Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 63 J'aime
  • 0 Commentaire

Mon fils, cet étalon.

Chapitre 15

Inceste
Mon grand dadais de fils et sa copine étaient là, debout devant moi en train de me mater. Coco explose de rire, accompagnée de Sané. Je demande à mon fils ce qu’il fait là, il me répond qu’ils n’ont plus cours que le matin, et ce, jusqu’à la fin de l’année. Ils savaient où nous trouver ainsi que leurs petits vieux. Je reste immobile et c’est Sané qui me rappelle qu’elle est là en bougeant son con sur ma cuisse. J’ai la queue de mon fiston à portée de bouche, je n’hésite pas, je me l’enfourne. Il est surpris, mais pas étonné. Je pompe mon fils pendant que Sané se frotte sur ma cuisse.
— Putain, M’mam...
Sous le regard amusé d’Eva et de Coco, je me délecte de la grosse bite de mon p’tit gars. Je sens sa bite gonfler encore et encore. Il se retient, mais ne me connaît pas encore assez. Ma langue lui titille son méat et il gicle une quantité de foutre impressionnante au fond de ma gorge. Une fois l’éruption passée, je me jette sur la bouche de la gazelle, je suis vite rejoint par mon amante. S’ensuit un baiser passionné et plein de partage. Mon grand retrouve ses esprits et se dirige vers le couple de petits vieux qui n’a rien loupé du spectacle.On se roule une pelle mémorable, échangeant la semence mélangée de nos salives, un délice. Je tombe sur le côté et je me mets à rire.
— Tu es une sacrée vicieuse, me dit Coco, tu l’aimes le nectar de ton chéri, hein.— Je trouve qu’il a bon goût, poursuit Sané.
J’éclate de rire en me levant et en tirant sur les bras de mes copines pour aller prendre un bain salvateur. On est en nage. Coco s’agrippe à moi et m’embrasse. Je la tire par les hanches et nous nous embrassons, faisant fi des personnes sur la plage. On est trois nénettes qui profitent de la vie et de sa jouissance.
On repart chez Coco. Sané nous abandonne en nous promettant de se revoir très vite. On l’embrasse chacune sur une joue. Nous, on va vite fait prendre une douche et on s’affale sur les transats.
— On n’est pas bien là ? me demande Coco.— Hummm, oui, en lui prenant la main et en la posant sur un sein.— T’as encore envie ?— De toi, oui.
Elle tourne son visage vers moi et m’embrasse, pas un vulgaire palot, mais un baiser plein d’amour.
C’est le retour des enfants qui nous sort de notre torpeur. Ils sont évidemment nus. Eva va dans la cuisine pour nous faire une petite salade, Coralie la suit.
— Où va ta chérie, me demande mon grand, elle va tout de même pas la baiser ?— Bof, j’en sais rien...

Quand réapparaît Eva, elle est affublée d’un petit tablier blanc, style soubrette.
— Je ne voulais pas qu’elle se salisse.— Perverse, concluais-je.
C’est une soirée calme, détendue et pleine de bonne humeur. Mon fils vient se blottir contre les mamelles de sa femme. Coco et moi, on les regarde avec tendresse. Qu’ils sont beaux et dire que sans moi... On n’en serait pas là. Mon téléphone sonne, c’est ma mère. Elle me dit que le déménagement est prêt, qu’après les dernières formalités administratives, ils arriveront samedi. Je me liquéfie et annonce la nouvelle à mon fils. Il blêmit.
— Putain, déjà ? Et la maison qui n’est pas prête...— Oui, pas la peine de t’énerver, je vais gérer...— Non pas toute seule, hors de question. Eva ira à la FAC et elle me donnera les cours...— Arrête, gros couillon, depuis que l’on est ensemble, je ne fais que ça. Je ferais comme d’hab et tu iras aider ta mère. Coralie, pourras-tu me déposer à la fac ?— Non, tu vas prendre la mini à ta belle-mère et toi, Christ, tu prendras ma voiture et moi celle de Pierrot.
