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Mon fils, cet étalon.

Chapitre 2

Inceste
À bord de ma Mini-Austin, pas les modernes, les anciens modèles, je roule à travers la campagne provençale vers la charmante villa qu’occupent Coralie et son mari. Une fois arrivée, elle m’accueille gentiment. Son mari est occupé à tondre l’immense pelouse qui borde son immense piscine.

— Alors, que t’arrive-t-il ? Tu m’inquiètes ma chérie.
Elle m’invite à rentrer, le bruit de la tondeuse étant fort dérangeant pour discuter à l’extérieur.
— Alors ! Raconte ! M’interroge-t-elle en me servant un verre de rosé.
Je lui raconte les petites attentions que fait mon fils à mon égard. Le repas d’hier soir, le petit-déjeuner de ce matin, la vaisselle et je bloque quand je vais pour lui annoncer ce que j’ai vu dans la salle de bain.
— Allez, sois sympa...
— Il est monté comme un cheval. Il a la bite qui lui tombe jusqu’à mi-cuisse au repos. Un étalon, lui dis-je, j’ai un étalon sous mon toit. Mon bébé est monté comme un cheval ! ! !
— Hum, fait-elle intéressée, et tu es entré ?
— Non ! ! !
— Dommage.
On part dans un fou rire quand Pierre rentre dans le salon. Il nous questionne du regard, elle lui répond d’un geste de la main, lui disant de dégager.
— Elle si monstrueuse que ça ?
Je lui montre mon avant-bras. Elle reste sans voix.
— Et au repos !
— La vache !
On éclate de rire jusqu’à ce que je réalise que l’on parle de mon fils. Salope, me dis-je, tu n’es qu’une salope. Coralie sirote son verre en me regardant avec envie.
— Crois-tu qu’il est encore puceau ?
— Je n’en sais rien... Quelle question.
Elle a des yeux pleins de promesses et me dit :
— Il va falloir le détendre ou plutôt le tendre ton baudet, le débourrer... Tu veux que je m’en occupe ?
Une furie s’empare de moi. Laisser ma meilleure amie s’occuper de mon fils, ça, jamais. Le retour chez moi fut rempli d’image que je qualifierais de pornographique. Mais comment attirer mon propre fils à l’inceste ? Ça ne va pas dans ta petite tête de traînée, pensais-je. Mais j’avais une idée.
Je pris quinze jours de congé, ce qui étonna mon chef de secteur. Effectivement, il était habitué aux vacances scolaires et aux fêtes de fin d’année, mais jamais comme cela. Il me questionna sur mes motivations mais n’eut aucune réponse. Il me fallait toute ma tête pour élaborer mon plan. Évidemment, mon fils ne fut pas mis au courant de ces vacances impromptues.Le réveil du premier jour est comme d’habitude. Je prends une douche, je m’habille, je bois mon café et parts au travail... Enfin, je fais semblant de partir au travail car je vais me poster devant l’entrée de l’université de Jérôme. Je sais quel chemin il emprunte pour l’avoir emmené quelquefois.Le voilà. Seul il se dirige vers les bâtiments et soudain il bloque sur une fille. Pas un canon de beauté, une petite grosse, mais charmante. Je me dis qu’il va lui faire la bise, lui dire bonjour, mais rien. Ils se dirigent tous les deux, côte à côte, vers les salles de cours.Le deuxième jour, même cérémonial. Je décide de la suivre à la sortie des cours.Ma filature m’emmène pas très loin de notre appartement, dans une charmante petite villa de banlieue. Elle me semble avoir tout de la petite fille modèle. Elle y est accueillie par une mère aimante et un père tout autant. Après les embrassades, elle rentre et je ne la reverrais plus de la soirée.Mon fils est étonné de me voir rentrer si tard. Il est chou, il nous a préparé de quoi manger et à l’odeur, je crois que c’est des croque-monsieur, mon encas préféré. Je lui saute au cou. D’habitude il n’aime pas ce genre d’effusion mais là, il se laisse faire. Je ne sais pourquoi, j’aime.Après le repas, il va pour se coucher mais se ravise très vite. Il débarrasse, fait la vaisselle et s’installe dans le fauteuil de son père. On regarde un très bon film ensemble. Cela ne nous était plus arrivé depuis... Longtemps.Le troisième jour, je pars pour rencontrer cette jeune fille qui ne laisse pas mon fils indifférent, je le sais, intuition féminine. Je vois mon grand arriver et partir vers cette inconnue. Même si elle n’est pas très belle, je la trouve charmante, même attirante. Quelle idée.Je flâne dans les boutiques du centre commercial non loin de la sortie de la FAC et je me surprends au Mc-Do en train de déjeuner. J’en souris.16 h 30, l’heure est fatidique. Je l’aperçois sortir et partir vers son arrêt de bus. La jeune fille le regarde et s’en va à pied. C’est le moment d’intervenir.Je sors fébrilement de ma voiture et me dirige vers cette fille dont je ne connais même pas le prénom. Heureux hasard ? Chance ? Signe du destin ? Elle vient de faire tomber son foulard qui pendait de son sac. Je me précipite et le ramasse. Il est de bonne facture, un Yves St Laurent, donc de la soie. Je cours derrière elle.
