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Mon fils, mon maitre

Chapitre 2

Contrat et premier gang-bang

Inceste
       Le lendemain matin, je me réveille vers 9h30. Je n’ai pas l’habitude de me lever si tard et j’enfile rapidement un peignoir avant de me rendre dans la cuisine. Sarah, notre bonne est en train de me préparer mon petit déjeuner et lorsqu’elle me voit entrer dans la cuisine, elle me tend une enveloppe bleue.
       - Bonjour Madame, Monsieur Antoine m’a donné cette enveloppe pour vous ce matin avant de partir pour ses cours. Il m’a demandé de vous la remettre en main propre, me dit-elle avec un timide sourire. Je sens en elle comme une sorte de trouble dont je ne m’imagine pas encore l’origine.       - Je vous remercie, Sarah. Lui dis-je en lui rendant son sourire.
       Sarah quitte la cuisine, je m’installe devant mon café et j’ouvre la mystérieuse enveloppe sur laquelle est écrit le mot « Sève ». Il est écrit en gros en haut de la feuille "contrat". Intriguée, je me mets à lire le document.
                                                                                                              CONTRAT
Article 1 : le présent contrat engage d’une part Monsieur Antoine M., dit le maître, et Madame Séverine M., dite la soumise.Article 2 : Le maître s’engage à appeler sa soumise "maman" dans la vie quotidienne. Il ne se fera appeler maître que dans l’intimité. La soumise saura à quel moment elle doit l’appeler "maître" lorsque ce dernier l’appellera "Sève".Article 3 : La soumise pourra tutoyer et appeler le maître par son prénom seulement lorsque ce dernier l’appellera "maman". Lorsqu’il appellera la soumise "Sève", cette dernière devra passer immédiatement en mode soumission.Article 4 : La soumise se pliera à toutes les exigences du maître et se devra de le satisfaire sur le plan sexuel, quoi qu’il lui soit demandé.Article 5 : La soumise ne porteras des sous-vêtements que sur demande du maître. En tout temps, même si le maître l’appelle "maman", la soumise devra porter un tailleur sous lequel il n’y aura qu’un porte-jarretelles et des bas.Article 6 : La soumise devra refaire sa garde-robe afin que les jupes de ses tailleurs soient courtes.Article 7 : La soumise devra entretenir son corps et être totalement épilée pour le plus grand plaisir du maître.Article 8 : En toute circonstance, la soumise vouera une entière obéissance à son maître et se pliera à toutes ses exigences.Article 8 : Le maître se réserve le droit d’ajouter à tout moment un ou plusieurs articles au présent contrat.
Aucuns de ces articles ne sont négociable et les deux parties s’engage à les respecter à la lettre.

                                                                    Le maître                                                                        La soumise
       En lisant ces quelques lignes, le souvenir des événements de cette nuit me reviennent et avant même d’avoir terminé ma lecture ma main est descendue entre mes cuisses et je me caresse doucement la chatte. De toute évidence, Antoine n’a pas perdu de temps et il bat le fer tant qu’il est chaud. Dans ma tête, je fais rapidement le point de ce qui m’est demandé. Il n’y a rien d’insurmontable et l’expérience de la nuit dernière m’a procurée un tel plaisir que je souhaite la poursuivre. Cette nuit, j’ai compris que je ne pourrai rien lui refuser et la perspective de devenir la soumise de mon propre fils me met en émoi. La seule chose qui me gène un peu c’est qu’il souhaite que je sois totalement épilée. Je vais devoir me débarrasser de mon petit triangle pubien qui plaît tant à Olivier, mon mari. Tant pis, il devra s’y faire car j’ai bien l’intention de signer immédiatement ce contrat et de devenir la soumise de mon fils. Je dois le faire immédiatement avant de réfléchir et de me laisser emporter par les émotions que pourraient créer la bienséance qui m’a été inculquée par mes parents. Je me saisis d’un stylo et, sans plus y réfléchir, je signe le document. En voulant remettre le document signé dans son enveloppe, je découvre un petit mot que m’a laissé mon fils. Il est écrit sur un petit papier : si tu signes ce contrat, repose le sur le bureau de ma chambre, un petit cadeau t’y attend. Avant de faire quoi que ce soit, je prends mon téléphone et j’appelle mon esthéticienne. Elle n’a plus de place sur son planning mais comme je suis une très bonne cliente, elle me propose de me recevoir sur le moment de midi. J’en suis ravie et après avoir tout remis dans l’enveloppe je monte dans la chambre d’Antoine. J’y trouve Sarah qui y fait le ménage et qui m’explique qu’elle a préféré commencer par la chambre de mon fils afin que je puisse profiter de la mienne pour me préparer pour la journée. Je l’écoute à peine et je me dirige vers le bureau d’Antoine pour y poser l’enveloppe du contrat que j’ai pris soin de recacheter. Je trouve un paquet sur lequel il est écrit « Sève » et je quitte la chambre après avoir demandé à la bonne de ne pas m’attendre pour le reste de la journée car je dois me rendre en ville. Je me précipite vers ma chambre et après avoir fermé la porte, je me pose sur mon lit. Fébrilement, j’ouvre le paquet dans lequel je trouve une boite et un petit mot. Antoine m’a écrit les mots suivant : 
