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Mon fantasme ...

Chapitre 4

Le Ministre

Erotique
Aujourd’hui pour la première fois, je vais vous faire part d’un fantasme qui m’obsède, mais comme vous le verrez qui ne pourra jamais se transformer en réalité...
Pour en faciliter la lecture, j’ai divisé ce récit en quatre parties, celle-ci est la quatrième et dernière... il n’est pas possible de comprendre une partie si vous n’avez pas lu les précédentes.
Le géant me tient par la main en montant les escaliers.
— Tu sais mon chéri, je suis arrivé de bonne heure en pensant à toi. Je t’ai vu monter dans ta chambre et j’étais impatient que tu en redescendes. Zeus pense beaucoup de bien de toi, etc.
À peine la porte de sa chambre refermée, il m’arrache mon peignoir, me donne une paire de gifles, je vacille...
— Tu n’es qu’une salope, mon vide-couilles, tant que tu es avec moi, tu es et seras mon esclave...— Oui Monsieur...
Il enlève son peignoir, en face de moi se trouve un gorille, il est poilu, partout... sur la poitrine, le ventre, le bas du ventre, ses cuisses, son dos sont entièrement recouverts de longs poils noirs...Son sexe au repos me semble de bonne taille, mais il est vrai que ça ne veut rien dire, en revanche chacune de ses couilles me semble aussi grosse qu’une balle de tennis, oh la la... s’il me faut vider tout cela, je vais avoir du travail...
Pour calmer ce géant, je me précipite auprès de lui, de mes bras, je lui entoure la taille, je me blottis contre lui, j’ai le nez dans sa toison... bigre, le bougre s’est parfumé et j’aime son odeur... je le lui dis, il semble apprécier mon compliment, un peu calmé, un peu content...D’ailleurs, il le manifeste, serrer contre ma poitrine, je sens sa bite se durcir, il se dégage un peu pour laisser à sa bite plus d’espace pour manœuvrer, il pompe contre ma poitrine et je vois son gland sortir de la forêt de poils me chatouiller le menton puis arriver au niveau de mes lèvres... je sais ce que je dois faire...
Jusqu’alors, je n’avais pas vu beaucoup de sexes d’homme, Zeus, Roland, Jean-Pierre et Simon, une dizaine de copains de Roland, à qui il me confiait pour les travaux pratiques... ceux d’André et Jean ne comptent pas... Je savais qu’ils pouvaient être petit et mince, petit et épais, long et mince, long et épais, le gland en forme de champignon, ou au contraire une large base qui s’amincissait en direction du gland, droit, tordu à droite ou à gauche, veineux ou très veineux, circoncis ou non, je savais que certains, victime d’un phimosis ne pouvaient pas décalotter, et j’avais appris comment traiter le problème, etc.
Mais là, j’étais dans l’inconnu, je croyais avoir devant moi le plus gros du monde (j’appris par la suite qu’il n’en était rien et que d’autres étaient beaucoup plus impressionnants), pour mon premier jour, j’étais gâté, il ne faisait pas moins de 21 ou 22 centimètres, un gland de 5 à 6 centimètres de diamètre, des poils (parfumés également) partout.
Serrée contre lui, ma langue va titiller son méat, il frémit, je sens que je suis en train de dompter mon ministre... il me faut garder la main... il pompe dans l’espoir d’entrer sa bite dans ma bouche, pas encore... il faut d’abord lui donner l’impression qu’il est le plus fort... C’est quand il appuie sur ma tête pour que je le suce que je me dégage et me retrouve libre de mes mouvements... il rugit, m’empoigne et me projette sur le lit... je m’arrange à me retrouver à plat ventre... ce que j’espérais arrive, voyant mes fesses offertes, il me bloque, m’empêche de bouger et... vlan... vlan... vlan... je crie... je pleure... j’implore grâce, la fessée fut à la hauteur de mon attente, c’est un sadique dominant, il a montré sa force.
À moi maintenant de le rassurer et lui prouver qu’il est le plus beau, le plus fort et qu’il a gagné, que je suis à lui, qu’il m’a asservie, et... faire en sorte qu’il revienne...
