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Mon fils, cet étalon.

Chapitre 10

Inceste
Mon fils et Eva ont été déposés en bas de la rue. On les regarde remonter amoureusement, main dans la main.
— Ils vont bien ensemble, dit Coco.— Oui, ils sont beaux... Bon, on y va ?— c’est parti mon Kiki...
Je me tiens fermement à la poignée du plafond, c’est qu’elle envoie la copine. On est vite chez elle. Elle fait coucou à un couple de voisins et on entre dans sa cour de devant. Elle déverrouille la porte d’entrée et s’en va directement dans sa chambre, notre chambre. On déballe mes affaires, son mari m’ayant fait de la place. Il est chou. Elle se met à poil et me dit :
— Piscine...
Je limite et là, suis de peu dans l’eau chaude de sa piscine. Je suis bien. Je fais la planche. On discute de tout et de rien, mais ça dérive sur le cul. On rigole, on se colle l’une à l’autre. On s’embrasse passionnément, amoureusement. On se frotte les jambes sur nos intimités, je bouge. Coralie m’attrape par les fesses et me les malaxe. Elle m’embrasse d’une façon brutale, bestiale. Elle me mange les lèvres, la langue. Je suis coincée contre le mur, je l’entoure de mes jambes et frotte mon minou sur son ventre.
— Aïe, mais tu piques ! Allez, une séance d’épilation s’impose ma chérie.
Elle m’entraîne hors de la piscine. On traverse son grand couloir et on entre dans son garage. On se lave. Je touche mon sexe, effectivement, ça pique. Elle m’installe sur la table et sort de je ne sais où, une machine à épiler au laser. Elle m’épile le sexe, l’anus, les aisselles. Pour les jambes et les bras, elle utilise une crème. Repassage par la douche, je suis totalement nue, enfin, je me sens totalement nue. Elle me réinstalle sur la table, m’attache mains et pieds, largement écartés.
— Ne t’inquiète pas, je vais te présenter "Roger Rabbit".
Elle installe une machine à baiser entre mes cuisses et y fixe un gode réaliste et de bonne taille.
— Tu vas voir. Il est infatigable.
Elle le met en route et je sens le gland factice tapoter mon clito. Elle laisse la machine travailler mon bouton d’amour et vient m’embrasser. Une chaleur m’envahit, une vague de sensation me submerge. Entre jouissance et souffrance, je ne suis plus la Christine dévergondée, mais bel et bien une chienne en chaleur en attente de sa saillie. J’essaie de bouger mon bassin pour le sentir en moi, peine perdue, Coralie m’en empêche. Ce traitement me fait hurler. Je mouille énormément, je sens ma cyprine couler entre mes cuisses et humidifier mon anus. Ma chatte palpite, elle veut cette bite en plastique, elle veut se faire ramoner. Coralie cède à mes suppliques, elle fait rentrer le gland dans ma grotte détrempée. Je sens le bout de l’olisbos me pénétrer et venir buter sur mon col. Putain que c’est bon de se sentir remplie. Je délire, je me surprends à prononcer le prénom de mon fils.
— OUI, prends-moi à fond mon Jéjé... Bourre ta putain de mère...

Coralie, qui a augmenté la vitesse des coups de bite, se met à califourchon et me présente son abricot. Je lui mange, le mord, le suce, je le pénètre de ma langue. Elle, elle m’agace le clitoris qui est devenu hypersensible. Je pousse mon bassin en avant, j’y arrive ! Elle m’a détachée, la pute. Je ne m’en suis pas rendu compte. J’attrape ses fesses, les lui écarte et je plante ma langue dans son petit conduit. Je ne sais pas comment elle a fait, mais un deuxième gode vient de me pénétrer le cul. Je suis doublement pénétrée, cela fait bien longtemps que je ne me suis pas sentie aussi bien remplie, l’extase. Ils vont et viennent en moi en alternance. Je ne peux plus prononcer un mot. Coralie est redescendue et accélère les coups de ses deux amants infatigables. Je m’évanouis, je crois, car quand je reprends mes esprits, elle a tout débarrassé.
— T’es vraiment qu’une salope..., lui dis-je.— Et toi, une chienne.
Elle me prend dans ses bras pour me relever et c’est avec peine que l’on rejoint les bords de la piscine. Elle m’embrasse et me dit :
— Tu as besoin d’un rafraîchissement, ma chérie, en me poussant dans l’eau.— Haaaaaaa, salo...
Je refais surface quand elle plonge me rejoindre. Je la fuis, du moins, j’essaie. Elle me rattrape et m’enserre dans ses bras.
— Je t’aime Christine.— Je t’aime Coralie.
On reste de longues minutes à nous bécoter comme deux gamines ayant découvert le corps de l’autre. Je sors de l’eau par l’échelle, elle part par les marches. Je la rejoins sous la douche extérieure. On se masse plus que l’on se savonne, on s’embrasse, on s’aime. Soudain, le bruit de la cloche d’entrée résonne.