      « Sève, si tu ouvres ce paquet c’est que tu as signé notre contrat. Je t’en félicite !! Tu vas trouver dans ce paquet un plug et un tube de gel lubrifiant afin de pouvoir préparer ton petit cul à la venue de ma queue. Je veux que tu te l’introduise tous les soirs avant de te coucher et que tu te fasses du bien en sentant ce petit jouet t’élargir le cul ».       Je suis très troublée et je me retient d’essayer tout de suite ce bel objet. Je le place très vite dans le tiroir de mon chevet et je vais prendre une bonne douche avant d’aller m’habiller. Une fois dans mon dressing, inconsciemment, je choisis le tailleur avec la jupe la plus courte et un petit chemisier en soie puis j’ouvre le tiroir où se trouvent mes sous-vêtements. Je repense au contrat et je me ravise très vite : pas de sous-vêtements !! Je choisis un joli porte-jarretelles en dentelle noire et une paire de bas en soie. Je m’habille très vite et je quitte la maison précipitamment car il est déjà 11h30. Je vais avoir tout juste le temps d’arriver dans le centre-ville pour être à l’heure chez mon esthéticienne. Le temps de trouver une place de parking, j’arrive à 12h05 dans l’institut de beauté. Vanessa, mon esthéticienne attitrée m’attend dans le hall d’entrée. C’est une jolie petite blonde d’une trentaine d’année. Elle mesure environ 1,65 m et a un corps plutôt agréable à regarder. Le décolleté de sa blouse laisse deviner une poitrine avantageuse qui ne doit pas laisser les hommes indifférents. Je suis en retard et je me confonds en excuses :
      - Vanessa, je suis désolée pour le retard mais j’ai eu beaucoup de mal à me garer.      - Ne vous en faites pas, Madame. Je viens tous juste de terminer avec ma cliente précédente. Si vous voulez bien me suivre !      - Je vous remercie encore d’avoir bien voulu me prendre en supplément. Lui dis-je en la suivant vers sa cabine.      - Ce n’est rien Madame, je vous l’assure !! me répond gentiment Vanessa. Que vais-je pouvoir faire pour vous, aujourd’hui, Madame ?      - Je souhaiterais que vous me débarrassiez de ma petite toison pubienne. Et, comme nous nous sommes vu il y a quinze jour, j’aimerais que vous me refassiez en même temps le maillot complet et les aisselles. Dis-je un peu gênée.      - Très bien, madame. Déshabillez-vous en installez-vous. Je reviens dans une minute.
       Elle sort de la pièce et je commence à retirer mes vêtements. Je me retrouve très rapidement totalement nue sur la table à l’exception de mon porte-jarretelles et mes bas. Pour moi, cette situation est habituelle car il y a des années que Vanessa s’occupe de moi et qu’elle a largement l’habitude de me voir dans cette tenue. Cependant, en m’allongeant sur la table, je ressens un trouble que je n’avais jamais ressenti jusque là. Vanessa entre dans la cabine et referme la porte derrière elle. Très professionnelle, elle se saisit d’une tondeuse et commence à raser ma toison pubienne. Elle s’applique ensuite à m’épiler le mont de Vénus avant de me demander d’écarter les cuisses pour m’épiler la chatte et la raie du cul. Ses doigts s’agitent entre mes cuisses et le trouble me reprend. Je sens mes tétons se durcirent et, pire encore, ma chatte s’humidifier. Je ne comprends pas ce qui m’arrive car Vanessa a pratiqué ces gestes de nombreuses fois sur moi. Je dois me concentré pour ne rien laisser paraître mais lorsque l’un de ses doigts effleure mon clitoris qui pointe déjà, j’ai toutes les peines du monde à étouffer un gémissement. Comme si elle n’avait rien entendu, elle m’écarte un peu plus les cuisses pour s’occuper de ma raie culière. Lors de cette manœuvre, je sens son souffle chaud sur ma chatte et je me rends compte qu’elle a sûrement une vue imprenable sur les lèvres de ma chatte qui doivent être toute luisante de ma mouille. Beaucoup trop vite à mon goût, Vanessa passe à mes aisselles et les expédient en moins d’un quart d’heure. Elle se saisit d’un flacon d’huile apaisante, et en enduit la peau de mes aisselles avant de répéter l’opération sur mon sexe. Sa main pleine d’huile glisse sur ma chatte et, prise par l’émoi qui me tient depuis que je suis allongée sur cette table, je ferme les yeux et laisse échapper un gémissement. Les doigts de Vanessa glissent merveilleusement sur ma chatte et descendent vers la raie de mes fesses. Un doigt s’attarde sur ma petite rondelle qui ne demande qu’a s’ouvrir. Puis, le doigt remonte vers mon sexe et entre dans ma chatte au moment où je sens les lèvres de Vanessa se poser sur les miennes. Ce doigt me fait tellement de bien que j’ouvre la bouche pour laisser la langue de Vanessa y pénétrer. Elle me donne un profond baiser et nos langues se cherchent dans nos bouches. Je me sens tellement bien que mes gémissements s’étouffent dans sa bouche. Son doigt sort de ma chatte et Vanessa interrompt son baiser en me disant :
      - Voilà Madame, j’ai terminé. Vous allez pouvoir vous rhabiller.      - Oh mon Dieu, Vanessa ! Que m’est-il arrivé ? Je vous demande de m’excuser pour mon comportement.     - Il n’y a pas de mal, Madame. Vous vous êtes détendu et je dois avouer que j’ai un peu profité de la situation. Vous êtes tellement belle que je rêve de cette instant depuis longtemps.      - Vous... vous... aviez envie... de moi ? Me mets-je à bredouiller en baissant la tête.      - Oui, depuis le début où je m’occupe de vous et je pourrait vous donner bien plus, Madame.      - Faites-vous des soins à domicile ? Réponds-je timidement toujours la tête baissée.      - Pour vous, je peux faire une exception ! Me répond-elle en me relevant le menton d’une main avant de poser un doux baiser sur mes lèvres.          - Je vais vous donner mon téléphone et si vous le souhaitez, vous m’appelez.     - Je... je ne sais pas ! Je dois y réfléchir ! Comprenez, Vanessa, jamais cela ne m’est arrivé et tout cela est tellement étrange pour moi ! Ne m’en voulez pas mais je pense que ce n’est pas forcément une bonne idée.      - Je vous laisse y réfléchir, Madame, mais sachez que rien ne pourrait me faire plus plaisir. Je vous souhaite une bonne après-midi, Madame.      - Je vous remercie Vanessa. Je vous souhaite également une bonne après-midi.
