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Mon fils à moi

Chapitre 1

Inceste
Bonjour,Je m’appelle Pascale, et cette histoire se passe, il y a déjà fort longtemps. En effet, je venais de divorcer, durement, et j’avais à charge mon fils que j’avais du mal à canaliser du fait de mon métier. Bien sûr, mon ex ne faisait rien pour m’aider et je dus affronter bon nombre de bêtises de la part de Loïc pendant un long moment. Pour bien comprendre la situation, il faut que vous sachiez que j’étais, à l’époque, infirmière dans un CHU dans une ville de province, et que je ne travaillais que la nuit. Ceci, afin de pouvoir être présente au moins l’après-midi pour mon fils. Loïc était un jeune garçon assez ingrat, puisqu’à l’époque, il était en surpoids, et qu’il n’était pas rare qu’il déjeune avec des chips et du coca.
J’avais beau le sermonner, il n’en faisait qu’à sa tête, arguant bien entendu de la situation de divorce qui l’empêchait, disait-il, de voir son père (tu parles).Bref, une vie difficile pour une femme comme moi, qui en plus était en proie aux affres du manque de sexualité nécessaire à mon âge. J’étais pourtant ce que l’on appelle bien foutue. Grande (1m72), mince avec de longs cheveux bruns et de grands yeux bleus, et pour les connaisseurs une poitrine qui tenait toute seule. J’avais bien quelques occasions au travail, mais c’était régulièrement un petit coup à la va-vite dans le service. D’ailleurs, je prenais ce qui passait, me jetant aussi bien sur un collègue que sur un malade. D’ailleurs, cela finit par se savoir et m’attirer des ennuis. Cette vie dura comme ça pendant six mois et c’est à l’anniversaire des 18 ans de Loïc, que cela commença à changer un peu. Ce jour-là, je voulus faire plaisir à Loïc, et nous sommes allés dans un restaurant, puis à la fête foraine où, paraît-il ses copains l’attendaient.
C’était une belle journée printanière, et j’avais passé une jupe plissée ample s’arrêtant à mi-cuisses, ainsi qu’un tee-shirt très échancré sous les bras qui laissait entrevoir mon soutien-gorge dès que je levais les bras.
Tout se passa très bien, et apparemment, le copain de mon fils me réserva un accueil peut-être un peu trop appuyé maintenant que j’y repense, et surtout, après toutes les messes basses qu’ils ont pu échanger avec mon fils. Nous rentrâmes, et la semaine reprit son cours. Je travaillais donc le mardi soir, comme à l’accoutumée, et je rentrais dormir le mercredi matin, jour de congé des lycéens. J’allais donc me coucher vers six heures, après avoir constaté que Loïc dormait. Il faut savoir que j’ai l’habitude de dormir nue, ce qui est important pour ce qui a suivi. En effet, vers neuf heures, je suis à demi réveillée par un bruit feutré, qui n’était autre que l’ouverture de la porte de ma chambre. Je vis entrer mon fils marchant sur la pointe des pieds et qui s’approcha du lit.
Je ne fis pas un mouvement, attendant de savoir ce qu’il voulait, mais il n’essaya pas de me réveiller. Au contraire, il commença à faire glisser le drap sur mon corps, jusqu’à ce qu’il ne me recouvre plus. J’avais l’habitude de dormir à plat ventre, et je lui offrais le spectacle de mon dos et mes fesses nues. J’étais très troublée, mais je ne bougeais toujours pas afin e savoir ce qu’il voulait. Je le sus très vite, car il commença à me caresser le dos, puis les fesses. Il hésita un moment, puis il essaya d’écarter mes jambes afin d’avoir accès à mon sexe. Je le laissais faire un moment sans bouger, puis, étant donné que cette situation commençait à m’exciter, je laissais mes cuisses s’ouvrir. Il commença à caresser mon entrejambe, et il s’aperçut que celui-ci était très humide. Il parut surpris, il s’essuya la main au drap, me recouvrit et sortit à ma grande surprise et aussi déception, car j’étais très excitée par cet épisode.
Je me rendormis donc en me promettent d’avoir une discussion avec mon fils, quand, environ deux heures plus tard, la porte de ma chambre s’ouvrit de nouveau. Etant toujours allongée à plat ventre, j’allais me retourner pour que Loïc puisse me caresser la poitrine, mais je vis que Loïc n’était pas seul. En effet, il était accompagné d’un de ses copains que j’avais vu à la fête. Je ne comprenais plus rien.
A nouveau, il retira le drap jusqu’au fond du lit, et chuchota à son copain:
— Vas-y touche-la. Tu vas voir elle est toute mouillée entre les jambes.
Je sentis la main du copain passée entre mes cuisses, et il se mit à caresser mon sexe, remontant dans la raie des fesses. Effectivement, j’étais mouillée, pour ne pas dire trempée.
— Ah oui, génial, dit-il à mon fils, dommage qu’on ne puisse pas la retourner.
Mon fils lui dit:
— Non laisse-la pour aujourd’hui, sinon on va la réveiller, et ça risque d’aller très mal.

