Christophe, David, Arnaud et moi nous connaissons depuis nos études universitaires. Si je me suis marié, eux, plutôt allergiques aux contraintes, sont restés célibataires. Pendant que je suis en formation à Paris, Anna les a appelés pour leur demander de passer ce soir à la maison au prétexte de se coordonner pour préparer une surprise pour mon anniversaire. Mes potes sont installés dans le canapé, qu’ils connaissent bien : on a passé de nombreuses soirées à refaire le monde dans ce salon. Mon épouse qui vient de leur servir un verre, prend la parole. — Comme vous le savez, samedi prochain, c’est l’anniversaire de Jean. Et comme, à une semaine près, c’est aussi l’anniversaire de nos dix ans de mariage, je veux marquer le coup et lui faire une surprise particulière. J’ai pensé à diverses choses que je voulais vous soumettre pour que vous me donniez votre avis. Buvez votre verre, je reviens. Une dizaine de minutes plus tard, Anna réapparait... en petite tenue : soutien-gorge, string et porte-jarretelles, le tout en fine dentelle, mis en valeur par des escarpins vernis à talons hauts. — Voilà, tout d’abord, je comptais vous recevoir dans cette tenue. Qu’en pensez-vous ? Mes amis restent sans voix, à la fois surpris et gênés, mais visiblement émoustillés. Christophe, mon meilleur ami, se lance, hésitant. — Oui, euh, c’est joli. Mais tu es sûr que c’est une bonne idée ?— Oui, ça plaira à Jean, sans aucun doute. Mais il faut que cela vous plaise, évidemment.— Euh, oui, évidemment... Anna prend la télécommande placée sur la table basse et lance un morceau de musique. — Ensuite, j’avais pensé vous faire une petite danse sexy ? Mon épouse se trémousse en rythme pendant la durée de la chanson, non sans faire de temps en temps quelques mouvements qu’on voit plus souvent dans les clubs de striptease que sur les pistes des discothèques. — Alors, c’est comment ?— Euh, oui, c’est sexy, il n’y a pas de doute. Mais tu es vraiment sûr que c’est une bonne idée ?— Oui, je suis sûr que c’est une bonne idée. On ne fête pas tous les jours ses quarante-cinq ans et dix ans de mariage! Et maintenant, la suite!
Anna se dirige vers le buffet dont elle sort un énorme gode ventouse transparent qu’elle vient appliquer solidement sur la table basse du salon. Alors que mes potes n’osent même plus se regarder, Anna est maintenant à genoux devant la table et commence à simuler une fellation : elle fait tout d’abord tourner sa langue sur le gland, puis le prend à pleine bouche et applique un va-et-vient léger, tout en prenant bien soin de régulièrement regarder les réactions de mes amis. Soudain, la sonnerie du téléphone portable de Christophe retentit. — Taisez-vous ! Allo ?— Salut Christophe, c’est Jean !— Euh, sa..., salut Jean.— Ecoute moi bien, à partir de maintenant, tu ne me réponds que par oui ou par non, c’est compris ?— Oui.— Tu te souviens de la mini-caméra dont je t’ai parlé il y a quelques mois ?— Oui.— Ne tourne pas la tête. Elle est sur l’étagère de droite. Je vois tout ce qu’il se passe dans le salon.— Ah, euh ?— Par oui ou par non, je t’ai dit !— Oui.— Mon cadeau d’anniversaire, c’est de vous regarder. Anna a toujours eu le fantasme de se faire prendre par plusieurs mecs, et moi de la regarder se faire prendre, et comme vous êtes célibataires et que je vous fais confiance, j’ai pensé à vous.— Euh... oui.— Vous faites tout ce qu’elle vous dit, c’est son cadeau pour nos dix ans de mariage. Pour le moment, tu ne dis rien aux autres. Mais si tu vois qu’ils sont réticents, tu leur dis que c’est moi qui ai appelé et que je suis d’accord. Par contre, je sais que ce n’est pas très correct, mais ne leur dit rien pour la caméra, il n’y a que toi et Anna qui savez. Bonne soirée! Christophe raccroche, sans un mot tandis que les deux autres sont bien trop focalisés sur le spectacle pour lui poser la moindre question. Pendant la conversation téléphonique, l’amplitude des allers et retours sur le gode a sérieusement augmenté, et Anna a attrapé ses cheveux dans la main droite, qu’elle tient posée sur sa