       Après m’être très vite rhabillée, je règle ma séance et je pars faire du shopping. Il va me falloir de nouveaux tailleurs pour faire plaisir à mon maître. Tout l’après-midi, je sens les mains des vendeuses glisser sur mon corps sous prétexte d’ajuster mes tenues et je à chaque fois prise d’un nouveau trouble. Que m’arrive-t-il ? Je crois le deviner, l’aventure de la nuit passée a totalement libéré ma libido et ce contrat que j’ai signé ce matin me rends folle d’envie. Mon émoi a été très fort au moment où j’ai enfilé cette petite robe fourreau rouge qui m’arrive juste en dessous des fesses et qui laisse voir les attaches de mon porte-jarretelles. Lorsque je me suis regardée dans la glace, je me suis sentie pute, la pute de mon fils, la pute de mon maître. Évidemment, cette petite robe a rejoint mes nouveaux achats. Il est 17h30 lorsque je rentre à la maison et je m’empresse de monter dans ma chambre car Antoine va bientôt rentrer à la maison. Je change rapidement de tailleur pour avoir une jupe courte avant le retour de mon maître. La jupe atteint tout juste la lisière de mes bas et je me trouve extrêmement sexy. A cette heure, Sarah n’est plus à la maison, elle s’est retirée dans le petit pavillon que nous laissons à sa disposition à l’entrée du parc. En connaissance de cause, je me permets une petite liberté et je décide de ne rien porter sous la veste de mon tailleur. Le décolleté de ma veste offre une vue plongeante sur ma poitrine et je suis assez fier de l’image que je vais offrir à mon maître dès son retour. Je redescends dans le salon et pour que mon maître constate les efforts que j’ai fait pour lui, j’expose mes achats sur le vaste canapé avant de m’asseoir dans un fauteuil un verre de Martini à la main pour me donner une contenance mais aussi un peu de courage. Je suis à peine posée dans mon fauteuil que j’entends la voix d’Antoine qui résonne dans la maison :
      - Maman... maman !! où es-tu ?      - Je suis dans le salon, mon chéri ! Réponds-je d’une voix mal assurée.      - Ah, te voilà ! Me dit-il en approchant de moi. As-tu passé une bonne nuit ? Me demande-t-il innocemment et me posant une bise sur la joue.      - Oui, j’ai passé une merveilleuse nuit, et toi, comment était ta journée ? Lui dis-je aussi innocemment.      - J’ai passé une très bonne journée, maman, et cette fin de journée en est le meilleurs moment. Je vois que tu as signé le contrat ! Me dit-il en contournant mon fauteuil pour se placer derrière moi.      - Sève !! me dit-il sur un ton plus sévère en glissant une main dans mon décolleté pour me caresser un sein.     - Oui, maître, j’ai signé votre contrat et j’ai bien reçu votre petit cadeau. Dis-je dans un souffle. C’est fait, je viens officiellement de devenir la soumise de mon fils et cette sensation me trouble au point de sentir ma petite chatte s’humidifier une fois de plus.      - Je vois que tu as fait quelques achats, me dit-il en me pinçant doucement un téton. Tu me montres ?      - Oui maître, répons-je en me levant pour lui montrer ma nouvelle garde-robe.
      Je lui montre tous mes tailleurs, tous plus courts les uns que les autres et je termine par la petite robe rouge. En la voyant, il me demande immédiatement de la passer. Sans réfléchir car c’est mon maître qui me le demande, je quitte le tailleur que je porte et je m’apprête à enfiler ma petite robe. Mon fils s’approche de moi et passe une main entre mes cuisses pour me caresser la chatte.
      - Je vois que tu as bien lu ton contrat, ma petite salope !!      - Oui maître, je me dois de vous faire plaisir !!
      Il fait glisser un doigt entre les lèvres de ma chatte et ne tarde pas à trouver mon clitoris qu’il caresse lentement. Il approche ses lèvres des miennes et en fermant les yeux, j’ouvre la bouche pour qu’il vienne la fouiller de sa langue. Je ne tarde pas à gémir et j’écarte doucement les cuisse pour lui offrir la passage vers mon sexe. Sa main descend lentement et mon maître ne tarde pas à m’introduire deux doigts dans la chatte. Je mouille comme jamais et mes hanches bougent au rythme des doigts de mon fils. Je sens la jouissance monter et je gémis de plus en plus fort dans la bouche d’Antoine. Il retire ses doigts alors que je suis au bord de l’orgasme me laissant un profond sentiment de frustration. 
      - Allez, enfile cette robe que je puisse voir à quoi tu ressembles.     - Bien, maître ! Dis-je la voix un peu éraillée par la frustration. Je passe rapidement la robe et il m’aide à la fermer dans mon dos avant de me faire tourner sur moi-même.     - Hummm, tu es belle dans cette robe ma petite salope !! j’aimerais te voir sur un parking de routier dans cette tenue, comme une bonne petite pute que tu es !!     - Oui, maître, je suis votre salope et votre pute ! Dis-je en baissant la tête.     - Tu aimerais te retrouver sur un parking de routier, ma petite pute ?     - Si mon maître me le demande je le ferai avec plaisir, dis-je, sentant l’excitation encore monter en moi.   - Tu voudrais que je te donne à combien d’hommes, 2, 3... plus ? Me demande-t-il en passant une main entre mes fesses avant de la faire descendre vers ma chatte en feu et y glisser deux doigts.    - Mon maître peut me donner à autant d’hommes qu’il le souhaite car je suis sa petite pute ! dis-je dans un souffle en sentant ses doigts me fouiller la chatte.     - Très bien, Sève, je suis fier de toi ! Maintenant, tu va me ranger tout ce bazar et tu va garder cette belle petite robe pour me servir le dîner.     - Bien, maître ! Dis-je avant de m’affairer pour tout monter dans mon dressing.
