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Mon fils, cet étalon.

Chapitre 5

mon passé, mon avenir.

Inceste
Je me positionne en levrette en appui sur le dossier du canapé. Je tape sur l’assise, Eva a compris, elle s’installe à mes côtés.
— Vas-y mon grand, baise-nous bien fort.
Il ne se fait pas prier et emmanche sa copine qui, surprise, a ouvert en grand la bouche et les yeux. Je me caresse le clito et la chatte fraîchement rasée. Eva couine sous les coups de bassin puissants de mon fils. Je la regarde. Ses grosses mamelles claquent sous le dossier en cuir. Elle transpire et souffle. Mon Gégé ne se retient pas, il la pilonne avec fougue. J’embrasse Eva qui l’accepte ma langue inquisitrice avec un petit sourire de coquine. On est donc en train de s’embrasser quand je sens le gland de mon fils aux portes de mon puits d’amour. Il me fend en deux en une seule poussée. J’ai la même réaction qu’Eva, bouche et yeux grands ouverts. Eva rigole discrètement.
— Il est gros, me dit-elle, comme c’est bon de l’avoir au fond de la chatte.— OUI... Il est énorme... JE... JE... LE SENS BIEN...
Mon fils me malmène, me défonce en me donnant des petites claques. Quand il change de vagin, je me sens vide. Je rigole intérieurement en voyant le visage et les yeux révulsés de la petite. Je la "galoche" plus que je ne l’embrasse. Nos langues virevoltent ensemble. On bave comme deux petites chiennes.Mon fils va nous prendre ainsi pendant de longues minutes. Quand il se sent prêt à jouir il nous le signale gentiment. Je me retourne et mets à genoux devant mon Gégé. Eva m’imite. Nos langues sont sorties et attendent l’offrande.
— Vise bien, mon grand. Donne-nous ton foutre gluant.
Dans un râle, signal de l’éjaculation imminente, il place son gland sur la langue d’Eva. Une première giclée impressionnante arrive sur la langue de la petite. Je lui dis de ne pas avaler. La seconde sur la mienne. Ainsi il partage équitablement 8 ou 10 salves de son sperme. Je prends la tête d’Eva entre les mains et l’embrasse goulûment. Une fois nos bouches avides et vides, on se régale sur la queue de Jérôme qui tombe sur un fauteuil du salon. Il est au paradis.
— Putain, les filles, vous m’avez vidé...— T’as plus une dernière goutte pour nous ? Lui demandais-je entre deux coups de langue.— Oui, s’te plaît..."— Attendez, j’suis pas une machine.— On va te les recharger ces coucougnettes. Tu vas voir.
Je lui gobe la couille droite, Eva la gauche. Jérôme ne débande pas. Il est affalé sur le fauteuil, les yeux fermés.
— Arrêtez, j’en peux plus...
— Jacuzzi ?— Bonne idée, allez, poussez-vous, je vais le mettre en chauffe.
Mon grand dadais se lève et s’en va dans le garage qui est transformé en une grande salle d’eau avec un jacuzzi et deux douches à l’italienne, un lavabo, un chiotte séparé. Une éternité que je ne suis pas allée me prélasser dedans, quelle conne.
— WAHOU... Vous avez un jacuzzi, pour de vrai.— Sache que je ne mens jamais.— Sauf pour attirer votre fils et moi dans votre débauche.— Euh... Oui, qu’est-ce qu’il fout...
Pas le temps de finir ma phrase que mon fils réapparaît avec une bouteille de vin blanc liquoreux à la main. Il nous sert et nous trinquons. J’explique à Eva que l’installation avait été une idée de mon ex-époux. Quand en ce temps-là on en profitait pleinement. Mais depuis son départ, je n’y suis allé que rarement et que ça aller changer. On prend nos verres et je me dirige vers le garage, je suis suivi de mon fils et d’Eva. J’explique à Eva, comme nous sommes au rez-de-chaussée, on a accès à cette pièce et que la voiture dort dehors.Elle est choquée par le luxe qui y règne.
— Et beh, il n’a pas fait ça à moitié, votre ex. Superbe.
