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Mon épouse, tapineuse d'un soir

Chapitre unique

Erotique
Un soir où je constatais en plaisantant que, lorsqu’elle portait son petit bikini brillant mauve juchée sur ses sandales "plateformes" à hauts talons, elle ne dépareillerait pas à la rue d’Aerschot (note de l’auteur : une rue de Bruxelles emblématique de la prostitution en vitrine) voir y ferait un bon chiffre d’affaires, Anna m’avait avoué qu’elle fantasmait sur le fait de se faire démonter par de parfaits inconnus comme le font quotidiennement les prostituées.
L’idée n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd et ce soir, les gosses étant chez leurs cousins, je tente une proposition:
— Tu te souviens que tu m’avais dit que tu aimerais être baisée par des inconnus ?— Oui.— On pourrait aller jusqu’à l’avenue Louise ?— Pour quoi faire ?— Tu mets un débardeur, ta minijupe, tes sandales olé olé et je te dépose en haut de l’avenue.— En gros, tu me proposes d’aller faire le tapin ?— Non, pas du tout. Quand un micheton s’arrête à ta hauteur, s’il ne te plaît pas, tu lui fais un tarif inacceptable, mais s’il te plaît, tu vas avec lui dans un hôtel de jour.— T’es un petit malin, toi !— Qu’est-ce que tu en dis ?— C’est un peu risqué, non ?— Je resterai à proximité et je vous suivrai à distance. En cas de problème, je ne serai pas loin.
Mon épouse, visiblement déstabilisée par ma proposition, quitte la terrasse où nous nous étions installés pour passer cette belle soirée d’été. Est-elle fâchée ? J’en doute, elle a accepté d’autres propositions inattendues par le passé. Une demi-heure plus tard, alors que je n’y croyais plus, elle réapparaît, dans la tenue suggérée :
— On y va !
A cette heure-ci, rejoindre l’Avenue Louise est assez aisé, vingt minutes de conduite, et nous voilà à destination. Il y a déjà quelques prostituées qui, vu la chaleur, sont encore moins habillées que d’habitude. Je dépose Anna et je vais me garer suffisamment loin pour ne pas être repéré, suffisamment près pour suivre ce qu’il se passe. Entretemps, ses "consœurs" se sont réunies : visiblement, elles ne voient pas d’un bon œil l’arrivée d’une concurrente.
Après moins de trois minutes, un premier véhicule passe à hauteur de ma femme, ralentit, mais ne s’arrête pas. Quelques minutes plus tard, une seconde voiture approche et, cette fois, s’arrête. Mais après une courte négociation, probablement refroidi par les tarifs proposés par mon épouse, son conducteur démarre en trombe. Le petit manège se répète ainsi à plusieurs reprises pendant près d’une demi-heure. Les consœurs semblent maintenant plus détendues, voyant le peu de succès de la nouvelle venue.
Puis, vers minuit trente, arrive une Mercedes. La musique, ce rap dont j’ai horreur, est tellement forte que je l’entends d’ici. Le véhicule s’arrête devant Anna, le niveau de la musique baisse et la négociation semble cette fois durer. Voilà qu’Anna monte à l’avant de la voiture. Je démarre et les suis à bonne distance : inutile de trop s’approcher, je sais où ils vont.