       Tout le temps qui a précédé le coucher, Antoine ne s’est pas gêné pour me caresser afin de maintenir ma petite chatte en feu. A plusieurs reprise, il m’a amenée au bord de l’orgasme mais, à chaque fois, il s’est arrêté me laissant dans un sentiment de frustration insupportable. Vers 22h, il me voit complètement épuisé et m’ordonne d’aller me coucher. Je suis vraiment fourbue et je ne me fais pas prier. Je monte dans ma chambre et retire mes vêtements avant d’enfiler une nuisette. Je viens de plonger la chambre dans le noir quand je me souviens de mon petit cadeau et de la demande que ma fait mon maître. J’ouvre le tiroir de mon chevet et je saisis le plug ainsi que le tube de gel. Je lubrifie l’objet phallique ainsi que ma petite rondelle. Lentement je m’introduit un doigt dans le cul et je m’élargis lentement la rosette en pensant à la sodomie que j’ai subi la veille. Je présente le plug à l’entrée de mon cul et j’applique une pression régulière jusqu’à ce que l’objet entre entièrement dans mon cul. Comme la nuit dernière, je ressens une profonde sensation de plénitude et comme ma chatte est toujours en feu suite au traitement que mon maître m’a infligé, j’introduis trois doigts dans ma chatte. Je les fais aller et venir de plus en plus vite jusqu’à une jouissance qui m’anéantit et me plonge dans un profond sommeil. Je me mets à rêver et je me retrouve dans mon salon où je suis allongée sur notre grand canapé. J’ai les cuisses largement ouverte et Vanessa me lèche la chatte alors que je me caresse les seins. Mes doigts qui étaient restés planté dans ma chatte au moment où je me suis endormie comme une souche se mettent à remuer lentement dans la moiteur de mon antre sexuelle. Je commence à gémir doucement dans mon sommeil lorsque je sens une main m’agripper les cheveux et une voix me dire :
      - Allez, Sève, suces moi bien la queue !! Tu m’as excité toute la soirée, petite salope !!      - Oui, maître ! Dis-je dans un demi-sommeil tout en ouvrant la bouche.
      Antoine a allumé ma lampe de chevet pendant mon sommeil et je découvre devant ma bouche sa belle queue tendue. Il attire mon visage vers sa bite et je l’engloutis avec envie. Ce petit salaud m’a excité depuis son retour à la maison et j’ai très envie de me faire prendre comme une chienne. Une bonne partie de la journée, je suis allée de jouissance en jouissance non assouvie et j’ai très envie de prendre une bonne queue dans la chatte. Tout en me donnant sa queue, mon maître me caresse la chatte et finit par y introduire deux doigts. 

      - Tu es toute chaude, ma petite salope !! Veux-tu que ton maître honore ta petite chatte ?      - Hummm, hummm lui fais-je comprendre sans lâcher la queue de mon fils.      - Mets-toi à quatre pattes, j’ai envie de te prendre en levrette ma petite pute !!
      Je me place rapidement dans la position souhaitée, tellement je suis excitée et tellement j’ai envie de queue. Il se place derrière moi, me saisit par les hanches et me plante son gourdin dans le vagin jusqu’à la garde. Il me besogne sans ménagement m’arrachant des gémissements qui se transforment lentement en cris de bonheur.
      - Elle te plaît ma grosse queue, ma petite soumise ?      - Hummm, oui !! j’aime votre queue, maître !!      - Veux-tu que je te la mette dans le cul ? Me demande-t-il après avoir retiré le plug de mon petit trou.      - J’aimerais que vous me fassiez jouir, maître, j’en ai tellement envie !! lui dis-je entre deux gémissements.      - Je vais te donner ton premier orgasme anal, ma petite salope !! Tu vas tellement aimer que tu ne voudra plus jouir autrement !!      - Hummm, oui maître, prenez-moi le cul et faite moi jouir comme une bonne salope !!
      Avant de me pénétrer le cul, Antoine m’introduit le plug dans la chatte et me glisse deux doigts dans le cul. Ma petite rosette est bien élargie par la présence du plug et les doigts de mon fils coulissent librement dans mon petit trou bien ouvert. Je me mets à gémir doucement en ondulant des hanche dans l’espoir qu’il me prenne le cul avec sa grosse queue. Il est bien plus gros que l’homme qui m’a prise par là hier mais j’ai très envie de lui donner ce que je n’ai jamais voulu donner à son père. Il a sûrement lu dans mes pensées car il retire ses doigts et me saisit par les hanches avant de présenter son gland tout humide de ma mouille sur ma petite rosette. Il pousse lentement et je sens lentement mon sphincter s’élargir à mesure qu’il progresse. Il est énorme et je dois me mordre les lèvres pour ne pas crier de douleur. A l’instant même où son gland est entré dans mon cul, il produit une violente poussée et s’enfonce en moi jusqu’à la garde. Je pousse un grand cri et j’ai le souffle coupée. Il reste bien au fond de moi sans bouger le temps que je récupère. Lorsque j’ai enfin repris mon souffle, il se mets lentement à bouger en moi en me tenant fermement les hanches. Je me concentre et, lentement, je m’habitue à sentir cette grosse colonne de chair bouger dans mon cul. Sa main droite lâche ma hanche et vient se placer entre mes cuisses. Ses doigts trouvent mon clitoris et le caressent doucement au rythme de la pénétration anale. Je ne tarde pas à gémir et à onduler des hanches pour accompagner cette pénétration anale des plus incestueuse qui me semble pourtant naturelle car je me donne à mon maître.
