Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 39 J'aime
  • 1 Commentaire

Mon fantasme ...

Chapitre 2

Zeus

Erotique
Aujourd’hui pour la première fois, je vais vous faire part d’un fantasme qui m’obsède, mais comme vous le verrez, qui ne pourra jamais se transformer en réalité...
Pour en faciliter la lecture, j’ai divisé ce récit en quatre parties, celle-ci est la deuxième... il n’est pas possible de comprendre une partie si vous n’avez pas lu les précédentes.
Il est 20:00 quand nous sortons du métro à la station « Victor Hugo ». Nous sommes dans les beaux quartiers. Nous remontons durant quelques dizaines de mètres l’avenue Victor Hugo avant de pénétrer dans un bel immeuble. Après avoir dit au concierge qui nous allions voir, nous empruntons l’ascenseur qui nous dépose quelques étages plus haut.
Toc Toc Toc, la porte ne tarde pas à s’ouvrir.
— Bonjour, Roland, vous êtes les derniers.— Bonjour Bagoas.— Qui c’est ?— C’est mon offrande.
Bagoas, vêtu d’un peignoir noir, nous ouvre la porte du vestiaire où se trouvent déjà de nombreux vêtements masculins. Sur des portemanteaux, il se trouve plusieurs peignoirs en soie.
— Déshabille-toi totalement et mets le peignoir blanc.— Tout nu ?— Oui, fais comme moi.
Après s’être dénudé, mon Maître revêt un peignoir rouge qui lui arrive à mi-mollet, le mien est trop grand pour moi...
— Suis-moi.
Nous nous retrouvons dans ce long couloir de deux mètres de large. De chaque côté trois ou quatre portes. Bagoas nous ouvre l’une d’entre elles et nous pénétrons dans une grande pièce richement décorée de moulures, de dorures, de tableaux rappelant la Grèce Antique, tout comme des vases se trouvant dans des niches, une statue du buste de Ganymède, etc.
Dans la pièce, je repère de suite deux garçons de mon âge, revêtus de peignoir rose, tant mieux, je ne serai pas seul avec tous ces vieux. Outre Bagoas qui est entré avec nous, il y a deux hommes ayant à peu près le même âge que mon Maître, tout comme lui, ils sont beaux et athlétiques, tout comme lui, ils ont un peignoir rouge. Tous deux s’affairent auprès d’un homme revêtu d’un peignoir couleur or, dans la quarantaine, grand, sportif, souriant, beau... un Seigneur... il s’interrompt quand nous entrons, les deux autres s’écartent pour nous laisser l’approcher, Roland baisse profondément la tête et:
— Bonjour Maître, dit-il.— Bonjour Roland.
Et il écarte ses bras pour que mon Maître aille s’y réfugier. Leur étreinte dure quelques secondes et ce personnage me regardant, demande :
— Qui est ce jeune garçon ?— C’est Pierre, il est à moi, je vous l’offre.
Tout en me caressant la tête, il dit :
— Merci, ce magnifique cadeau me va droit au cœur.
Tu peux aller voir tes petits camarades.
Ce que je m’empresse de faire. Je vois mon Maître embrasser les deux autres hommes. Je pose de nombreuses questions pour essayer de comprendre où je suis tombé. Bagoas vient me demander ce que je veux boire, je ne sais pas, il me propose un porto, comme mes amis, j’accepte. Il semble que tout me soit permis. Mes copains s’appellent André et Jean. J’apprends d’eux que l’un des deux hommes en peignoir rouge s’appelle Jean-Pierre et qu’il est le maître d’André, l’autre s’appelle Simon et il est le maître de Jean. L’homme avec le peignoir or est le chef, le maître de tout le monde, ils ne connaissent que son surnom « Zeus », nous sommes chez lui.
Bagoas a été l’éromène de Zeus, il en était follement amoureux, quand sa pilosité est devenue abondante et qu’elle indiquait que l’âge était venu où il devait le quitter, il a supplié Zeus de le garder auprès de lui, qu’il le servirait et l’aimerait toujours. Pour ne pas devoir partir, il a demandé la faveur de devenir eunuque... l’opération faite par chirurgien spécialiste a eu lieu dans une clinique suisse. Maintenant, il gère la maison et c’est l’homme de confiance de Zeus.
C’est la quatrième fois qu’André vient ici, et la troisième pour Jean. Chaque fois, ça se déroule de la même façon. Toujours six personnes en plus de Zeus et Bagoas, trois érastes avec chacun son éromène. Deux des éromènes sont déjà venus, ils viennent pour assister et conseiller le nouveau lors de son initiation. André était là lors de l’initiation de Jean.
Cette soirée m’est donc dédiée, elle sera celle de mon initiation. Ils n’ont pas le droit de me dire comment se déroule l’initiation, je le découvrirai le moment venu, il me faudra obéir scrupuleusement aux ordres de Zeus et de Roland. J’y suis prêt...
Bagoas nous informe que le dîner est prêt, nous passons dans la salle à manger adjacente, sa luxueuse décoration, tout comme le grand salon est d’inspiration grecque antique.