Les petits arrangements effectués et ayant bien dormi, la semaine passe à une vitesse grand V. On a transféré le grand lit dans le studio qu’occupent les deux petits et ramené ma garde-robe et celle de Jéjé. Vendredi soir, épuisé, harassé on déguste notre dernier repas avant l’arrivée de papi et de mamie. Étonnamment, c’est Eva qui stresse le plus. La petite me pose toutes sortes de questions à leur sujet. Je la rassure, ils sont encore jeunes dans leur façon de penser et ne s’offusqueront pas si elle et Jéjé dorment déjà ensemble. Elle n’a pas l’air convaincue, sauf lorsque je lui dis que ma mère m’a eue à 16 ans, alors que mon papounet en avait 25. Je lui dis également qu’ils s’aiment comme au premier jour. Convaincue, mais pas rassurée, elle me prend dans ses bras.
— Vous êtes une chouette belle-maman. Merci.
Je lui fais un bisou sur le front.
— Tu es la plus belle chose qui me soit arrivée depuis la naissance de Jérôme.
Nous avons discuté encore et encore. Eva et Jéjé vont se coucher, suivis de notre couple. C’est ce qui me fait le plus peur, c’est d’annoncer ma bisexualité à mes charmants petits vieux.
Samedi, 11 h 00. Ma mère m’a appelée pour me dire qu’ils étaient prés d’Aix-en-Provence. Nous les attendons, Jérôme, Eva et moi avec toute l’impatience que vous devinez. Coralie travaillant ce samedi matin, elle nous rejoindra plus tard. La grosse Volvo break apparaît en bas de notre petite rue et arrive bientôt devant notre maison. Mon père descend en beuglant sur les touristes et autres manches à c... qui lui ont fait perdre du temps.
— Que ça fait du bien de vous voir, dit ma mère en nous prenant dans ses bras. Elle nous fait des bisous de partout.
Ma mère est ma réplique conforme. Les mêmes instruments physiques, le même franc parlé. Elle n’a que 16 ans d’écart avec moi, je vous le rappelle. Mon père est une force de la nature. 1m90, 100 kilos, et des mains qui ressemblent à des raquettes de tennis de table. Ancien bûcheron, il a une force herculéenne. Mais jamais, au grand jamais, il ne m’a frappée. Juste un regard suffisait à ce que je rentre dans les clous. Il me prend dans ses bras.
— Ma p’tite Christounette, ma chérie.— P’pa, tu m’étouffes...— Et toi mon grand, que tu as grandi... lui dit-il en lui envoyant une tape amicale qui aurait pu déboîter l’épaule d’un cerf. Tu ne nous présentes pas ?
Eva sort de derrière mon fils et se présente. Ma mère est sur le bord des larmes en regardant la petite gironde. Mon père est sans voix devant la charmante petite boulotte. Eva ne sait pas où se mettre, ils se serrent tous les quatre dans les bras.
— Hum-hum...— Viens là ma fille, on t’aime aussi.
Mon père nous serre si fort que ma mère est obligée de mordre dans son avant-bras pour qu’il nous relâche.
— Tu as des moustiques ici... Hahahaha.
Son humour n’a pas changé et changer mon père pour faire pire, certainement pas. Il décharge la voiture et nous envoie balader, seul mon fils ose le défier et l’aide au déchargement. Je fais visiter la maison à ma mère qui est sous le charme. C’est vrai que cet immense F5 doit la changer de leur petit F3. Mon père aussi est impressionné, et pour le petit loyer que je leur demande, mon père est sans voix. Il m’embrasse tendrement sur le front, comme il a eu toujours l’habitude de faire. J’étais, et je reste sa petite princesse. Une larme coule sur ma joue, il passe son gros doigt boudiné et le porte à sa bouche. Encore une tradition qu’il n’a pas perdue. Il me disait toujours qu’aucune de mes larmes n’atteindrait le sol, qu’il serait toujours là pour moi. Il l’a été tellement, qu’il avait fait peur à plus d’un prétendant.
Ma mère et Eva sont parties installer les valises dans mon ancienne chambre, ça me fait drôle. Je montre à mon père le garage transformé en jacuzzi par mon ex.
— Il a réussi deux choses dans sa vie celui-là. Mon petit fils et son jacuzzi.
Il repart dans sa voiture et en descend une lourde glacière. Il en sort une bière. Jéjé lui dit :
— C’est pas beau de ne pas partager !
Honteux, il offre à Jéjé une binouze en s’excusant. Mon fils, son petit-fils a toujours eu une influence sur mon père. Il en fait ce qu’il veut, l’entraîne dans des plans plus ou moins foireux. Le dernier en date était dans une partie de camping dans la forêt. Ils en étaient revenus couverts de piqûre de moustiques et autres bestioles. Moment mémorable.
— Coucou, vous êtes où ?
