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Mon épouse et le médecin

Chapitre 6

Deux maris font leurs lopettes

Travesti / Trans
Au fil des semaines, s’est donc mise en route une audacieuse opération « Fantasme à réaliser » dans mon couple endormi. Assez rapidement je me suis vu délaissé par Marie mon épouse, soudain plus occupée à s’envoyer en l’air avec son amant Marc. Ce médecin mature et bienveillant, que j’avais personnellement recherché, s’est d’abord appliqué à satisfaire notre soudaine envie de liberté, au mieux de ses compétences… Puis à dépasser sa mission initiale. De bonne guerre : Marc a juste poussé son avantage. Paul Le Psy, son complice, désormais s’associe à la tâche et les deux accueillent également Nicole La Cochonne comme camarade de jeux.Et moi ? Je suis Luc. Vous vous souvenez ? Luc, cet époux désireux de briser la routine... Et qui se retrouve désormais à calmer ses obsessions sur un réseau téléphonique, pour des conversations en "dirty talk", ou "parler cochon".Avec des hommes, le plus souvent. Les femmes adeptes de ces jeux sont rares.J’essaie sur ce réseau surtaxé de m’assumer dans le rôle du cocu que la situation excite, en même temps qu’elle le perturbe. Parfois je trouve à dialoguer avec un homme dominateur qui m’insulte, me rabaisse, se tripote probablement en m’expliquant qu’il saura faire crier Marie bien plus que ses amants réels. Le dominateur est toujours lourd dans l’expression. Il donne dans la facilité. Aussi sensuel qu’un gardien de Centrale dans l’exercice de sa fonction.Parfois je trouve un autre cocu, comme moi, et nous échangeons des confidences de cocus. Je remarque alors que souvent, ces maris délaissés se consolent en exprimant à haute voix comme ils se sentent dévalués, dévirilisés. Et comme ils y prennent un plaisir qu’on pourra qualifier d’assez masochiste.Ils se voient devenir "des lopettes". L’admettre manifestement les soulage. Ils insistent sur la taille modeste de leur pénis, par rapport à la grosse queue toujours tendue de l’Amant. Ils parlent de leur zob comme "d’un macaroni", d’un "petit cornichon". Souvent, ils avouent au bout de quelques minutes qu’ils aimeraient, oui, assumer cette dévirilisation pour sucer le beau membre dressé de l’amant viril. Et sur leur lancée, se risqueraient même à se faire « démonter » par lui. Existe aussi l’option « en portant des lingeries de femme ». De LEUR femme, pour peu que les tailles soient compatibles.J’ai ainsi discuté avec différents hommes, et me suis senti devenir assez vite accro à ce schéma. Avec l’un d’eux, le feeling passait singulièrement, et j’en étais moi-même surpris. Cet adepte d’un candaulisme un peu humiliant se retrouvait gémissant au téléphone, se masturbant sans retenue. Dans son délire, il m’appelait "mon amour", et je me suis entendu lui répondre "ma chérie", tout en me caressant moi aussi. Nous avons joui fort nous imaginant devenues femelles, évoquant verbalement des échanges de caresses on ne peut plus osées. Ce n’était pas tout à fait un "plan Gay". Plutôt quelque chose à mi-chemin entre l’Hétéro sur le sentier du Bi, et le Transgenre assumé, disons pour cinq minutes...J’ai retrouvé plusieurs fois ce même homme trompé, pour ce même scénario et dialogue. Excitant au début. Mais assez vite devenu répétitif. J’ai tenté de savoir si le coquin vivait dans la même région que moi. On ne pouvait pas trouver plus éloigné. On n’a donc pas poussé le délire jusqu’à l’hypothèse d’une rencontre. Mais l’idée m’est peu après venue d’en parler, en confidence, à Sylvain.Sylvain ? Il est le mari complaisant de Nicole, que ma femme et moi avons rencontrés ensemble, avant que Nicole et Marie se lancent dans cette partie à quatre avec les deux toubibs. Nous avions alors échangé nos numéros de fil, nous promettant de passer ensemble une soirée à discuter, ce qui ne s’était finalement pas fait. Alors je l’ai recontacté, et nous avons convenu d’un rendez-vous dans un bar. Là, je lui dévoile tout de mes discussions fantasmées, avouant comme cela me perturbe d’y prendre ce plaisir un peu dégradant.