Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 180 J'aime
  • 2 Commentaires

Mon fantasme ...

Chapitre 1

Rolland

Erotique
Sentimentalement, socialement, professionnellement, culturellement, sexuellement, ma vie a été bien remplie et il y a peu de pages blanches.
J’ai eu l’occasion de raconter certains chapitres de ma vie sexuelle, car c’est la seule qui peut présenter un intérêt pour les visiteurs de ce site. Vous savez donc que je suis soumis, pervers, candauliste et bisexuel, même si maintenant, n’ayant que des érections de courte durée (avec l’aide de Viagra) qu’à de rares occasions, je ne suis plus qu’attiré par les mâles dominants m’utilisant (trop rarement hélas) comme un « vide-couilles ».
Vous savez aussi comment tout a commencé, et pourquoi je suis ce que je suis, je vous l’ai longuement expliqué, parfois en romançant un peu la vérité pour rendre mon histoire plus facile à lire. Aujourd’hui pour la première fois, je vais vous faire part d’un fantasme qui m’obsède, mais comme vous le verrez qui ne pourra jamais se transformer en réalité...
Pour en faciliter la lecture, j’ai divisé ce récit en 4 parties, celle-ci est la première, il n’est pas possible de comprendre une partie si vous n’avez pas lu les précédentes.

Vincent Auriol était le locataire de l’Élysée. Les 4 CV Renault, traction avant Citroën, 2 CV Citroën, trouvaient aisément à stationner dans les rues de Paris qui ne connaissaient pas encore les « zones bleues » et encore moins le stationnement payant. L’abbé Pierre gagnait au jeu « Quitte ou Double » sur Radio Luxembourg.À la Boisserie, le général de Gaulle méditant sur le manque de reconnaissance du peuple commençait sa « traversée du désert ».Brigitte Bardot se dévoilait aux Français dans le film « Le trou normand ». Louison Bobet allait gagner son premier tour de France. L’ex-putain Marthe Richard avait fait fermer les maisons closes
Les filles perdent leur virginité le soir de leur noce. Alors les hommes se rabattent sur des péripatéticiennes, d’autres prennent exemple sur Zeus et choisissent un éromène, tel Ganymède pour Zeus, à moins que leurs besoins tout comme ceux d’Apollon exigent la présence alternée ou simultanée de 2 éromènes tels Hyacinthe et Cyparisse. La vox populis s’indignait de la fille perdue et pardonnait aux amours d’Achille et Patrocle. Certains milieux, se référaient aux us et coutume de la Grèce Antique pour mettre en exergue les bienfaits de la pédérastie telle que pratiquée par les Grecs anciens.
Et moi... et moi... et moi...
Mes parents issus de milieux modestes essaient de tirer leur épingle du jeu dans cette période en pleine ébullition. Nous habitons à Paris un appartement insalubre avec « eau-gaz-électricité » à tous les étages. On fait sa toilette dans l’évier et une fois par semaine, on va à la douche municipale. Le « garde-manger » conserve les aliments en attendant que nous ayons la possibilité d’acheter un réfrigérateur. Ma mère cuisine bien (œufs sur le plat et coquillette), mon père est responsable de la cave (bouteilles étoilées 1 litre, Préfontaine ou Kiravi).À la recherche de « coups », mes parents s’absentent assez souvent parfois pour plusieurs jours, me laissant seul à la maison (je suis fils unique), j’ai appris à me débrouiller...
Roland connaît mon père depuis longtemps. Il semble bien installé dans la vie et donne des conseils sur de nombreux sujets palliant ainsi à l’incompétence de mon père... Roland est célibataire, il vient souvent dîner à la maison. Ces jours-là, c’est la fête, car il ne vient jamais les mains vides... c’est un beefsteak ou des côtes de veau que l’on se partage. Durant ces repas qui s’éternisent, la discussion tourne souvent autour de « comment gagner des sous »... Obéissant, je vais au lit dès que je reçois l’ordre de dire bonsoir. Si je ne m’endors pas de suite, j’entends leur conversation devenir moins sérieuse, les rires fusent, les chuchotis font suite aux plaisanteries, qui précèdent les râles de ma mère...