      - Tu aimes ? Me demande doucement Antoine.      - Hummm, oui, maître !!      - Tu aimes ma grosse queue dans ton cul, maman ?      - Oui, c’est bon, maître mais pourquoi m’appelez-vous maman ?     - Parce que je veux savoir si ma mère aime autant ma queue que ma soumise. Alors je te le redemande, tu aimes ma grosse queue dans ton cul, maman ?      - Hummm, oui, mon chéri !! j’aime ta grosse bite dans mon cul !!      - Maman, je te prends le cul et je trouve que c’est trop bon !!      - Ouiii, laboure bien le cul de maman, mon chérie !! Tout mon corps est à toi et tu peux en disposer à ta guise. Je suis ta petite chienne de mère en chaleur et je veux que tu me fasses reluire comme une grosse salope !! Hummm, ouiii, je sens tes grands coups de queue dans mon cul...  humm...ouiii...encoreeeeee !!      - Hummm, oui maman, je vais te remplir le cul !! Tu vas me faire jouir ma petite salope de mère !!      - Oh, oui donne moi ton jus mon chéri !! Remplis le cul de maman !! moi aussi je viens... humm... oui c’est trop bon !!! Ah... oui...oui...encore !! me mets-je à crier en sentant mon fils se déverser dans mon cul dans de longs jets de sperme.
       Je pars dans un violent orgasme alors qu’Antoine s’effondre sur moi, fou de jouissance. Mon fils se laisse rouler sur le coté m’entraînant dans le mouvement et nous nous retrouvons collés sur le lit alors que je sens sa queue diminuer lentement dans mon cul. Il se retire lentement de moi et s’allonge sur le dos. Il m’attrape par les épaule et me retourne. Je retire le plug enfoncé dans ma chatte, je cale ma tête sur son épaule et je caresse doucement sa poitrine. Il tourne la tête et ses lèvres se posent sur les miennes. J’entrouvre mes lèvres et je laisse sa langue prendre possession de ma bouche. Nous nous donnons un profond baiser plein de passion qui dure trois bonnes minutes. Il se détourne doucement de moi et me dit :
      - Maman !      - Oui, mon chéri !      - Je suis heureux, il y a tellement longtemps que j’attendais ça !!      - Comment ça, il y a longtemps !! lui dis-je, surprise.     - Ça remonte à trois ans, un jour où je vous ai surpris, papa et toi ,dans le salon en train de faire l’amour alors que vous pensiez que j’étais chez un ami. Tu étais tellement belle et tu avais l’air tellement heureuse que je me suis caressé en vous regardant. Depuis ce jour, j’ai passé mon temps à t’espionner en pensant au jour où j’allais pouvoir enfin te faire jouir. Je t’avoue que j’ai fait exprès de me branler dans l’un de tes string pour voir ta réaction. Comme j’espionnais aussi ta boite mail, j’ai vite compris que mon petit stratagème ne te laissait pas indifférente et que tu avais la folle envie de me voir participer à ton viol. Depuis hier soir, les choses ont évoluées au delà de mes espérances et tu es devenue ma soumise. Mais ce qui me plaît le plus, c’est que ce soir tu t’es livrée comme une maman avide du sexe de son fils et non comme une soumise.      - Tu sais mon chéri, même si tu ne m’avais pas fait parvenir ce contrat je me serais donnée à toi car j’en avais très envie. Je veux tout de même te dire que ce contrat est le bien venu car il m’a fait comprendre que c’est tout ce que je souhaitais te donner.      - Je t’aime, maman !      - Moi aussi, mon chéri !      - Maman !      - Oui, mon chéri !     - Papa rentre demain et il sera à la maison pour une semaine. Tu sais que nous allons devoir reprendre nos places. Toi l’épouse dévouée et moi le fils aimant qui va être heureux de retrouver son papa.      - Oui, je sais mon chéri et comment vois-tu les choses ?      - Tu vas redevenir la petite femme modèle et, pour la semaine à venir, oublier notre contrat comme à chaque fois que papa rentrera à la maison sauf si j’en décide autrement. Tu vas donc oublier les tenues que tu as achetées aujourd’hui et tu porteras des sous-vêtements comme à ton habitude. Il ne faut pas que papa puisse se douter que quelque chose a changé dans ta vie. Je te demande cependant de ne porter que des string car il se peut que de temps à autre j’ai envie de glisser une main sous ta jupe pour te caresser les fesses.      - Je suis à toi mon chéri et je ferai comme tu veux ! Dis-je en posant mes lèvres sur les siennes.      - Je vais passer la nuit avec toi, maman, car j’ai envie de profiter de ton corps avant le retour de papa.
       Pour toute réponse, je me cale bien contre lui et je ne tarde pas à m’endormir. Au petit matin, je sens une main qui se pose sur ma chatte et me caresse doucement le clitoris. Je me crois dans un rêve et mes cuisses s’ouvrent naturellement alors que ma main descend sur ma poitrine. Très vite, la main qui me caressait le clito s’empare de ma cuisse et la soulève. Je sens alors la queue d’Antoine entrer en moi. Je viens de réaliser que c’est mon fils qui honore mon sexe de bon matin. Il me besogne lentement et me tourne la tête pour m’embrasser. Je lui rends son baiser et je me mets à gémir en sentant sa queue accélérer dans ma petite chatte en chaleur. Comme j’aurais aimé être réveillée plus souvent d’une telle manière !! Sa grosse queue me fait énormément de bien et je ne tarde pas à jouir en sentant la semence de mon fils emplir mon intimité. Très vite, il m’embrasse et me souhaite une bonne journée. Toute la journée je m’affaire dans la prévision du retour de mon époux mais je ne peux m’empêcher de penser à ce qui m’est arrivé ces deux derniers jours. A chaque fois que je mets à penser à la queue de mon maître mon string s’humidifie immédiatement et je me surprends à espérer qu’Olivier ne rentre pas. Ce dernier fini tout de même par rentrer à la maison et, je ne sais par quel étrange magie, je reprends mon rôle de la parfaite petite épouse.
