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Mon fils, cet étalon.

Chapitre 8

Inceste
Je revis, je me lève, Coralie est déjà debout. J’entends une des deux douches du garage. Coralie est en train de se laver. Je l’admire. Malgré ses 45 ans, elle est magnifique. Fine de taille, large des fesses et une cambrure qui ferait bander n’importe quel homme, bref, elle est magnifique. Je m’approche d’elle et la prends dans mes bras. Elle ne réagit pas, elle apprécie le moment.
— Tu t’es déjà levée ? En lui déposant de petits bisous dans le cou.— Mmoui, j’ai rendez-vous à 10 h 00 pour une séance d’UV.
On se lave mutuellement, on se sèche et on s’habille. Elle avait prévu du change. Elle est resplendissante dans sa jupe rouge et son tee-shirt blanc. On rejoint le salon. Tout est propre et impeccablement rangé. Je reste sans voix quand mon grand me prend, par surprise, dans ses bras.
— Bonjour maman chérie. Il y aura le lave-vaisselle à vider. Eva et moi, on va faire les boutiques.
Je me retourne. Qu’il est beau mon fils. Il est rasé de frais, coiffé en arrière, légèrement parfumé. Eva me fait un bisou sur la joue. On s’installe à la table de la cuisine, tout est prêt. Café, chocolatines et croissants nous y attendent. Je n’en reviens pas. Mon Jéjé m’embrasse sur le front et me dit qu’il sera de retour pour 18 h 00.
— Tu veux de l’argent ?— Non, ça ira. Il faut que l’argent que me donne mon père serve à quelque chose. T’en fais pas, j’ai de quoi.
Il s’en va, suivi d’Eva qui me fait un petit signe de la main. Charmante Eva. Il est vrai que son père donne une somme d’argent en plus de la pension alimentaire. Avec sa situation professionnelle, cela ne doit pas le déranger plus que ça. Il a fallu qu’il se laisse embobiner par cette jeune secrétaire pour tout foutre en l’air.
— Bon, ma puce, repose-toi bien. Il faut que j’y aille.
Elle m’embrasse sur la bouche et s’en va. J’entends le bruit de sa voiture s’éloigner. J’ai le blues.
— Allez, ma fille, me dis-je, au boulot.
Je vide le lave-vaisselle, je range tout à leur place et charge les bols du petit-déjeuner. Je passe un coup d’éponge sur la table. Voilà, tout est nickel. Je pars vers ma chambre, en passant devant celle de Jéjé, je m’aperçois que c’est bien rangé et le lit est fait. Je m’allonge sur son petit lit. J’imagine les deux amants faisant l’amour dans ce lit une place. Il est temps d’en changer. Je me lève, vais faire mon lit. Je farfouille dans les magazines d’ameublement. Rien ne me plaît. Je décide donc de descendre à la zone commerciale qui est à 5 kilomètres.
Je me gare devant une enseigne bien connue d’ameublement. Non pas celle où il faut être diplômé pour monter la plus petite des armoires, mais une enseigne bien française, "B...".
Je regarde les lits, évidemment, je suis venu pour ça. Mon regard se bloque sur un lit immense de 2 x 2 mètres. Il est entièrement fait en plexiglas, sauf la tête de lit, elle est faite d’une barre en acier chromé. Je m’imagine déjà attachée à cette barre, soumise aux pires outrages infligés par Jéjé et Eva. Mais là, je m’égare quand une charmante hôtesse m’adresse un charmant sourire.
— Vous désirez de l’aide.— Oui, je suis intéressé par ce lit, mais le prix...— Oui, mais il comprend les meubles. Une chambre à coucher complète. À ce prix-là, c’est cadeau. En plus, vous bénéficiez de 50 %, c’est promotionnel. Alors ?— J’achète.
Elle me demande de la suivre. Ce sera livré dans l’après-midi.
— Et l’ancien Lit ?— Nos livreurs vous le prendront, ne vous inquiétez pas... Vous voulez le montage ?— Je peux ?— Oui, 100 euros.— C’est parti.
Je retourne chez moi, excitée comme une puce, non sans avoir réglé.Efficace les trois p’tits gars. En une demi-heure, le lit et les meubles sont montés. Je finis de ranger son ordinateur sur son bureau, de ferme l’immense placard. Je trouve des draps à la taille de son matelas, fais son lit. Ça sent le neuf, pour combien de temps ? Je m’écroule sur mon lit, les bras et les jambes en croix. Je pense à Coralie quand mon téléphone sonne. C’est elle.
