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Mon fils, mon maitre

Chapitre 3

Mon maître me donne à la bonne

Inceste
Le lendemain matin, je suis réveillée par une main qui me caresse doucement la chatte. Je sens la queue bien raide de mon fils contre mes fesses. Je tourne doucement la tête pour essayer de capter le regard d’Antoine.
— Bonjour, maman ! Tu as bien dormi ?— Très bien, mon chéri mais ce que je préfère quand tu dors avec moi, c’est le réveil. J’aimerais être réveillée comme ça tous les matins, hummm !!— Tu t’en lacerais très vite, je pense. Tu as été formidable hier soir, maman ! Me lance-t-il en me plantant un doigt dans la chatte.— Alors, ta petite salope de maman mérite bien une belle récompense ! Dis-je en glissant une main entre nos corps pour lui saisir la queue.— Mets-toi à quatre pattes, ma petite maman chérie, je vais te récompenser comme tu le mérites.
Je m’exécute et Antoine se place derrière moi. Il me saisit les hanches et plante sa queue d’un seul coup au fond de ma chatte m’arrachant un cri de satisfaction. Alors qu’il me ramone le vagin, il fait glisser lentement un doigt dans mon cul.
— Hummm, c’est bon mon chéri ! Vas-y, fait du bien à maman !!— Tu y as pris goût ! Tu aimes te faire défoncer par tous les trous, ma petite chienne !— Hummm, oui plein de queues comme hier soir !!
Antoine sort sa queue de ma chatte et me la plante dans le cul. Je gémis de plaisir et il s’applique à me pilonner le cul en me tenant par les hanches. Il me prend alternativement la chatte et le cul et je ne tarde pas à partir dans un bel orgasme lorsque je le sens se vider dans mon ventre. Je file à la salle de bain pour prendre une douche, j’enfile un peignoir et nous nous retrouvons au petit déjeuner. Antoine n’a pas cours avant 10h et nous prenons le temps de discuter. Nous parlons de tout et de rien quand Antoine me demande :
— Tu as déjà eu envie de faire l’amour avec une femme, maman ?— Mais, non, pourquoi cette question, mon chéri, dis-je un peu déstabilisée.— Alors, pourquoi cette nuit je t’ai entendue murmurer le prénom de « Vanessa » en gémissant ?— Je ne vois pas du tout de quoi tu parles, mon chéri ! Dis-je sur un ton mal assuré.— Sève, dis-moi la vérité !! me répond-il sur un ton plus sévère.— Vanessa est mon esthéticienne, maître. La dernière fois que nous nous sommes vus, elle m’a caressé la chatte et m’a même introduit un doigt après mes soins. Elle n’avait jamais eu de gestes déplacés mais je dois dire que j’étais tellement troublée que je me suis laissée faire.— Et tu as aimé ?— Depuis cette séance, je rêve d’elle et je me vois lui lécher la chatte alors qu’elle me doigte le vagin et le cul. Avoué-je en baissant la tête.— Tu aimerais qu’elle vienne à la maison, Sève ?
— Je ne sais pas, je ne me sens pas capable d’inviter une inconnue à la maison pour ce genre de... relation.— On pourrait commencer plus simple Sève !!— Comment ça, maître ? Dis-je avec une petite pointe d’excitation dans la voix.— Comment trouves-tu Sarah, Sève ?— Mais, c’est notre bonne, maître !!— Je sais qui elle est. Je te demande comment tu la trouves !!— Et bien... je... elle... dis-je avec maintes hésitations.— Allez Sève, accouche !! me dit-il en me claquant les fesses.— En fait, je crois que je la trouve... à mon goût.
J’avoue que je ne m’étais jamais posé la question mais il est vrai que Sarah est un joli brin de femme. Elle a 28 ans et elle est la cadette d’une fratrie de six enfants. Lorsque sa mère est partie à la retraite, il y a cinq ans, nous lui avons demandé de prendre sa place, ce qu’elle a accepté avec joie. C’est une jolie petite rousse aux cheveux bouclés. Elle est un peu plus petite que moi et doit mesurer dans les 1,65 mètre. Son corps est fin avec des hanches bien prononcées et ses chemisiers cachent une poitrine moins volumineuse que la mienne mais je pense qu’elle fait facilement un 85B ou 85C. Ses tenues de bonne sont toujours très soignées et je me doute que son corps doit être entretenu aussi soigneusement.