       Je n’ai jamais trouvé une semaine aussi longue. Olivier est présent à la maison et passe son temps au téléphone et sur son ordinateur portable. Comme depuis trois ou quatre ans, il est présent mais ne fait aucun cas de moi. Je continue donc à vivre comme s’il n’était pas là. Olivier, comme à son habitude, m’a fait l’amour dès le premier soir et j’ai du déployer tous mes atouts pour qu’il me fasse l’amour deux autres fois dans la semaine. Lorsqu’il me prend le soir de son retour, je retrouve l’homme que j’ai connu il y a 25 ans mais pour les fois suivantes j’ai l’impression qu’il ne pense qu’à remplir son devoir conjugal. J’en suis à me demander s’il n’a pas une maîtresse mais comment pourrais-je le blâmer alors que je me fais défoncer le cul par mon fils. Antoine m’a soigneusement évité toute la semaine si l’on excepte ce mercredi soir où nous nous sommes retrouvés ensemble sur le canapé alors qu’Olivier était dans son bureau pour ses affaires. Il m’a demandé de retirer mon string et de me doigter la chatte devant lui. Il a ensuite glissé sa main entre mes cuisses et m’a doigté le cul alors que j’avais deux doigts dans la chatte. Il m’a embrassé tendrement avant de se retirer dans sa chambre. J’étais tellement excitée que je suis allé dire bonne nuit à mon mari avant de monter à mon tour dans ma chambre. Très vite, je me suis introduit mon plug (que j’ai porté toutes les nuits après que mon mari se soit endormi) et je me suis doigté la chatte avec trois doigts jusqu’à la jouissance libératrice.
       Voilà maintenant trois jours qu’Olivier est reparti pour une tournée de trois semaines en Asie et Antoine continue à m’ignorer. J’ai remis mes tailleurs aux jupes les plus courtes et c’est tout juste s’il passe une main entre mes jambes pour vérifier que je ne porte pas de sous-vêtements. Au matin du quatrième jour, Antoine m’attend pour le petit déjeuner. Je m’approche de lui pour l’embrasser sur la joue mais il m’attire à lui et me roule une pelle en glissant une main sous mon peignoir pour me caresser la chatte. Apeurée, j’interromps immédiatement le baiser et je me recule pour échapper à sa caresse.
      - Arrêtes Antoine, Sarah pourrait nous voir !!      - Sève, je sais ce que je fais, tu peux me faire confiance ! Me dit-il en m’attirant de nouveau vers lui.      - Oui maître, dis-je en baissant la tête.      - Donnes-moi ta bouche, petite salope !! me dit-il en glissant de nouveau sa main entre mes cuisses.      - Tu m’as manqué !! me dit-il après m’avoir donné un profond baiser.      - Vous aussi, vous m’avez manqué, maître ! Lui répons-je dans un souffle.      - Tu as envie de queue ma petite salope ?      - Humm, ouiii, je suis en manque !!      - Ton mari ne t’a pas satisfaite ces dernier jours ?     - Il n’y a que vous pour me satisfaire, maître !! répons-je en minaudant et en bougeant mes hanches pour qu’il atteigne ma chatte avec ses doigts.      - Que dirais-tu si je t’offrait des queues ce soir ?      - Hummm, tout ce que vous voulez, maître, je vous appartiens !! dis-je en me voyant déjà livrée à plusieurs hommes.     - J’ai invité quelques amis pour la soirée. Aucun d’eux ne te connaît et je leur ai dit qu’ils pourraient baiser la bonne à leur guise. Ce soir, je veux que tu sois notre bonne et que tu te donne à mes amis !      - Tout ce que vous voulez, maître ! Dis-je en sentant un doigt entrer dans ma chatte.      - Je veux que tu fasses tout le service avec ta petite robe rouge et pour le reste tu sais ce que le contrat te demande.      - Je ferai selon vos désirs, maître !     - Très bien, à ce soir, Sève ! Je sais que tu seras à la hauteur ! Me dit-il en quittant la cuisine après m’avoir embrassée langoureusement.Je suis encore dans mes pensées lorsque Sarah entre dans la cuisine.      - Bonjour Madame. Y a-t-il un problème, vous me semblé toute bizarre, Madame !!      - Non, non, il n’y a rien de particulier, Sarah ! Je vous remercie.      - Vous savez, Madame, je peux comprendre ! Moi aussi il m’arrive certains matins de penser à la soirée qui m’attend.     - Que voulez-vous dire par là, Sarah ? Dis-je en comprenant qu’elle a sûrement entendu tout ou partie de la conversation que j’ai eu avec mon fils.      - Non rien, Madame !! me dit-elle avant de disparaître comme elle était apparue.
