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Mon épouse et le médecin

Chapitre 5

Plan à 4, mystères et confession

Hétéro
Bon je ne l’ai pas caché, les amis... Cette histoire partait d’un jeu de candaulisme avec mon épouse et un médecin. Elle a dérivé vers une relation consentie à deux, puis à quatre avec un deuxième larron et une autre femme. Mais ce n’est qu’un récit fantasmé. 
 Je suis Luc. Dans la vraie vie, mon épouse ne s’autoriserait jamais (et je crois bien que je le regrette) une escapade avec trois complices, à laquelle je ne participerais pas. Mais même en ma présence, j’ai beau me raconter des histoires, elle ne se lancerait pas.
 Je reste avec le fantasme non réalisé. Certains psys disent qu’il ne faut JAMAIS réaliser ses fantasmes, mais toute l’activité libertine prouve que bien des gens s’appliquent à ne pas suivre cette recommandation. Si j’imagine Marie avec une amie et deux amants, je ne peux que m’appuyer sur les innombrables vidéos X que j’ai pu visionner: jadis, dans les salles de cinéma spécialisées des années 70 et 80; la déferlante des K7 et des vidéoclubs leur succéda. Et aujourd’hui comme nous tous je surfe sur les sites spécialisés. En accéléré, les clips se ressemblent tous, n’offrent que très rarement des séquences surprenantes, ou bien filmées, ou excitantes par le langage et l’attitude des participants. La plupart me sont d’un ennui terrible, alors que la réalité me plairait vraiment.
 J’essaie donc d’imaginer cette partie carrée à laquelle je ne serais pas invité. A l’imaginer excitante, pour toi lecteur ou lectrice. Quand je lis certains textes ici, je remarque qu’il s’agit souvent d’un enchaînement précis de séquences, comme un déroulé des figures libres ou imposées. Et dans chacune d’elles, tous les participants n’ont aucune réticence à "faire". Les rares fois où ils et elles en expriment une, il suffit d’une insistance légère pour qu’ils et elles y cèdent immédiatement. 
 Dans le récit éroticoporno, il n’y a ni doute, ni honte, ni gêne, ni tabou, à réaliser tout ce qui semble pouvoir l’être... Telle est la magie de l’imaginaire. 
Mais pour ce qui est du réel, ce qui cogne, ce qui frappe, ce qui fait mal aussi, pour reprendre les mots d’un prince de la psychanalyse, il y a des obstacles, des douleurs, du plaisir, et toutes les émotions possibles. J’ai envie d’exprimer un imaginaire dont je sais qu’il ne saurait exister dans le réel. Et ce seraient alors comme des vignettes, des photos. Avec un descriptif précis sous chacune d’elles. Marie décrit ensuite son émotion du moment. Et Luc son impression de voyeur découvrant ce que sa femme peut faire sans lui. J’espère que cette narration (un peu plus originale peut-être?) vous plaira.
 Photo 1.
 Nicole, femme assez plantureuse est en soutien-gorge et culotte bleu ciel, transparents, assise sur un canapé, entre Marc le médecin viril, et Paul le psy que Luc n’a jamais rencontré. Nicole a de gros seins, que les mains des deux hommes soupèsent. L’un l’embrasse dans le cou, l’autre lèche son aisselle non rasée. Elle a les cheveux mi-longs, chatains, des yeux de femme cochonne. Comment les décrire... On lit le mot "SEXE" gravé dans son regard.
Marie commente : " en les regardant je me sens à cet instant en situation de voyeuse, passive. Cela me plait bien, Nicole est du genre impudique, et j’ai l’impression qu’elle va monopoliser l’attention de ces messieurs. La vitesse à laquelle elle a retiré sa robe m’a confirmé qu’elle n’était pas venue jusqu’ici pour plaisanter. Marc m’avait prévenue qu’elle était gourmande, j’ai l’impression de voir une vraie « chaudasse ». Je ne vais sans doute pas pouvoir rivaliser.
Luc a pensé, " Marie est en retrait". Mais Nicole a cette impudeur qui plait quand on saute ce genre de femme, sans avoir à se demander si elle va aussi chercher ailleurs… ce qui serait probablement mon cas,  si je m’étais retrouvé en couple avec elle… 
 Photo 2
Sur ce deuxième cliché, on peut voir Marie en dessous violets, debout, les deux seins saillant hors du soutien-gorge. Impudique à son tour. Paul Le Psy, torse nu, a glissé une main dans sa culotte et Marie tient son pénis dans une main. Il bande ferme. Nicole à genoux pompe le dard de Marc, lui aussi torse nu, et pantalon baissé. Les deux hommes sont assis, confortablement. Ces dames, toutes à leur attention. 
Marie trouve « que sur ce cliché, nous faisons toutes les deux très putes, chacune s’activant sur la queue des partenaires. Pour le moment je branle Paul, dans les minutes qui suivront, je m’activerai de la bouche, sur son gland très gonflé.