— Putain, fait chier, dit Coco, qui vient nous faire chier à cette heure-ci.
Elle se pare d’un paréo et va ouvrir au malotru. Elle trottine à travers sa villa en pestant. Je passe un paréo, on ne sait jamais. Elle revient, calmée , et en compagnie d’un monsieur d’un âge certain, autour de la soixantaine. Elle me Présente Roger, un voisin qui a pris l’habitude de venir boire l’apéro avec Pierre. Elle l’a invité en lui précisant que son mari s’était absenté pour le boulot. Il a le crâne dégarni, un ventre qui déborde de son marcel et de son pantalon. Pas très ragoutant tout ça. Coco est partie chercher le pastis habituel. Le vieux Roger me déshabille du regard.
— Que faites-vous dans la vie, Monsieur Roger ?— Je suis vigneron, j’ai mon exploitation un peu plus haut dans la rue...— Alors, mon gros Roger, on drague ? dit coco, revenant en poussant une desserte.
Elle nous sert et bien que n’aimant pas trop le pastis, je prends le verre qu’elle me tend. Ils sont bien tassés. Il boit son verre presque cul sec et se tape sur la panse.
— Un deuxième pour la route ? lui demande Coco.— Le premier, c’était pour la soif. Les toilettes sont toujours au même endroit ? dit-il en riant gras.
Pendant cet instant où nous sommes seules, elle m’explique qu’ils l’avaient rencontré dans un bal du village voisin, ils avaient sympathisé et de fil en aiguille, il était devenu un ami très proche, surtout sa femme. Une plantureuse black de vingt ans sa cadette et qu’elle venait souvent à la piscine. Lui était un peu rustre, mais était un bon gros nounours bien équipé selon sa femme. Il la faisait grimper aux rideaux, mais là, elle est partie à Dakar en vacances dans sa famille. Il était seul, le pauvre, me dit-elle en me faisant un clin d’œil.
— Alors, il n’est pas servi mon pastis ? On laisse deux charmantes donzelles seules deux minutes et ça déblatère sur votre dos.— Mais non, on parlait de ta charmante épouse.
Son regard s’embrume. Il a l’air d’un chien battu. Il se ressert seul, oubliant nos verres et c’est tant mieux. Coralie lui ébouriffe le peu de cheveux et lui dépose un bisou à la commissure des lèvres.
— Allez, bois un coup, mon vieux Roger. On est là nous.
Sa langue, celle de Coco, s’aventure sur le coup pleine de sueur de Roger qui ne dit rien, il ne bouge plus et me fixe. Coco revient près de sa boche et sa langue force les lèvres de notre ami. Il ferme les yeux et s’enfonce dans son fauteuil. Elle insiste, il cède. Ce n’est pas un baiser tendre, mais un patin bien baveux qu’ils s’échangent. Coco prend le verre de Roger et le pose sur la table et tombe son paréo. Elle prend une main de ce vieux cochon et la pose sur sa poitrine. Il rouvre les yeux, il est en admiration devant les mamelles de ma copine. On peut voir son sexe se durcir sous son pantalon de toile bleue. Une main baladeuse de Coco se dirige vers la braguette à boutons et les fait sauter l’un après l’autre. Sa main s’infiltre par l’ouverture et dit :
— Tu n’as pas de slip ? Vieux vicelard...— J’en mets jamais quand je travaille.
Elle se penche et renifle la bite du petit vieux. Elle doit sentir fort, mais cela ne la dérange pas. Elle passe sa langue sur le prépuce puis sur le méat. Roger souffle.
— Ma femme adore quand ça pue, c’est une fieffée salope.— Je sais, elle me raconte tout.
Elle descend vers les couilles recouvertes de poil blanc et lui en gobe une.
— Déshabille-toi que je te respire.
Roger se met nu et me regarde avec envie. Il me demande de me caresser, ce que j’étais en train de faire, mais sous mon paréo. Je l’ôte. Il a un regard carnassier sur mes seins et ma minette fraîchement épilée. Je ne sais pas comment j’ai fait, mais je me retrouve assise sur la table, jambes écartées, en train de me toucher le bouton. Je regarde mon amante sucer avidement le gentil vieux dégueulasse. Instinctivement, automatiquement, je la rejoins. L’odeur d’urine, de sueur et de fromage caillé me monte aux narines. Je gobe ce gland puant et me délecte de cette odeur... Enivrante. On est deux à se partager cette queue peu ragoutante, mais on y met tout notre cœur. Roger se raidit et dans un beuglement sans nom, il éjacule entre nos deux bouches. On récupère sa semence juste son torse poilu.
— Vous êtes de sacrées salopes...— Et vous, un sacré vieux vicelard... lui répondis-je.
Coco m’embrasse, partageant les effluves de cette bite. Roger se ressert pendant que nous allons dans la salle de bain nous laver la bouche et les dents à grand coup de dentifrice et de lotion.
