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Mon fils, cet étalon.

Chapitre 19

l'orgie familiale annoncée.

Inceste
On entre et Amandine verrouille la porte derrière nous. Elle nous dit que l’on est ses dernières clientes et que le patron vient de partir. Elle baisse le rideau. Je sens, encore une fois, que ça va partir en couille. Mes craintes, si on peut appeler ça des craintes, s’évanouissent quand la petite commence son effeuillage en règle. Elle est plutôt mignonne avec sa bande dessinée sur son corps. Je n’avais pas remarqué dans notre folle soirée d’hier. Elle est tatouée du haut de son petit corps, jusqu’à ses mollets. Bizarre, mais ravissant. Ça a été fait avec goût et professionnalisme. Celui que je préfère est celui de son dos. Un magnifique tigre du Bingal avec ses deux papates avant sur ses fesses, la gueule ouverte sur des crocs menaçants. De n’importe quel angle, il semble vous regarder et vous défier. Sublime.
— Hé, ho, les filles, je n’ai pas tout mon temps.— Oups, pardon. J’étais en train d’admirer ton matou...— Par qui je commence ?— Par moi. On n’a pas le choix pour les bijoux de nos nombrils, c’est Pierrot qui les a choisis. La pâte de mon homme.
Coco s’avance vers le présentoir et désigne deux bijoux identiques. Un petit anneau portant deux petites chaînettes à la longueur dissymétrique se terminant par un petit cœur au bout de chacune d’elle.Coralie, une fois installée, me demande de choisir les bijoux qu’elle arborera aux seins, aux lèvres et sur son capuchon. Je tombe sous le charme pour deux barrettes pour ses seins, et de cinq anneaux pour l’intimité de mon amante et Maîtresse. Avec toute la dextérité qu’Amandine fait preuve, il ne faut que trente minutes pour la pose de ces bijoux sur ma chérie. Elle est ravissante. Devant le grand miroir, elle se regarde, satisfaite du travail de notre amie. Les deux chaînettes ne s’entrecroisent pas. Magnifique.Je m’installe sur la table et elle procède tout aussi consciencieusement. Avec nos jolis bijoux, on se mate dans le grand miroir, Amandine rangeant et désinfectant son matériel. Il s’ensuit des mains baladeuses quand on entend taper au rideau de fer.
— C’est mon patron, il a eu une petite idée qui devrait vous plaire, dit-elle en ouvrant le rideau.
L’homme, qui a la soixantaine, je vous le rappelle, entre et ne nous calcule même pas. Il se dirige vers une salle attenante.
— Et c’est quoi son idée ? lui demande Coralie.— Vous faire un tatouage sur votre pubis. Un petit diablotin rouge monochrome. C’est très ravissant.— Euh, c’était pas prévu... dis-je, inquiète.— Ça va nous prendre qu’une heure. Je vous passerais de la bombe, bande de chochottes.
Coralie et moi, on s’interroge du regard. Allons-nous accepter ou poliment refuser ? Oh, et puis merde, on ne vit qu’une seule fois et me dirige d’un pas décidé vers la salle de tatouage. Tout est prêt, le vieil homme commence son travail. Il a de grosses lunettes, ce qui n’est pas fait pour me rassurer.Au bout d’une demi-heure d’acharnement des aiguilles sur mon pubis, il me passe de la vaseline sur ma peau tuméfiée. Je n’ai pas le droit de me montrer à ma chérie. Coralie subit le même traitement. Voilà, c’est fini et définitif, nous sommes marquées d’un petit diable rouge indiquant l’entrée de nos vagins. Coralie m’embrasse pendant que le petit vieux repart. Amandine, contente que l’on ait accepté, se joint à nous.
— Au fait, je suis bisexuelle, le trans d’hier soir, c’est mon sex-friend. Enfin ma petite amie... Ma copine et mon copain... Enfin, c’est compliqué.— Et il est disponible samedi ? J’organise une petite soirée...
Étant la muse, je ne relève pas. Amandine accepte avec plaisir l’invitation. Elle en parlera à son copain, enfin sa copine.
C’est dans une ambiance joyeuse que l’on se sépare. Il est 21 h 00 et Amandine ouvre demain matin.