— Tu te rends compte, je l’ai appelé « ma chérie » ! Lui, gémissait fort en me parlant de sa femme et de son amant, un dénommé Maurice, et il m’a dit qu’il se caressait s’imaginant habillé en femme, suçant la grosse et belle bite de l’amant... Puis rêvant de se faire prendre par lui, devant elle, en soutien-gorge et petite culotte... Enfin, cela l’excitait tellement qu’il m’a fait jouir, rien qu’à l’écouter. Et moi aussi j’ai joué à m’imaginer femelle...Sylvain me répond me regardant droit dans les yeux. Il se sent excité par mon récit. Pas physiquement. Mentalement. L’idée le trouble au plus haut point. Comme une libération qu’on s’octroie. Il se voit bien, là, « faisant sa gouine » avec moi, parlant sans barrières de Nicole et Marie se faisant sauter par leurs amants.Nous confier à quel point envisager ces jeux nous plait, est un genre de soulagement autant qu’une sensation coupable.— S’avouer notre honte, peut-être... La savourer. Une honte à transformer en plaisir…Sylvain m’invite à réfléchir. En nous séparant il me précise qu’il est d’accord pour convenir d’une rencontre coquine, qu’il y viendrait avec des lingeries de Nicole, puisqu’il lui arrive assez souvent de lui en emprunter, et de se caresser dedans, comme on le devine. Je jure d’y penser et de le rappeler. Je le fais dès le lendemain. Je me sens prêt – ou « prêtE » - à tenter avec lui ce jeu sensuel et pervers.Cela doit-il rester un secret entre nous ? S’il en parle à Nicole, elle se fera évidemment un plaisir de le raconter aux trois autres, donc à Marie... Je lui propose de garder le silence, au moins le temps de voir ce qui va se passer entre nous.Nous voilà donc buvant un martini dans un bar tout proche de cet hôtel qui ne refuse pas de louer une chambre à deux hommes. Nous parlons de nos femmes. Assez vite il se risque à l’invitation directe :— Dans mon sac j’ai une tablette avec des photos de Nicole. On pourrait prendre un moment pour les regarder ?J’acquiesce. Nous prenons la chambre, je paye. Un peu gêné devant le réceptionniste, qui ne fait pas la moindre remarque. Il loue sa chambre, c’est son métier. Le reste ne le concerne pas. La "gay friendly " attitude progresse tout de même beaucoup dans la capitale.Dans la chambre, nous mettons à l’aise ; pieds nus, en chemise et pantalon. Assis sur le bord du lit. Sylvain sort sa tablette et fait défiler des photos de Nicole. Allumeuse. En lingeries. Une bonne grosse coquine. Elle s’expose en des poses lascives. Sur d’autres, elle s’amuse avec un gode de taille conséquente. Son mari commente doucement…— Ma femme est une gourmande. Je me demande toujours ce qui l’a séduite en moi. Je ne suis pas un Superman du sexe. Plutôt un coquin passif.Elle lui a raconté, sans épargner les détails, les trois ou quatre parties carrées qu’elle a partagées avec mon épouse et les deux médecins. J’en étais resté à une ou deux. Décidément, me voilà vraiment déconnecté...Ces situations le rendent jaloux, l’humilient, et en même temps l’excitent. « Au plus haut point ». À chacune de ses escapades, il caresse beaucoup « sa petite bite ». En solitaire... Exactement le discours des types que j’ai croisés au téléphone, avant lui. Il doit décidément y avoir un virus...J’ai envie de l’embrasser. Sa soumission me trouble. Je ne bande pas, mais mon cerveau décide qu’il est temps de passer à l’action.— Sylvain, j’aime beaucoup les photos de ton épouse... Mais tu m’excites encore plus.J’approche mon visage de sa bouche, prend sa main pour la poser sur ma queue. On se regarde dans les yeux, Sylvain ferme les siens... On se roule une pelle longue et gémissante, comme deux ados bi qui osent franchir les barrières. Entre deux palots je lui dis que le faire me fait bander fort, que ses histoires me donnent envie de lui. Très vite, on se déshabille, il porte un caleçon de soie violet, et moi je dévoile une culotte de femme. Oui. En polyamide noir...
