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Mon fils m'a fait cocu.

Chapitre 7

suite et fin

Inceste
Le quatuor à cordes, de viva l’dit !Ce fut la ruée vers le baisodrome, avec une chasse pour la vue sur le meilleur gazon. Finalement au début ce fut très classique, je montai le N° 1, Marie-Claude, alors qu’Eric hérita du N° 2 Marisette. Le train soutenu que nous menions, très apprécié par nos montures, nous amena rapidement au point de rupture et dans un bel ensemble, nous les avons arrosés de nos sucs reproducteurs alors qu’elles décolèrent dans un orgasme de bon ton, rien de pharaonique pour cette première prise de contact.La chose se pimenta, lorsque nous changeâmes de partenaires, officiellement, c’était la première fois que Eric baisait sa mère devant moi et Marisette, cela me faisait un drôle d’effet cette acceptation, du coup, alors que j’aurai dû bander, excité comme un pou sur le pubis d’une péripatéticienne, j’ai eu un passage à vide. Les trois autres regardaient étonnés ma défaillance. Du coup Eric s’est dégagé, affolé et m’a saisi dans ses bras.
- Papa, qu’est-ce qui se passe, tu es blanc, comme de la craie. Respire fort. Maman, prends-le dans tes bras.
Petit à petit, le malaise s’est dissipé et les couleurs me sont revenues, mais j’étais complètement vidé, Eric prit une décision qui m’a peut-être sauvé. Il a demandé aux essoreuses de se réfugier dans sa chambre et il est resté avec moi, C’était irréel, deux hommes à poil, Eric et moi sur le lit conjugal, dans les bras l’un de l’autre, sans qu’il n’y ait rien de sexuel entre nous.La confession du fils.Le lendemain, père remis, me prends à part :
- Alors c’était bon cette soirée, tu as bien apprécié. J’ai admiré ta performance, tu as de la réserve. Mais revenons à nos moutons, comment en êtes-vous arrivés à baiser avec Marie-Claude ?- Père, tu sais qu’on était très, peut-être trop proche. Depuis longtemps, je fantasmais sur elle et que de mouchoirs j’ai remplis en son nom. L’après-midi de ton départ, déjà là, il y a eu une chose troublante, pendant qu’on jouait dans l’eau, par mégarde, je lui ai mis les mains sur les seins, ce qui a provoqué une érection brutale qu’elle a remarqué, elle s’est rapidement dégagée comme fâchée. Tout penaud, je suis venu m’excuser et là, elle a minimisé le problème en me disant que c’était de mon âge, mais je bandais toujours très fort et pour me tranquilliser, elle m’a embrassé chastement sur la bouche. Cela a suffit pour me faire tout lâcher dans mon slip. Elle était toute contente car c’est embarrassant de sortir de l’eau, mère et fils avec l’enfant qui bande comme un taureau.
Après que tu fus parti, nous sommes retournés sur la plage, là elle m’a demandé de lui mettre de la crème solaire, ce qui a provoqué à nouveau eu une érection non contrôlée. Ensuite elle m’a proposé de me passer de la crème solaire, ce qui a dévoilé mon excitation. Elle s’est un peu moquée de moi quand je lui ai dit que ce n’était pas juste, car chez les femmes on ne voit rien. Il s’est passé ensuite une chose incroyable, elle m’a dit de fermer mes quinquets et d’ouvrir la bouche. J’ai senti un mince filet de liquide qui coulait entre mes lèvres. J’ai failli à nouveau partir et je les ai rouverts, les yeux. Le charme fut rompu et on est parti se baigner. Avant de partir, vu mon état, elle a fait encore une chose plus terrible, pour me rendre présentable, elle m’a branlé pour me faire éjaculer. Le soir, en route pour la pizzeria, elle n’avait pas envie de cuisiner et tu me connais, je suis très friand de malbouffe. Pendant tout le repas, on a philosophé sur ce qui nous arrivait, sur son terrible dilemme, l’amour qu’elle avait pour toi et l’envie qu’elle avait de moi. De la difficulté de rester chaste avec les incitations qu’elle subissait de ma part, même si je ne m’en rendisse pas compte. Finalement, on est arrivé à la conclusion que quoiqu’on fasse, on allait baiser ensemble.
Elle essaya bien de me dissuader, à cause du risque de se faire prendre par toi, mais en rut, je ne réfléchis pas et elle en chaleur, je ne crois pas non plus. On a presque couru à la maison et là, on a consommé comme des fous, presque sans arrêt, comme des « just maried ». Nous étions fous l’un de l’autre. Le retour fut cependant pénible avec les interdits qu’elle m’avait fixés. Si quand tu es loin, on est des amants fougueux, dès que tu es là, on revient à l’amour filial et conjugal. Tu ne peux savoir ce que j’ai souffert de voir comment vous vous envoyez en l’air avec mère. Le pire, c’est quand elle m’a fait déguster les résidus de votre fornication.À ce moment de la confession qui tirait vers la fin, je lui précisais qu’il m’avait fait le même genre de cadeau une nuit où j’étais fatigué.
- Je sais, elle me l’a dit et m’a imposé de lécher copieusement ce mélange de cyprine et de sperme.

