Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 82 J'aime
  • 1 Commentaire

Mon fils, cet étalon.

Chapitre 22

mon anniversaire.

Orgie / Partouze
Mon réveil tardif, il est 13 h 00. Je suis seule dans ce grand lit, pas pour longtemps, on toque à ma porte.
— Oui, entre, je suis réveillée, dis-je en pensant que c’est ma chérie, Coco.
Mais non, c’est mon fils qui rentre, nu.
— Bonjour m’man.— Bonjour mon chéri. Que veux-tu ?— Bon anniversaire, m’mam.— Ô mon chéri, tu y as pensé ? Tu es un amour, en lui sautant au cou. Mais tu bandes mon salop.— Oui, quel homme ne banderait pas devant une femme aussi belle que toi !— Mon chéri, je t’aime.
Il va pour m’embrasser, je le repousse.
— Euh, je vais prendre une douche.
Il me sourit, qu’il est mignon. Je m’engage dans la salle de bain. Il engage la conversation en parlant un peu fort pour que je l’entende.
— Ils sont tous partis. On est que tous les deux. Ils sont tous à la plage. On les rejoint ce soir pour un resto en ton honneur.— Pourquoi es-tu resté ?— Ben, euh... Pour te prévenir.
Je me brosse les dents et réapparais dans la chambre. Il est en train de finir de remettre le lit en ordre. Je m’approche à pas de velours et l’enserre dans mes bras.
— Tu veux déjeuner ?— Plus tard, pour l’instant, c’est de toi que j’ai faim.
Je me mets en levrette à même la moquette et dandine du cul.
Il pouffe de rire et présente sa queue devant ma bouche que je gobe avec sensualité. Je joue avec ma langue sur son méat, son frein, et je descends sur son prépuce. Je sens sa bite tressaillir. Je me caresse, mon con est gluant. J’y enfonce trois doigts, bientôt quatre. Il peut suivre la scène grâce au grand miroir du placard. Il me saisit la tête et me baise la bouche. Il ahane. Je bave sur cette immense queue.
Il se place derrière moi, retire ma main et me la fait lécher, ce petit pervers. Son gland est à l’entrée de mon paradis. Je m’empale lentement sur cette colonne de chair que j’aime tant. Il me claque sur une fesse, ce qui a pour effet de me faire cambrer. J’aime quand le mâle me domine, et là, c’est mon fils. Il me ramone comme un beau diable, je jouis sans discontinuer, allant buter sur mon col. Je m’accroche à la moquette, il ne s’arrête plus. Je le savais endurant, mais là... Il me fait mettre en "Lotus". Nos bouches s’unissent, nos langues virevoltent. Il me tient par les haches et imprime un rythme soutenu. Il se raidit et gicle au plus profond de ma matrice son sperme brûlant. La quantité est phénoménale, je lui mords le cou et on tombe sur le côté.
— Je t’aime, maman.— Je t’aime Gégé.
On continue à s’embrasser, se lécher. Je me déboîte et je me mets en 69. Je lui lave la bite, il s’occupe de ma chatte. Quel bonheur !Il est temps que je me prépare, il est 15 h 00. Je vais à la douche. Il me suit. La douche est très tendre. Il me savonne tout mon corps, on s’embrasse comme deux ados. Je sens sa bite reprendre du volume, mais j’arrête là nos ébats. Il sort de la douche et me demande d’aller prendre au moins un café. Il me prépare ma tenue pour ce soir.
Intriguée, je sors sur la terrasse, plus une trace de l’orgie de la veille au soir. Seuls deux tasses et des croissants encombrent la table. Gégé arrive avec une cafetière pleine d’un café fumant.Je me lève, il débarrasse. Je m’en vais dans ma chambre et tombe comme une masse sur le lit. Je m’endors. Je sens que Gégé est venue me rejoindre. Il est allongé dans mon dos, sa bite bien calée entre mes fesses.
17 h 00, je me réveille. Mon fils m’a abandonnée. J’aperçois ma tenue pour ce soir. Un petit short en cuir blanc minimaliste, me remontant bien mes fesses à demi-couvertes. Un marcel en coton blanc, bien échancré sur les côtés, un décolleté offrant à la vue de tous ma vallée. Mes tétons sont bien visibles avec mes piercings. Je ne sais pas où sont ma famille et mon amie, mais je pense que cela va être chaud.