Comme convenu avec ma femme, le véhicule descend l’avenue Louise en direction d’un hôtel de jour qui se trouve dans une rue perpendiculaire proche du goulet. (Note de l’auteur : le goulet est le nom donné à un resserrement au bas de l’avenue).
Anna ouvre la porte et descend du véhicule, suivie d’un grand black, qui vient de sortir par la porte arrière droite. C’est quoi ce mec, il a un chauffeur ? La voiture redémarre, et je me mets en quête d’une place de parking. Visiblement, ce n’est pas gagné, il va falloir que je tourne dans le quartier pour trouver une place.
Cinq minutes plus tard, me voilà enfin devant l’hôtel. Je rentre et m’approche du concierge, à qui j’explique que la femme qui est rentrée avec un grand black il y a quelques minutes est mon épouse. Il me répond respect de la vie privée, politique de la maison... Je lui explique la situation particulière et après de longues minutes de négociation, j’obtiens qu’il me loue la chambre contiguë, qui était heureusement encore libre. Je monte les escaliers quatre à quatre, entre dans la chambre et me précipite vers la cloison commune pour essayer de suivre ce qu’il se passe dans la chambre d’à côté. Le son est assez confus, mais j’arrive à entendre le bruit d’une douche qui coule. Le client doit être en train de se rafraîchir.
La douche s’est arrêtée et j’entends une voix.
— Allez, tourne-toi, qu’on apprécie la marchandise !
Merde, un misogyne qui parle de lui à la troisième personne, ça promet...
— Putain, elle est bonne, la pouffiasse ! Mets-toi à poil !
Ce genre de propos ne me dit rien qui vaille. Ce n’était peut-être pas une bonne idée de faire venir Anna ici avec un inconnu, soyons sur nos gardes.
— Oh, oh, elle a la chatte rasée de près ! T’es une coquine, toi, hein ? Allez, viens me sucer !
Je commence à entendre les bruits caractéristiques que produit Anna lorsqu’elle pompe une queue avec frénésie. Elle est bien vite montée dans les tours, je me demande comment ce mec s’y est pris. Je suppose que vu que le temps est compté, il en veut pour son argent.
— Putain, cette salope pompe comme une reine !
Le lit semble être solidement secoué pour une simple pipe. Ce salaud doit être en train de lui défoncer la bouche. Anna aime être prise avec vigueur, mais là, je suis quand même surpris.
Voilà que j’entends enfin mon épouse:
— Oui... oui, n’arrêtez pas, défoncez-moi !
Nom d’un chien, il est déjà en train de la baiser ? Je ne sais pas exactement ce qu’ils font tous les deux, mais le lit grince en cadence. Pourtant, il me semble que j’entends toujours les bruits d’une pipe baveuse comme seule mon épouse sait les faire.
— Prenez-moi le cul aussi !
Bordel, ils sont dans quelle position, là? Il ne reste pas en place, ce mec-là!
Ça fait maintenant dix minutes que j’entends des râles de plus en plus sonores, et ce lit qui grince de plus en plus bruyamment.
— Tu aimes ça, hein, salope ?— Oui, oui, continue, c’est bon...
Mon épouse est en train de se faire démonter dans la chambre d’à côté, et ça a l’air de lui plaire : je ne l’ai jamais entendue gueuler comme ça !
— T’es une cochonne de compétition, toi !
J’ai la trique, mais ne pouvant voir ce qu’il se passe, je suis plus nerveux qu’excité. Comment fait ce mec pour tenir une telle cadence depuis un bon quart d’heure ? Mon épouse halète comme jamais, elle semble presque à bout de souffle.
— Oui, oui, aaahhh...
Aucun doute, elle vient de jouir. Et lui aussi maintenant, mais ça dure...
— T’es encore plus jolie avec du foutre plein la gueule !
Putain, je ne le crois pas, elle a laissé le mec éjaculer sur son visage.
— T’es une sacré chaudasse, toi, j’espère qu’on va te revoir dans le quartier !— Je ne crois pas, non, je fais ça... en amateur, si on peut dire ?— Ah, OK. C’est bien dommage !
Cela fait maintenant dix minutes que je n’entends plus grand-chose, à part le bruit de la douche. Ils doivent être en train de se rhabiller.
Voilà la porte qui claque, puis des bruits de pas dans l’escalier. Je vais attendre quelques secondes avant d’aller récupérer la voiture pour remonter au haut de l’Avenue Louise récupérer Anna.
Je quitte l’hôtel et regagne rapidement mon véhicule. A cette heure-ci, il n’y a plus de circulation, et les feux sont à l’orange clignotant. En quelques minutes, je suis sur place. Mon épouse est déjà là, tout sourire. Je m’arrête à sa hauteur pour l’embarquer.
— Ça s’est bien passé ?— Oui.— Vous avez fait un bruit d’enfer !— Ah bon ? — J’étais dans la chambre d’à côté. Ce mec râlait comme une bête ! Toi aussi, si je peux me permettre. — Ils étaient deux !— Quoi, qui, deux ?— Ils étaient deux, on était trois dans la chambre.
Je viens de comprendre pourquoi je n’arrivais pas à visualiser ce qu’il se passait dans la chambre.
— Ils t’ont parlé comme à un chien !— En l’occurrence, comme à une chienne. C’était compris dans le prix !— Quel prix?— Je leur ai demandé 250 euros chacun pour la demi-heure. Ils voulaient se taper une blanche à deux, ça m’a semblé être un tarif correct, non ?— Ils t’ont payée ?— Oui mais je leur ai évidemment rendu l’argent à la fin!
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