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Mon épouse et son patron

Chapitre 2

Orgie / Partouze
MON EPOUSE ET SON PATRON 2

Précédemment je vous ai raconté comment mon épouse Bernadette m’avait révélé son infidélité alors que nous regardions un film où le patron exerçait le droit de cuissage sur ses employées.Durant trois années cette petite blondinette de vingt cinq ans qui est ma femme depuis cinq ans, me trompe avec son patron et ce sans que je ne m’aperçoive de quoi que ce soit, mieux, je n’ai jamais eu le moindre doute sur la fidélité de mon épouse durant ces dernières années…C’est vrai que certains soirs elle rentre un peu tard prétextant un travail en retard ou une lettre urgente à taper, quand je pense qu’alors que je l’attends elle est en train de s’envoyer en l’air avec son amant de directeur.Tous les mois des primes importantes fleurissent sur sa feuille de paye, elle me dit que c’est normal.Bien évidemment ces rentrées importantes d’argent ne sont pas pour me déplaire mais elles sont le fruit et la compensation de ses infidélités.Lorsque je pense que cet homme de trente cinq ans profite et se farcit ma chérie depuis trois années, mais ce qui me met le plus en colère est que selon les dires de la belle, elle y prend un certain plaisir.Elle m’explique que le fait de me tromper, faire quelque chose d’interdit ; le risque de se faire surprendre décuple son excitation. Lui demandant d’interrompre cette relation, elle refuse catégoriquement car cela entraînerait à coup sûr la perte de son poste assez convoité et de son autonomie financière.Elle m’a avoué que dernièrement alors que j’étais en déplacement pour trois jours, elle avait profité de mon absence pour aller avec son patron au restaurant ainsi qu’un important client.Ils avaient terminé au petit matin dans une boîte genre échangiste, elle s’était faite prendre toute la nuit par ces deux chevaliers servants, trois autres mâles s’étaient aussi joints au trio pour copuler avec la jeune et belle blonde qui avait selon ses dires bien apprécié la soirée et y avoir pris un immense plaisir à se faire tringler dans toutes les positions…Elle avait accepté tout ce que ses partenaires lui avaient demandé, elle m’a même précisé avoir joui comme jamais, à la limite de se trouver mal alors que les cinq mecs s’activaient ensemble en elle.Quand ils avaient quitté la boîte au petit matin tous ses trous débordaient de sperme déposé par ses amants, qui eux étaient sur les rotules d’avoir baisé pendant toute la nuit.Quelle salope, je ne pensais pas que cette petite blondinette que j’adore puisse en arriver là !
Que faire ?Quitter mon épouse que j’aime…Sans ses révélations de l’autre soir je n’en saurai rien et je continuerai à avoir pleinement confiance en elle...Après avoir bien réfléchi, je me range un peu à contrecœur à l’idée que ma femme poursuive sa relation avec son patron et que je continue d’être cocu.Je lui fais part de ma décision et de mon désir de la voir faire l’amour avec son amant, fantasme que j’aimerai assouvir et aussi pour savoir ce qu’il a ou ce qu’il lui fait de plus, pour qu’elle y prenne autant de plaisir.Elle devra l’inviter à la maison en prétextant que je suis parti en déplacement.Cette idée de ma part n’emballe pas trop Bernadette qui prétexte qu’il lui sera difficile de se lâcher si elle sait que je l’observe en train de se faire tringler.Je lui conseille alors de boire une ou deux coupes de champagne et de se laisser aller, l’alcool lui fera oublier ma présence.
Mon épouse est un peu contrainte d’accepter mon idée. C’est décidé, son amant viendra donc la retrouver mercredi soir, sur ses recommandations je lui ai promis que quoi qu’il arrive je n’interviendrai pas dans leurs ébats et que je me ferai le plus discret possible.Je vais enfin assouvir ce plaisir : ma petite chérie va se faire sauter sous mes yeux, je vais la voir se faire caresser, pénétrer, je vais l’entendre crier alors qu’un sexe autre que le mien la pénétrera et la fera jouir.Mon poste d’observation sera dans le sellier, de cet endroit je peux voir dans la chambre et dans la salle de séjour à condition que les portes restent ouvertes, donc elles seront enlevées pour réfection…Ce mercredi soir mon épouse s’est faite belle, petit haut transparent noir avec soutien-gorge à balconnets rouge foncé, petit string assorti, jupette noire légère et très mini avec des bas noirs autos fixant, quand elle se penche légèrement on peut voir l’élastique de ses bas et même la couleur de sa petite culotte.Ses cheveux blonds sont défaits et tombent en cascade sur ses épaules.Elle est ravissante, en la regardant, j’ai un pincement de savoir que c’est un autre qui va caresser et s’envoyer cette jolie petite minette.