— Mademoiselle, Mademoiselle, en la rattrapant, Mademoiselle !
Elle se retourne et me voit avec le foulard. Elle est gênée, pétrifiée même. Elle me regarde avec ses grands yeux verts et me sourit.
— Merci, Madame. Ouf... Heureusement que vous l’avez ramassé... Me dit-elle comme si sa vie en dépendait.
— De rien, c’est normal...
— Il est un peu particulier à mes yeux. C’est un ami qui me l’a offert. Comment vous remercier ?
— En m’offrant un p’tit café au bar qui se trouve là-bas ?
On est face à face. Elle inspecte son foulard, le hume. Elle est, me semble-t-il, heureuse. Je la questionne sur son ami. Elle me répond que c’est pas son petit ami, qu’elle aimerait bien, mais...
— Mais quoi ? Lui demandais-je.
— Rien, rien... Il est timide et a une mère acariâtre, possessive.
Là, je reste sans voix, mais je continue mon interrogatoire. Je sais bientôt tout d’elle. Eva, fille unique, fait des études dans le même secteur que mon Jérôme, elle m’avoue ne pas savoir comment s’y prendre avec son ami, mon fils. Je cogite et lui demande si elle est libre un soir pour l’inviter à souper.
— Pas de chichi. Une fondue savoyarde ?
Ses grands yeux verts s’arrondissent. Rendez-vous est pris pour vendredi. Je jubile. Elle me fait la bise avant de s’éloigner. Elle est belle, la petite grosse de mon fils.
Vendredi, c’est le grand jour. J’ai mis les plats dans les grands. À son retour, mon fils est étonné de voir les trois assiettes sur la table. Je lui explique ma rencontre avec une jeune fille fort sympathique. Je lui souris et il part prendre une douche, me dit-il. J’hésite à monter voir mon grand prendre sa douche, mais l’envie de voir cet énorme phallus l’emporte. Doucement, je m’approche de la porte de la salle de bain. Il est sous le jet, de profil et il est en train... De se masturber... Son sexe est immense... Il se branle à deux mains et il reste de la place pour au moins deux autres de plus. Je bascule sur le mur opposé. Je n’ai rien vu d’aussi gros et grand que le sexe de mon petit. Ma gorge s’assèche, pas mon vagin. Je coule littéralement. Je suis folle d’avoir de telles pensées. Je cours dans ma chambre et me change en essayant de chasser ces images qui me hantent, mais je m’habille très sexy. Mon fils n’a d’yeux que pour mon décolleté très provocateur.19 h 00. On sonne. C’est elle, qui voulez-vous que ce soit ? Je suis à la cuisine, pétrifiée. Jérôme, tout autant que moi, va ouvrir. Le silence est plus que pesant. Je prends mon courage à deux mains et accueille Eva qui a fait un effort sur sa tenue vestimentaire. Elle est plutôt jolie quand elle est maquillée et la minijupe lui va à ravir. Une belle grosse qui sait mettre en valeur ses atouts et elle en a pas mal. Je l’accueille et l’incite à s’asseoir dans le grand divan du salon. Mon gros bêta de fils reste bouche bée devant la porte d’entrée. Eva n’en revient pas. Elle est aussi gênée que Mon Jéjé. Je ris intérieurement. Je les présente, ils sont gênés, voire mignons. Je secoue mon fils en lui disant de nous servir un bon champagne. Il descend dans la cave. Je regarde la petite Eva qui n’ose me regarder. Je brise le silence.
— Je savais que tu connaissais mon fils, j’ai provoqué cette rencontre en toute connaissance de cause. Je sais ce qui t’inquiète...
— Mais vous n’avez pas le droit...
— J’ai tous les droits sous mon toit.
Elle se bloque en voyant Jérôme avec la bouteille de champagne et trois flûtes.
— M’mam, je t’ai entendu. Tu n’aurais pas dû...
— Je sais, mais j’en ai marre de te voir dépérir. Bon, tu nous sers ?
Mon grand officie sans problème, il va même mettre la bouteille dans un seau à glaçon. Il prend place dans un fauteuil face à Eva. Quel idiot. Je m’installe à côté d’elle.
— Il y a les petits fours à sortir, tu t’en occupes ?
— Oui, m’mam... J’y vais.
— Et sors le fromage du frigo s’il te plaît mon chéri.
Eva me sourit. Je vais m’installer à la place de mon fils et à son retour, il constate qu’il ne reste plus qu’à se mettre à côté de sa copine. Ce qu’il fait sans conviction. Il est au bord du canapé, tandis que sa copine et assise bien calée au fond du sofa. C’est pas gagné.
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