Il se calme, je rampe jusqu’à lui, il bande de plus en plus, j’ai l’impression que sa bite a encore grandi... je la prends en main, la mets dans ma bouche et je commence la fellation qu’il a bien méritée... il me passe la main dans les cheveux, me caresse le dos, sa main glisse dans mon sillon fessier... un doigt arrive jusqu’à mon anus... je comprends alors que ce sera « une totale »... ce doigt cherche à me pénétrer, sans vaseline, ça va me faire mal, je détourne l’attention en redoublant d’efforts avec ma bouche, alors qu’il commence sa montée au ciel, je change de tactique et fais baisser la pression... sa bite commence à ramollir...Ça fait une heure que nous sommes dans sa chambre...
— Pourquoi t’es-tu arrêté, pleurniche-t-il ?— J’ai soif.
Cinq minutes après, le serveur apporte le seau à champagne...30 minutes, une discussion et deux coupes de champagne après...
— Salope, je vais t’enculer, te défoncer, te féconder, tu vas dérouiller...
Le moment est venu, le tube de vaseline est sur la table de nuit... OK, allons-y...Je me refais chatte... je l’allonge sur le dos, m’étends sur lui, ma tête au creux de son épaule...Je joue avec les poils de sa poitrine, j’aime bien leur odeur, ma bouche approche de la sienne, il m’embrasse avec vigueur...
Sa bite entre mes cuisses prend de l’ampleur... Je serre les cuisses... il pompe... dressée, elle ressort de mes cuisses, je la caresse avec ma main... il est content... je prends le tube de vaseline et lui donne... un premier doigt dans l’anus pour préparer le passage... puis un deuxième qui s’enfonce... qui tourne... qui s’enfonce encore... qui tourne encore...
— Chevauche-moi... C’est toi qui vas t’empaler sur ma bite... Il a raison, j’aurai moins mal lors de l’intromission...
Je saisis sa queue, la présente à l’entrée de la grotte à plaisir, le gland se présente bien... la bite et le trou sont bien vaselinés... je plie les genoux... jusque-là ça va... le salaud donne, alors, un coup de reins qui a pour effet de rentrer le gland en totalité, je suis privée d’une partie de mon plaisir... Je fais le reste du travail jusqu’à ce que ses couilles touchent mes fesses... il me donne autant de plaisir que je lui en donne...
Il me bascule, c’est moi qui ai le dos sur le lit, il met deux gros coussins sous mes fesses, sa bite n’est pas sortie de mon cul... il me lime... je ne sais pas lequel a le plus de plaisir...Il veut changer de position, me fait mettre en levrette au bord du lit, utilise de nouveau la vaseline et d’un coup brusque... j’ai de nouveau ses couilles contre les fesses. Il entre, il sort... il entre, il sort... il entre, il sort... je ne veux pas que ça s’arrête... vlan... vlan... vlan... de nouveau la fessée, ses énormes battoirs on saisit mes hanches, il utilise autant ses puissants bras que ses violents coups de reins pour me posséder... il veut s’enfoncer en moi encore plus...
Il râle... il hurle... il est encore plus violent... il jouit... je suis fécondé par ce gorille... il me remplit de son sperme... je jouis...
Haletant, nous nous écroulons sur le lit, je retourne poser ma tête sur sa poitrine, ses poils sont mouillés, la bonne odeur du mâle repu a remplacé l’odeur du parfum... nous restons ainsi un long moment...
— Debout, à la douche, et je t’invite à dîner...
Nous prenons place au restaurant, il est 21 :00.À la fin du repas, alors que je quitte la table pour monter changer de peignoir, Zeus s’approche de la table...
Quand je redescends, M. Xxxxx est parti, je vais dans le grand salon, où, quelques peignoirs roses viennent s’attrouper autour de moi et, pendant que je raconte mon histoire, plusieurs se masturbent.
Un peignoir bleu marine m’invite à boire un verre, nous discutons et il me dit qu’il reviendra me voir ; ce qu’il a fait d’ailleurs.