      L’intervention de notre bonne me trouble un court instant. Nous a-t-elle surpris, a-t-elle vu ce que j’ai fait avec mon fils ? Je me reprends très vite en repensant aux paroles d’Antoine : Sève, je sais ce que je fais, tu peux me faire confiance ! En me rappelant ces paroles, je reprends confiance et j’oublie très vite les paroles de notre bonne. Je monte dans ma chambre et je passe dans la salle de bain pour prendre une douche avant de préparer cette soirée. Une fois habillée, je retourne dans le séjour où je retrouve Sarah qui fait les poussières. Je lui dis que je dois me rendre en ville et que je ne serai pas rentrée avant la fin d’après-midi. Je lui demande de préparer un bon repas car Antoine reçoit des amis ce soir. Très vite, je m’aperçois qu’il ne m’a pas dit à combien d’hommes il allais m’offrir et, sans réfléchir, je demande à Sarah de préparer à manger et de mettre la table pour six personnes. Mon Dieu, comment puis-je penser à autant de monde pour s’occuper de moi !! Suis-je à ce point en manque ou ai-je la certitude que mon fils va m’offrir à plus de deux hommes. Peut importe, en prévoyant pour six, je suis sure de ne pas être en dessous de ce que mon fils peut me réserver et, comme on dit, qui peut le plus, peut le moins. S’il le faut, je retirerai quelques couverts et tout ira bien. Je dois quitter la maison sinon je ne vais faire que penser à cette soirée qui m’attend. Je décide de rendre une visite à mes parents qui ne vivent qu’à quelques kilomètres de notre demeure. Comme à leur habitude, ils me reçoivent avec plaisir et me proposent de rester déjeuner avec eux. Ils ont invité le prêtre de notre paroisse et l’idée de me retrouver au milieu de conversations religieuses ne m’enchante pas plus que ça. Cependant, j’accepte en espérant que tout cela m’empêchera de penser à la soirée qui m’attend. Je connais le père Louis depuis qu’il a pris ses fonctions dans la paroisse il y a maintenant cinq ans. Il nous vient du Sénégal et a choisit la France pour exercer son ministère. Il a une quarantaine d’année et pourrait plaire à de nombreuses femmes s’il n’était pas prêtre. Je le croise assez souvent lorsque je m’occupe des bonnes œuvres de la paroisse mais je ne le connais pas plus que ça. Au cours du repas, je découvre un homme très raffiné qui manie le verbe avec beaucoup d’aisance. Je constate avec joie qu’à aucun moment la conversation ne s’est orientée vers la religion et je passe un très bon moment jusqu’à cet instant où je regarde ma montre. Je n’ai pas vu le temps défiler et il est déjà 16h30. Je prends rapidement congé et je rentre au plus vite à la maison. A mon arrivée, Sarah me montre ce qu’elle a préparé et je la remercie avant de lui donner congé. Il faut que je me prépare et je file dans ma chambre. Je retire rapidement mes vêtements et je file sous la douche. Il faut que je sois présentable pour mon maître et je m’empresse à m’épiler la chatte même si je l’ai bien entretenue depuis ma dernière visite chez Vanessa. Une fois que ma chatte et mon petit cul sont bien lisse, je me maquille et je me rends dans mon dressing pour choisir ma tenue. Je n’ai pas de mal à choisir ma robe car mon maître me l’a imposée. Je choisis de porter un porte-jarretelles en dentelle noire et des bas en soie noirs avec une couture à l’arrière. Je choisis de porter avec cette tenue une paire d’escarpins rouges dont les talons font 10 centimètres. Je me regarde dans la glace du dressing et je me trouve extrêmement sexy. Le bas de ma robe effleure le haut de mes bas et on peut voir les agrafes de mon porte-jarretelles. Je me penche en avant sans plier les genoux et je m’aperçois que dans cette position je révèle le trésor qui se cache entre mes cuisses. Je me sens très salope et j’ai très envie de faire plaisir à mon maître. La vérité, c’est que j’ai très envie de queue et que mon fils va m’offrir ce dont j’ai envie. Je reviens dans ma chambre et je tombe nez à nez avec Antoine.
      - Tu es très en beauté ce soir, maman ! Pour qui t’es tu faite si belle ?      - Pour toi et tes amis, mon chéri !! lui dis-je en posant un léger baiser sur sa joue.      - Je suis sur que mes amis vont adorer ma petite bonne !! me dit-il en glissant une main sous ma robe pour me caresser la chatte.      - J’espère ne pas vous décevoir, Monsieur !! lui dis-je avec un sourire espiègle.      - Allez, vas te mettre en place car mes amis ne vont pas tarder. Je pense qu’il sont impatient de venir dîner à la maison.      - Bien Monsieur mon fils ! Dis-je avant de sortir de ma chambre devant lui.
       Nous sommes à peine arrivés dans le salon que l’on sonne à la porte. Antoine me demande d’aller ouvrir et de conduire ses invités jusqu’au salon. Fébrilement, je me dirige vers la porte d’entrée, anxieuse de découvrir ce qui se cache derrière. J’ouvre la porte et affiche un large sourire pour accueillir les invités de mon fils. Je suis un peu abasourdis en découvrant cinq magnifiques jeunes hommes âgés entre vingt et vingt cinq ans. J’avais vu juste même si je n’osais y croire, mon fils va me donner à cinq hommes tous plus beaux les uns que les autres. Je dissimule mon trouble et je leur demande de me suivre jusqu’au salon. Dans mon dos, je sens les regards se poser sur mes fesses et j’accentue l’ondulation de mes hanches pour les exciter un peu. Une fois dans le salon, Antoine leur demande de s’installer et me demande de servir l’apéritif. Je file en cuisine et reviens avec un plateau couvert de boissons. Je me place dos aux invités et je pose le plateau sur la table basse sans plier mes genoux. Je sais que dans cette position, ils ont une vue imprenable sur ma chatte qui ne manque pas à cet instant à se lubrifier. Je file en cuisine et je prépare la suite car je sens que ces messieurs ne vont pas tarder à passer à table. En effet, un quart d’heure plus tard, Antoine me demande de faire le service. Je sers nos invités et je ne manque pas de me frotter à eux sous le regard approbateur de mon fils. Ils engloutissent le repas à une vitesse hallucinante tant ils sont pressés de passer au dessert. Je passe autour de la table pour débarrasser et je sens déjà des mains glisser sur mes fesses. Lorsque j’ai terminé, Antoine annonce :
      - Messieurs, nous allons passer au salon pour le dessert !      - Enfin !! disent-ils tous en cœur.