— Salut ma puce, ce soir, je vous invite au resto. Ensuite, on ira en boîte ou en club. Qu’est-ce que tu en dis ?— Euh, J’sais pas, j’suis crevée...— Ô, mon cœur, qu’est-ce que tu as fait ?
Je lui raconte ma matinée et mon après-midi. Elle me dit que de me changer les idées me fera le plus grand bien. Elle passe à 19 h 00, elle a déjà réservé. Je houspille tendrement, elle raccroche en rigolant. Il est 16 h 00. Un peu de repos me fera du bien. Je m’endors.18 h 00 à mon radio réveil quand j’entends hurler mon fils. Je le lève et va vers sa chambre. Il est allongé avec Eva sur son lit et admire tous ses nouveaux meubles. En me voyant, il me saute au cou.
— T’es folle maman. Complètement taré... Aïe...
Eva vient de lui administrer une claque sur les fesses. Il est fou de joie et saute sur son lit.
— Hé, Ho, du calme lui lance Eva, tu vas péter le sommier avant que l’on n’ait pu le tester.— Bon, allez, les enfants. Il faut vous préparer, Coralie nous invite au resto.— Mmouai, elle ne serait pas un petit peu amoureuse de toi ? me questionne Jéjé.
Je rougis et me sauve en direction du salon où tout un tas de sacs et de boîtes à chaussures s’offre à mes yeux. Je dis à Jéjé qu’il a fait des folies. Il m’explique qu’il a fait la rencontre de son père au centre commercial et c’est lui qui a craché au bassinet. On rigole tous les trois, et il me donne un sac et une boîte à chaussures.
— Là, c’est de ma part...— Et ça, de la mienne, me dit Eva en me donnant une petite boîte.— On file à la douche, on prend celle du garage...
Ils partent après avoir ramassé les paquets. Je pars dans ma chambre. J’entends les enfants sauter sur le grand lit. J’espère qu’ils ne vont pas l’essayer maintenant. Je me douche et me pomponne. Je me mets nue devant le miroir de ma chambre. Je me trouve belle, attirante et c’est déjà pas mal.
Coralie arrive pile-poil à l’heure. Je lui saute au cou. Elle est belle avec sa jupe courte rouge et son chemisier en satin blanc. Moi, j’ai mis ce que m’a offert Jéjé. Une robe noire fendue sur les deux côtés et les sandales à talon. J’ai passé le collier ras du cou que m’a offert ma future belle-fille. Coralie me dit que je suis magnifique et cela me fait chaud au cœur. Quand Jéjé arrive, il porte un jean en similicuir noir et une chemise blanche. On peut voir son torse imberbe, il s’est fait épiler. Sans dire un mot, il nous sert du champagne. Alors, Eva apparaît. Sublime, rayonnante dans sa robe fleurie dans les tons jaune-orangé et de petits escarpins de la même couleur. Son maquillage est discret, elle est jolie comme un cœur.
— Euh... T’es sûre qu’on ne lui demandera pas une carte d’identité ? dit Coco en rigolant.
Eva lui tire la langue.Le trajet se passe bien, Coralie et une bonne conductrice, prudente. On arrive au restaurant. Un petit resto italien plein de charme. Elle me regarde en souriant, elle sait que j’adore la cuisine italienne. Le repas se passe bien jusqu’à ce que :
— On va où ? Boîte où club ? Ce soir, c’est uniquement réservé aux couples... Enfin, il faut être deux, dit Coralie en me caressant la main.— Je ne sais pas. Vous en dites quoi, les enfants ?
Eva est rouge comme une pivoine. Mon Jéjé regarde son pantalon. Il est en érection.
— Le club ? demande-t-il à sa chérie.— Comme tu veux mon amour. Je te suivrais partout, même s’il fait te partager, mon cœur.
On se lève et ce n’est pas sans une certaine difficulté pour mon grand. On y va à pied, c’est à deux minutes. Coralie, habituée des lieux, sonne. Une petite femme, la cinquantaine, nous accueille.
— Coco, que cela me fait plaisir de te voir. Tu connais les lieux. Tu fais la visite ?— Oui, t’inquiète. Je te présente Eva, la future de Monsieur Jéjé et Christine... Ma petite amie.
À ces mots, mon cœur s’emballe. Coralie nous entraîne dans un labyrinthe de couloirs et de petites salles. On se fout à poil. Jéjé est gêné, il bande comme l’étalon qu’il est. Après une douche rapide, on passe de longs peignoirs blancs. Je dis à mon Jéjé de coincer son monstre avec la ceinture. Sa bite remonte bien au-dessus du nombril.
— Voilà, tu es présentable, lui dit Coralie.
