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Mon fils, cet étalon.

Chapitre 7

Inceste
Une fois dans ma chambre, elle se libère.
— J’aime votre fils mais je ne sais pas si c’est réciproque...— Tu en doutes ? Il ne te l’a pas prouvé ? Que te faut-il donc ?— J’en sais rien... Il vous aime vous et sa prestation avec Coralie...— Ça te gêne ?— Oui...— Écoute-moi bien. Avec une bite de cette taille, ses couilles bien remplies et son appétit sexuel, tu devrais nous remercier d’être là. Il t’épuiserait à force. Il est tellement heureux d’avoir trouvé un fourreau si accueillant que le tien. Je l’ai dépucelé il n’y a pas si longtemps et crois-moi, il avait peur que tu te sauves en courant. Il avait déjà eu des flirts, mais ces connasses s’enfuyaient rien qu’au contact de son anaconda. Mais il t’aime, timidement, mais à sa façon de te regarder et te dévorer des yeux, il t’aime comme un fou, crois-moi. Tu n’as qu’à rester ici ce soir et dormir avec lui. Tu verras bien si ce que je te dis est vrai.— Mouais, mais j’ai peur de sa réaction...— Jéjé, criais-je, viens ici tout de suite...
Il arrive tout de suite, la bite à la verticale. Je lui explique la situation. Eva est rouge de honte. Lui, il sourit et l’enlace tendrement.
— Oh que oui que je t’aime. Tu es la première, la seule fille avec qui j’aimerai finir ma vie... — Oups... Je vous laisse...
Je ressors le cœur battant. Je titube jusqu’au salon jusqu’à Coralie. Elle m’interroge sur ce que je viens d’entendre. Je lui dis tout. Mon fiston va se marier. Coralie est heureuse pour mon fils et moi. Que j’ai bien fait de les pousser un peu. On s’embrasse et on se retrouve dans un 69 les plus torrides. On roule sur l’épais tapis du salon. Elle me bouffe la chatte, je lui dévore le minou. Mes mains caressent ses seins, les siennes viennent écarter mes nymphes et s’y enfoncer progressivement.
— Elle me fiste, la salope... Hurlais-je.
Elle joue de sa langue sur mon bouton des plaisirs. Quelle torture divine, je me sens remplie et ma cyprine coule directement dans sa bouche grande ouverte. Elle se délecte, me pourlèche. De mon côté, je suce son petit clito. Elle donne de petits coups de bassin, imitant un coït. Quand elle retire son poing, je me sens vide et vidée. Je reste les bras en croix, allongée sur le tapis. Elle se relève pour s’accroupir devant mon sexe. Elle me saisit sous les fesses et plonge son museau sur mon con.
— Tu as bon goût, ma chérie, avec le reste du sperme de ton fils, Un Régal.— Fais-moi goûter...
Telle une chatte en chaleur, elle rampe sur mon corps et partage sa récolte dans un baiser brûlant.
— J’ai soif. Dit-elle. Il te reste du champagne ?— Au frigo, je crois.
Tel Zébulon, elle saute et court vers la cuisine. La cyprine coule entre ses cuisses. L’odeur qu’il règne dans cette maison est insoutenable, mais terriblement excitante. Elle revient avec une bouteille et deux verres propres.
— Après, on range un peu ?— Attends, laisse-toi aller. Profite.
Elle ouvre la bouteille et nous sert. Coco me mange des yeux, je retrouve ma partenaire d’autrefois. Elle se met à califourchon sur mes cuisses, elle m’enlace. Son visage, ses lèvres se sont dangereusement rapprochées. Elle pointe sa langue hors de sa bouche. Allez, j’y vais et c’est dans un balai obscène que nos langes se rencontrent. On joue une partition saphique torride. Nos salives se mélangent, on se boit l’une et l’autre. On se suce tour à tour, on se mordille les lèvres. C’est plus qu’un simple baiser passionnel, c’est... Comment dire... Fusionnel. Nos mains n’oublient pas une partie de nos corps. Quand d’un coup, on redescend de notre paradis.
— Heum-heum.
On tourne la tête. Mon Jéjé et son Eva sont là, à nous regarder. On est tempe sur tempe, souriante.
— Waouh, que vous étiez belles... Nous dit Eva.— Oui, belle et bandante... Lance mon fiston qui est encore en pleine érection. Il nous reste un peu de champagne ?— Oui, mon gros coquin, lui dit Coralie qui n’hésite pas à reprendre là où on en était. Elle me lèche le visage, me suce la langue puis se lève pour s’assoir sur le bord de la table. L’invite est trop belle pour être refusée. Je plonge sur son con et y fourre ma langue. Son goût est exquis enivrant. J’aspire ses petites lèvres et son clito. Elle se penche en arrière pour embrasser la petite Eva. Mon fils, excité par le tableau qu’on lui offre, bande à nouveau, comme un taureau devrais-je dire, mais c’est un étalon que j’ai sous mon toit. Il se lève et se positionne derrière la petite qui se cambre comme une salope. En une poussée une seule, il pourfend sa petite amie. — Doucement, chéri, vas-y doucement.— Oui, mon cœur, mais je suis tellement bien au fond de toi.
Qu’ils sont mignons, pensais-je, ils se sont bien trouvés et grâce à qui ? Pour l’instant, je me concentre sur ma tâche, c’est-à-dire de bouffer la chatte de mon amie et amante. Jéjé a accéléré, Eva jouit déjà. On ne peut pas lui en vouloir, vu le phallus qui est en train de la ramoner. Coco est prise de spasmes incontrôlés et incontrôlables. Qu’elle est belle quand elle prend son pied comme ça. Jéjé s’assoit en entraînant Eva. On peut voir la grosse, l’énorme bite de l’étalon la pénétrer. C’est une vision fantastique, Eva saute littéralement sur le sexe de mon fiston à une allure effrénée. Jéjé jouit et libère une dose de sperme toujours aussi impressionnante. Je n’en reviens pas, ça lui coule le long de sa tige et lui inonde les couilles. Je me précipite sur ses précieuses pour apprécier ce jus de couilles.
— Hummm, Jéjé, je suis accro à ton jus, et à celui d’Eva.— Je sais, maman...
Eva me caresse le sommet de mon crâne. Coralie, pas jalouse mais gourmande, vient me rejoindre.
— Slurp, slurp... Vas-y ma Coco, Il y en a assez pour deux.— Oui, merci. Et attends que cette cochonne se retire, j’en bave déjà.
Justement, la petite se retire difficilement et c’est un flot de sécrétions qui coulent le long du manche de mon fils. Coralie est plus rapide et se gave de ces sécrétions mélangées. Pas folle la guêpe, j’allonge Eva à même le sol et lui lèche, lave son chat qui dégouline.Après cette baise, oui parce qu’on peut parler de baise intense, on part tous dans le garage pour une douche et mise à l’eau de nos corps fatigués dans le jacuzzi. Mon Jéjé, en galant homme, nous sert quatre coupes de champagne et nous rejoint.Il ne bande plus et c’est tant mieux. J’ai des courbatures affreuses et j’ai le sexe en compotes. Pas un mot n’est échangé. Jéjé finit le champagne puis sort de l’eau et s’en va dans sa chambre, entraînant sa dulcinée derrière lui.Eva reste dormir à la maison, on trouve très vite le sommeil dans les bras de l’une-l’autre.
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