Luc se demande si c’est bien Marie qui figure sur cette photo, où, manifestement, elle se fait fouiller la fente par un homme qu’elle ne connaissait pas une heure plus tôt. Cela lui ressemble tellement peu. Puis il reconnait que tel fut également le cas, la première fois qu’elle rencontra Marc en son cabinet médical. Oui, mais j’étais là aussi, remarque-t-il. Cela dénote tout de même d’une certaine centration « sur soi ». Et le remarquant, il s’interroge alors : ma femme ne serait-elle légitime au libertinage que sous ma présence? C’est-à-dire uniquement sous mon autorisation ?
Photo 3. 
Marie a les cuisses bien écartées, Nicole est en plein cunni tandis que Marc la prend en levrette. Marie suce Paul, et lui soupèse bien les bourses. La photo est prise au grand-angle, les 4 personnages sont visibles, et Marie est la plus présente, bien au centre. On voit bien son porte-jarretelles violet, ses bas chairs sur lesquels les mains de Nicole se posent, pour les caresser, mais aussi pour maintenir les cuisses bien ouvertes, dans cette position offerte. 
Marie se souvient en regardant la photo "comme Nicole me broutait bien. Je me disais qu’elle devait avoir l’habitude des séances de gouinage… A un moment, une de ses mains va quitter ma cuisse pour me faire « une fourchette » : deux doigts dans le vagin, à la recherche du Point G. Et l’autre sur, puis dans mon trou des fesses. Je n’ai même pas eu besoin de lui dire comme cette double caresse décuplait mon plaisir. Et ce sera mon orgasme de cette soirée". 
Luc aurait tellement voulu être là. A la place de Paul. L’entendre. L’entendre, oui, surtout. Plus encore que voir, il aurait voulu écouter ce que les quatre se disaient. Dans les vidéos, ils sont souvent légers, côté dialogues, les acteurs. On ahane, on souffle... On gémit, dans le meilleur des cas. Et puis on crie pour des orgasmes sans foi ni loi. Mais là? Que peuvent-ils donc se dire? 
— Vas-y suce moi bien, tu aimes ça, qu’elle te bouffe le clito. Vas y lêche bien ta petite cochonne, pendant que je te lime. Tu lèches bien, Nicole. Oui enfonce tes doigts dans moi. Putain, tu le fais bien, c’est bon... J’aime avoir mon doigt dans ton cul, sale petite trainée.
Photo 4
Le cliché les montre de dos. Les deux hommes sont debout, on voit leurs fesses qui s’agitent à l’évidence. Chacun d’eux baise chacune des deux luronnes. Est-ce qu’ils les prennent en levrette, ou y-a-t-il une sodomie en cours?.. Peut-être deux ? 
Marie se souvient que " Paul avait un sexe moins long mais plus large que celui de mon autre amant Marc. J’ai aimé passer de l’un à l’autre, mais je n’ai pas joui avec Paul. J’ai prié pour qu’il n’aie pas l’idée de m’enculer, j’avais peur d’avoir un peu de mal à l’accueillir... Par chance, il a joui dans ma chatte. Mais je sais que de son côté Nicole n’avait pas refusé que le pieu de Marc vienne fouiller son anus. Je soupçonne d’ailleurs qu’elle n’avait pas attendu cette rencontre à quatre pour l’y inviter. Je crois que Nicole a joui trois ou quatre fois dans cette soirée.
Luc ne sait plus que dire, il devine juste que Marie se trouve à droite, il la reconnait à son porte jarretelles et ses bas, qui semblent se relâcher à force d’agitation. Il ne peut qu’admettre que dans le réel, son épouse aimée dont il a tant de fois regretté le manque d’audace peut se comporter comme une belle salope. Une vraie baiseuse. Une sacrée putain. Une cocufieuse. Il ne sait plus dire si cela l’excite, l’émeut, le perturbe, le fragilise dans ses certitudes anciennes. Il sait une chose seulement: quelle que soit l’émotion dominante, c’est lui qui l’a faite jaillir dans le confort de leur couple petit-bourgeois.
Marie ne dit pas qui a pris les photos. Luc ne se l’est pas demandé non plus. Ces photos n’ont été stockées que dans le disque dur imaginaire de l’homme qui voulait une femme libérée. Il sait à présent "que ce n’est pas si facile". Comme dans la chanson de ce groupe... Comment s’appelait-il déjà ?
Quand le réel et l’imaginaire entrent en collision, les repères s’estompent. Luc se souviendra souvent de ces photos, il lui arrivera encore de se branler en y repensant. Il remerciera Marc, Paul et Nicole pour leur aimable participation. 
Et dans une autre histoire, surveillez, vous la verrez passer, Je vous raconterai peut-être mon expérience de lopette avec Sylvain, le mari de Nicole. 
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