Gégé est fou de joie en me voyant. Il me complimente en me passant un fin collier de cuir blanc. Je me sens chienne.On part, direction inconnue. Coralie nous a laissé sa grosse berline. C’est mon fils qui conduit. Pour éviter toute tentation, il m’a délicatement ouvert la porte arrière.Après une demi-heure de route, Gégé s’engage sur un petit chemin menant à une charmante hacienda. On y est accueilli par un monsieur d’un âge avancé, 70 ans, je dirai.
— Bonsoir. Christine, je présume.— Oui, c’est bien cela.— Moi, c’est Paul, Monsieur Paul.
Il nous emmène dans la cour intérieure. Des nymphettes sont dans une immense piscine. Elles sont soit en top-less, soit complétement nues.
— Vos amis vous attendent.
Dans une alcôve, il y a Coralie, Eva, la plantureuse black Sané, mes parents, et ceux d’Eva. Il ne manque que Roger qui n’a pas voulu venir, trop fatigué, me précise Sané. Ma mère et mon père se jettent dans mes bras et m’embrassent en me souhaitant un bon anniversaire. Je m’assois entre Coco et Gégé. Eva se met à côté de son amoureux. En face, Sané est encadrée par les parents. On mange de délicieuses tapas, accompagnées d’un non moins exquis champagne.Je comprends vite que ce lieu n’est pas si "soft" qu’il n’y paraît. Les jeunes de la piscine sortent et se mettent nus, pour ceux qui ne l’étaient pas déjà.
— Je crois que ça va chauffer, m’exclamais-je en rigolant.
La table est débarrassée. Les jeunes se déhanchent au rythme de musique douce, langoureuse. Mon fils me prend par la main et m’entraîne au milieu de cette petite bande d’amis, je présume. Il me débarrasse de mes vêtements et me fait monter sur une table en béton ciré. Toute la petite troupe n’a d’yeux que pour moi. Gégé me rejoint en se déshabillant sous les applaudissements des filles. Les mecs sont ébahis. Le rostre en érection, il se frotte à moi. Je prends son rostre en main, mais ne le branle pas. Il est dans mon dos et frotte sa bite sur mes fesses. Eva et Coralie nous ont rejoints. La table est suffisamment grande et solide pour nous accueillir tous les quatre. On s’embrasse, on se touche. Quel spectacle on doit offrir. Deux vieilles duduches, une petite grosse et un gringalet à la bite monstrueuse en train de se gamahucher. Les parents et Sané ont été invités à rejoindre le groupe qui se déhanche à nos pieds.
Vana et ma mère sont entreprises par deux jeunes, très jeunes gens sur un matelas. Le cunnilingus prodigué doit être à leur goût, vu comment elles se tortillent. Sané n’est pas en reste, elle est prise en double et suce un troisième partenaire. Quant à nos pères, ils se font sucer par deux jeunes blondes. Ça baise dans tous les coins.
— Bon anniversaire, maman.
Je tire son visage et l’embrasse à pleine bouche. Nos langues s’enroulent. La petite vicieuse d’Eva est venue poser ses lèvres sur mon intimité, j’exulte. Mon fils me malaxe les seins. Je suis au paradis.On est tous très occupés à se faire lécher, sucer, pénétrer, quand j’aperçois le patron, un petit homme la queue bandée à quelques centimètres de ma bouche. C’est Monsieur Paul. Sans réfléchir, je le gobe. Gégé est en train de me prendre en levrette, Eva et Coco se gouinent en bas de la table. Je suce cette queue avec délectation, passion. Monsieur Paul n’en peut plus, il décharge une quantité impressionnante de semence au fond de mon gosier.
— J’ai apprécié, dit-il en me baisant la main.
Je ne peux lui répondre sous les assauts de mon fiston.
— A plus tard, poursuit-il, ma femme veut vous connaître.
Il s’éclipse discrètement. Toute ma petite troupe est sous les douches extérieures. Je vais les rejoindre après avoir reçu les honneurs de mon rejeton. On part s’asseoir à notre table où nous attendent des bouteilles de champagne. Je m’installe entre mon fils et ma future belle-fille. Monsieur Paul réapparaît, nu, et vient vers nous.
— Ce champagne vous est offert pour votre anniversaire, et voici ma compagne, ma muse.
Il s’écarte et laisse passer une plantureuse blonde de 35-40 ans, les cheveux lui tombant dessous les fesses, aux hanches bien marquées, aux jambes interminables, au visage d’ange et au bronzage intégral, tout comme Monsieur Paul.
— Voici Estelle...
Il la prend par les épaules et nous la présente comme un trophée. Quel contraste...
— Bonjour à tous, j’espère que vous vous êtes bien amusé ?— Oui, parfait, lui répondis-je.