— Tu aimerais l’avoir dans ton lit ? Me demande Antoine, me tirant de ma rêverie.— Je suppose que oui, mais tout cela me semble compliqué, maître.— Nous sommes vendredi et ce soir Sarah va quitter la maison pour le week-end. Je veux qu’elle soit ce soir dans ton lit et qu’elle passe tout le week-end avec nous.— Ce que vous me demandez me semble difficile, maître. Je ne vois pas comment je vais m’y prendre et je ne sais pas quoi faire.— Tu vas y arriver, j’ai confiance !! Je dois partir en cours ! Me dit-il en posant un baiser sur mes lèvres avant de quitter la cuisine.
Je suis totalement perdue dans mes pensées me demandant comment je vais pouvoir attirer Sarah dans mon lit. Mon fils avec son discours a fait remonter mon excitation et je caresse doucement ma petite chatte déjà tout humide entre les pans de mon peignoir tout en sirotant mon café.
— Bonjour Madame ! Comment allez-vous ce matin ? Me demande Sarah en entrant dans la cuisine interrompant ma rêverie.— Ah, heu... bonjour Sarah ! Je vais très bien, merci ! Et vous, comment allez-vous ? Dis-je pour me donner une contenance tout en retirant lentement la main d’entre mes cuisses.— Je vais très bien Madame, je vous remercie. Dit-elle avant de ressortir de la pièce.
Mon dieu, c’est vrai qu’elle est belle mais comment vais-je pouvoir la convaincre de se retrouver dans mon lit. Je la regarde s’éloigner et je m’aperçois que je n’avais jamais pris le temps de m’intéresser à elle. Je n’avais même pas remarqué avant aujourd’hui que les jupes de ses uniformes de bonne avaient très nettement raccourci. Les jupes qui lui arrivaient juste au-dessus du genou lui arrivent désormais à mi-cuisses. Elle a vraiment de très jolies jambes et je devine qu’elles sont gainées de bas. Je monte dans ma chambre pour m’habiller en me demandant encore comment je vais pouvoir présenter la volonté de mon maître à Sarah. Je décide que, dans un premier temps, je vais l’aguicher pour voir sa réaction. Comme d’habitude, j’enfile un porte-jarretelles et des bas de soie avant de choisir dans ma garde-robe mon tailleur dont la jupe est la plus courte. Je chausse mes talons les plus hauts et je redescends dans le salon, me sentant prête à séduire Sarah. Je m’installe dans le canapé en veillant à ce que ma position permette à ma bonne de voir la peau de mes cuisses juste au-dessus de mes bas. J’ai fermé les boutons de mon chemisier juste ce qu’il faut pour qu’elle puisse deviner ma poitrine et je n’ai pas fermé la veste de mon tailleur. Pour me donner une contenance, je prends ma tablette et je surfe sur différents sites de lingerie. Sarah fait son apparition dans le salon pour y faire le ménage. Sans me regarder, elle s’affaire à faire les poussières. Au bout d’un moment, elle se place face à moi pour s’occuper de la table basse. Dans cette position, j’ai une vue plongeante sur son décolleté et je peux constater qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. En regardant au-dessus de l’écran de ma tablette, je me délecte de cette vue qui m’est offerte. Elle me demande si cela me dérange qu’elle passe l’aspirateur et je lui réponds que non. Elle revient avec l’appareil et, dos à moi, elle se penche pour le brancher. Sarah ne plie pas les jambes et sa jupe remonte sur ses fesses dévoilant le haut de ses bas maintenus par un porte-jarretelles. Je sens l’émoi m’envahir et les lèvres de ma chatte s’humidifier. Prise d’un soudain courage, je me lance :
— Sarah ! Dis-je d’une voix pas très assurée.— Oui, Madame me répond-elle sans même se retourner.— Lorsque vous aurez terminé ici, j’aimerais que vous vous occupiez de ma chambre, il va falloir changer les draps, s’il vous plaît ! Dis-je en me déballonnant au dernier moment. Je n’ai pas eu le courage de lui dire que j’ai envie d’elle.— Bien, Madame ! Me dit-elle avant de mettre en route l’aspirateur.
