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Mon fantasme

Chapitre 2

Erotique
Quelques jours plus tard, je suis dans mon bureau, après avoir pris mon repas au restaurant d’entreprise avec mes collègues, je passe quelques minutes à lire mes mails professionnels et privés.Je ne peux pas résister, je me connecte sur mon site préféré, des récits de femmes soumises et adeptes du fouet. Sur ce site je trouve l’adresse d’un forum qui traite de mon fantasme. Des femmes parlent de leurs expériences, elles semblent toutes apprécier. Je suis folle mais j’ose écrire une requête sur ce forum : « Recherche une femme expérimentée pour une m’initier à ces plaisirs, de préférence en banlieue sud de Paris ».Je reçois quelques réponses plus ou moins fantaisistes, une qui m’attire, elle est très simple sans commentaires particuliers. C’est une certaine Mme Laure qui me propose une adresse mail pour que je puisse lui détailler ce que je recherche.Je réfléchie, je suis très excitée mais j’ai peur d’aller trop loin. D’abord il me faut une adresse mail discrète. Je me crée une nouvelle adresse sur internet, une juste pour moi.De cette boite mail je suis plus tranquille, je peux me livrer sans révéler ma véritable identité.J’envoi un mail à cette Mme Laure : « Bonjour Mme. « Je souhaite vous rencontrer pour parler de mon fantasme, « Je suis une jeune femme de 26ans, mariée avec enfants et je tiens à rester discrète.« Je peux vous rencontrer entre 12 et 14h tous les jours de la semaine.« Mylène.
J’ai toujours aimé ce prénom et j’ai hâte d’être dans la peau de cette Mylène.Il est 13h50, je suis attendue en réunion à 14h. J’éteins mon PC.Cette réunion me parait sans fin, je ne suis pas très concentrée sur mes affaires. Je suis impatiente d’aller voir si j’ai une réponse à mon mail.16h, enfin c’est fini, je retourne directement à mon bureau, je me reconnecte.J’ai une réponse, j’ouvre le message toute tremblante, je lis :« Bonjour Mylène,« Je suis d’accord pour te rencontrer demain.« Je t’attend à 12h30 devant l’entrée des cinémas à Vélizy 2.« Je serai en tailleur pantalon noir avec un sac et des talons rouges.« Pour notre relation, tu me vouvoies et tu m’appelle Madame !« Si tu es d’accord, merci de me confirmer ta présence.« Mme Laure.
J’en suis encore toute tremblante, j’ai relus le message plusieurs fois, j’ai hésité à répondre mais c’est plus fort que moi, je veux vivre mon fantasme.J’ai accepté ce rendez vous, je suis folle et impatiente, comment tenir jusqu’à demain, ça va être long.Je passe aux toilettes. Seule dans la cabine, je dégrafe ma jupe qui tombe à terre, je baisse ma culotte sur mes genoux, toujours debout les jambes écartées je mets 2 doigts dans ma chatte qui est trempée, je fais tourner mon pouce autour de mon clitoris.Du fait de mon excitation je pars rapidement dans un orgasme fulgurant. Je lèche mes doigts trempés de ma mouille. J’essais de remettre un peu d’ordre dans ma tenue, j’ai le haut des cuisses poisseuses. Je rentre chez moi, mes filles vont m’aider à passer la soirée.J’ai très mal dormie, j’ai repensé à cette folie, nue sur le lit, je ne supporte rien sur moi, je me suis fatiguée en me faisant jouir.Le lendemain matin, je me suis occupée de mes dossiers en cours pour ne pas trop penser à mon rendez vous.Midi, je me précipite vers ma voiture, je ne veux pas être en retard. J’ai prévenue mes collègues que j’allais faire du shopping.J’arrive devant les cinémas, elle est déjà là, tout en noir, c’est une belle femme, une quarantaine d’années…Je me présente devant elle, toute tremblante :« Bonjour Madame, je suis Mylène.« Bonjour Mylène, tu es à l’heure c’est très bien !« Je te propose d’aller prendre un thé en face.On s’installe un peu à l’écart des autres clients qui prennent leur repas.« Alors Mylène, dis moi, qu’est ce que tu désires ?Je suis un peu nerveuse et j’ai du mal à trouver mes mots.« Tu veux que je t’aide peut être ! Je pense que tu recherches des sensations nouvelles.Vu les sites que tu visites, je devine que tu aimerais connaitre la jouissance par la souffrance. Je me trompe ?« Non Madame, mais je ne voudrais pas trop souffrir quand même, juste ce qu’il faut et il ne faudrait pas que mon mari se doute de quelque chose.« Ne t’inquiète pas, je te propose de découvrir les joies d’être entravée, immobilisée avec quelques coup d’un fouet large qui ne marque pas. Ca te va ?« Oui Madame, je m’en remets à vous.« Bien, on peut y aller tout de suite si tu veux, j’habite à 5 minutes. Juste une heure pour commencer ?« D’accord je vous suis.
C’est parti, je suis cette parfaite inconnue chez elle, je suis complètement folle mais je ne peux résister à cette proposition, j’ai trop attendu.En effet 5 minutes plus tard nous sommes dans son appartement, au cinquième et dernier étage d’un immeuble cossu, les rideaux sont tirés et les lumières très pales.« Nous serons tranquilles ici, les mûrs sont bien insonorisés. Déshabilles toi, je veux te voir toute nue.Devant cet ordre je ne peux que m’exécuter, je suis dans mon fantasme, plus rien ne compte. Je me déshabille complètement, je suis nue devant cette femme.« Les mains sur la tête, écarte les jambes que je te vois bien.J’obéie, je suis offerte.« C’est bien, tu as de bonnes cuisses et de belles fesses, elles vont rougir sous le feu du fouet, tes seins aussi vont souffrir, c’est ce que tu attends ??« Oui Madame, mais pas trop… « Tais toi, je ferai de toi ce que je veux, compris ?« Oui Madame.« Les mains dans le dos.Elle me passe des menottes bien serrées sur mes poignets et aux chevilles.« Voilà tu es ma prisonnière à présent, personne ne sait que tu es là et tu peux crier, les mûrs sont épais.Je frémis à l’écoute de sa phrase, c’est vrai que personne ne viendra à mon secours ici, je suis à sa merci, je me rends compte de ma folie.Elle me prend en photo avec son téléphone,« J’ai des amis qui seront intéressés pas ces photos.Elle me pousse vers une chambre, il n’y a pas de fenêtre, des instruments bizarres sont accrochés aux mûrs, des chaines pendent au plafond.Elle attache mes poignets aux chaines puis elle les lève avec une manivelle, je suis sur la pointe des pieds, les bras en l’air.Elle me présente un bâillon avec une balle rouge qu’elle rentre dans ma bouche, elle l’attache derrière ma tête.« Tu pourras mordre cette balle quand tu sentiras les morsures du fouet.Elle sort de la pièce, éteins la lumière et ferme la porte.Je suis dans le noir, immobilisée et nue, je pleure. Maintenant j’ai peur, je ne sais pas ce qui m’attend. Je réalise que je me suis fais enlevée de mon plein gré, je ne connais pas les intentions de cette femme. Pourquoi a-t-elle pris ces photos ? Je pense à mes filles, à mon mari, je commence à paniquer.
A suivre
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