Ce vendredi-là, Roland est venu à la maison. Durant le repas, mes parents ont dit que le lendemain, ils s’en allaient pour 3 ou 4 nuits, je serai donc seul, je vérifie que j’ai suffisamment de provisions... c’est OK, ils peuvent partir. Samedi à 20 : 00, alors que je me prépare à confectionner mon dîner (œufs sur le plat, spaghettis, camembert) un coup de sonnette à la porte d’entrée... Je n’attends personne et j’ai l’ordre de ne pas ouvrir quand je suis seul.
— C’est qui ?
— C’est Roland, ouvre.
Je suppose que l’ordre de ne pas ouvrir ne concerne pas Roland, l’habitué de la maison. Il pose sur la table une bouteille de vin et un beefsteak.
— J’ai décidé de passer la soirée avec toi puisque tu es seul.
Je suis content, j’aime bien Roland, sa présence change toujours l’atmosphère de la maison.
— Mets la table et sors 2 verres.
Il ouvre la bouteille de vin et remplit nos verres. Il m’est déjà arrivé de boire du vin rouge, mais toujours avec beaucoup d’eau. Mes parents n’étant pas là, tout m’est permis... Assis devant mon verre, je regarde et observe Roland faire la cuisine...
C’est un vieux de 27/28 ans, il dit qu’il était résistant durant la guerre. Beaucoup plus grand que mon père, je trouve son visage imberbe très beau, des yeux bleus qui contrastent avec ses cheveux noirs, une allure athlétique qu’il doit entretenir, car il dit souvent que cette allure lui était nécessaire pour faire la connaissance de belles personnes. Il a posé la veste de son costume sur le dos de sa chaise, je suis fasciné par les boutons de manchettes qui ornent les poignets mousquetaires de sa belle chemise d’un blanc immaculé. Il a ceint un tablier pour se protéger de taches, car il a probablement prévu de me quitter rapidement pour aller participer à une belle soirée où de beaux messieurs comme lui se retrouveront.
Tout en faisant la cuisine, il me parle, je bois encore une gorgée de ce vin enivrant au goût incomparable avec le « Préfontaine ». Je rêve, je ne sais pas si je lui réponds... Je le retrouve assis sur la chaise à côté de moi, sans son tablier, il s’intéresse à moi, qu’est-ce que tu as fait aujourd’hui ? As-tu une copine ? Qui sont tes copains ? Qu’est-ce que tu veux faire plus tard ? etc. Je réponds chaque fois longuement... quelqu’un s’intéresse à moi...
J’ai peur qu’il me quitte dès le repas fini... non... il me verse un autre verre de vin... sur l’étiquette de la bouteille, il est écrit « Chambertin », c’est bon le « Chambertin »... Il me prend la main
— Lève-toi.
Il a fait pivoter sa chaise, je suis debout face à lui.
— Tu es très beau, tu sais.
Non, je ne le sais pas, personne ne me l’a encore dit.
— Pas autant que vous.
Il m’attire près de lui, met sa main sur ma nuque, et m’attire vers lui, j’écarquille les yeux, sa bouche se rapproche de la mienne, je résiste, non, non je ne veux pas... Ses lèvres touchent les miennes, il me tient fermement. Je sens sa langue qui parcourt mes lèvres... je résiste, elle se glisse entre mes lèvres et vient buter contre mes dents fermées, non, non, je ne veux pas... Un bref moment de relâchement, mes mâchoires se sont entre-ouvertes, sa langue en a profité pour pénétrer dans ma bouche à la recherche de ma langue... Je renonce à lui mordre sa langue, je ne suis pas de taille à lutter... Je le laisse faire... Rapidement, je me mets à aimer cette sensation nouvelle... Le bout de ma langue va explorer pour retrouver la sienne, elle est partie bien que nos lèvres soient toujours jointes. Ma langue franchit la frontière, elle se faufile à travers ses dents, je pénètre dans la cavité et OUF... je la retrouve, je ne veux pas que ce premier baiser s’arrête...
Il déboutonne les boutons de ma chemise, je fais un geste pour l’en empêcher. Doucement, il enlève ma main.
— Laisse-moi faire.