A plusieurs reprises dans la journée j’ai tenté de parler à Sarah mais, à chaque fois, je me suis ravisée et aucun son n’est sorti de ma bouche. Il est 17h et Antoine va bientôt rentrer à la maison. N’ayant toujours pas trouvé de solution, je m’assoie dans le canapé et, résignée, j’attends le retour de mon fils. J’entends la porte d’entrée se refermer et mon fils ne tarde pas à me rejoindre au salon. Il se penche pour m’embrasser sur la bouche avant de me demander doucement à l’oreille :
— Alors Sève, tu as réussi ?— Non, maître ! Je n’ai pu me résoudre à lui parler ! Dis-je en baissant la tête, un peu honteuse.— Bon, je vais devoir prendre l’affaire en main !! Me répond-il et s’asseyant près de moi. Sarah, viens immédiatement ici !! Comment mon fils peut-il se permettre de tutoyer notre bonne ?— Oui, maître ! Répond Sarah en entrant dans le salon.— Maître ?? Dis-je en regardant mon fils avec des yeux ronds.— Oui, Sève, Sarah est ma soumise depuis près d’un an !!— Comment est-ce possible ? Dis-je complètement incrédule.— Et bien, elle va te raconter ça elle-même, n’est-ce pas Sarah !! Dit Antoine en la priant de s’asseoir entre nous deux.— Il y a près d’un an, le maître m’a surprise à deux reprises en train de vous épier sous la douche une main coincée entre mes jambes. Il faut que je vous avoue que j’ai envie de vous, Madame, depuis mes 18 ans, ce jour où j’étais venue aider ma mère et je vous ai vue en monokini au bord de la piscine. Cette vision ne m’a jamais lâchée et je me suis souvent caressée en pensant à vous. La première fois où le maître m’a surprise, j’ai dû lui promettre de ne jamais recommencer sous peine de devoir le voir tout vous raconter. Mais, quelques jours plus tard, le maître m’a surprise de nouveau en train de vous épier. J’ai dû le supplier de ne rien vous dire et que je ferais tout ce qu’il me demanderait. Le soir même, le maître est venu chez moi et nous avons fait l’amour. J’ai beaucoup aimé me donner à lui et après nos ébats, il m’a tendu une enveloppe bleue comme celle qu’il m’a demandé de vous remettre l’autre matin. Après son départ, j’ouvrais l’enveloppe et découvris un contrat. Je l’ai lu et relu une bonne partie de la nuit et le lendemain matin je le rendais signé à mon maître.— Vous... vous avez envie de moi, Sarah !! Dis-je en bredouillant.— Touche comme elle a envie de toi, Sève !! Me dit mon fils en prenant ma main pour la glisser entre les cuisses de notre bonne.— Hummm, vous êtes trop bon avec moi, maître ! Répond Sarah en ouvrant largement ses cuisses.— Embrasse-la, Sève !! Elle en meurt d’envie !! M’encourage Antoine.
Alors que mes doigts glissent déjà sur la fente bien lubrifiée de ma bonne je me penche pour lui offrir mes lèvres. Nos bouches s’ouvrent et nos langues se mettent à jouer un balai sensuel tout autant que fougueux. Sarah glisse une main dans mon chemiser et me caresse un sein avant de me pincer le téton m’arrachant un soupir. Totalement désinhibée, je m’enhardis à lui glisser deux doigts dans la chatte et je les fais lentement coulisser. Elle lâche mes lèvres un instant pour me souffler :
— Hummm, c’est bon, Madame !! J’attends ce moment depuis tellement longtemps, hummm ! Aujourd’hui, vous m’avez fait mouiller comme une folle en me montrant votre chatte et vos seins !!— Pourquoi ne vous êtes-vous pas rapprochée de moi, Sarah ? Tout aurait été plus simple !— Avant de quitter la maison, le maître m’a mise au courant de votre mission et il m’a donné l’ordre de vous laisser faire. Hummm, ouii, vos doigts, Madame !! Hummm c’est trop bon !! Minaude-t-elle avant de me planter sa langue dans la bouche.
