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Mon fils, esclave de ma chatte

Chapitre 1

Inceste
Je m’appelle Karine, j’ai 38 ans, et j’ai décidé de vous raconter comment j’ai fait de mon fils mon jouet sexuel, ceci pour mon plus grand plaisir égoïste.
Ma vie a depuis mes 15 ans toujours été marquée par le vice. J’ai toujours été une salope scandaleuse, mais je me suis toujours moquée de ce que les gens, et en particulier les femmes, pensaient de moi. Du coup, je suis très heureuse, à tous les niveaux. Professionnellement, je suis déjà surveillante générale dans un hôpital, poste que l’on n’atteint que très rarement avant l’âge de 45 ans. Il y a une raison à cela: ce poste je l’ai obtenu grâce à mon cul. D’une part, je suis plutôt bien foutue (je crois qu’il est d’usage de se décrire brièvement: 1,69m, 59kg, 90C et une chatte toujours humide) et d’autre part, je n’ai jamais hésité à utiliser mes charmes pour parvenir à mes fins. C’était déjà vrai au lycée avec mes professeurs, ça l’est resté dans le monde professionnel. Les médecins comme les chefs de service savent quelle salope je suis, et il ne se passe pas un jour sans que je ne serve de vide-couilles pour ces messieurs respectables, mais souvent frustrés dans leur vie sexuelle. Lorsqu’une place de surveillante s’est libérée, leur choix s’est tout naturellement porté sur moi. C’était dans leur intérêt: libérée des emplois du temps infernaux qu’exige le métier d’infirmière, je devenais ainsi plus disponible pour leur offrir mes orifices. Bien sûr, au sein de l’hôpital, tout le monde connaît cette réalité. Mes anciennes collègues me haïssent, mais ne la ramènent pas car elles savent que je suis désormais en mesure de leur pourrir la vie. Depuis 1 an donc, au lieu de commencer ma journée par la tournée des malades, je débute par la tournée des bites de mes supérieurs masculins qui me traitent comme la dernière des traînées. J’adore ça, pourtant avoir toujours le même rôle a fini par me lasser. Un tempérament de dominatrice sommeillait en moi, et je mourrai d’envie de lui laisser libre cours. Mais sur qui l’exercer? C’est en remarquant les regards de mon fils sur mon corps que j’ai pensé que celui-ci ferait parfaitement l’affaire.
Vous dire qui est le père, je l’ignore. Ma vie sexuelle était trop tourmentée à l’époque, et par ailleurs, il n’y a rien tant que je déteste que le préservatif. Je raffole de sentir la semence masculine se répandre dans mes orifices! De fait, ayant dû oublier de prendre ma pilule, j’ai découvert à 20 ans, par une belle journée de printemps, que j’étais enceinte de l’un de mes partenaires. Mais lequel. La question ne m’a pas inquiétée très longtemps, et j’ai décidé de garder l’enfant en me disant que ce serait fait et que, une fois maman, je n’aurais aucun mal à convaincre un gynécologue de me poser un stérilet qui m’assurerait une tranquillité d’esprit pour mes débauches futures; j’allais pouvoir me faire remplir la chatte sans craindre que cette mésaventure ne se reproduise. Ma grossesse s’est déroulée dans le stupre et d’ailleurs, lorsque les premières contractions sont arrivées, j’étais en train de me faire limer par un de mes amants qui prenait son pied à baiser mon gros ventre. Sur le coup, j’ai gémi, il pensait m’avoir fait mal, mais je l’ai rassuré et je l’ai encouragé à se finir en giclant bien au fond de mon vagin (« ça graissera le passage » lui avais-je dit en rigolant), et c’est donc avec la chatte dégoulinante de foutre que je me suis rendue à la maternité.
Vues les circonstances de ma procréation, je n’ai jamais été débordante d’amour maternel. En outre, j’ai toujours préféré consacrer mon temps libre à recevoir mes nombreux amants. Mon fils, Rémy, a aujourd’hui 18 ans, et il en a vu défiler, des hommes! Plus jeune, il me demandait souvent si l’un d’eux était son papa, ce qui me faisait toujours rire. Quoiqu’il en soit, mon fils a très tôt été habitué à voir sa maman légèrement vêtue, parce que d’une manière générale mes jupes (je ne porte jamais de pantalons) sont plutôt courtes, et que en bonne salope, je reçois souvent mes amants en nuisette, voire depuis quelques temps en bas et porte-jarretelles (mais jusqu’à l’année dernière, je m’en tenais aux nuisettes). Bien évidemment, il fallait être aveugle pour ne pas remarquer les regards brûlants de désir que me jetait mon fils chéri, et c’est ce qui a fait germer l’idée en moi. Il me parlait toujours avec un respect auquel je n’étais guère habituée, les hommes n’ayant souvent pour moi que des injures (mais je ne leur en veux pas, bien au contraire: ça m’excite!). J’ai donc décidé d’en tirer partie progressivement.