tête, comme si quelqu’un la forçait à sucer. Mes potes ont maintenant les yeux exorbités et ne savent plus quoi faire de leurs mains. Tout à coup, Anna se lève, baisse son string, qu’elle envoye au loin d’un coup de pied, se retourne puis recule vers la table. Elle s’accroupi, genoux écartés et de la main gauche, maintient le gode qui s’enfonce dans sa vulve, dont elle écarte les lèvres de la main droite. Le gode est maintenant profondément enfoncé dans son vagin et Anna commence à monter et descendre dessus avec frénésie. Mes potes ont une vue imprenable sur le cul de ma femme, pendant que les allées et venues du gode dans sa chatte produisent des bruits incongrus, melés à ses râles de plaisir. Les trois chanceux, qui n’en pouvaient plus de se retenir, profitent que mon épouse leur tourne le dos pour sortir leurs sexes turgescents et commencent eux aussi à se branler, bouches ouvertes, n’en croyant pas leurs yeux. Soudain, Anna se relève et se tourne la tête vers eux. Mes potes, qui n’ont évidemment pas eu le temps de cacher leurs instruments, sont pris en flagrant délit ! — Alors les petits amis, on se branle en matant l’épouse de Jean ? Arnaud et David sont rouges comme des tomates ! — Remarquez, je suis rassurée, je commençais à me dire que je ne vous plaisais pas, puisque je ne vous avais pas vu vous toucher jusqu’à maintenant. En chœur, Arnaud et David se mettent à bredouiller des excuses assez minables, mais très vite, pour détendre l’atmosphère, Christophe leur chuchote que c’est moi qui a appelé plus tôt et que je suis d’accord. Après un long moment d’incrédulité, le visage de mes amis se détend et, dans leurs yeux, l’embarras laisse place à la lubricité. — Bon, j’avais aussi prévu de vous sucer. Qu’en dites-vous ? Les trois acquissent de la tête et s’enfoncent dans le canapé, bites en l’air. Anna s’approche d’eux, s’agenouille devant Christophe, assis au milieu, et commence à le pomper solidement, tout en masturbant les deux autres. Puis, ne pouvant les satisfaire tous dans cette position-là, elle se redresse et les invite à se lever pour les sucer tour à tour pendant plusieurs minutes, tout en continuant à les masturber. Finalement, la bave dégoulinant de la bouche, Anna se relève, et tout en se dirigeant vers la table basse, leur dit : — Pour terminer, j’avais prévu que vous me défonciez tous les trois pendant que Jean vous regarde depuis sa chambre d’hôtel à Paris grâce à la caméra posée là sur l’étagère. Arnaud et David se regardent, affolés, puis se tournent vers Christophe, qui pointant calmement le doigt vers la caméra, leur signifie en hochant la tête que tout est OK. Entretemps, Anna s’est mise à quatre pattes sur la table, dos cambré, genoux écartés et bouche ouverte. — Toi, David, tu viens en dessous, toi, Christophe, tu vas derrière, et toi, Arnaud, amène ta queue, que je la suce ! Le son fourni par le micro de la caméra n’est pas très bon, mais je peux néanmoins entendre distinctement les râles de plaisir des uns et des autres, et plus particulièrement les bruits de succions de ma salope d’épouse, qui visiblement se régale d’être prise comme cela par trois bites en même temps. Pendant un quart d’heure, tandis que je me paluche dans ma chambre d’hôtel, admirant le spectacle devant mon laptop, mes potes se relayent sans relâche dans la bouche, la chatte et le cul de ma chère et tendre, qui gémit tant et plus. Mais la voilà qui lève maintenant la main, en déséquilibre, leur faisant signe d’arrêter. Puis elle leur dit, haletante : — Je veux avaler votre semence à tous les trois ! Arnaud, David et Christophe se présentent successivement devant ma femme et tant bien que mal, déchargent en visant sa bouche grande ouverte. Le sperme atteignant le fond de la gorge d’Anna est avalé prestement, le reste dégouline maintenant de son menton et de ses joues. Anna se relève, chancelante, et s’approche de la caméra : — Merci, chéri ! Voilà comment, dans mes souvenirs, c’est passé le premier gangbang de mon épouse.
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.
