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Mon fils, cet étalon.

Chapitre 21

Mon anniversaire.

Orgie / Partouze
Mon réveil tardif, il est 13 h 00. Je suis seule dans ce grand lit, pas pour longtemps, on toque à ma porte.
— Oui, entre, je suis réveillée, dis-je en pensant que c’est ma chérie, Coco.
Mais non, c’est mon fils qui rentre, nu.
— Bonjour m’man.— Bonjour mon chéri. Que veux-tu ?— Bon anniversaire, m’mam.— Ô mon chéri, tu y as pensé ? Tu es un amour, en lui sautant au cou. Mais tu bandes mon salopard de fils.— Oui, quel homme ne banderait pas devant une femme aussi belle que toi !— Mon chéri, je t’aime.
Il va pour m’embrasser, je le repousse.
— Euh, je vais prendre une douche.
Il me sourit, qu’il est mignon. J’entre dans la salle de bain. Il engage la conversation en parlant un peu fort pour que je l’entende.
— Ils sont tous partis. On est que tous les deux. Ils sont tous à la plage. On les rejoint ce soir pour un resto en ton honneur.— Pourquoi es-tu resté ?— Ben, euh... Pour te prévenir.
Je me brosse les dents et réapparais dans la chambre. Il est en train de finir de remettre le lit en ordre. Je m’approche à pas de velours et l’enserre dans mes bras.
— Tu veux déjeuner ?— Plus tard, pour l’instant, c’est de toi que j’ai faim.
Je me mets en levrette à même la moquette et dandine du cul.
Il pouffe de rire et présente sa queue devant ma bouche que je gobe avec sensualité. Je joue avec ma langue sur son méat, son frein, et je descends sur son prépuce. Je sens sa bite tressaillir. Je me caresse, mon con est gluant. J’y enfonce trois doigts, bientôt quatre. Il peut suivre la scène grâce au grand miroir du placard. Il me saisit la tête et me baise la bouche. Il ahane. Je bave sur cette immense queue.
Il se place derrière moi, retire ma main et me l’a fait lécher, ce petit pervers. Son gland est à l’entrée de mon paradis. Je m’empale lentement sur cette colonne de chair que j’aime tant. Il me claque sur une fesse, ce qui a pour effet de me faire cambrer. J’aime quand le mâle me domine, et là, c’est mon fils. Il me ramone comme un beau diable, je jouis sans discontinuer, allant buter sur mon col. Je m’accroche à la moquette, il ne s’arrête plus. Je le savais endurant, mais là... Il me fait mettre en "Lotus". Nos bouches s’unissent, nos langues virevoltent. Il me tient par les haches et imprime un rythme soutenu. Il se raidit et gicle au plus profond de ma matrice son sperme brûlant. La quantité est phénoménale, je lui mords le cou et on tombe sur le côté.
— Je t’aime, maman.— Je t’aime Gégé.
On continue à s’embrasser, se lécher. Je me déboîte et je me mets en 69. Je lui lave la bite, il s’occupe de ma chatte. Quel bonheur !Il est temps que je me prépare, il est 15 h 00. Je pars à la douche. Il me suit. La douche est très tendre. Il me savonne tout mon corps, on s’embrasse comme deux ados. Je sens sa bite reprendre du volume, mais j’arrête là nos ébats. Il sort de la douche et me demande d’aller prendre au moins un café. Il me prépare ma tenue pour ce soir.
Intriguée, je sors sur la terrasse, plus une trace de l’orgie de la veille au soir. Seules deux tasses et des croissants encombrent la table. Gégé arrive avec une cafetière pleine d’un café fumant.Je me lève, il débarrasse. Je m’en vais dans ma chambre et tombe comme une masse sur le lit. Je m’endors. Je sens que Gégé est venue me rejoindre. Il est allongé dans mon dos, sa bite bien calée entre mes fesses.
17 h 00, je me réveille. Mon fils m’a abandonnée. J’aperçois ma tenue pour ce soir. Un petit short en cuir blanc minimaliste, me remontant bien mes fesses à demi-couvertes. Un marcel en coton blanc, bien échancré sur les côtés, un décolleté offrant à la vue de tous ma vallée. Mes tétons sont bien visibles avec mes piercings. Je ne sais pas où ma famille et mon amie m’emmènent, mais je pense que cela va être chaud.
Gégé est fou de joie en me voyant. Il me complimente en me passant un fin collier de cuir blanc. Je me sens chienne.On part, direction inconnue. Coralie nous a laissé sa grosse berline. C’est mon fils qui conduit. Pour éviter toute tentation, il m’a délicatement ouvert la porte arrière.Après une demi-heure de route, Gégé s’engage sur un petit chemin menant à une charmante hacienda. On y est accueilli par un monsieur d’un âge avancé, 70 ans, je dirai.
— Bonsoir. Christine, je présume.— Oui, c’est bien cela.— Moi, c’est Paul, Monsieur Paul.
Il nous emmène dans la cour intérieure. Des nymphettes sont dans une immense piscine. Elles sont soit en top-less, soit complètement nues.
— Vos amis vous attendent.
Dans une alcôve, il y a Coralie, Eva, la plantureuse black Sané, mes parents et ceux d’Eva. Il ne manque que Roger qui n’a pas voulu venir, trop fatigué me précise Sané. Ma mère et mon père se jettent dans mes bras et m’embrassent en me souhaitant un bon anniversaire. Je m’assois entre Coco et Gégé. Eva se met à côté de son amoureux. En face, Sané est encadrée les parents. On mange de délicieuses tapas, accompagnées d’un non moins exquis champagne.Je comprends vite que ce lieu n’est pas si "soft" qu’il n’y paraît. Les jeunes de la piscine sortent et se mettent nus, pour ceux qui ne l’étaient pas déjà.
— Je crois que ça va chauffer, m’exclamais-je en rigolant.