J’ai d’abord commencé par de petites provocations apparemment anodines mais qui, j’en étais sûre, faisaient grand effet sur mon fils. Pour tester mes charmes, j’ai décidé d’ouvrir imperceptiblement les jambes pendant que je regardais la télé, certains soir. Mon fils n’a pas été long à remarquer mon petit manège, et lorsque cela se produisait, Rémy trouvait mille et un prétextes (du reste tous plus grossiers les uns que les autres) pour sortir du salon. Lorsqu’il revenait, la disposition de la pièce était telle qu’il avait une vue imprenable sur la lisière de mes bas ainsi que sur ma petite culotte de dentelle qui ne cachait pratiquement rien de ma chatte velue. Il restait alors de longues secondes debout, le regard plongé entre mes cuisses que, l’air de rien, j’écartais un peu plus tout en continuant de fixer l’écran du téléviseur. Un soir, mon gros balourd de fils frisa le ridicule en s’absentant 23 fois de la pièce, le tout en 1h40! A sa décharge, il me faut avouer que ce soir là, j’avais négligé de mettre une culotte, et que j’avais les jambes franchement ouvertes. En tout cas, son manque de discrétion avait l’avantage de me conforter dans l’idée que j’avais de mon pouvoir sur lui, et sentir son regard sur ma chatte et l’imaginer se branler en pensant à sa maman vicieuse me rendait dingue d’excitation. Aussi, dès le film terminé, je rejoignais rapidement mon lit pour m’introduire un gode dans le vagin et me toucher comme une collégienne.
Forte des mes premiers succès, j’ai entrepris d’aller un peu plus loin. Pour ce faire, j’ai imaginé de lui demander quelques menus services, en étant convaincue au demeurant que ceux-ci ne feraient qu’attiser son excitation. Ainsi, un jour, après avoir volontairement filé l’un de mes bas au niveau de la cuisse, je suis descendue dans le salon où se trouvait Rémy. Je me suis regardée dans le psyché et j’ai feint la surprise en constatant mon méfait: -« Zut! Regarde, Rémy chéri, mon bas est filé! »
Afin de lui montrer, j’avais remonté ma jupe assez haut pour lui montrer, et il ne s’était pas fait prié pour constater les dégâts. Il était comme à son habitude littéralement hypnotisé par le spectacle que lui offrait sa maman salope. J’enchaînais: -« écoute Rémy, je ne vais pas avoir le temps d’aller en acheter aujourd’hui et je sors ce soir. Pourrais-tu me rendre un service et faire ça pour moi? - Ou. oui. si tu veux maman, mais je ne sais pas lesquels prendre. - Prends-en des noirs, taille 2, mais surtout ne te trompe pas: je ne veux pas de bas auto-fixant, je ne porte que des bas classiques qui tiennent avec un porte-jarretelles, tu le sais bien. »
Rémy n’a eu aucune réaction, en dehors de celle de devenir rouge comme une pivoine. Le soir, j’ai eu la satisfaction de trouver deux pochettes de bas noirs déposées sur mon lit. La première expérience ayant été concluante, je la renouvelais quelques jours plus tard. Lorsque Rémy me demanda lesquels il devait acheter, je lâchai avec une fausse indifférence:
-« N’importe. Tu n’as qu’à choisir. »
Cette fois, c’est un grand sourire qui a illuminé son visage. Pour moi, c’était tout bénéf’, car d’une part cela me dispensait d’aller courir les magasins, et d’autre part, cela me permettrait de connaître un peu plus précisément les goûts de mon fils. Son choix se porta sur deux paires de bas de couleur chair un peu foncée. Je le remerciai en lui disant qu’il me rendait bien service.
-« Ils te plaisent, maman? » m’avait demandé Rémy avec une voix chevrotante. -« Oh oui! Et je suis sûre qu’ils plairont aussi beaucoup à Marc (l’un de amants)! » répondis-je méchamment. -« Bon, tant mieux. » avait-il conclu, tout penaud.
    Quelle salope je fais! En tout cas, mon emprise sur lui croissait, j’en étais certaine, et d’ailleurs comment en aurait-il pu être autrement?
En traînant sur le net à la recherche d’inspiration, je découvris la fascination qu’avaient parfois les ados pour les culottes sales de leur maman. Cela ne me serait jamais venu à l’esprit tant cela me paraissait incongru, surtout en ce qui concerne mes petites culottes: du fait de ma vie sexuelle, je crois que pas une d’elles ne revenaient de mes journées sans une bonne dose de foutre plus ou moins sec dans l’entrejambe! Je décidai néanmoins de vérifier: au lieu de les mettre dans le fond du panier de linge sale comme je le faisais habituellement, je me suis mise à les laisser bien en évidence sur le dessus de la pile. En vérifiant régulièrement, je ne tardai pas à constater qu’effectivement, mes petites culottes étaient toutes humides de la salive de mon fils. Ce petit salaud devait se branler en mâchouillant les culottes souillées de sa maman, et cette image m’a furieusement excitée. Se rendait-il compte qu’au-delà de mes sécrétions intimes, c’était aussi du jus séché de mes amants qu’il se délectait en se tripotant l’asticot? Je n’avais pas encore la réponse, mais quoi qu’il en soit, je pris rapidement l’habitude de bien enfoncer le tissu de ma culotte dans mon vagin dès qu’il était rempli de sperme. Du coup, mes strings étaient dans un état épouvantable, totalement maculés de semence masculine. Mais cela ne changea rien: je les retrouvais toujours luisants de salive quelques heures après les avoir déposés sur le tas de linge sale.
Devant ce constat, je décidai qu’il était temps de passer aux choses sérieuses. Je sentais que Rémy était mûr pour la suite, et il était grand temps qu’il mette en pratique les dispositions de larbin que je devinai en lui. J’allais bientôt avoir un esclave à ma disposition, et celui-ci n’était autre que mon fils. A cette pensée, ma chatte dégoulinait de mouille.
A suivre?
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