— J’ai mis cela pour toi.— Oh mon chéri, lâche-t-il dans un petit gémissementOn s’embrasse de nouveau comme deux lopettes, mi gays, mi lesbiennes, caressant nos sexes et nos couilles à travers le tissu. Il chuchote.— Attends-moi un peu, j’ai préparé une surprise.Il file dans la salle de bains avec sa petite valisette. Je regarde les photos de sa salope de femme, et bientôt Sylvain revient vers moi, vêtu d’un ensemble culotte, porte-jarretelles rose, et des bas couleur chair. Je vois sa bite, pas bien grosse il est vrai, mais tendue.— Allongeons-nous. Viens me sucer. Je veux t’appeler Sylvie...Et pendant qu’il s’approche de mon gland jailli de la culotte féminine, je m’entends délirer à voix haute.— Vas-y, Sylvie, ma petite putain, suce bien la queue de Marc, tu sais, ce salaud de médecin qui baise nos femmes.Il geint, il me suce, je caresse ses lingeries ; Il suce bien... Il caresse les bourses, il se débrouille aussi bien qu’une femme.— Attends, à mon tour de te prendre dans ma bouche, ai-je commandé... Et tu vas me raconter comment tu imagines ta salope baisant avec ma femme.Il me confie qu’elles se sont léchées pour se préparer l’une et l’autre à prendre les dards de leurs amants. C’est ce que Nicole lui a précisé. Elle s’est offerte en levrette, Marie allongée sur le dos, cuisses largement ouvertes et relevées. Ma femme : cette bonne dépravée disponible, donc...— Tu aimerais que Marc ou Paul la prenne par le cul, aussi ?— Oh oui dit-il en gémissant, elle adore ça. Et elle l’a déjà fait devant moi, tu sais. Avec deux autres hommes. Elle me balance des mots crus au visage : tu as vu comme je me fais enculer devant toi, chéri ? Vas-y branle ta petite queue, la sienne est dure dans mes fesses et putain que c’est bon...— Tu aimerais qu’il te prenne aussi, n’est-ce pas ?En même temps que cette question, mon majeur s’est mis à caresser et tourner autour de l’anus de Sylvie/Sylvain. Je n’ai jamais fait ça à un homme. Mais là oui, j’ai envie, très envie même, de le doigter lentement et surement. Il m’encourage, toujours gémissant.— Fais-le, doigte-moi…Alors mon majeur entre dans les fesses de Sylvain, en lui disant « bouge bien ton cul Sylvie, ma chérie ».— Montre-moi comme tu aimes ça. Montre-moi comme tu aimes voir Nicole se faire branler les fesses, aussi.Les mots que nous échangeons comptent autant pour moi que les gestes. J’ai la nette impression qu’il en va de même pour Sylvain. Nous sommes placés sur une même longueur d’onde. En ces circonstances, faire sans parler me serait impossible.Mon doigt dans ses fesses en va-et-vient, en longueur. Puis en rond je n’en reviens pas de faire cela à un homme. Lui et moi le masturbons, il jouit en soupirant très fort. Beaucoup de sperme sur son ventre... il me demande si je veux jouir en lui, il a des capotes et du gel.— Si tu veux oui, je vais te prendre en levrette, mon cœur.Il se met en position. Voilà. Je me retrouve en train de sodomiser Sylvain en l’appelant Sylvie. Tellement excité je jouis vite et fort dans son petit trou. J’ai peur qu’après, on se sente gêné, mais il est très tendre, me confirme qu’il a aimé qu’on le fasse.On s’embrasse de nouveau...Et moi d’un ton tendre et complice :— On devrait aller prendre une douche.Nous nous sommes ainsi retrouvés tous les deux nus, ou toutes les deux nues, si vous voulez. Sous la douche, deux petites mariées, à nous savonner, nous caresser, nous embrasser.Ensuite mes souvenirs se mélangent un peu. Caresses sous la douche, avec le gel, son doigt dans mon derrière, tandis que je pense à la grosse verge de Marc, sans doute plus grosse dans mon esprit qu’en réalité. Nouveaux orgasmes pour Sylvain et moi... Mon envie de pisser. Sa demande de l’arroser sur le ventre. Puis à son tour, son jet chaud sur mon corps. Opération rinçage. Séchage.Au moment de nous rhabiller, nous voilà de nouveau deux hommes mariés, mais qui s’avouent leur mutuelle surprise et notre plaisir d’avoir osé cette séance. Si bon de se lâcher à deux...Le soir, je me branlerai imaginant que nous osons raconter tout cela à Paul, Marc, Marie et Nicole : nous, devenus amants à cause d’eux. Troisième éjaculation de la journée. Marie n’est pas avec eux ce soir, elle est en déplacement professionnel. Je me promets de lui avouer cette expérience à son retour. Pour la première fois j’ai sodomisé un homme marié. Et j’ai aimé ça.Ce n’était assurément pas prévu à l’origine, dans nos projets de couple à ranimer...Le résultat qu’on trouve n’est pas toujours celui qui était espéré…
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