     Nous nous déplaçons tous vers le salon et Antoine écarte la table basse pour faire de la place. Nous y sommes, je sais que je vais devoir me donner à tous ces hommes et j’en frémis d’envie. Mon fils me place au milieu de ses amis et déclare :
      - Sève, tu vas maintenant pouvoir nous servir le dessert.      - Oui, Monsieur ! Dis-je en m’approchant de l’homme le plus prêt de moi pour lui offrir ma bouche.
      Je l’embrasse avec douceur et tout va soudain très vite. Je suis rapidement entourée et de nombreuses main se pose sur mon corps. Je jette un rapide coup d’œil vers Antoine et je m’aperçois qu’il vient de sortir sa caméra. Mon maître veux me filmer alors que je suis avec cinq hommes magnifiques et je dois avouer que cela augmente mon excitation. Des mains me caresse le cul, les cuisses et les seins. Les bouches se succèdent sur la mienne et je ne sais plus qui est qui. En fait, je ne sais pas qui sont ces hommes, je ne connais même pas leurs prénoms. Je suis en fait en train de me donner à cinq inconnus que mon maître m’offre. Je sens le bas de ma robe remonter et une main se poser sur ma chatte alors qu’une autre me pétrit les fesses. Un doigt entre dans mon vagin mais une autre main rejoint la première et un second doigt entre dans ma chatte. Deux homme me mettent chacun un doigt dans la chatte en je me sens complètement offerte. J’ai envie de ces queues, toutes ces queues !! je ne suis plus qu’une chienne en chaleur qui a très envie de bite. Sans prévenir, je me laisse tomber sur mes genoux et j’ouvre la première braguette qui se trouve face à moi. Mon partenaire du moment m’aide et il baisse son pantalon laissant apparaître une belle queue bien raide. J’ouvre la bouche et je l’engloutis comme une morte de faim. Je me mets à sucer cette bonne bite avec vigueur comme si on voulait me l’enlever dans la seconde. Autour de moi, les hommes se déshabillent et au bout de quelques minutes les queues se succèdent dans ma bouche. Dans l’euphorie, je lève mes deux mains et je branle les bites qui se trouvent à ma porté. Je sens le zip de ma robe s’ouvrir et deux mains qui remontent ma robe pour me la retirer. J’interromps brièvement la fellation et les caresses que je prodigue pour permettre le retrait de ma robe. Je suis maintenant totalement offerte en porte-jarretelles, bas et talon aiguille. Je suis maintenant une bonne salope de bourgeoise qui se fait prendre en gang-bang sous les yeux de son fils. L’homme qui vient de me retirer ma robe me pousse doucement en avant pour que je me retrouve à quatre pattes. Je sais que dans cette position, je présente mon petit abricot bien lubrifié et je cambre bien mon dos pour attirer la première queue qui passera par là. Je ne suis plus qu’une chienne en chaleur qui a envie de mâle. Au moment où je reprends une bite dans ma bouche j’en sens une autre entrer dans ma chatte.
      - Hummm, ouiii donnes-moi ta queue !! c’est bon hummm. Dis-je en lâchant la queue que j’ai en bouche.      - Tu aimes ça, salope ! Me dit l’homme qui me laboure la chatte.     - Oui, oui... je suis une salope qui aime les grosses queues. Défoncez-moi comme une grosse pute, je veux vous sentir en moi. Je suis tellement excitée que je ne surveille plus mes paroles.      - Oui, on va te faire reluire, espèce de chienne !! déclare l’un des cinq hommes.
      Après cette déclaration, les queues se succèdent dans ma chatte et dans ma bouche. Je goutte forcément à la liqueur de ma chatte sur les queue qui sorte de ma chatte et je me prends à aimer ce goût. Je prends toutes ces bonnes queues dans ma chatte et de temps en temps un doigt se glisse dans mon cul jusqu’au moment où j’entends dans mon dos :
     - Tu as l’air d’aimer te faire mettre le cul !! J’ai bien envie de t’enculer !! Tu veux, petite salope ? Du regard, je cherche mon fils pour lui demander son approbation car mon cul lui appartient. Il n’a pas lâché sa caméra et il me fait un signe de tête pour me donner l’autorisation.      - Hummm, ouiiii... prends-moi le cul, j’en ai trop envie !!      - Vous pouvez la prendre en double si vous voulez !! Elle aime ça cette grosse chienne !! Lance Antoine.
      L’un des amis de mon fils se couche près de moi et me demande de venir sur sa queue. Je l’enjambe et je laisse descendre ma chatte sur sa hampe et, comme je l’ai fait lors de mon pseudo-viol, je me plaque sur sa poitrine pour offrir mon cul à l’homme qui vient de se placer derrière moi. Il me saisit par les hanches et me plante sa bite dans le cul. Je gémis de bonheur en sentant ces deux grosses bites en moi. Grâce à mon fils, mon petit cul est maintenant bien préparé et je ressens beaucoup de plaisir à me faire sodomiser. J’active mes hanches au rythme des coups de boutoir qui me défoncent la chatte et le cul et je suce alternativement les queues des trois autres amis de mon fils. Je pars rapidement dans un violent orgasmes qui me laisse pantelante. Ils se retirent de mes orifices et m’allongent sur le tapis du salon. Ils se mettent tout autour de moi et se branlent en me caressant. Au bout de quelques minutes, je reçois une pluie de sperme qui atterrit entre mes cuisses, sur mes seins, mon ventre, mon visage et ma bouche. Je suis totalement anéantie par cette énorme séance de baise et ne peux plus bouger. Antoine donne congé à ses amis et, après avoir fait un peu de rangement dans le salon, il me porte jusque dans ma chambre. Il me nettoie le corps de toutes mes souillures, me glisse entre les draps et se cale derrière moi. Il m’embrasse tendrement et me souhaite une bonne nuit.
A suivre
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