Au centre de la pièce, une grande table joliment décorée, de la vaisselle aux motifs grecs anciens. Zeus va occuper, en bout de table, une chaise ressemblant plus à un trône qu’à une chaise. Il me demande de venir m’asseoir à sa droite, Roland s’installe à sa gauche, en face de moi. Bagoas se trouve à l’autre bout de la table, entouré par André et Jean. Jean-Pierre et Simon s’assoient chacun à côté de son éromène. Je découvre des mets délicieux qui n’existaient même pas dans mon imaginaire. Je suis maladroit pour manger, Zeus dit à mon Maître qu’il va avoir beaucoup de travail pour m’amener à un bon niveau.
J’ai du mal à comprendre la discussion entre les adultes, ce que j’en retiens, joint aux explications que m’a fournies Roland par la suite, c’est que tous les adultes présents sont des membres d’une société secrète comptant des millions de membres répartis dans tous les pays du monde. Chaque individu de cette société doit être solidaire de tous les autres avec comme objectif d’améliorer la qualité de vie des habitants de la terre. Cet objectif sera atteint en éduquant les peuples et en formant les élites.
Zeus pense pouvoir amener sa pierre à l’édifice en s’inspirant de la civilisation de la Grèce Antique, qui a dominé le monde. Elle a donné naissance à de grands philosophes tels Socrate et Platon, de grands scientifiques tels Archimède, Pythagore, Hippocrate, de grands hommes d’État qui ont inventé la démocratie, tels Périclès et Démosthène, de grands artistes dont les œuvres ont traversé les millénaires pour parvenir jusqu’à nous, monuments, statues, peintures, mosaïques, écrits. Des soldats de légendes tels Alexandre le Grand, le Bataillon sacré composé de 150 couples éraste/éromène.
Zeus sait que la grandeur de la Grèce trouve son origine dans la formation de ces couples pédérastes où L’Amant (éraste) transmet son savoir à l’Aimé (éromène). Cette relation se terminant quand l’Aimé atteint l’âge d’être l’Amant, et à son tour transmet son savoir à un Aimé choisi dans les fils de l’aristocratie. Zeus met sa fortune à disposition pour réaliser sa mission. C’est ainsi qu’il a acheté une grande propriété dans la proche banlieue parisienne qui est actuellement en travaux pour devenir le centre d’expérimentation d’adaptation des anciennes coutumes grecques à notre nouveau monde.
La communauté des éromènes est destinée à être la Pierre Angulaire de cette expérimentation.
Le repas terminé, nous nous retrouvons tous dans le grand salon où Bagoas a installé une couche. Mon Maître me prend la main et m’entraîne vers Zeus.
— Maître, voici Pierre, je te confirme qu’il n’a jamais connu le goût de la source de vie et qu’il est vierge, il t’appartient de l’initier. Pour toujours, il te devra respect, dévotion et obéissance.
Alors il m’enlève mon peignoir, et seul, j’apparais nu devant tout le monde... Intimidé, mon pénis est au repos... Roland me dit que le moment venu, je ne devrai pas me reculer, et que je devrai avaler tout ce que Zeus voudra me donner. Bagoas vient retirer le peignoir de Zeus, Jean-Pierre et Simon tenant André et Jean par la main, approche de notre petit groupe, et se mettre de part et d’autre de Zeus, je me trouve au centre. Ils enlèvent les peignoirs de leur éromène, je ne suis plus le seul à être nu. Les sexes de mes amis sont dressés et je peux observer que leurs glands décalottés sont écarlates.
Seul le sexe de Zeus est totalement au repos, le mien, voyant ceux de mes amis commence à se réveiller. André me prend la main et la pose sur le sexe de Zeus, je l’empoigne et commence un lent mouvement de va-et-vient, il reprend vie, Jean pousse ma tête vers ce pénis que tient André, j’ouvre la bouche et commence à pratiquer la fellation que l’on attend de moi, rapidement ma bouche est pleine. André et Jean sucent les couilles de Zeus, parfois la bite sort de ma bouche, alors un de mes camarades me remplace...
Je reprends souffle avant de lui sucer les couilles...10 minutes se passent ainsi, puis le pénis de Zeus se trouve à nouveau dans ma bouche, j’accélère la vitesse de ma fellation...Zeus accélère son pompage...
La tension règne, tout le monde nous regarde, je sens les mains de mes amis qui font pression sur ma tête, les mains de Zeus ont empoigné et enserrent mes joues, mes amis me chuchotent
— Avale... avale... avale tout.
Ma bouche se remplit de sperme, le goût est bizarre, mais pas désagréable... j’avale...
— Avale... avale tout.
Ma bouche se remplit de nouveau... j’avale... je bénéficie d’une troisième rasade... j’avale... Je continue de sucer alors que sa bite se dégonfle dans ma bouche. Zeus m’aide à me relever, Bagoas tend une coupe de champagne à Zeus et une autre à moi, alors Zeus me dit :
— Avale... avale tout...
Puis il se penche vers moi et me prodigue un baiser aux yeux de tous. Nos lèvres restent collées plus d’une minute avant qu’il ressorte sa langue de ma bouche et me libère.