Je lui fais une rapide visite, puis petite douche revigorante. On est tous les trois dans l’eau bouillonnante. Mon fils est entouré de deux perverses qui lui triturent la verge et les couilles. Il a ses bras sur le rebord du bassin, les yeux mis clos. Il fait chaud, mon fils a poussé le chauffage. Bonjour la facture mais je m’en fous. Je profite d’un bel étalon à la queue surdimensionnée et d’une magnifique pouliche aux larges hanches et au cul plus qu’avenant. Le téléphone fixe sonne. Je saute hors de l’eau et je cours dans le salon en faisant gaffe de ne pas glisser. Je décroche.
— Christine ? C’est Coralie. Alors raconte.— Encore ?— Oui, j’en peux plus, moi...— Oui, bin là, on est tous les trois dans le garage.— A poil ?— Bin, oui, je n’ai pas l’habitude de me baigner habillé ! ! ! Idiote.— Hummm, et c’est chaud ?— On lui recharge les batteries.— Hummm, j’aimerais être avec vous.— Passe demain. Les tourtereaux n’ont pas cours.— J’ai hâte. Tu vas leur dire.— Non, ce sera une surprise. Allez, je file.
Je rejoins les amoureux qui s’embrassent amoureusement.
— Qui c’était, me demande mon fils.— Coralie...— ET ? — Rien, elle voulait juste dire bonjour. — Dites-moi, Christine, Pourquoi m’avoir piégé de la sorte ?— Je ne sais pas. L’envie de vous voir heureux.— Ouais, et tu en profites bien de notre bonheur. Précise mon Gégé.— Quand j’ai vu la taille de tes attributs, j’ai eu comme un flash. Je te voulais mais pas que pour moi, je voulais en faire profiter Eva. Et d’autres...— D’autres ?— Bon, puisque l’on est dans les confessions, je me lance. Ton père et moi avons forcément couché ensemble, mais aussi avec d’autres, toujours en étant à deux. Puis un jour j’ai découvert qu’il entretenait une relation intime avec une petite jeune. Je me suis sentie bafouée, trahie. Je lui ai laissé deux mois pour tout avouer. Il ne m’a rien dit, alors j’ai débarqué à son boulot, il n’y était pas. Le soir quand il est revenu, ses valises étaient prêtes. Voilà.— Oui, je me rappelle cette période, mais pourquoi tu ne m’as rien dit ?— C’était pendant ton bac. Je n’ai pas voulu te déranger avec ma vie de couple, et puis ton père n’était pas trop proche de toi. Il m’accusait de te couver un peu trop. Tu as eu ton bac avec mention, tu es à la fac, la vie est belle et je compte bien me rattraper...— Avec moi ?— Pas que...— Me dis pas que tu vas te faire mettre par des inconnus ?— Si, mais avec toi, et toi Eva, si tu le veux.— Arrêtez, vous deux, de parler sexe et partouze, je suis tout excitée...— Bon, je vais vous laisser et préparer un dîner dont vous me direz des nouvelles.— Je viens avec vous, me dit Eva, je vais le laisser digérer tous ça.
On se douche, se sèche et nous voilà dans la cuisine. Je fouille dans les placards et le frigo, mais ne trouve rien. Pendant ce temps, Eva me câline les fesses. J’apprécie cette tendre caresse. Je me retourne vers elle et la prends par les hanches.
— Ce soir, ce sera pizza. Ça te va ?— Oui, on a bien mieux à faire que de cuisiner. En plus c’est un repas qu’aime notre chéri. — Allez, je te laisse passer commande, moi je vais me faire belle.— Mais vous êtes naturellement magnifique, Christine.— Merci mais tu ne me tutoyais pas tout à l’heure ?— J’aime bien vous vouvoyer. Je trouve cela plus sexe.— Ne serais-tu pas une soumise qui se cherche ?— Peut-être... Hihihi.
En la prenant par les cheveux, je lui dis :
— Avec moi, tu vas être servi et mon fils également.— Hummm, une mère Maîtresse. J’adore.
On part dans un fou rire quand Jérôme revient.
— On mange quoi ?— Pizza, nous lui répondons en chœur, ce qui n’arrête pas notre fou rire.
Pizza avalée, je suis parti me coucher, les laissant seul, en amoureux. Je leur ai donné une consigne, celle de ne pas copuler toute la nuit, que demain aller être une journée chargée, mais sans leur révéler la venue de Coralie.Cette nuit-là j’ai du mal à trouver le sommeil. Plein d’images excitantes et perverses hantent mon esprit. Mon côté dominatrice soft refait surface. Il y a longtemps, bien trop longtemps que je n’ai plus été dans cet état. Je finis par trouver le sommeil vers 02 h 00.Le réveil est troublé par mon fixe qui sonne, qui sonne... C’est la tête dans le cul que je décroche le combiné de ma table de nuit. C’est Coralie qui m’annonce son arrivée pour 19 h 00. Quelle heure est-il ? 10 h 00. Ça va, j’ai le temps. Je me lève et passe devant la chambre de mon fils qui dort profondément. Je bouscule légèrement Eva. Elle tourne la tête et me sourit. Elle se lève très doucement pour ne pas réveiller son, notre étalon.