La soirée était bien avancée quand le peignoir or est venu s’assoir à côté de moi, il m’a appris que le Ministre était fort content de moi, il me considérait comme « une perle », et fort désireux de revenir me voir...(Ce qu’il fit d’ailleurs une ou deux fois par mois durant les premières années de mon séjour à l’Agora... Il venait parfois seul, souvent avec un peignoir bleu marine ou bleu roi qui étaient rarement les mêmes... il lui arrivait de venir à plusieurs trois ou plus, dans ce cas je n’étais pas le seul peignoir rose dans la chambre...).Voyant que l’heure était bien avancée, Zeus m’entraîne dans sa chambre pour y passer la nuit...
Cette nuit fut l’une des plus douces, des plus romantiquess que j’aie passées dans ma vie...Au petit matin, je sais qu’il est autant amoureux de moi que je le suis de cet être exceptionnel...Je me rends compte aussi que mon Amour pour Roland n’est pas moindre, qu’il ne s’est pas transporté de l’un à l’autre, mais qu’il s’est additionné... Je découvre que l’Amour n’est pas exclusif, pas égoïste, que l’Amour est un sentiment, le sexe est un exercice... que ce sentiment et cet exercice ne sont pas liés... l’Amour procure le bonheur, le sexe donne le plaisir... je découvre que je suis polyamoureux...
L’Agora c’est comme un harem, le secret n’existe pas... Dès le lendemain, un gilet jaune avec qui j’avais une légère altercation m’a lancé « évidemment t’es le chou-chou ». Deux jours après pour tout le monde j’étais « chou-chou ». Sur mes peignoirs, mon prénom fut remplacé par « Chou-Chou »...Ça me convenait fort bien. De ce jour, quel que soit la couleur des peignoirs, tout le monde m’appela Chou-Chou... même le peignoir or...
Le jour arriva où ma pilosité devenue incontrôlable indiquait que je devais quitter ce lieu qui un jour sur deux était devenu ma deuxième maison, et je regagnai à temps complet ma chambre auprès de Roland.Je réussis brillamment mes études, dans de grandes écoles...Quand je me suis marié, Roland est devenu l’amant de mon épouse... avant de devenir « l’un des amants »...Mon élue partageait les mêmes idées quant à l’éducation des enfants.Nous avons eu deux beaux garçons et une ravissante petite fille... Quand ils ont eu l’âge, nous avons favorisé leur initiation, je me suis chargé de trouver les hommes responsables à qui confier les garçons et ma femme trouva une très jolie jeune femme pour l’initiation de notre fille...
À son apogée, l’Agora abritait plus de 40 peignoirs roses, le grand salon ressemblait à une ruche...
Après bien des années, la renommée de l’Agora périclita, et l’établissement du fermer, anéantissant la raison de vivre de Zeus qui ne put le supporter...Roland prononça son éloge funèbre, peu de temps avant la révolution culturelle de 1968 qui donna naissance à un fort courant de défense de la pédérastie soutenue par de nombreux intellectuels, artistes, écrivains, hommes politiques dont de nombreux sont encore vivants aujourd’hui...
Je reviens de chez Roland, il vient de s’éteindre après presque un siècle sur cette terre...
Allez, assez de fantasmes... revenons à la vraie vie...
Merci d’avoir pris le temps de lire cette quatrième et dernière partie.Si ma narration vous a intéressés et excités.Si vous avez eu la patience de lire la totalité de mon fanstasme.Indiquez-le en cliquant sur « J’aime cette histoire » à la fin du récit, c’est la façon de me récompenser.
Peut-être qu’en me lisant vous avez rêvé, fanstasmé, peut-être même vous êtes-vous masturbé en enviant le narrateur.Peut-être trouvez-vous étrange qu’un vieil homme fantasme d’avoir une vie comme celle-ci, et n’adhérer pas à ces idées.alors écrivez-moi, sois en privé, sois en commentaires lisibles par tous.
Et avant tout RÊVEZ...
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