— Laisse-moi me reposer, nous finirons tout à l’heure.
Les autres ont remis leur peignoir et moi, je suis toujours nu. André et Jean me prennent chacun par une main et m’entraînent vers leurs maîtres. Roland est là aussi, il me dit de me mettre à genoux, les deux peignoirs s’ouvrent simultanément, probablement très excités par le spectacle qu’ils viennent de voir, les deux bites sont en érection. La main d’André pousse ma tête vers l’une d’elles, je comprends vite, je m’exécute... j’aime... Mon Maître me dit que je dois les sucer tous les deux jusqu’à ce qu’ils jouissent... Je dois une obéissance totale à mon Maître, alors c’est avec plaisir que je lui obéis... Au final, j’apprends que le goût du sperme n’est pas le même d’un mâle à l’autre, et que cette variété de goût augmente le plaisir des papilles. Bagoas offre à chacun de nous une nouvelle coupe de champagne.
Je suis le seul à être totalement nu et un sentiment de fierté m’envahit, car aujourd’hui, je suis le centre de toutes les attentions.
C’est l’heure... Mon maître m’entraîne sur la couche, me fait mettre à quatre pattes, me caresse l’anus, y introduit un doigt, j’ai mal... Après avoir recouvert mon anus et avoir enduit ses doigts avec de la vaseline, il réintroduit un doigt... je n’ai plus mal... il l’enfonce plus profondément... j’ai mal... il tourne... une légère douleur plus intense m’apprend qu’il vient d’introduire un deuxième doigt, ses doigts me travaillent, m’élargissent... je n’ai plus mal... Il me prépare longuement, quand mes râles lui apprennent que ses doigts me procurent du grand plaisir, il me fait mettre sur le dos, se tournant vers Zeus, il lui dit :
— Il est prêt.
Tout le monde est rassemblé autour de la couche, Zeus enlève son peignoir, il est beau, ses poils sur la poitrine le font apparaître viril, André et Jean lui caressent les couilles, le masturbent, son érection est puissante, il s’agenouille sur la couche, m’attire à lui... mes mains caressent les poils de ses cuisses, je bande... il prend mes jambes et les met sur ses épaules, je bande... avec la main qu’il a glissée sous mes reins, il me soulève, je bande... l’autre lui sert à guider sa bite vers mon orifice, je bande... je sens son gland à l’entrée, je bande... pourvu qu’il n’aille pas trop vite, que je le sente petit à petit me pénétrer...
Ça y est, le gland est entré... avec une grande délicatesse, il fait de doux mouvements de va-et-vient, lentement il m’envahit, il prend possession de moi... je râle, je suis à lui...Ils sont tous à nous regarder, ils savent que je n’oublierai jamais ce jour où Zeus m’a initié, ils savent l’immense fierté que je ressens, ils imaginent l’immensité de mon plaisir...
André et Jean sont sur la couche, ils me sourient, me caressent, m’embrassent, m’envient...
Ça y est, ses 18 centimètres sont en moi, ils sortent et replongent, ses couilles viennent frapper mes fesses... Puis tout s’accélère, il m’a violemment agrippé les hanches, il veut entrer en moi encore plus profondément, ses mouvements s’accélèrent, il me défonce... je râle... je jouis... il râle... il jouit... il me féconde... la source de vie me remplit et va au plus profond de mes entrailles... c’est fini... il me soulève, me serre contre sa poitrine, je m’y blottis, le contact de ses poils me fait comme une caresse.
Lentement, il sort sa bite de mes intestins, je sens un peu de son sperme s’échapper de mon corps, il me met debout et... toute l’assistance m’applaudit, je suis des leurs... Roland s’approche me tend un peignoir rose, la couleur que je devrai porter à présent. Chacun vient me demander mes impressions, Zeus raconte combien il a particulièrement apprécié cette étreinte, il dit que je suis parmi les meilleurs et qu’il n’a jamais vu un éromène aussi désireux de se donner à un homme.
L’heure arrive où il faut nous séparer, ce soir, Roland ne me ramène pas chez moi, nous dormirons chez lui. Il habite dans les beaux quartiers, un bel appartement de trois chambres, chacune avec sa salle de bains. Nous n’en occupons qu’une, nous prenons une douche ensemble, c’est lui qui s’occupe de moi, il me lave, me caresse, m’embrasse... Son lit est grand, avant de m’endormir dans ses bras, il me dit combien il a été fier de moi ce soir, qu’il allait être le meilleur maître pour moi, que je dois l’aimer autant qu’il m’aime...
Merci d’avoir pris le temps de lire cette deuxième partie.Si ma narration vous a intéressés, excités. Indiquez-le en cliquant sur « J’aime cette histoire » à la fin du récit, c’est la façon de me récompenser.
Peut-être qu’en me lisant, vous avez rêvé, fantasmé, peut-être même vous êtes-vous masturbés, mettez un commentaire, il sera lu par de nombreuses personnes qui vous ressemblent.
Et avant tout, RÊVEZ...
Diffuse en direct !
Regarder son live