J’appréhende de me mettre nue devant les deux petits qui se prélassent dans la piscine. Je me sens coupable d’avoir fait une connerie. Coco, fidèle à elle-même, se désape, montre fièrement ses bijoux et son tatouage. Mon Jéjé sort de l’eau et regarde de près.
— Et toi, maman, tu as osé.
Sans attendre et sans réfléchir, je fais tomber mon paréo.
— Putain, on dirait deux sœurs, vous êtes magnifiques... J’aime.
Délicatement, il passe sa main sur nos pubis, ce qui m’électrise. Il touche ensuite nos nombrils et joue avec les chaînettes, puis remonte sur nos seins.
— Waouh, vous êtes jolies, j’adore.
Eva, qui nous admire toutes les deux, est sans voix. Mon Jéjé me demande où j’ai fait ça, je ne lui réponds pas, je le laisse mariner. Coco, pas bête, me prend dans ses bras et me susurre :
— T’as vu, il a dit qu’on se ressemblait... Il est chou...
Je lui souris, on s’embrasse.
Pendant la semaine, les enfants se sont souvent absentés, ils nous préparent une surprise.
Le samedi arrive à une vitesse folle. Coco, aidée d’Eva et de Sané (qui a été gentiment réquisitionnée), s’active à mettre table et couverts. Elle a prévu un apéro dînatoire. Les invités sont :
— Mon père et ma mère, tous excités de cette soirée.— Le père et la mère d’Eva qui le sont aussi.— Roger et Sané.— Amandine et sa copine, c’est décidé, elle sera présentée comme telle.— Julien, le petit serveur du club, a également été invité. Il ne sait pas si sa patronne pourra le libérer.
Le dress code, parce que oui, il y aura un dress code, c’est sexy aussi bien que pour les femmes que pour les hommes, mis à part pour Jéjé et Eva, elle a prévu des tenues plus pratiques. L’arrivée de nos hôtes est prévue pour 20 h 30.
Après une douche bien sage, coiffage et maquillage, on se prépare. Coco, qui a une tenue pour chaque occasion, s’est mise sur son 31. Elle a revêtu une jupe noire très courte avec bas et porte-jarretelles. Pour le haut, un charmant chemisier en soie blanche. Évidemment, rien d’autre, pas de dessous. On devine aisément les bijoux de ses tétons.
Pour moi, elle a choisi la robe blanche à paillette. On voit mes deux vallées, celle de mes seins et de mes fesses. Mes tétons sont arrogants et on ne peut pas louper mes petits fers à cheval. Bien sûr, je porte mon petit collier. Je reste cachée dans le salon, Coco me l’a demandé.
Quand je vois Eva, j’ai un choc. Une tenue de soubrette complète. Mais quand je dis complète, c’est complète. Petit serre-tête blanc, tablier de la même couleur, un chemisier noir ouvert sur son imposante poitrine et des bas autofixants. Ses ongles sont d’un rouge carmin, ainsi que ses lèvres. Elle se retourne, elle ne porte rien en dessous de sa tenue, elle est fesses à l’air. J’ai à peu près le même choc lorsque je vois mon fils. Il a un petit gilet rayé jaune et noir et un boxer moulant avec une ouverture stratégique, d’où on devine très bien la taille du monstre. Il a un petit nœud-pape qui lui serre le cou. Charmant mon grand dadais dans cette tenue, on dirait un serveur de café parisien du siècle dernier, en beaucoup plus sexy.
Sané arrive, elle a la même tenue qu’Eva, mais toute blanche. La couleur immaculée tranche sur celle de sa peau ivoire. Elle est ravissante. Les deux filles et mon fils s’en vont finir les préparatifs sous les directives de mon amie.
Roger, rouge comme une pivoine, se montre sous son plus beau jour. Il porte une chemise jaune qui lui cache sa proéminence ventrale. Il a un pantalon de toile noire avec une série de boutons-pression de chaque côté, on devine aisément l’utilité. Il s’assoit.
Les parents arrivent tous les quatre ensemble, j’apprendrais plus tard qu’ils sont allés à la plage, et ça rigole. Je vois ma mère habillée d’une jupe, ras la moule et d’un chemisier écru en satin. Elle est sublime. Un peu pute, mais une jolie catin.