— C’est dégueu...— Oui, mais tu as aimé, non ?— Oui...
On rejoint Roger qui s’est rhabillé. Il sirote son verre en nous regardant.
— Dommage, je n’ai plus vingt ans.— Pourquoi ?— Je vous aurais prises toutes les deux... Bon, assez rêvé, il faut que j’y aille.— La prochaine fois, viens avec ta femme... Elle aura le droit à une surprise.
Il part en titubant, non pas qu’il est saoul, mais à cause de sa queue pas encore tout à fait endormie. On l’entend jurer comme un charretier, puis le son de son tracteur s’éloigner.Il est presque vingt et une heures quand j’entends mon Jéjé hurler au portail.
— HOUHOU, les filles vous êtes là ?
Coralie étant partie ranger la desserte, je pars ouvrir. Mon Jérôme ne s’offusque pas de me voir nue. Il apporte des pizzas, ça tombe bien, j’ai faim. Eva le suit, elle se désape dans l’entrée de la villa. Je lui demande comment s’est passé leur rendez-vous. Apparemment, ils sont très sympas et heureux que leur fille unique soit tombée sur lui (sic). Ils ont bu un très bon Chianti. Son père lui a fait visiter son jardin, sa fierté. La mère était aux petits soins pour mon fiston, un peu trop même. Eva lui explique que toutes les "Mama" siciliennes sont très tactiles et que c’est une marque d’affection. Elle le considère comme étant, désormais, de la famille.
— Bon, on mange ? dit Coco qui découpe les pizzas.
Le seul à être encore habillé, c’est mon grand et Eva le lui fait remarquer. C’est un peu gêné qu’il enlève ses vêtements. Il a de quoi être mal, il bande comme... Un cheval.
— Ça va, je ne veux pas entendre une réflexion.— C’est de voir ta mère nue que tu bandes, mon chéri ? lui lance Eva.— Pas spécialement...— Ouais, mon œil...
On part toutes les trois dans un fou rire, en matant ce rostre immense palpité. Mon fiston se réfugie dans son morceau de pizza. Qu’il est mignon avec sa bite qui lui arrive presque entre les côtes. Il perle. Eva, coquine comme jamais, récupère le précieux liquide avec un doigt et le porte à sa bouche. Un délice, nous dit-elle. On repart à rire tel des ados qui regardent leur premier film X. Imperturbable, notre homme de la soirée mange sa pizza en nous ignorant.
Ce soir, j’ai encore faim, faim de sexe. J’ai envie d’être la salope trop longtemps refoulée. Je me lève et vais dans le dos de mon fils. Je pose mes mains sur ses pectoraux, je l’embrasse dans le cou, le lèche sous le regard envieux de ma copine et d’Eva. Je passe devant et lui torture les tétons avec ma bouche. Il croit que je veux m’empaler, mais il se trompe. J’ai envie de le faire craquer et qu’il me prenne sauvagement par tous mes orifices. J’ai envie d’être une salope de mère incestueuse sans tabou qui se tape son fils. Je caresse sa hampe du dos de la main, elle a des sursauts. Les deux autres femelles en chaleur m’ont rejoint.
On le déplace vers un transat, on le met fesses dans le vide. Il ne repose que par le dos et les épaules, ses jambes qui reposent au sol sont écartées au maximum par les bons soins de sa chérie. Il va être la proie de trois furies, de trois folles furieuses avides de cette bite, de ce monstre. Coco dispose des coussins autour du lieu de supplice pour notre confort. Eva s’installe entre ses cuisses et commence un anulingus, essayant de violer sa rondelle encore vierge. Coco lui offre sa chatte à bouffer et lèche la bite de mon fils qui a fermé les yeux. Moi, je gobe ses grosses coucougnettes, l’une après l’autre, un régal. Je regarde Eva qui me sourit. Elle est belle cette petite joufflue. J’ai envie d’elle. J’abandonne mon fils pour rejoindre l’arrière-train de ma belle-fille. Je hume ses effluves, ses flagrances qui me rendent folle. Je lui écarte les fesses et lui prodigue la même caresse. Son petit trou palpite sous ma langue, j’arrive même à le pénétrer.
— Ô ! ! ! Christine... J’aime... arrive-t-elle à dire.
Je mouille mon majeur dans son conin et le lui plante dans son cul.
— Ouiii, plus, j’en veux plus...
Un deuxième doigt fait son arrivée sur son anus. Je le dilate en écartant mes doigts et en les tournant. Qu’il est beau ce petit œillet qui palpite. Je l’embrasse et insinue ma langue. Je ne peux voir les réactions d’Eva, mais elle doit apprécier, vu qu’elle s’écarte les fesses. J’entends les bruits de succion que font Coco et mon fiston. C’est sale, obscène, mais je me régale. À quatre doigts dans le cul, elle a abandonné celui de mon fils. Je récupère son jus de chatte pour la lubrifier. Il est temps pour elle de connaître le grand frisson de la sodomie avec le monstre.
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