Sa main lâche mon sein et descend lentement sur mon ventre. Elle frôle lentement ma hanche et vient se poser sur ma cuisse. La main remonte lentement sous ma jupe et j’écarte les cuisses pour lui faciliter le passage. La main de ma bonne caresse doucement la peau de mes cuisses au-dessus de mes bas et s’aventure lentement vers ma petite chatte. Ses doigts glissent doucement sur mes lèvres intimes et ne tardent pas à trouver mon clitoris m’arrachant un gémissement étouffé par le profond baiser que nous nous donnons. Elle caresse doucement mon petit bouton et ses doigts descendent vers ma petite grotte d’amour. Je suis tellement trempée qu’elle n’a pas de mal à m’introduire deux doigts. Surchauffée par cette douce caresse, j’introduis un troisième doigt dans la chatte de Sarah en écartant largement mes cuisses. Me sentant réceptive, ma bonne vient ajouter deux doigts dans ma vulve et me pistonne avec quatre doigts. Cette masturbation très inattendue me transporte littéralement et je me mets à jouir sans retenue. Antoine qui nous regarde nous faire du bien nous interrompt juste après que je me sois remise de ma jouissance.
— Allez-y doucement mes petites soumises ! Il va falloir en garder un peu pour la soirée. Allez vous faire belles pendant que je vous prépare le dîner.— Bien maître ! Disons-nous en cœur en retirant à regret nos doigts de nos chattes.— Sarah, rentre chez toi et reviens pour le dîner. Sève va se préparer de son côté et je veux vous voir resplendissantes pour votre première soirée ensemble.— Bien, maître !! dit Sarah avant de se lever.— Et n’oublie pas de revenir avec le petit cadeau que je t’ai offert, Sarah !— Je n’y manquerai pas, maître !! dit notre bonne en quittant le salon.— Et toi, maman, va te faire belle pour ta nouvelle conquête !!— Oui mon chéri ! Dis-je en posant un doux baiser sur ses lèvres.
Encore tout étourdie par la tournure qu’ont prise les événements, je monte dans ma chambre le cœur léger. Je me dévêts rapidement avant de filer sous la douche. Le jet chaud qui coule sur mon corps me fait énormément de bien et je dois me retenir pour ne pas me caresser en pensant à ce que la soirée nous réserve. Après vingt bonnes minutes sous la douche, je me décide enfin à me sécher avant de me préparer. J’inspecte rapidement mon intimité : je ne vois pas l’ombre d’un poil et je suis satisfaite. Je me sèche les cheveux et je me coiffe avant d’appliquer un maquillage sur mon visage. Je retire la serviette qui entourait mon corps et je me dirige vers mon dressing pour choisir une tenue. Je place sur mes hanches un porte-jarretelles en dentelle rouge et je gaine mes jambes de bas en fine résille que m’a offert mon mari. Je fouille dans ma garde-robe afin de trouver une tenue qui fasse craquer à la fois mon fils et Sarah. Je finis par opter pour une robe de soirée en soie noire. La large échancrure dans le dos tombe sur le haut de mes reins et le décolleté de cette robe tombe de façon vertigineuse entre mes seins. Il est bien sûr impossible de porter un quelconque soutien-gorge avec ce genre de robe et cela tombe bien car mon maître m’interdit d’en porter. Cerise sur le gâteau, la robe est fendue sur presque toute la hauteur de la jambe et l’on peut voir le haut de ma cuisse au-dessus de bas lorsque je marche. Cette robe, Olivier me l’avait offert pour un cocktail qu’il offert au siège de son entreprise en présence des actionnaires. Ce jour-là, j’ai tellement eu l’impression de ressembler à une pute que je n’ai jamais remis cette robe. Aujourd’hui, il en est autrement ! J’ai envie de ressembler à une pute, la pute de mon fils mais aussi celle de ma bonne. Je choisis une paire d’escarpins rouges à talons aiguilles d’une bonne dizaine de centimètres. Je m’admire dans le miroir et je me trouve... très désirable. Je regarde l’heure et je m’empresse de redescendre dans le salon car il y a près d’une heure et demie que je suis montée me préparer. En arrivant dans la pièce, j’y retrouve Sarah qui m’attend assise dans le canapé. Lorsqu’elle me voit arriver, elle se lève pour m’accueillir. Elle a lâché sa chevelure qu’elle porte généralement en chignon et ses cheveux roux bouclés tombent en cascade sur ses épaules. Elle porte une robe fourreau noire très courte qui comporte de la dentelle dans le dos, au niveau de la poitrine ainsi qu’un triangle de dentelle qui remonte très haut sur chacune de ses hanches. Cette robe est tellement courte que l’on peut deviner la peau de ses cuisses juste à la lisière de ses bas. Cette robe lui colle tellement à la peau qu’elle me permet d’admirer ses courbes. Sarah a une poitrine plus grosse que je ne me l’imaginais, elle a la taille fine et ses hanches sont un appel à la caresse. Sur ses hauts talons noirs, Sarah me parait bien plus grande qu’à l’accoutumée tant elle a l’habitude de porter des chaussures plates pour travailler. Elle est vraiment attirante et je rapproche d’elle comme attirée par un aimant.
