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Mon expérience en club libertin

Chapitre 1

Ma première soirée

Hétéro
Bonjour à tous, je suis nouveau sur le site et je vais ici vous raconter ma première expérience dans un club libertin. Et si cela vous plaît, je vous raconterai mes autres expériences car oui, j’y suis allé à plusieurs reprises. Sur ce, j’espère que ce premier récit de ma part vous plaira, mais avant une petite description physique : 1m89 pour 77 kilos, j’ai les cheveux courts et bruns légèrement roux, ni gros ni fin, mon gabarit est plutôt ordinaire. En septembre 2015, je suis parti de chez mes parents à Lyon pour partir faire mes études dans une autre ville, histoire de gagner un peu d’autonomie. Ma première année de fac s’est très bien passée, je me suis fait des amis et mes cours se sont très bien passés mais il a fallu que j’y passe énormément de travail et de temps. De ce fait, les sorties et les filles, ce n’était pas trop ça. Donc dès le début de ma deuxième année, qui s’est avéré être bien moins chargée que prévu, j’ai décidé de me reprendre en main. Cependant, je souffre d’une timidité quasi-maladive et il m’est difficile de discuter avec des filles. Un jour, un ami m’a conseillé d’aller dans un bar qu’il connaissait et m’a assuré que "cela me dériderait". Je me suis donc renseigné sur cet endroit qui s’est révélé être un club libertin assez bien côté. J’ai donc pris mon courage à deux mains et y suis allé un vendredi soir. En arrivant, j’ai été accueilli par le réceptionniste, qui gardait également l’entrée du club, et m’a gentiment expliqué comment cela se passait dans son club :
— Les téléphones sont interdits pour éviter de prendre des photos, vous pouvez rester en caleçon mais vous allez avoir une serviette pour vous couvrir. Le mot d’ordre ici est le respect, si une personne vous semble trop entreprenante, n’hésitez pas à le dire à l’équipe du club. De même, vous devez respecter les autres clients. Les deux premières boissons sont gratuites, après vous payez. Des préservatifs et des lubrifiants sont disponibles un peu partout, pour le reste je vous laisse visiter. Je vous souhaite une bonne soirée.
Après l’avoir remercié et m’être déshabillé dans les vestiaires, je suis vraiment entré dans le bar : des sièges et des canapés, des petites tables, un bar et des écrans de télé diffusant des extraits de porno, j’ai tout de suite senti que le maître mot n’était pas que "respect" ici. Ayant pris l’initiative de venir en avance, seul un couple dans la trentaine était présent au bar, ce qui me laissa l’occasion de visiter ce qui constitue le cœur du bar : l’étage inférieur. En descendant des escaliers, on tombe sur un immense couloir avec des cabines privées d’un côté, mais aussi des cabines plus ouvertes avec des trous dans les murs pour y jeter un œil... ou autre chose. Le tout était plongé dans une obscurité relative donnant au lieu une ambiance très érotique. En remontant vers le bar, j’ai remarqué également deux couches derrière les canapés du fond, où des couples exhibitionnistes devaient certainement s’envoyer en l’air devant les autres clients.Je me suis ensuite installé au bar commandant une bière et j’ai parlé un peu avec le barman. Il était près de 20h et les clients commençaient à arriver au compte-goutte, mais le barman m’assura que le bar serait blindé ce soir-là. Pendant qu’ils buvaient leur coupe de champagne, le couple que j’ai aperçu plus tôt écoutait notre conversation et s’y est incrusté :
— Bonjour, commença l’homme. Moi c’est Christophe, et voici ma femme Laura. Tu es nouveau ici ?
Christophe faisait une tête de plus que moi, cheveux courts et la barbe de deux jours, ses abdos montraient son habitude à pousser de la fonte. Laura, qui devait faire dans les 1m70, avait-elle aussi des muscles qui se voyaient, en plus d’une forte poitrine qui dépassaient légèrement de la serviette qu’elle avait autour d’elle. Ses cheveux blonds lui tombaient jusqu’aux fesses, et ses yeux verts étaient sublimes.