Mon cœur s’emballe, c’est Coralie. Je pars au-devant d’elle. Elle est resplendissante dans sa petite robe à fleurs. Je la scrute, elle a mis un soutien-gorge... Ouf.Ma mère, en compagnie d’Eva, arrive et fait la bise à ma copine et lui dit à l’oreille :
— Vous êtes charmante, tout comme me l’a décrit mon petit-fils et merci de veiller sur elle. Vous êtes la meilleure chose qui lui soit arrivée. Merci, dit-elle avant de la serrer dans ses bras.
Je regarde Coco qui a larme à l’œil. Je n’ai pas tout compris, mais ma mère est au courant pour Coralie et moi. Il faut que j’aie une discussion avec mon grand couillon de fils. Mon père et Jéjé arrivent dans mon dos. Je saisis le bras de mon fils et l’entraîne dans le garage.
— Qu’as-tu dit à ta grand-mère ? Que j’étais devenue une goudou ? Que je couchais avec Coralie...?— Calme-toi, maman. Je lui ai juste dit que tu avais rencontré quelqu’un. Je ne lui ai pas parlé de Ta Coralie...— Comment elle sait, alors...— Intuition maternelle, et vu comment tu l’as mangée des yeux...
Évidemment, Coralie m’obsède, m’envoûte. Je laisse repartir Jérôme et ma mère me rejoint. Elle me regarde en train de pleurer.
— Es-tu heureuse ?— Oui, maman...
Elle me prend dans ses bras et me dit :
— J’en suis heureuse. Vis ta vie et ne regrette rien. Pour ton fils, excuse-le. Je lui ai demandé si tu avais quelqu’un. Il m’a répondu...— Je sais, maman, je sais.
Mon papa arrive et nous embrasse toutes les deux.
— J’ai faim, si on allait au resto pour ce soir. Tu peux inviter ton amie... Tu as bon goût, elle est charmante, dit-il avant de tourner les talons.— Tu lui as dit ?— Non, mais il te connaît mieux que moi.— Oh, maman, comme j’ai honte...
Mon père a entendu et revient vers nous.
— Honte de quoi, de qui ? Si tu as honte d’elle, dis-le-lui. Hors de question que tu bousilles ta vie avec un connard comme l’autre con. Me suis-je bien fait comprendre ? Me dit-il sur un ton autoritaire. Et si tu es tombée amoureuse de Coralie, grand mal t’en fait.
Puis sa voix devient tendre et il poursuit.
— On n’a pas à te juger, ma chérie. Tu es le bien le plus précieux que l’on n’ait.
Je fonds en larmes et prends mon papounet dans mes bras. Je chiale comme une madeleine. Il nous dit qu’il a faim et repart dans le salon où nous attend la petite troupe. Je passe à la salle de bain me refaire une beauté et ce n’est pas du luxe. Coralie arrive derrière moi et m’embrasse dans le cou. J’en frissonne.
— Je t’aime Christine. Personne, je dis bien personne ne nous séparera.— Et ton mec.— Il faudra qu’il fasse avec. Je l’appellerai demain.— Non, on l’appellera.
On rejoint mes parents, Eva et mon Jéjé. Il veut s’excuser, je lui barre la bouche de mon doigt. Coralie nous invite dans un resto-grill. C’est dans une ambiance pesante que commence notre trajet. Mon père détend l’ambiance :
— Et moi qui comptais passer une retraite paisible. Ratée...
On éclate tous de rire, le repas s’annonce sous de bons auspices. En marchant vers le restaurant, Coralie me donne la main et entrecroise ses doigts aux miens. Je la tire contre moi.
— Je t’aime Coralie.— Je t’aime ma Christine.
Ma mère qui marche à nos côtés nous regarde affectueusement. Elle a entendu et elle me sourit. Que je suis bien, légère, libérée de mon fardeau ! Le repas se déroule dans la bonne humeur. Mon père qui n’a pas perdu l’appétit dévore sa côte de bœuf, finit celle de Coco et de ma mère. Il se tape sur la panse et se lève pour aller se refaire une beauté, nous dit-il.On attend que le serveur nous apporte l’addition. Mon père, comme à son habitude, a réglé. Coralie veut payer sa part.
— Tutututut... Je ne vais pas me laisser entretenir par une femme, tout aussi charmante soit-elle.
Il se dirige vers la sortie en sifflotant. Coralie me regarde honteuse, je lève les yeux.
Diffuse en direct !
Regarder son live