Je me relève à contrecœur en abandonnant la bite de mon fils. Je suis jambes tendues et son gland et toujours en moi. Eva, qui était en train de se toucher, dégouline de la chatte. Elle en a foutu de partout jusque sur la moquette. Mon fiston ne débande pas. Ses couilles velues jouent à l’ascenseur. Quelle bête, quel animal mon fils. J’invite la petite boulotte à se relever et de prendre ma place. Elle s’aide des barreaux de la chaise pour se placer correctement. — Laisse-la te pénétrer lentement. C’est un peu dur au départ, mais ensuite c’est l’extase... Jérôme ne dit rien. Il est comme hypnotisé par la poitrine d’Eva. Il se libère en allant téter ses seins l’un après l’autre. Il s’arrête hébété quand Eva s’embroche sur son gourdin. Il gémit, souffle comme un porc. Il bave. La chatte d’Eva doit être plus serrée que la mienne. Elle continue de descendre mais remonte quand elle atteint la moitié. — Va doucement ma puce. Tu vas y arriver à prendre son gourdin dans ton minou. Elle redescend et va plus loin. Elle sait y faire, la garce. Elle ne doit pas être à son coup d’essai, mais face à un monstre pareil, elle y va lentement. Une fois que la bite de Jérôme est au fond de son fourreau, ils s’embrassent bruyamment. Ils sont en communion. Je ne peux résister à l’appel des couilles de mon rejeton. Je m’agenouille entre ses cuisses et les gobe. Ses poils me dérangent, à y remédier très vite. La petite accélère les mouvements. Elle baise mon fils en lui lançant des insanités. — Gros salop, tu aimes ma chatte. AHHH, OUIIII... Je défonce ma chatte sur ta queue... ARGH... Je lui claque les fesses. Ils se mangent la langue. Je me relève et vais participer à ce baiser ardent. Elle jouit la petite, sans arrêter son baiser. Mon fils se déride et lui palpe les seins, les soupèse, lui triture. Elle est en extase. Elle roule ses larges hanches sur la bite de mon Jérôme qui lui lâche sa purée au fond de la matrice de son Eva. Il est les bras ballants le long du fauteuil, exténué.Eva essaye de se déboîter, mais il la retient, trop heureux de sa condition d’homme-objet. Il donne de petits coups de bassin, il se finit. Eva est fière d’elle. Elle se déboîte et descend gober la bite monstrueuse de son étalon. Elle la lui lèche, récupérant tous les sucs de leur accouplement. Je les regarde avec tendresse. On se dirige ensuite vers la salle de bain pour nous rafraîchir. Étant passée la première, je déambule à poil dans la maison. Jérôme est le deuxième et arbore une verge tendue et... entièrement épilée. Il s’est rasé la queue, les bourses et l’anus le vil coquin, à moins que ce soit sa copine. Son sexe paraît encore plus monstrueux, et son torse est devenu imberbe également. Je lui tourne autour, qu’il est beau mon fils. — Maman, Eva t’attend dans la salle de bain et elle n’aime pas attendre. Comme une automate, je la rejoins. Elle est là, assise sur le petit tabouret blanc, jambes écartées, en train de peaufiner son épilation. Je la regarde faire. Qu’elle est mignonne cette petite. J’ai bien fait de l’inviter, me dis-je. Elle m’aperçoit et me tend un rasoir jetable. L’invite est claire, il faut que je me soumette à cette mode du minou glabre, je ne me refuse pas à cette demande. Je m’assois sur le rebord de la baignoire et écarte les jambes plus que de raison. — À toi de jouer, lui dis-je, fais-moi une chatte de petite fille. Un sourire se dessine sur son doux visage. Elle se met accroupie et commence son office en me tartinant le pubis de crème de rasage. Elle passe avec une dextérité toute naturelle le rasoir. Elle me fait me retourner pour parfaire le rasage de mon petit trou. Une fois fini, elle me tapote sur une fesse et me dit de prendre une douche et de me passer de la lotion apaisante. Sans autre protocole, elle se lève et va rejoindre mon Jérôme.C’est nue que je rejoins les amoureux. Ils sont dans la cuisine à laver la vaisselle. Ils sont beaux tous les deux. Prétextant un coup de fil à passer, je m’isole dans ma chambre. Coralie, il faut que j’appelle Coralie. — Allô ?— Oui, Cora... Poufs, tu ne devineras pas ce qu’il m’arrive. Ohlalalala. Incroyable.— Hum, Christine a vu le loup. Je me trompe ?— Nan, et tu ne vas pas me croire... — Quoi, tu t’es fait une nana, un mec ?— Non, oui, si... J’ai baisé mon fils et sa petite copine...— Non, quelle garce tu fais.— Je sais et je m’en veux. Mais c’était géant.— Et la bite de ton fils ne te fait plus peur ?— Elle est phénoménale. Il ne débande pas. En plus de ça, sa copine nous a rasés... Je suis pour la première fois de ma vie à poil... Lui dis-je en riant nerveusement.— Profite, ma belle. Profite et fais-toi plaisir. Pas de honte à avoir sur l’inceste. Fonce, ou plutôt, défonce-toi sur ce bel étalon. — Bon, il faut que j’y aille...— Te faire mettre ? Je te comprends... Tu es prêteuse ?— On verra, on verra. Bises, à plus... Je raccroche sans attendre sa réponse. Je réfléchis, mais à quoi bon, j’ai une envie de sexe trop longtemps refoulée. Je me sens comme revigorer, revivre. La salope qui est en moi se réveille. Ma chatte ruisselle rien que de penser que j’ai un putain de mâle sous mon toit. Je me lève de mon lit et retourne retrouver les enfants.Ils regardent un film, mais quel film, un film X, un film de cul, un film de boule. Je ne dis rien et vins m’asseoir à côté de mon fils. Il me regarde et me sourit. Sa queue est déployée à son maximum. Ses yeux parcourent mon corps. Il s’aperçoit de mon épilation. Son gland vient buter bien au-delà de son nombril.La petite boulotte vient entre mes jambes et écarte d’autorité mes cuisses. Je me tasse au fond du canapé et ne bouge plus. Doucement elle approche son joli minois de mon sexe qui dégouline. Le premier coup de langue m’électrise. Je ferme les yeux et profite de cet instant magique. Cette salope ne doit pas être à sa première relation saphique car sa langue joue avec mes lèvres tandis que son pouce me masturbe le clito. Jérôme veut aussi être de la fête et rejoint sa copine sur la moquette du salon. Et c’est deux langues qui s’occupent de mon minou. Je me laisse porter sur un nuage voluptueux de nouvelles sensations. Je les regarde s’appliquant à me sucer du mieux qu’ils le peuvent. Eva descend même jusqu’à ma petite pastille. Je craque en serrant comme une folle le cuir du canapé. Je me surprends à écarter les cuisses et à les guider de mon bassin. J’en peux plus, je jouis. Mon cœur s’emballe. Il tape fort et vite. Je crois que je n’ai jamais ressenti cela. Je me cambre et hurle. — OUIIIIIIIIII... C’EST TROP BOOOOONNNNN... Le calme revient. Je reprends mon souffle. Ils s’embrassent, se lèchent en ramassant mon jus. Qu’ils sont beaux. Je leur caresse les cheveux. Leur regard et rempli d’amour et ils viennent m’embrasser. Le gourdin de mon fils est de nouveau opérationnel. Je compte bien l’utiliser et en faire profiter la petite Eva.