— Enchanté, moi c’est Lucas. Oui en effet, ça se voit tant que ça ?— Tu visites partout, tu t’assois un peu à l’écart et demandes des infos au barman, alors oui ça se voit. Tu es venu seul ou tu attends quelqu’un ?— Non je suis venu seul, déjà par curiosité et aussi parce que j’avais besoin de souffler un peu.— Vu ton âge tu dois être étudiant non ? me demanda Laura.— En effet, et vous vous venez souvent ?— Au moins deux fois par mois, mais là on s’est lâché et on est venu quatre fois. Cela fait un an maintenant. Tu viens ici pour les hommes, les femmes ou les deux ?— Pour les femmes, même si je suis conscient que je ne coucherais pas pour la première fois ici.— Oh mais si tu peux ! lâcha Laura. Tout ce qu’il faut c’est que tu repères une personne qui te plaît, que tu ailles lui parler, faire connaissance et si tu lui plais aussi, crois-moi, cela va très vite. Les femmes qui viennent ici sont là pour s’amuser, pas pour le grand amour alors n’hésite pas à les séduire.— Mais elles ne sont peut-être pas toute comme ça.— Regarde derrière.
En me retournant, je vis trois personnes assises sur un des canapés, deux hommes et une femme. Il semblait discuté de tout et n’importe quoi, mais les deux mecs étaient déjà en train de toucher leur interlocutrice : leurs mains se baladaient sur ses jambes nues et remontaient très haut, au point qu’on pouvait aisément voir qu’elle ne portait aucun dessous. Je suis devenu rouge en voyant cela.

— Tu as déjà vu une femme nue au moins, se moqua Christophe.— Oui bien sûr, mais je n’ai eu que deux partenaires et cela remonte à un moment. — Tu manques d’expérience alors ?— Oui, ai-je admis un peu honteux.
Après s’être regardé quelques instants, Christophe et Laura échangèrent un sourire, et cette dernière se leva de son tabouret pour venir se coller dans mon dos, et passer ses bras autour de mon cou :
— Tu sais ce que j’aime le plus ? me demanda-t-elle d’une voix sensuelle. Les jeunes timides dans ton genre, suis-moi en bas.— Euh... mais et votre mari ?— Ne t’en fais pas Lucas, quand on vient ici, chacun se cherche un partenaire différent, si ce n’est plusieurs.— Laura ne t’intéresse pas ? rigola Christophe.— Si si, bien sûr.— Alors suis-moi.
Et elle me lécha l’oreille ce qui me donna un frisson sur tout le corps... ainsi que mon entrejambe qui commença à se lever. Voyant cela, Laura me prit la main et m’emmena à l’étage inférieur, dans l’une des cabines privées, et ferma la porte. La cabine disposait d’un lit, d’une boîte de préservatif et d’un tube de lubrifiant. La faible lumière rouge qui baignait la pièce faisait son petit effet.
— Bien, assis-toi, dit Laura.
Pendant que je m’exécutais, Laura retira sa serviette lentement, en la faisant glisser légèrement sur sa poitrine volumineuse, puis sur son ventre, et enfin, elle se dévoilait entièrement à moi. Ses tétons étaient dressés et elle était intégralement épilée. C’était un délice à regarder et mon érection se pointa rapidement. Elle est alors venue m’embrasser langoureusement, passionnément, et m’allongea en tirant ma serviette pour me mettre nu également.Elle était sur moi, ses superbes seins écrasés sur mon torse, sa langue cherchant la mienne et ses mains posées sur mon visage. C’était génial ! Cela faisait longtemps que je n’avais pas ressenti la chaleur d’une femme contre moi, et cela m’avait manqué. Pas que le sexe, mais juste sentir le corps d’une femme. Mes mains se baladaient partout : dans ses cheveux, son dos, puis se sont agrippées sur ses magnifiques fesses. Je les ai malaxées, et je poussais dessus pour sentir son entrejambe chaud et humide contre mon sexe. Je la voulais ! Je voulais la pénétrer tout de suite mais elle en avait décidé autrement. Elle cessa notre baiser, et fit un demi-tour sur elle-même pour mettre ses fesses face à mon visage, et je ne me suis pas fait prier. J’ai commencé par lui lécher la chatte à grands coups de langue, voulant savourer le goût et l’odeur de sa cyprine ! Puis je me suis quand même concentré sur son clito bien gonflé, et je pouvais voir tout l’effet que cela lui faisait avec ses mouvements de bassin qui cherchait à ne pas se séparer de ma langue.
