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Mon fils, cet étalon.

Chapitre 12

Inceste
Après cette belle entrée en matière, mon Jéjé bande toujours et j’ai l’idée que de prendre sa future belle-doche ne le dérange pas. Il s’allonge sur sa serviette et attend, l’étendard tendu. Vana est encore sous le choc de s’être laissée aller. Sa fille lui sourit avant de lui rouler une pelle pleine de perversité. Coco, cette salope de première s’est mise en 69 avec mon fils.
— C’est dingue, demande Vana à sa fille, tu n’es pas jalouse ?— Pourquoi le saurais-je ? Je l’aime, il m’aime et il me l’a prouvé en t’incluant dans notre cercle intime. Tu sais, maman, il était évident que tu en fasses partie. — Je ne sais quoi dire.— Dis rien et embrasse-moi.
Elles se tiennent par les hanches et s’embrassent en jouant avec leur langue. Coco se mêle à eux et m’invite à les rejoindre. On est bientôt quatre gouines à se pourlécher, à se sucer la langue, nos mains n’étant pas inactives.
— Je crois qu’il est prêt, dit Eva en regardant son jules.
Mon fiston est allongé et s’astique lentement la queue tout en nous matant. Eva, Coco et moi plaçons la chatte gluante de Vana au-dessus du rostre du seul mâle de l’assemblée. Elle est à califourchon et regarde avec effroi le gland de ce monstre lui ouvrir les lèvres et de s’enfoncer petit à petit. Elle est à peine à la moitié quand Eva lui appuie sur les épaules. Aucun son ne peut sortir de la bouche grande ouverte de Vana. Eva, vicieuse jusqu’aux bouts des doigts, embrasse sa mère. Elle arrive en butée, le chibre de mon fils est entièrement en elle.
— Putain, c’est énorme...— Oui, maman, et tu l’as au fond de ton puits. Régale-toi. Venez les filles, on va se baigner.
Telle une diva, Eva nous prend par les mains et nous entraîne dans l’onde bleu azur. L’eau est bonne, bien que n’y ayant pas goûté, mais elle doit avoisiner les 27 degrés. Coco vient me prendre dans ses bras et me dit doucement à l’oreille :
— C’est vraiment une salope de première la maman de ta bru.— Oui, et les chiennes ne font pas des chats. Eva a de qui tenir.— Tu as raison, regarde-la... J’ai envie de la dévergonder un peu plus.
On ressort de l’eau. Jéjé et en train de prendre Vana en levrette. Elle beugle la tête posée sur ses avant-bras. La chatte dilatée et dégoulinante de Vana est un appel aux caresses. Coco met Eva à quatre pattes entre les cuisses de sa mère. Elle ne se fait pas prier, elle boit à la source le jus de femme de sa maman. Coco se met à la suite, je la rejoins vite en m’allongeant sous le corps de la petite. Je relève une jambe et Coco s’y frotte. Je me masturbe, me pince le clito en me régalant de la cyprine qui me coule sur le menton. La mère d’Eva jouit la première, elle n’en peut plus et s’effondre. Mon Jéjé retire son pieu et vient offrir sa semence aux trois chiennes que nous sommes. Il n’a pas fallu une éternité pour que l’on se place côte à côte et ouvrir nos bouches. Jéjé se masturbe et bientôt nous inonde de son précieux nectar. On se pourlèche la figure pour en récupérer un maximum. Vana nous regarde les yeux mi-clos et nous dit :
— Hé bé, quelle santé il a...
— Regarde-le m’man, il ne débande pas...
Jéjé nous sourit, tout content de son exploit. Il s’est assis sur une de nos chaises de plage et s’astique lentement.
— Viens, fait Coco en direction de Vana, on est partageuse et il en reste plein à partager avec toi.
On forme un cercle en s’entrecroisant les jambes et on lèche la moindre trace. On s’embrasse, Vana semble apprécier et plus particulièrement la langue de sa fille.D’un commun accord, on file tous à l’eau. On rigole quand on voit Jéjé, plutôt la bite de Jéjé bouger au rythme de ses pas. On se rince tout en chahutant. Ça y est, Vana fait partie de notre petite famille.
On repart tous chez Coco. Eva est inquiète.
— Qu’y a-t-il ? Je demande.— Rien, mais je viens de baiser avec ma mère.— Jéjé baise bien avec la sienne.— Oui, oui... Mais ça me fait bizarre. Et puis il y a mon père.— T’inquiète pas. Laisse ta mère gérer le problème, je pense, je crois que tes parents ont beaucoup de choses en commun sur leur sexualité... Et des choses pas très catholiques...
