. Il lui avoua alors qu’il aimerait, cette fois sans aide d’un produit médical, connaître avec elle le spectacle de ses belles fesses penchées près de son visage, le canal étroit s’ouvrant peu à peu, tandis que Marie branlerait son sexe tendu en poussant les gémissements de celle qui pousse pour se libérer. Elle lui dit que c’était très osé, que ça pouvait vite devenir dégoutant, il répondit qu’il suffisait de contrôler avant la teneur du produit à livrer... Elle lui promit de réaliser ce fantasme scabreux...

C’est Marc qui après trois semaines, évoqua de nouveau Nicole... Et le psy, qui se prénommait Paul. Un type très bien, assurait-il. Quant à Sylvain, le mari de Nicole, il tenait clairement son rôle de mari complaisant, n’était pas du tout opposé à endosser celui de "lopette cocue". Nicole avait confié à Marc le plaisir que ce Sylvain  mettait à porter ses lingeries. 

Nicole décida alors de remettre sur le tapis cette question de "la partie à quatre". Elle évoqua l’exemple de ce Sylvain, assumant tout à la fois de n’être plus celui qui contrôle, et plus encore de bousculer les fameuses "lois du genre"... Pourquoi Luc n’irait-il pas, lui aussi, "faire un tour  du côté sauvage" qu’avait si bien su chanter Lou Reed du temps de leur jeunesse?

Il fallut y aller en douceur. Luc accepta de rencontrer Nicole et Sylvain, avec Marie... Pour faire connaissance. Pour échanger leurs expériences. A ce stade, Marie n’avait pas encore avoué ses rencontres avec l’amant-médecin, mais au fond Luc n’était pas dupe. Il se sentait un peu mis en danger, mais y trouvait aussi une source de plaisir un peu maso... L’attrait de l’inconnue le titillait à mesure qu’il y pensait. Il apprécia la façon d’être de Sylvain, qui ne cachait pas sa personnalité d’homme gentil, soumis. Pas benêt pour deux sous, mais juste acceptant les pulsions plus enfouies qu’il n’avait pas initialement identifiées...

Cette rencontre-là fut décisive. Nicole confirma ensuite qu’elle avait très envie de cette baise à quatre. Elle avait envie de partager deux hommes avec Nicole, plus jeune qu’elle, brune assez ronde, au fort tempérament, s’il fallait en croire Marc. Elle avait vu des photos de Paul Le Psy, pas trop son genre, mais pas vilain non plus. Elle avoua à Luc ses rencontres secrètes avec Marc. Luc en fut à la fois déçu et soulagé. Elle ne lui confia pas les "jeux sales" auxquels elle se soumettait. Ce serait sa zone de secret... au moins pour le moment.

Luc reconnut que Sylvain était sympathique. Ils avaient échangé leurs numéros de portables. Ils burent un verre en tête-à-tête. Sylvain ne voyait aucun problème à ce que Nicole partouze sans lui. Il se contenterait d’imaginer les ébats, ce qui pouvait l’émoustiller, et d’en connaître les détails si Nicole le souhaitait. Dans leur couple, le doute n’existait plus: c’est bien l’épouse qui tenait le gouvernail, et le mari qui se laissait guider. Il trouvait cela finalement très reposant.

Luc devait-il à son tour céder aux fameuses lois du "Lâcher Prise"? Il se résolut à tenter cette nouvelle étape.
Et c’est ainsi que le scénario proposé par Marc devint validé par toutes les parties.

Nicole et Marie seraient les deux salopes mariées, partenaires de deux complices virils et bons baiseurs avec lesquels elles n’étaient liées par rien, sinon la complicité sexuelle et l’envie de dépravation partagée... 
Paul et Marc, parfois partenaires pour des trios avec des femmes seules ou volages, allaient s’offrir une partie à quatre qui promettait... 
Quant à Sylvain et Luc, ils acceptaient de vivre ensemble ce moment dont ils ne seraient pas acteurs. Sylvain avoua à Luc que cette perspective l’excitait, et lui proposa de l’inviter, chez eux, pour que Luc ne vive pas seul ce moment particulier.

Luc se demanda s’il se voyait éventuellement partir pour des jeux un peu "homosexuels" avec Sylvain. On verrait bien? Même si cet imprévu n’avait pas été envisagé. Ce qui est la définition même de l’imprévu. Alors il y pensa: s’imagina sucé par Sylvain. Ou le suçant... Il se masturba en y pensant. Et fut lui-même surpris de la rapidité avec laquelle cette hypothèse le fit éjaculer. 

Oui.... "On verrait bien".

(à suivre)
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