Ils remirent le drap sur mon corps, et sortirent, me laissant non seulement perplexe, mais aussi et surtout très excitée. A tel point, que je ne pus m’empêcher de me caresser et de jouir ! Je me levais une heure plus tard, bien décidée, à parler à Loïc. Je passais ma tenue appart, à savoir tee et jogging. Une culotte mais pas de soutif. Je me rendis directement dans la chambre de Loïc, le trouvant seul, et lui dit:
— Viens me voir au salon, je crois que nous avons à parler.
Il me suivit l’air très innocent et vint s’asseoir en face de moi, attendant ce que j’allais lui dire.
— Dis-moi Loïc, commencai-je, tu peux m’expliquer les deux intrusions que tu as faites dans ma chambre, ce matin.
Il devint livide et bredouilla:
— Tu ne dormais pas alors...— Non, lui dis-je, encore moins quand tu as fait rentrer ton copain. Qu’est-ce qui t’est passé par la tête ?
Toujours bredouillant, il m’avoua que, c’était depuis son anniversaire que ses copains m’avaient trouvée "bandante", et qu’ils voulaient absolument me voir à poils.
— Bravo, lui dis-je, et toi, qu’en penses-tu ? Je te rappelle que la première fois, tu étais tout seul. — Ben c’est pareil, dit-il, je te trouve vachement sexy.
Je le regardais fixement, pendant qu’il ne savait plus où se mettre.
— Et, alors, toi aussi tu me trouves "bandante" et tu voudrais que je me montre nue devant toi ?— Ben, je sais bien que ce n’est pas possible, me dit-il mais c’est vrai que j’aurais aimé.
Je le regardai apitoyée, il avait l’air tellement malheureux, et je lui dis :
— Ne prends pas cet air bête, et viens t’asseoir près de moi.
Il vint s’asseoir près de moi sur le canapé, et je pris sa main pour la poser sur mon genou.
— Tu avais l’air bizarre quand tu as passé ta main entre mes jambes. Que s’est-il passé?
L’air benêt, il me répondit:
— Ben, c’était tout mouillé. — C’est normal pour une femme quand elle est excitée, lui dis-je, ce qui veut dire que la situation m’avait excitée.
Je pris le bas de mon tee-shirt et le fit passer au-dessus de ma tête, libérant ma poitrine. Il regardait mes seins, et je voyais ses mains prêtes à me toucher.
— Eh bien, vas-y, lui dis-je, qu’est-ce que tu attends pour les toucher. Caresse-les et suce bien les bouts.
Il se jeta sur moi, et j’ai cru un moment qu’il avait plus de deux mains. En attendant, moi, j’étais de plus en plus excitée et je coulais.
Je pris une de ses mains et la plaquai sur ma chatte pour lui faire constater, mais le contact et l’émotion firent qu’il éjacula dans son pantalon me laissant en rade. Je le regardais en souriant, et lui dit:
— Descends ton pantalon et ton slip.
Il s’exécuta et je ne pus que constater qu’il avait bien éjaculé et qu’il débandait déjà.
— Va à la salle de bains et nettoie-toi. Lui dis-je. Et reviens me voir mais tout nu.
Quand il revint, il était effectivement tout nu. Moi, j’étais toujours assise dans le canapé, seins nus et je lui dis:
— Je vais te montrer comment font les femmes pour se donner du plaisir. Tu veux ?
Il opina.
— Viens, lui dis-je en me levant, fais descendre mon jogging.
Il ôta mon pantalon, me laissant en culotte que je lui demandais d’ôter également. Complètement nue devant lui, je lui dis:
— Touche entre mes cuisses, tu vas voir comme c’est humide.
Il passa sa main entre mes cuisses.
Je lui dis:
— En attendant que tu puisses rebander, je vais me caresser devant toi, et surtout, on va parler de tes copains.
Rien qu’à ces mots, je faillis jouir, et je m’installai bien en face de lui, les cuisses bien ouvertes. Tout en m’activant sur mon clito, je demandai à Loïc:
— Dis-moi, combien de tes copains me trouvent bandante ? — Oh, ben tous ceux que tu as vus à la fête. Pourquoi ? — Et ils veulent quoi au juste, lui dis-je entre deux soupirs tant j’étais excitée par la situation. — Je crois qu’ils aimeraient bien te voir toute nue. — Et pas me toucher ? Lui demandai-je. — Oh si sûrement, me dit-il. Pourquoi, tu voudrais bien le faire ? — Pourquoi pas, lui répondis-je, s’ils savent tenir leur langue bien sûr. — Ah bon, quand, voudrais-tu faire ça ? Je suis sûr que ça leur plairait. — Attends, lui dis-je, viens près de moi, et caresse mon clito, je sens que je vais jouir.
Il s’assit à côté de moi. Je lui pris la main et la posais sur ma chatte, mais à peine m’eut-il touchée que je jouis comme une folle alors que lui il rebandait. A peine remise de mon orgasme, je me penchai sur lui et me mit à le sucer. Quand il fut consistant, je l’installai sur moi, et l’introduisis en moi. Ça ne dura pas longtemps, en trois ou quatre va-et-vient il jouis en moi, me déclenchant mon deuxième orgasme. Après cela, nous passâmes la journée à nous caresser mutuellement et à parler de ses copains. Mais ça sera pour la prochaine fois
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