On remonte tous les trois dans la voiture de Coco, Eva ayant préféré monter avec sa mère et Son Jéjé.Je sais, connaissant ma copine, qu’elle est en train d’élaborer un plan pour attirer le père dans notre petite communauté de débauche. On arrive vite chez Coco. On se met en tenue d’Eve, d’Adam pour mon fiston. Eva et Jéjé sont dans la piscine, ce qui nous laisse toute l’intimité pour discuter entre femmes.
— J’ai quelque chose à vous avouer, les filles.— On t’écoute, lui répondons-nous.— Voilà. Sur le plan sexuel, mon mari et moi n’avons pas toujours été très sages. Un ou deux ans après notre mariage, la routine s’installait déjà. Nous sommes donc allés voir une Docteur spécialisée dans les relations de couple. Elle nous a conseillé de diversifier les lieux, le lit étant un tue-l’amour. Nous avons suivi ses conseils. On a fait l’amour un peu partout. Ça a commencé par la terrasse, la piscine, sur le canapé, dans le bureau de mon époux, dans la cuisine. On l’a également fait sur le lit d’Eva. Je vous assure que de sentir l’odeur de notre petite nous a gravement excités. Mon Dieu, j’ai honte...— Allez... Continue... Ça commence à devenir intéressant.— Bon. Ensuite, on a commencé en extérieur. Sur la plage d’où l’on rentre, dans la pinède, dans les toilettes des restos, sur les aires d’autoroutes. Mais il nous fallait plus. On a commencé à fréquenter les boîtes à partouze, dixit mon mari. De fil en aiguille, on a été invité chez des couples libertins, on en a invité pas mal. J’ai eu des amants, il a eu des maîtresses. On s’éclatait, quoi. Tout s’est petit à petit arrêté. Mon mari devait tenir sa jeune entreprise de maçonnerie et moi m’occuper de ma fille. Puis la salope de ménopause est venue s’immiscer dans notre vie sexuelle. On s’aime, d’une autre façon, mais on s’aime.— Je vois. Et tu veux retrouver ton mari d’avant, lui dis-je, facile, on garde Eva ici pendant quinze jours, tu seras seule avec ton mec, parce que c’est ton mec qu’il faut que tu retrouves, et dès qu’il sera chaud patate, tu nous appelles. C’est aussi simple que ça.— Tu en penses quoi ? lui demande Coco.— On a déjà essayé... Mais après ce que j’ai vécu cet après-midi, OUI !!! !— M’man, ça va ? questionne Eva en sortant de l’eau.— Oui, t’inquiète, je crois que ça va aller de mieux en mieux... Bon, il faut que j’y aille. Mon chéri ne va pas tarder.
Vana se rhabille et s’apprête à partir.
— Maman, c’est pas à toi ? En tenant du bout de doigts une culotte de coton blanc.— Non, plus maintenant. Donne-la à ton mec pour qu’il ait un souvenir de moi...— MAMAN ! !!
Vana s’en va, raccompagnée par Coco.
Quinze jours, ça passe à une vitesse folle, surtout quand vous êtes chouchoutée par une amante et maîtresse hors pair. J’alterne avec mon boulot, où l’on s’interroge de mon humeur joyeuse, et les frasques avec Coralie. On fait les boutiques, de lingerie essentiellement, pour me refaire une collection de sous vêtements "HOT". Le soir, nous laissons tranquilles les enfants, ils sont épuisés par les cours. Bien que la queue qui se balade devant nos yeux, on résiste. Et puis on a "Mister Rabbit".Mon téléphone sonne un jeudi après-midi. Le jeudi avant la fin d’expiration du délai.
— Coco ?— Non, perdu, c’est Chris... Tu t’es encore gouré...— Oups, pardon Coco est là ? Vous êtes seules ? Tu peux mettre le haut-parleur ?— Hop, hop, hop... Doucement ma belle. Calme-toi. Oui, Coco est là. Oui, on est que toutes les deux et elle t’entend.— Bon les filles, faut que je vous raconte...— On est tout ouïe, dit Coco.— Bon, ne m’interrompez pas.— Promis...— COCO !— Allez, je me lance. Quand je suis rentrée de chez vous, mon "mec" n’était pas encore rentré. J’ai pris une bonne douche, me suis pomponnée, habillée d’un simple peignoir en soie avec des dessous affriolants que je n’avais plus mis depuis des lustres. J’ai préparé un apéro dînatoire pendant que j’entendais sa voiture. Il est rentré et est resté sur le cul, laissant tomber sa valise et son veston.
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(dialogue entre Vana et son mec, en train de raconter aux deux salopes que nous sommes)
— Va prendre ta douche, je finis de préparer et ensuite je t’expliquerai...