Elle me prend la main et croise ses doigts aux miens. Cela me fait tout drôle et elle le sait, le sent. Elle me tire à elle et me fait un petit smack.
— Je t’aime, Christine. Viens, on va le montrer à tout le monde.
Elle avance vers la musique, pousse un lourd rideau noir et on arrive sur une piste de danse et à notre droite, un bar. Un jeune homme, 20 ans environ, nous adresse un large sourire et nous demande si l’on a réservé.
— Oui, une table de quatre, dit Coralie, au nom de Coco et Cricri...
Celle-là alors, elle me surprendra toujours. On suit le jeune homme jusqu’à une table basse dans le fond de la salle. Il est habillé uniquement d’un boxer jaune fluo et d’espadrilles. C’est discret. Elle s’approche des deux jeunes et leur défait le nœud de leur ceinture. Elle écarte les pans de la petite, elle laisse fermer ceux de mon garçon. La chatte de ma future bru est déjà toute dégoulinante. Le barman nous apporte quatre cocktails de bienvenue. On trinque à notre soirée et à nos amours. Coralie me regarde.
— Je me ferais bien bouffer la chatte par ce p’tit mec... Waouh, t’as vu le cul qu’il a...
Coralie est en chasse. Si c’est comme dans le temps, c’est au moins cinq mecs qui passeront à la casserole. Je lui souris. Elle sirote tranquillement son cocktail de façon érotique en passant la langue sur le filet de sucre qui borde le verre. Je la regarde s’exciter quand mon regard est attiré sur la piste de danse. Des mecs, plus ou moins jeunes et plus ou moins membrés, se trémoussent autour de trois nanas, tout juste majeures. Ça se frôle, ça se caresse. Une machine à fumer se déclenche. On ne voit plus ce qu’il se passe sur le dancefloor. C’est le moment que Coralie choisit pour m’entraîner au milieu de cette petite foule. Je bous de l’intérieur, le cocktail doit y être pour quelque chose. Je me trémousse comme les autres mais collée serrée sur mon amie. Des mains s’égarent sur mes fesses, à voir la tête de Coco, elle aussi. Une nana est montée sur une estrade équipée d’un pôle-barre. Elle se frotte sensuellement à la barre.
Coralie, surexcitée, m’entraîne vers une plus petite scène également équipée. On se frotte à la barre en descendant nos popotins. On se tient par les fesses, on se les triture. Le public exulte, il frappe dans les mains. On s’embrasse sauvagement, violemment. Nos dents s’entrechoquent, on se mord les lèvres. Jéjé et Eva se sont levés. Il a embroché la petite qui n’a plus les pieds au sol, elle les a passés autour de la taille de son mec. On les regarde, amusées. Une femme, la cinquantaine, embrasse à pleine bouche et pelote la troisième midinette. Les mecs se masturbent lentement. Un vieux, environ 60 ans, se rapproche de ce couple lesbien. Après avoir discuté, ils s’en vont s’isoler dans une alcôve. Le champagne leur est servi.
On redescend et on va se lover sur les banquettes de notre table. Jéjé et Eva ont disparu.
— Ils doivent bien s’amuser, dit Coralie, et toi ?— Je peux être franche avec toi ?— Vas-y.— J’aurais bien aimé t’avoir que pour moi.— Patience, on a dimanche pour s’aimer. Ce soir, c’est l’éclate totale, on s’amuse... Depuis le temps que j’attendais ça.— Tu as raison. — T’as vu le barman, il n’arrête pas de nous mater...
Je regarde en sa direction, il sert des clients et clientes et blague avec eux. Entre deux discussions, son regard nous déshabille, pour le peu qu’il puisse encore le faire, nous sommes nues.
— Ça te dit ? me demande Coralie.— Mais il sert !— T’inquiète, sa patronne est très compréhensive. Allez, lève ton gros cul.— Ah bin merci...— Quoi, je l’aime ton fessier, je suis sûre qu’il va l’aimer aussi.
On se lève en direction du bar. Coralie adopte pour une démarche chaloupée, moi, plus discrète. Il y a du monde au bar, il nous faut jouer des fesses pour nous faire une place. Coralie a trouvé un endroit stratégique, un tabouret en bout de bar. On a une vue imprenable sur le beau petit jeune homme. Il vient vers nous.
— Désirez-vous quelque chose ?— Oui, toi, lui répond Coralie du tac au tac.
Le jeune lui sourit et nous tend deux cocktails. Il nous dit qu’il a bientôt une pause d’une heure, il se fera un plaisir de nous accompagner au hammam. Bon sang que c’est long, il nous regarde en rigolant. Je sens Coco sur le point de bondir.
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