J’abandonne, je suis bien, il fait glisser ma chemise par-dessus mes épaules sans l’enlever complètement, une de ses mains me caresse la poitrine, l’autre le dos... je le laisse faire, nous ne parlons plus, je veux que le temps s’arrête... Sa main dans mon dos se met à me griffer, son autre main me pince les tétons, je ferme les yeux, encore, encore, encore... Tout en me caressant la poitrine, son autre main dégrafe ma ceinture, déboutonne ma braguette. Ma culotte tombe à mes pieds... Mon sexe est grand et dur comme jamais il ne l’a été, il le prend dans sa main et doucement commence à me masturber... Ma chemise glisse à terre... pour la première fois, je suis nu devant quelqu’un...
Il est toujours assis, il prend le coussin de ma chaise, le pose à mes pieds, sa main appuie sur mon épaule, je comprends qu’il attend de moi que je me mette à genoux devant lui.
— Déboutonne ma braguette.
J’obéis... Instantanément, je comprends qu’aujourd’hui, demain, toujours, j’obéirai...
Son sexe jaillit de son slip, il est long et dur comme du bois...
— Ouvre la bouche.
Obéis. J’obéis dès que ma bouche est ouverte, son sexe vient la remplir, il entre jusqu’à ma glotte...
— Suce mon Chéri, comme chez les Grecs, je suis ton éraste...
Sa bite est entièrement dans ma bouche, ses couilles sur mon menton, son gland dans mon larynx, j’étouffe...
— Tu es mon éromène, tu m’appartiens... Suce mon éromène. Tu ne sais pas encore comment faire... je t’apprendrai, je t’apprendrai tout ce qu’un éromène doit savoir pour satisfaire son éraste et devenir un homme responsable...— Je vous aime, Monsieur Roland.— Tu dois m’appeler Maître.— Oui Maître.— Regarde, c’est comme cela que tu dois me masturber quand tu me suces.
Suce-moi les couilles. Quand je jouirai, ferme les yeux.
Sa respiration s’accélère, il émet des râles, sa verge quitte ma bouche, je ferme les yeux... un puissant jet de sperme inonde mon visage... le deuxième se perd dans mes cheveux... le troisième se répand sur mes tétons... J’éprouve un certain sentiment de fierté... pour la première fois, je viens de donner du plaisir à un homme... Avec son mouchoir, il essuie ma bouche, m’entraîne vers l’évier, prend mon gant de toilette et ma serviette et me nettoie méthodiquement... Nous buvons encore un verre de vin.
— Tu es très beau, tu as une très belle verge avec une solide érection. Ce n’est pas comme ton père qui est impuissant et qui ne peut plus bander...

Bien que je sois un peu ivre, je comprends quand même quand il me dit que demain, il reviendra vers 18:30 et que nous dînerons dehors. Il me tend un petit tube de crème et me dit que demain, je dois aller à la douche municipale, m’enduire le corps de cette crème, partout où il y a des poils ou du duvet, jambes, bras, aisselles et pubis où commencent à émerger un léger duvet, puis bien me rincer de telle façon que demain soir, je n’aie pas la moindre trace de poil sur mon corps. Comme je lui demande des explications, il me dit que c’est comme cela que faisaient les éromènes du temps des Grecs pour honorer leur éraste lors des rencontres avec d’autres nobles grecs.
— Je dois te quitter, va te coucher, dorénavant tu m’appartiens, tu dois m’aimer et m’obéir, je t’éduquerai pour que tu connaisses tous les plaisirs de la chair et ferai de toi celui que tous les hommes voudront posséder, et que toutes les femmes rêveront d’avoir comme époux.
Sur le pas de la porte, il m’enserra de nouveau, je me levai sur la pointe des pieds pour recevoir ce baiser qui m’aidera à m’endormir...
J’ai trop bu, je vais au lit, je bande, je ferme les yeux, devant moi, les yeux bleus de Roland me regardent pendant que je me masturbe... J’ai mal à la tête, il fait complètement jour, je bande encore, je me masturbe... mes yeux fermés, Roland me regarde toujours... Je dois aller aux douches municipales... ne pas oublier le flacon de crème...
