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Mon fils, cet étalon.

Chapitre 1

Découverte...

Inceste
Bonjour, je me prénomme Christine, belle grande de femme de 1m75 et de 45 ans, brune, les yeux bleus, une poitrine avenante (90C), un joli cul. Je suis divorcée depuis cinq ans maintenant. Je vis seule, enfin, si j’oublie mon fils. Un geek, comme on dit, de 18 ans à peine révolus. Je travaille dans le milieu bancaire d’une grande banque phocéenne. Mon petit appartement est cossu. Il se trouve dans une résidence de standing. On n’est pas là pour parler de moi, mais de mon fils Jérôme.Il est grand, 1m80, yeux marron, ses cheveux châtain clair sont constamment ébouriffés, et il est maigre. Mais quand je dis maigre, c’est maigre. Il doit peser 65 kilos tout mouillé et habillé. Je ne sais pas de qui il tient cela ni de moi ni de son père. Il est toujours plongé dans son ordinateur, enfermé dans sa chambre.Il m’exaspère. Pas de copain et encore moins de copine. À chaque fois que j’aborde le sujet, il se referme sur lui-même. J’en ai parlé à Coralie, une collègue de bureau et amie.
— Dès qu’il rentre de la FAC, lui avais-je dit, le même cérémonial. Un bonjour m’man, un petit bisou et le voilà parti dans sa chambre. Il ne descend que pour venir manger et hors de question de m’aider dans les tâches ménagères, non, trop compliqué pour lui. Il remonte dans sa chambre. Il m’énerve.— Tu as essayé de lui parler. M’avait-elle répondu.— Ouf, même pas la peine. Et le matin, je suis partie avant lui.— Coupe le courant de sa chambre et attends-le dans le salon. Si tu veux, Pierre (son époux) pourra t’aider.
Cette idée avait germé dans ma tête. Pierre vient de partir. C’est fait, ce soir j’aurai une discussion avec mon fils. Comme prévu, il rentre, jette son sac et m’embrasse sur la joue, puis part dans sa chambre. Sa réaction ne se fait pas attendre. Il redescend comme une furie.
— Tu n’as pas payé EDF ? Me demande-t-il, paniqué.— Si, mais je veux avoir une discussion avec toi, lui dis-je d’un ton sec, Assieds-toi !
Comme un lapin prit dans les feux d’une voiture, il reste coi.
— ASSIS ! ! !
Il va s’assoir en titubant, manquant de choir, ce qui me fait rire.
— Qu’est-ce qu’il y a, m’man ? — Écoute-moi bien. Tu es constamment sur ton putain d’ordi. Tu ne t’occupes pas de moi, tu rentres et tu files dans ta chambre. J’EN AI MARRE, MARRE, MARRE... Lui dis-je les larmes aux yeux. Tu n’amènes pas de copain, pas de copine et tu as eu 18 ans. Parle-moi ! ! ! BORDEL DE MERDE. J’en peux plus. J’aimerais t’entendre rire, déconner avec tes amis, te voir flirter... Tu me comprends au moins... J’ai l’impression de n’être pas une bonne mère, d’être juste bonne à te servir, mais là, il faut que ça s’arrête.
Il pleure. Suis-je allé trop loin ? Il se lève et s’en va s’enfermer dans sa chambre. Le lendemain, je me réveille hagarde. Il est déjà parti. J’en parle à Coralie qui me dit de remettre le courant dans sa chambre et de voir sa réaction. Il a peut-être eu un électrochoc, dit-elle en éclatant de rire.Je suis chez moi à attendre Jérôme. Je suis inquiète de sa réaction. Quand j’entends la clé dans la serrure, je me crispe. Il est là et comme à son habitude, il jette son sac et monte dans sa chambre, mais il redescend après s’être changé. Il met la table et descend à la cave. Il remonte une bouteille de vin qu’a laissée son père.
— On fête quelque chose ? Lui demandais-je.— Non, mais je dois te parler... Après une bonne ration de lasagnes.
Je saute de joie. Mon fils m’a adressé la parole. Je me lève et je vais dans la cuisine préparer son plat favori. On mange, on boit. Moi qui ne tiens pas l’alcool... Il part chercher deux cafés. Je n’y crois pas, je rêve. Mais mon rêve s’écroule quand il me dit au revoir, il monte dans sa chambre. Déçu, je monte aussi me coucher, on est vendredi, demain repos, donc la vaisselle attendra demain.Je passe devant la salle de bain entre-ouverte qui est embrumée. Je glisse un œil protecteur. Il est de face sous la douche en train de se savonner les cheveux, les yeux fermés. Mon regard descend sur son torse imberbe et plat. On dirait une jeune fille prépubère. Je descends encore le regard sur sa toison pubienne et là, le choc. Mes yeux se bloquent sur une verge immense. Jamais vu ça, un gourdin immense qui pend entre les jambes de mon fils. Il arrive presque qu’à mi-cuisse et d’une largeur impressionnante. Une bite de cheval, mon fils est monté comme un étalon. Il se retourne dos à moi et je vois l’immense bite entre ses cuisses. Il ne bande pas et j’imagine ce que ça doit être une fois gorgé de sang. Je me sauve dans ma chambre.Je pense à ce que j’ai vu. Incroyable, j’ai un étalon sous mon toit, mais c’est mon fils. Je m’endors des rêves plein la tête.
Le lendemain, mon réveil est des plus surprenants. Une odeur de café et de viennoiseries vient me taquiner les narines. Je me lève, passe mon peignoir et descends. Quelle n’est pas ma surprise de voir mon petit homme en train de se démener avec la cafetière et de sortir les croissants du four. Je ne peux m’empêcher de le détailler. Certes, il est grand, pas baraqué comme son géniteur et totalement imberbe, contrairement à son papa qui était un véritable ours. Grand aussi, quand il me prenait dans ses bras puissants, je me sentais en sécurité.Il me voit. Il me sourit. On boit notre café en dégustant les croissants.
— Que me vaut cette gentille attention ?
Il s’empourpre. Il ne dit rien et plonge le nez dans son bol de café. Je le regarde avec un autre œil. Lui, cet enfant timide qui ne se confrontait jamais à l’autorité paternelle, lui qui me collait aux jupons, qu’il avait bien changé. Il se lève et prend nos bols. Il fait la vaisselle. MIRACLE ! ! ! Oui, il a bel et bien changé.Je m’en vais prendre une douche et après m’avoir essuyée, je ne sais pourquoi, je m’habille sexy. Pas provocante, non, juste sexy. Il me croise dans le couloir et me regarde avec étonnement.
— Tu sors ?— Oui, il faut que j’aille chez Coralie.
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