Alfrédo, c’est son prénom, s’en est allé tel un zombie dans la salle de bain. Les filles, vous auriez vu sa tronche. Après quinze bonnes minutes, il réapparaît et là aussi, je suis restée sur le cul. Il était à poil, le sexe tendu. Il m’a prise de partout, dans toutes les positions, dans toutes les pièces de la maison, ça a fini en apothéose dans la chambre de la petite. Bref, on a retrouvé une vie sexuelle débridée. Il m’a demandé qu’est-ce qui m’avait pris. Je lui ai répondu patience, patience.Pour la boîte il est OK, il a même pris une semaine de repos, chose qu’il n’avait pas faite depuis... Houlala.On y va quand ?
— Demain soir, lui dit Coco. J’ai hâte de connaître Alfred.— Alfredo, il y tient.— Oui, il est bien membré ? la questionne Coralie, la salope.— Surprise... Voilà, voilà, je vous raconterai la suite plus tard, mon taureau arrive. Bise et demain 22 h 00 en club.
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— Hé bé, fis-je, je ne croyais pas qu’elle y arriverait aussi vite et aussi facilement.— Tu connais les mecs, ils sont faibles.
On alterne entre les baignades dans la piscine et les bains de soleil. Ma peau, depuis que je vis nue et fréquente la plage naturiste, est cuivrée et sans trace disgracieuse. Mon Jéjé et la douce Eva sont maintenant fiers de se balader à poil et mon fils n’a plus honte de son sexe surdimensionné, depuis qu’ils ont rencontré Charles et Henriette. C’est un couple de sexagénaires bien tassé qui fréquente la même plage. Ils sont sympathiques, selon les dires d’Eva et il possède une queue surdimensionnée lui aussi.Les deux petits arrivent de la FAC avec ma mini. Ils sont fous de joie et rigolent de bon cœur. On les questionne de leur bonne humeur. Ils nous disent que Vana les a appelés et qu’ils sont au courant pour la soirée de demain. On éclate tous de rire.
Le lendemain soir, Eva est tout excitée et angoissée en même temps. Elle est habillée d’une minijupe en lin et d’un tee-shirt noir. J’ai pu vérifier l’absence de dessous. Mon Jéjé a choisi un long short hawaïen et d’une chemisette rouge. Pour ma Coralie d’amour, elle a mis une robe d’été jaune. Et moi, le même style de robe, mais bleu azure.On va au même resto que la dernière fois. Le repas est excellent et le rosé aussi. Eva en a un peu abusé et rigole comme une gamine qui va à son premier rendez-vous amoureux. On se lève, après avoir réglé, et on se dirige vers la boîte plus que libertine. Mon téléphone sonne, c’est Vana.
— Salut ma cocotte, lui dis-je.— Hihihihi, salut ma poule. — Alors ?— Oui, on vient de finir de manger. Il est aux toilettes, il m’a invitée au resto, on y sera dans une demi-heure.
Elle raccroche. Je ne dis à personne que Vana m’a appelée. On sonne, la patronne nous ouvre et nous claque la bise. On rentre, on se met à poil, passe aux douches et enfile nos peignoirs. La patronne nous invite à notre table, on s’y installe. Coralie avait réservé. De là où nous sommes, on peut voir l’entrée sans que l’on puisse être vu. Julien, notre serveur attitré, nous apporte une bouteille d’un très bon champagne et nous fait la bise (toi, mon coco, je te réserve une surprise). Jéjé fait le service quand on voit le couple tant attendu. Ils font la bise à la patronne, preuve qu’ils connaissaient déjà l’endroit, les vils coquins. Coralie me regarde et passe la langue sur ses lèvres.
— Vos amis sont arrivés, nous dit Julien, on va les installer là-bas en bas. Ils seront de dos et ne pourront...— Nous voir. Merci mon petit Juju. — Tu avais tout prévu ? Je demande à Coco.— Évidemment.
Ils sont là, installés à moins de trois mètres de nous. On peut parfaitement les voir sans qu’ils le puissent. Juju leur apporte une bouteille, qui je crois être du whisky et des carafes de jus de fruits. Alfrédo, qui évidemment ne se doute de rien, fait le service auprès de sa femme et l’embrasse. Pas un bisou chaste, non, non, non. Un baiser digne des films pornos. Je me touche sous mon peignoir. Vana a dénudé la verge d’Alfredo et la lui caresse doucement. Elle est d’un diamètre peu banal. Un bon sept centimètres et d’une longueur de vingt. Pas mal équipée, elle nous avait caché ça, la coquinette...
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