J’ai mis des vêtements propres, encore 1 heure à attendre, je mets Radio Luxembourg, des informations que je ne comprends pas...18 :35 il n’est pas encore là, mon cœur bat la chamade... il a oublié, il ne viendra pas...Je me précipite à la porte, la sonnette vient de sonner, sans m’enquérir qui est là, j’ouvre, je me précipite, mes bras enserrent sa poitrine...
— Bonjour Monsieur Roland.
Et vlan... pourquoi cette gifle ?
— Tu dois m’appeler Maître.— Oui Maître, pardonnez-moi.
Il se penche sur moi, cherche mes lèvres, sa langue est dans ma bouche et joue avec la mienne, je suis aux anges...
De son sac, il sort une espèce de casserole du fond duquel sort un tuyau en caoutchouc avec un robinet.
— Qu’est-ce que c’est ?— Ce soir, il faut que tu sois très propre.— Je suis allé aux douches et j’ai fait ce que vous m’aviez demandé.— J’en suis certain, mais il faut que tu sois aussi propre de l’intérieur que de l’extérieur.
Déshabille-toi. Pendant que je me déshabille, il remplit la casserole d’eau, l’accroche au haut de la porte de la chambre, approche une chaise de la porte, s’assoit.
— Approche.
Il me met à plat ventre sur ses cuisses.
— Ne bouge plus.
Je sens son doigt me caresser l’anus, puis y pénétrer lentement... Ce n’est pas désagréable... Il tourne son doigt à l’intérieur... J’aime bien... Mes yeux ont cessé de regarder le sol et se sont fermés pour mieux apprécier cette nouvelle caresse.
— Ça va ? Est-ce que ça te fait mal ?— Non, pas du tout, j’aime bien.
Son doigt s’est retiré, et je sens autre chose me pénétrer, ce n’est pas gros, mais ça glisse en moi...
— 15 centimètres, c’est suffisant.
Dit-il
Je sens quelque chose qui coule en moi.
— N’aie pas peur, ce n’est que de l’eau, c’est pour que tu sois aussi propre à l’intérieur que tu ne l’es à l’extérieur.
Tu es encore plus beau qu’hier, maintenant que tu n’as plus la moindre trace de poil sur tout ton corps. Je vais faire couler un demi-litre d’eau en toi, ça ne fait pas mal, mais tu vas avoir très envie d’aller aux w.c...
Il a arrêté le débit du liquide, je me relève, reste debout quelques instants, sensation bizarre, puis une furieuse envie me précipite aux w.c., où après quelques instants, j’expulse tout ce liquide accompagné d’excréments. Après avoir de nouveau rempli la casserole.
— Il faut recommencer, pour que ce soit parfait.
J’obtempère sans discuter, non seulement parce que je dois lui obéir, mais aussi parce que j’ai beaucoup aimé les sensations lors de l’intromission en moi du tuyau en caoutchouc, l’eau qui me remplissait, l’attente, debout avec mon ventre qui s’était arrondi, le besoin qui m’a obligé de me précipiter aux w.c., et cette sensation de plaisir quand je me suis vidé. Et je goûte de nouveau aux plaisirs d’un lavement prodigué avec tendresse.
— Je vais laisser cet équipement ici, et il faudra que tu te fasses toi-même un lavement quand il sera prévu que nous passions du temps ensemble. Il faut le faire autant de fois nécessaire pour que l’eau que tu rejettes soit totalement claire.
Il est 20:00 quand nous sortons du métro à la station « Victor Hugo ». Nous sommes dans les beaux quartiers. Nous remontons durant quelques dizaines de mètres l’avenue Victor Hugo avant de pénétrer dans un bel immeuble. Après avoir dit au concierge qui nous allions voir, nous empruntons l’ascenseur qui nous dépose quelques étages plus haut.
Merci d’avoir pris le temps de lire cette première partie.Si ma narration vous a intéressé, excité. Indiquez-le en cliquant sur « J’aime cette histoire » à la fin du récit, c’est la façon de me récompenser.
Peut-être qu’en me lisant, vous avez rêvé, fanstasmé, peut-être même vous êtes-vous masturbé, mettez un commentaire, il sera lu par de nombreuses personnes qui vous ressemblent.
Et avant tout RÊVÉ...
Diffuse en direct !
Regarder son live