La table est débarrassée.
— M’man, bon anniversaire. Tous ces jeunes sont pour toi, enfin les six qui portent un bracelet rose. Les autres ne sont pas certifiés. Fais comme bon te semble et bonne soirée. On ne sera pas loin si tu veux un coup de main.
Ils s’en vont tous dans une autre alcôve, me laissant seule face à trois jeunes hommes et à trois nymphettes qui semblent être à peine sorties de l’adolescence. Un des jeunes me fait lever et me met debout sur la table. La jeune fille qui l’accompagne monte aussi et commence à me déshabiller et plie mes affaires. Elle n’est pas longue et je me retrouve nue devant six petits jeunes, elle ne me laisse que mon petit collier.
— Ça fait plus salope, me susurre-t-elle à l’oreille.
Je tourne la tête et l’embrasse à pleine bouche. Ils sont doux et attentionnés. Les mains me caressent avec volupté et doigté. Je me laisse faire, moi la mature qui aime les jeunes. Une MILF quoi. Une femme de 45 ans en train de se faire tripoter, caresser et doigter par six gamins et gamines. Ils m’allongent. Je ferme les yeux et profite du moment. On m’enduit d’huile sur tout le corps. Mes seins sont malaxés, mes tétons pincés, étirés. Mon cœur bat la chamade. Mes jambes sont écartées et je sens que l’on m’embrasse l’intérieur des cuisses. Je regarde et je vois trois jeunots s’occuper de mon entrejambe. Un sur le dessus de mon abricot, deux me lèchent depuis les mollets jusqu’à l’aine. Une langue fouilleuse m’investit mon petit trou. Je sens que je vais craquer. Une jeune fille vient me présenter sa vulve. Je n’hésite pas, je la lui bouffe. La coquine m’inonde le visage. Elle sent bon. Les deux autres filles s’occupent de mes tétines. Je sens un gland frapper à l’entrée de ma chatte.
— Oui, prends-moi, baise-moi... Humphhh.
Il est moins membré que mon fils, mais sait s’en servir, le petit salopiaud. Je ne peux voir qui il est, une chatte baveuse m’en empêche. Une jeune fille vient à califourchon sur ma poitrine et frotte son sexe dessus. La troisième n’est pas en reste, elle fait de même sur mon ventre. Je sens leur jus sur tout mon corps. Je suis bientôt inondée. Les mecs me prennent tour à tour. La jouissance monte dans mon bas-ventre et me laisse aller à éjaculer. Je ne sais pas qui c’est qui récolte mon jus de chatte, mais le chanceux à l’air d’apprécier. Quand une bite s’aventura sur mon sphincter, je pris mes deux fesses et les écarta.
— Attend, Rémy, on va la prendre en double.
Il monte sur la table et me perfore le sexe et se bloque. Son collègue reprend position et possession de mon anus. Quelle divine torture que d’avoir deux bites en soi ! Ils commencent à me pilonner, doucement d’abord, puis de plus en plus vite. Voulant être remplie de partout, je cherche au hasard la troisième queue. Elle ne se fait pas attendre, mais je ne pouvais la prendre en bouche. Les trois jeunes filles le comprennent. Elles nous laissent toute la table. Le troisième jeune homme grimpe sur la table et me donne son sucre d’orge à lécher et bientôt à gober. Je suis prise de partout. Il y va fort. Il me baise la bouche en enfonçant sa bite jusqu’à la garde. Les salops me ramonent de plus en plus fort et éjaculent de concert. Je suis remplie comme une outre. Je reste pantelante en reprenant mon souffle. J’ai du jus de fille plein le corps, le sperme me coule de mes deux trous.
Mais ce n’était sans compter sur la jeunesse de mes trois jeunes amants, et de leurs copines. Ils m’entraînent prendre une douche. Le pelotage est intense. Douze mains m’investissent les seins, la chatte et mes fesses. Je suis entourée de six jeunes pervers. Ensuite, ils m’invitent à les suivre au hammam de l’établissement. Ils sont doux, tendres et... Aimants. Ils m’embrassent à tour de rôle. Un garçon me prend de dos à califourchon. Il m’empale le fondement. Un second arrive entre mes cuisses et m’investit, pendant que le troisième monte sur le banc pour se faire sucer. La douceur de notre accouplement bestial tranche avec le premier. On me pelote les seins, caresse les fesses. Le plus impatient, c’est celui dont j’ai la queue en bouche. Il m’a saisi la nuque et s’enfonce jusqu’à la garde. Bon sang, que c’est bon d’avoir trois queues que pour soi ! Ils accélèrent le rythme, je décolle. Les trois filles nous ignorent en s’embrassant sur le banc le plus haut.
— Venez nous rejoindre... leur dis-je.— Elles sont gouines, me précise le troisième en replantant son membre au fond de ma gorge.
Ils éjaculent tour à tour au plus profond de mes trois orifices. Je me délecte du sperme qui coule dans ma gorge. J’aime la sensation de sentir cette semence couler sur mes cuisses, mes fesses. Je les embrasse affectueusement. On va prendre une douche. Les filles nous abandonnent.
Je recherche ma troupe, ils sont tranquillement assis dans l’alcôve attenante à la première. Bien entendu, ils sont tous à poil. Mon fils vient m’accueillir la queue pendante, preuve que les ébats ont dû être terrible.
— Alors, comment ça c’est passé ?— Fort bien. J’en ai pris de partout.— Maman, t’es qu’une salope...— Oui et j’aime ça, lui dis-je avant de lui rouler un patin rempli d’amour et de reconnaissance.— Tu viens, on t’attendait pour le gâteau.
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