— Hihihihi, il bande comme un taureau. Me dit-elle en chuchotant.
Je ne relève pas. Je l’entraîne vers la cuisine et lui dis :
— Ce matin, shopping. On boit vite fait notre café et on se casse...— Mais comment je m’habille ? J’ai rien là. Me répond-elle d’une voix pleureuse.— Tu remets ta robe d’hier mais sans sous-vêtement. Lui dis-je d’une voix maternelle. On passera chez toi pour te changer.
On est en voiture et on a laissé un mot à notre Gégé pour qu’il ne s’inquiète pas. Le passage au supermarché est de plus comique, enfin, pour moi. Elle n’arrête pas de tirer sur sa jupe en se trémoussant, j’en rigole, elle moins. Nos emplettes finies, on repasse chez elle. Inquiète, elle s’assure qu’il n’y ait personne et me demande d’entrer. C’est dans une coquette maison que je suis invitée à pénétrer. Eva file dans sa chambre, je la suis. Une petite chambre coquette qui sent la jeune fille modèle, mais quand elle m’ouvre son placard, je comprends vite qu’elle est plus coquine qu’elle ne le montre. Outre le tas de pulls difformes et de jeans classiques, il y a plein de tenues plus affriolantes les unes que les autres. La poussant, je choisis pour elle. Une microjupe en stretch noir et un polo blanc qui moulera ses formes avantageusement. Timide, elle va prendre une douche, je l’accompagne. Qu’est-ce qu’elle est belle une fois nue, pourtant elle n’attire pas le regard avec ses pulls et ses jeans difformes. À poil, c’est autre chose. Elle est en train de se savonner. Consciencieuse, elle insiste sur sa chatte et son anus. Voudrait-elle se faire sodomiser par Gégé. Je n’y pense même pas. Une fois propre et sèche, je l’habille. Moment érotique qui me permet de la toucher, cette fille m’affole, vivement ce soir. Je lui caresse ses seins à travers le tissu du polo, ses tétons pointent. J’ai envie d’elle mais je me retiens.On rentre paisiblement, bien qu’excités, le trajet se passe bien. Quelques bisous égrainent notre retour.Chez moi, tout est paisible, on entend la douche. On se sourit mais il faut rester calme. On prépare un dîner plus que romantique. Huîtres, magret sauce aux morilles... Le dessert, on improvisera. Gégé, notre Gégé arrive dénudé et bandant comme un âne, que dis-je, comme un étalon en rut.
— Jérôme, il va falloir t’habiller un peu plus. On a une invitée. Lui dis-je en lui montrant la table où quatre couverts sont dressés.
À contrecœur et en traînant les pieds, il repart vers sa chambre en me soufflant :
— Je crois que je vais passer à la casserole. Bande de tarées...— Hummm, j’aime quand tu es bougon... Lui rétorque Eva.
Elle et moi, on part dans un fou rire plus que nerveux. Elle m’interroge du regard mais je ne lui dis pas ce qui lui attend. 19 h 00 pétante, Coralie gare sa grosse berline allemande devant mon garage. Je cours lui ouvrir. Elle est magnifique avec sa robe fourreau rouge et ses hauts talons noirs. Je la prends dans mes bras et l’embrasse devant Eva, qui vire au rouge pivoine.Une fois installé autour de la table basse de mon salon, on attend plus que l’arrivée de l’étalon de la maison. Il arrive avec une bite arrogante sous un pantalon en toile et un tee-shirt blanc qui le moule à la perfection. Qu’il est beau, mon fils... Je lui demande de nous servir le champagne, ce qu’il fait prestement. Aucune de nous trois ne lâche le pantalon de Gégé des yeux. Coralie s’en lèche les babines, Eva remonte sa microjupe, moi, stoïque, je dis :
— A notre soirée et plus si affinité...
On part dans un rire nerveux. On attend qu’une chose, se faire mettre par l’immense queue de mon étalon de fils.
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