Vana a opté la même tenue que ma mère et les hommes sont habillés comme Roger. Seules les couleurs changent. Rouge pour papa, vert pour Alfrédo. D’ailleurs, les deux hommes s’en vont rejoindre Roger qu’ils ne connaissent pas.
Arrivent peu de temps après, la petite Amandine et sa copine. La différence de taille me fait rire. Elle et son mètre soixante et sa trans et son mètre quatre-vingt. Ils sont mignons. Amandine porte un minishort en jean avec les poches savamment arrachées et un mini-marcel lui cachant à peine ses seins. Fabricia porte une élégante robe noire pailletée. Ça lui donne un petit air de panthère. Ses longs cheveux sont tressés, ça lui tombe au niveau des fesses. Ses seins, refaits, forcément, se tiennent fièrement et sont bien ronds, comme des pomélos. Les trois gars sont scotchés. Ébahis par tant de beauté, on devine leur érection. Il est temps pour moi de faire mon entrée.
Je marche en me déhanchant, tous les regards sont portés sur ma cuisse droite qui se dévoile outrageusement à chacun de mes pas, laissant apparaître ma fesse. Les trois hommes sont bloqués avec le verre à la main. Eva a même failli lâcher son plateau de service. Le plus beau compliment vient de mon fils, il bande ferme. Je vais faire la bise aux hommes qui n’ont d’yeux que pour mon décolleté. Je suis lente volontairement pour qu’ils puissent découvrir mes bijoux. Je passe ensuite à Amandine que j’embrasse sur la bouche. Quand je suis devant Fabricia, je me sens vraiment petite, elle le voit et enlève ses talons, on fait la même taille, ouf.
— Je n’ai pas eu le temps de bien te voir. Tu es ravissante.— J’aimerais l’être autant que toi.
Je rougis comme une écolière, elle me sourit. Je rejoins Coco.
— Bon, tout le monde est là, que la fête commence. Mon fiston lance une musique de fond, coupe les lumières de la terrasse, et allume les appliques et la piscine. Il ne fait pas encore nuit, mais l’ambiance ainsi créée est très... sensuelle, voire sexuelle.
Mon fils et Eva nous prennent à part, Coco et moi, ils ont quelque chose à nous montrer. On entre et on va dans la cuisine. Eva remonte son tablier, mon fils descend son shorty. Ils ont tous les deux le même tatouage que nous. On rigole pendant que mon fils se plaque dans mon dos. Je sens son énorme gourdin entre mes fesses et il m’embrasse dans le cou. Je fonds et ferme les yeux.
— Bon, c’est très gentil tout ça, mais on a des invités, dit Coco.
On retrouve l’assemblée. Ça dérape déjà puisque Amandine taille une pipe à sa copine sous les yeux médusés des hommes et des femmes amusés. Malgré sa petite taille, c’est en gorge profonde qu’elle se régale. Coco m’enlève ma robe, ma mère me regarde avec envie. Coco se met nue.
— Que vous êtes belle, on dirait deux sœurs, dit Sané.— J’me suis dit la même chose, lui répond Eva.
Coco me retourne et montre mon plug à tout le monde, s’ensuit des sifflets et des applaudissements.
On mange les petits-fours sucrés et salés. Les paternels entreprennent leur épouse en style échangiste. Vana n’en revient pas de la taille monstrueuse du sexe de papa. Maman est aux anges par le gros calibre d’Alfrédo. Mon fils a abandonné son shorty et prend sa dulcinée debout, cambrée et en appui sur la table. Il la tient par les hanches et lui administre des claques sur ses grosses fesses. Coco est entre les cuisses de Roger qui s’émerveille d’une telle soirée. Je rejoins Amandine et Sané qui font la fête au chibre de Fabricia. Elle nous met autour d’une petite table ronde et nous prend chacune notre tour. On peut s’embrasser, on ne s’en gêne pas. Ce n’est plus que bruits de jouissances, de râles non retenus, qui se fond entendre. Les mâles partent l’un après l’autre, la black est très endurante. Elle nous abandonne, nous disant qu’il y aura un deuxième service. Elle s’avance avec son sexe fier vers mon fils et lui dit :
— Joli p’tit cul. J’te le défonce quand tu veux.— Hum, oh oui, lui répond Eva, je te le réserve.— Merci ma chérie.