Ensuite quand tu es parti, à nouveau ce fut le délire, on a pas vu les jours passer. Mais plus le temps avançait, plus j’avais des remords vis-à-vis de toi, même si je me doutais bien que selon son expression, c’était pas pour enfiler des perles, à moins qu’on considère ta secrétaire soit une perle. À ton retour, je n’ai pas pu résister de t’avouer les faits. Tu ne peux savoir comme je me suis senti libéré que tu ne me condamnes pas, mais au contraire a été très compréhensif.
- Et ma secrétaire, comment tu la trouves.- Canon.- Il faut que je t’avoue que pendant mon absence, on a joué à un drôle de jeu, elle voulait que je joue le rôle de son neveu qu’elle doit dépuceler. C’était très divertissant. C’est aussi une coquine comme tu as pu t’en rendre compte cette nuit. Tu pourrais jouer au jeu du jeune puceau avec elle. Elle adore.
Qu’ont fait les deux coquines pendant ce tempsExpédiées par Eric pour libérer leur emprise sur moi, les deux femmes se sont retrouvées à poil dans la chambre d’Eric, pas tout à fait rassasiées.
- Je me sens un peu frustrée de l’abandon de nos étalons. C’était pourtant bien parti, se plaint Marie-Claude.- Il ne nous reste plus qu’à nous en passer jusqu’à demain, est-ce que tu as déjà baisé entre femme ?- Plus depuis la pension.- Donc, tu n’es pas ignorante des jeux de Saphos. Tu es partante ? Propose Mariette encore très excitée.- Bien, il faut bien faire avec les moyens du bord. On se met en 69 pour commencer ?
Sans attendre, sans même passer par la phase du french kiss ou de la langue fourrée elles se sont retrouvées en sens inverse, le nez à raz la motte et déjà les langues se tendent, curieuses du fumet de l’autre.
- Finalement nos étalons ne nous manquent pas trop, je sens encore le produit de leur amour mélangé au tien. Le mélange est intéressant.- Tu as raison et je trouve que ton approche du léchage du clito, plus approprié que celui de tous les mâles que j’ai eu.- Tu en as eu beaucoup ?- Quelques-uns et toi ?- À part mes hommes, je suis encore vierge.- Oh ! C’est délicieux et tellement pervers, une mère incestueuse presque vierge. Cela m’excite vraiment d’être avec toi.
On passa toute la nuit à nous caresser, à nous lécher, à nous embrasser, téter et le matin arriva vite, curieuses et rassasiés, un peu fatiguées, nous sommes allées visiter nos hommes qui se sont réveillés. À notre arrivée, Jean-Mi avait meilleure mine, l’air moins fatigué que hier soir.
- Alors Jean-Mi, qu’est-ce qu’on fait ? Que s’est-il passé ?- Je ne sais pas, je ne comprends pas, je vous ai déjà vu baisé avant, mais sans que vous le sachiez. Est-cela ? Finalement, on pourrait reprendre où on en était hier soir quand j’ai eu ce malaise, peut-être j’ai eu une semaine trop chargée ? Venez-vers nous mes amours ! Et là, sans problème, le fiston a niqué ma femme sous mes yeux sans problème, devant, derrière et même avec Marisette qui s’occupait de mes affaires. On a fini par la prendre ensemble des deux côtés.
Chez Marisette et épilogueAprès cet épisode, on s’est revu bien quelques fois et après l’été, est arrivée la reprise des cours, fini le bahut à proximité, il fallait aller à l’université qui n’était pas trop loin de chez Marisette. On lui a demandé si elle pouvait héberger notre fiston pendant ses études et qu’il lui tiendrait son ménage en compensation.Coquine, elle nous répondit :
- Après le père, voici le fils, mais j’ai un petit chez moi, je refuse le Saint-Esprit. C’est d’accord, vu que tu n’es pas jaloux, à la place de mon neveu, quoique…
C’est ainsi que j’ai eu un peu plus ma femme, mais les week-ends, c’était la joie et la bonne humeur dans la maison, surtout quand Marisette qui une fois a même amené son neveu pour compléter le tableau.Beaucoup plus tard, je frisais la soixantaine lorsque Eric s’est marié avec un canon qui me faisait baver d’envie. Il a absolument voulu me renvoyer l’ascenseur et a organisé une orgie où on l’a baisée ensemble. Mais c’est une autre histoire. Fin
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