— Hum... tu te sers bien de ta langue ! Ne t’arrête pas pendant que je te montre ce que moi je sais faire.
Laura commença alors à avaler ma bite centimètre par centimètre, et à enrouler sa langue autour de mon gland en aspirant de toutes ses forces. C’était divin ! Aucune de mes deux partenaires ne m’avait sucé comme ça ! C’était tellement bon que je croyais que j’allais tout lâcher au bout de quelques secondes à peine (je sais ça peut paraître pitoyable). Ne ressentant plus aucune gêne, je me suis permis d’introduire un doigt dans l’anus de Laura, et elle a aimé, en témoigne son mouvement de recul qui a enfoncé mon doigt plus profond que je ne l’aurais voulu.
— Laura, je vais...— Ah non ! s’exclama-t-elle. Si tu jouis c’est en moi. Tu as déjà fait un test de dépistage ?— Euh... oui.— Tant mieux ! J’ai horreur des préservatifs. Prends-moi en levrette mon grand.
Laura s’avança pour que je puisse me relever, je me positionnai derrière elle en dirigeant ma bite vers sa chatte. Je n’eus aucun souci à la pénétrer, elle était très humide et très chaude. Elle aimait vraiment s’occuper de jeunes inexpérimentés ! C’était trop bon ! Je n’avais jamais couché sans préservatif et c’était le pied.Je suis resté sans bouger quelques secondes pour bien profiter de la sensation, mais pour moi le plaisir de ma partenaire était prioritaire sur le mien, alors j’ai commencé des va-et-vient. D’abord, j’y suis allé en douceur, allant au plus profond de son divin intérieur, puis je suis allé de plus en vite. Laura commençait à lâcher quelques gémissements ; je me doutais bien que je ne serais pas le meilleur coup de sa vie, mais l’entendre me donnait confiance et je voulais la satisfaire le plus possible. J’ai donc resserré mon étreinte autour de son cul et lui ai asséné des coups de reins de plus en plus violents, lui faisant balancer ses seins.
— Allez mon grand ! Fais ressortir ton côté bestial ! Hum oui ! Baise-moi !
Il ne fallait pas me le dire deux fois ! Je lui ai plaqué la tête contre le matelas afin de cambrer son dos et que ma bite aille encore plus loin en elle ! Je n’en pouvais plus ! Son vagin chaud et humide se resserrait de plus en plus autour de ma bite et me faisait perdre la tête ! J’allais jouir et je ne pouvais plus me retenir ! Heureusement, ses cris de plaisir me montrèrent qu’elle aussi prenait son pied, et elle ne se gênait pas pour sortir des belles obscénités :
— Ma chatte me fait tant de bien ! Ta bite est bonne mon jeune disciple, ne te gêne pas sers toi de ma chatte, jutes dedans !— Laura, j’en peux plus là...— Alors vas-y mon salaud ! Jouis en moi ! Han oui !
Délivrance ! Je me suis lâché en elle comme jamais je n’avais joui auparavant, et je me suis écroulé sur Laura, qui se remettait également de notre partie de jambes en l’air. Au bout de quelques minutes, nous sommes remontés à l’étage pour retrouver Christophe.La suite au prochain chapitre si vous avez aimé bien sûr. N’hésitez pas à donner des critiques.
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