Il est vingt heures la sonnette retentit, mon épouse se précipite pour ouvrir, Gérard c’est son prénom entre avec un bouquet, Bernadette saute dans ses bras, leurs bouches se soudent dans un profond et langoureux baiser, auquel la belle répond et participe activement en insérant sa langue dans la cavité buccale de son patron et amant.Quelle cochonne pensais-je, elle m’a déjà oublié, du moment qu’un bon coup de bite se profile, la garce, elle ne pense plus qu’à ça, je même certain que son string est trempe.Les deux amants s’embrassent assez longuement, je vois les mains de l’homme s’aventurer sur les formes et sous la jupette de ma femme qui couine et pousse de petits cris sous les explorations coquines de son chef.Ca commence bien pensais-je…Le couple s’assoit sur le canapé tout en continuant à s’embrasser et à se caresser, Bernadette est déjà à demi déshabillée, il ne lui reste que son soutif et son minuscule string qui s’est inséré dans la fente de son sexe et dans le sillon de ses fesses. Gérard se lève en se dirigeant vers le frigo pour attraper une bouteille de champagne et deux flûtes qu’il prend dans le placard.Il fait comme chez lui, ce ne doit pas être la première fois qu’ils se rencontrent et viennent faire l’amour ici, car il n’a pas cherché !!!Après avoir absorbé deux coupes de nectar tout en se pelotant, les deux amants étant pratiquement nus, je les vois se diriger vers notre chambre main dans la main en rigolant et en se faisant quelques baisers.Une fois sur le lit, la belle prend la bite de Gérard pour l’astiquer avec sa main, puis la prendre en bouche, ses lèvres coulissent sur cette tige assez grosse, mais surtout d’une longueur impressionnante, plus de vingt centimètres.Je comprends maintenant pourquoi ma chérie apprécie autant son patron, avec un tel membre, il doit j’en suis persuadé la chatouiller assez profondément et la faire très rapidement « grimper aux rideaux ».Elle le pompe pendant un bon moment, j’observe que son sexe a encore enflé, quelle bite pensais-je, s’il la sodomise, elle doit la sentir passer, elle qui est assez étroite de ce côté là.Gérard se positionne entre les cuisses bien écartées de sa partenaire pour lui manger son abricot qui est déjà bien ouvert et tout luisant de mouille.Sous les caresses buccales de son amant, la blondinette transpire et couine en encourageant assez crûment son amant de venir lui pénétrer la minette.Il se positionne face à cette moule qui lui tend les bras, après avoir frotté son manche pour le lubrifier, il pousse légèrement et s’insère lentement en écartant les chairs intimes de mon épouse.Légèrement relevée sur les coudes, elle regarde la bête s’infiltrer en elle, puis se renversant en arrière, les yeux mi-clos la bouche grande ouverte elle s’abandonne à son amant, qui est maintenant au plus profond de sa matrice.Les yeux dans les yeux, ils font l’amour devant moi.La mignonne ondule de plaisir, par moment elle pousse de petits cris, preuve que le plaisir que lui donne son mec avec sa queue est intense.J’observe cette longue et épaisse tige pénétrer sans difficulté dans l’entrecuisse de Bernadette qui maintenant l’incite et l’encourage à aller plus en elle pour dit-elle lui défoncer le minou.La positionnant à quatre pattes, son petit cul bien cambré, la prenant aux hanches, il lui pénètre sa minette avec vigueur, la belle crie sous les assauts désordonnés du mâle.A chaque fois qu’il bute au plus profond de son intimité, mon épouse ouvre grand sa bouche et esquisse une grimace, il est vrai qu’un tel dard doit aiguillonner une petite nénette comme ma chérie. Après l’avoir longuement besognée, après l’avoir faite crier et transpirer je le vois se figer pour se vider en elle en poussant un grognement de plaisir.Les deux amants restent accouplés un long moment savourant leur plaisir et sûrement l’interdit qui les lie.Ma femme a certainement une pensée pour moi, car je la vois tourner sa tête dans ma direction, s’envoyer en l’air avec autant de fougue, se faire limer aussi longuement devant son époux ne doit pas être pour lui déplaire...Ils se lèvent enfin et se dirigent vers la salle de bains où je ne verrai rien, seuls quelques rires et couinements parviendront à mes oreilles.Vu le temps assez long qu’ils ont passé dans la salle d’eau, ils ont très certainement remis ça, certainement une idée de ma femme qui sait que là, je ne peux la voir, qu’est ce qu’ils ont fait ?De retour dans la chambre, s’enlaçant et s’embrassant, éteignant la lumière ils se sont endormis.J’ai été réveillé deux fois au cours de la nuit par les rires et les petits cris de ma chérie, ne voyant rien, mais au vu des bruits j’en ai déduit qu’ils avaient remis le couvert.En écoutant les moindres bruits j’essayai de savoir ce qu’ils faisaient, à un moment je suis sûr qu’il l’a prise dans son petit trou car la femelle criait en essayant de dissuader son amant de la prendre ainsi, elle le traitait de salaud et disait que demain elle ne pourrait pas s’asseoir.Gérard a abandonné sa maîtresse vers onze heures non sans lui avoir remis un petit coup dans sa minette avant de disparaître.Après son départ, ma femme m’a appelé, elle m’a accueilli en me faisant un baiser et m’a demandé de lui nettoyer son entrecuisse et bien sûr son abricot ainsi que son anus d’où coulait le jus de son amant qui l’avait selon ce qu’elle m’a dit enfilée cinq fois.J’ai essayé de la prendre ce qu’elle m’a catégoriquement refusé prétextant être fatiguée et usée par tout ce qu’elle avait pris durant la nuit.Si vous avez aimé, il y a bien sûr une suite qui est assez croustillante…
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