Il embrasse Mon Jéjé à pleine bouche, qui, choqué et surpris, ne bouge pas. Il a l’air même d’apprécier. La jolie trans caresse les fesses imberbes de mon fils en se pinçant les lèvres et rajoute.
— J’ai hâte...
On rigole, pour ceux qui ont entendu. Je n’avais pas fait gaffe, mais mes parents, ceux d’Eva et Sané avaient pris la table ronde d’assaut. Ils font une tournante, si je puis dire. Mon papa, Alfrédo et Roger tournent et s’échangent le con accueillant de leurs épouses respectives. Les trois femmes font comme nous il y a peu, elles se pourlèchent. Une petite main vient de se poser sur mon sein.
— Ma nana a envie de toi, mais de face cette fois-ci, me dit Amandine.
Elle m’entraîne vers un transat où m’attend Frabricia, le sexe dressé. Je chevauche son bassin et descends en butée. Elle couine, je mouille comme une folle. Amandine et Coco se mettent en 69 et entament leur jeu saphique. Eva et mon fils on rejoint les vieux, bien contents de trouver de la chair fraîche. Les femmes grimacent à chaque fois que Jéjé se place derrière elles.
Je me régale de ce sexe noir, une première pour moi. J’aime de voir cette queue noire ébène m’écarter les lèvres et quoi de plus appréciable que d’avoir des seins à malaxer en même temps.La terrasse et la pelouse, où je suis, se sont transformées en partouze. Une orgie digne des temps antiques. Ça couine, ça gémit, ça hurle. Notre voisin ne peut même pas en profiter, il est parmi nous. Je vois la plantureuse Sané embrasser ma mère, Vana et Eva. Ils s’en donnent à cœur joie pour les filles, à couilles rabattues pour les garçons. Elle est endurante la grande trans et ça me ravit. Coco et Amandine, les gueules engluées, nous laissent à notre copulation et s’en vont se restaurer.
— Elle est bonne ta queue, mais j’ai un peu faim, pas toi.
Elle me sourit. Elle a compris que j’espère qu’il y aura un troisième round. Avec sa force herculéenne, elle me soulève :
— T’inquiète pas, tu l’auras dans un de tes orifices. Je ne sais pas encore lequel, mais tu auras ma semence.— Et mon fils ?— Je vais l’enculer pendant qu’il te baisera.
Elle me dit tout cela avec une telle décontraction que j’en rigole. On se donne la main comme deux amoureuses et on rejoint les autres qui ont cessé leurs ébats. Ils mangent, il faut bien recharger les batteries.C’est l’occasion d’échanger nos impressions sur cette petite "fête". Un petit conciliabule s’est formé entre les femmes. Vana est heureuse pour sa fille d’être tombée sur un mec aussi gentil que mon fils. Elle ne tarit pas d’éloges. C’est vrai qu’ils sont mignons, enlacés, Eva sur les cuisses de mon fils. Coco dit qu’il a de la chance d’avoir trouvé une famille aussi ouverte d’esprit.
— Oui, lui répond Vana, ils en ont discuté longuement avec mes parents à la plage, on ne fait rien de mal, ils sont majeurs et nous sommes tous consentants. Alors, se prendre la tête avec cette société puritaine. En 68, tout le monde baisait avec tout le monde.— Oui, mais c’était une petite communauté hippie ? lui dis-je.— J’en faisais partie. — Quoi, tu étais une bitnic.— Non, je préfère dire une naturiste ouverte.
On éclate tous de rire. Eva est mon fils se sont levés et font le service en compagnie de Sané. C’est elle qui a dû recevoir le plus de semence, ça lui coule sur l’intérieur des cuisses. Fabricia regarde avec envie les fesses musclées de mon fils. Je le fais remarquer à Amandine. Elle me sourit et me fait signe de la tête d’aller au salon.
— Pour la première fois, on va lui préparer son petit conduit. Et toujours pour la première fois, il faut le faire en comité restreint. Il ne faut pas qu’il se bloque.— Et Eva ? Elle va vouloir venir.— Elle peut, mais elle ne participera pas... Au début. Hihihihi.
Ça y est, mon fils va se faire dépuceler du cul et avec mon aide en plus.
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