Elle me sourit. Je fonds. Quelle beauté ! Ils s’en retournent en se tenant amoureusement par les hanches. Comme quoi, l’amour n’a pas d’âge prend ici tout son sens. Gégé m’explique sa rencontre avec les deux tourtereaux. Il a rencontré Paul à la plage. Il y était seul, sa compagne l’avait lâchement abandonné pour une partie fine. Il plaisantait. Lui et Eva se sont liés d’amitié. Il leur a parlé de parties fines qu’il organisait chez lui avec Estelle.
— Et puis, m’ayant avoué qu’Estelle était sa fille, je n’ai pas pu résister. Je lui ai parlé de notre amour, de notre relation particulière.— Gégé ! ! !— Ne t’inquiète pas, d’ailleurs a-t-il fait une quelconque allusion ?— Non.— Tu vois, il sait être discret.— Oui, mais quand même...— Ils nous invitent tous les quatre demain soir pour que l’on fasse plus ample connaissance.— Pas sans Coco.— OK, me répond mon fils, comme tu veux. De toute façon, je lui ai parlé de ta relation avec Coralie. — Bon, les enfants, on va vous laisser. Il est temps pour nous de rentrer, me dit ma mère, on part finir la soirée chez les parents d’Eva.
Je crois qu’il est temps pour nous aussi de rentrer. Coralie me retient et me tend un petit paquet cadeau. Je l’embrasse amoureusement. Je l’ouvre délicatement. C’est un petit cœur en or. Je suis sans voix. Elle m’attache ce bijou à mon collier offert par mon fils. Je me rassois et bois une bonne flûte de champagne, accompagnée par mes trois amours. J’allais remettre mon short quand Eva me tend une petite boîte.
— Bon anniversaire, Christine.
La petite boîte contient une châtelaine en or. Eva me la pose et m’embrasse. La châtelaine me serre la taille raisonnablement, deux petites chaînettes descendent le long de mon ventre et s’attachent aux anneaux de mes petites lèvres, écartant ces dernières. Je reconnais là toute la perversité de ma future belle-fille. Je l’embrasse. Je ne peux remettre mon short, qu’à cela ne tienne, c’est cul nu que je me dirige vers la voiture de Coco. Mon fils en prend le volant, Coralie et Eva reprennent la voiture de Pierre. Il me semble que le trajet est beaucoup, beaucoup plus long qu’à l’allée. Je questionne mon fils, il me sourit, mais ne me réponds pas. Que va-t-il m’arriver ?On arrive devant chez Coco, il descend et m’ouvre la porte. La voiture de Pierre est déjà là, tu m’étonnes. Tout est dans le noir, on arrive à la piscine. Les lumières s’allument.
— Happy birthday to you, happy birthday to you...
Ils sont tous là, plus une surprise, Roger, Amandine et Fabricia, ils sont tous là. Je fonds en larmes. Coco me sert dans ses bras. Une ÉNORME tarte tropézienne trône sur la table, mon péché mignon. Je souffle les bougies d’un seul coup sous les applaudissements de tous. Ma mère est subjuguée par les bijoux offerts par mon fils, Coco et Eva. On déguste cette tarte arrosée de champagne. Roger s’approche de moi et me tend une petite boîte.
— Désolé, je ne savais que t’offrir, mais avec Sèna et sous les conseils d’Amandine, on t’offre ceci. Ne le prends pas mal, mais c’est tout ce que j’ai trouvé.
J’en sors une mini-chaînette avec deux piercings ronds. Je m’interroge et Amandine vient devant moi. Elle m’enlève les petits fers à cheval et me passe les anneaux puis la chaînette. J’en mouille. Je regarde Roger qui bave devant mon harnachement maintenant complet. Je l’embrasse sur le front et saisis sa queue.
— Merci...— De rien, la princesse.
Je me penche et l’embrasse goulûment. Il sent le pastis, mais je m’en fous. Tout le monde rigole, mais la fatigue se fait sentir.
— J’aimerais que tu me baises son ton tracteur, lui murmurais-je à l’oreille, les vibrations...— Quand tu veux ma belle, demain ?— Non, j’ai rendez-vous demain soir, il faut que je me repose, mardi, ça te va ?— Et comment !
On se sépare. Amandine et Fabricia montent dans le studio en compagnie des deux petits. Les parents rejoignent leurs chambres respectives. Roger rejoint sa ferme en tenant amoureusement Séna.
— Tu es superbe, ma chérie, me dit Coralie.
Je lui fais un petit bisou et file à la douche. Après m’être lavée et enlevé tous mes bijoux, je me couche et m’endors profondément.
Diffuse en direct !
Regarder son live