— Vous êtes magnifique, Sarah ! Dis-je en posant une main sur sa hanche.— Pas autant que vous, Madame ! Me répond-elle en m’attirant à elle pour poser ses lèvres sur les miennes.
Nous nous enlaçons en nous embrassant avant d’être interrompus par Antoine. Il nous demande de nous asseoir pour qu’il puisse nous servir l’apéritif et nous demande d’être sages. Afin d’obéir à notre maître et d’éviter de reprendre là où nous en étions, Sarah et moi nous plaçons chacune dans un fauteuil. Antoine revient avec des cocktails et nous sert avec élégance. Après avoir trinqué, Antoine prend la parole en posant devant chacune de nous une enveloppe bleue.
— Mesdames, vous êtes toutes deux mes soumises et j’ai décidé d’ajouter un nouvel article à vos contrats. J’ai dû les modifier en dernière minute car les événements de la journée ne se sont pas vraiment passés comme je le souhaitais. Sève, à partir de maintenant tu te devras de te soumettre à Sarah. Elle a gagné ce droit car tu n’as pas eu le courage de l’attirer dans ton lit comme je te l’avais demandé. Si tu avais eu ce courage, les rôles seraient bien entendu inversés. Elle pourra te demander tout ce qu’elle veut quand tu seras en phase de soumission. Sève, tu te devras de la vouvoyer et de l’appeler « maîtresse » à chaque fois que Sarah te nommera ainsi. De ton côté, Sarah, tu pourras user de ce privilège sans toutefois négliger le travail pour lequel tu es payée. Lorsque Sève sera ta soumise, tu pourras la tutoyer et user de son corps à ta guise. Pour finir, lorsque vous êtes avec moi vous êtes toutes deux mes soumises et donc, sur le même pied d’égalité. Pour vous, je serai toujours le maître et vous serez mes soumises. Vous pourrez vous tutoyer puisque vous serez d’égal à égal. Avez-vous compris ce que je viens de dire ?— Oui, maître !! répondons-nous en cœur.— Maintenant, je vous demande d’ouvrir vos enveloppes et de signer vos nouveaux contrats.
Sans dire un mot, nous découvrons chacune nos contrats et Sarah ne tarde pas à signer le sien. De mon côté, je réfléchis. Comment puis-je devenir la soumise de ma bonne ? Je suis déjà celle de mon fils et cette femme a envie de moi depuis de nombreuses années. Je dois avouer que j’ai très envie de me donner à elle et je pense que, même en mode soumission, Sarah ne souhaitera que prendre du plaisir avec moi. Comprenant que je ne risque pas grand-chose je m’empresse de signer mon nouveau contrat avant de le tendre à Antoine.
— Bien, maintenant que vous avez signé, je veux voir si vous avez bien compris ce que je vous demande. Je vous demande de faire comme si je n’étais pas là, mesdames.— Sève, lève-toi et approche-toi de moi !! dit Sarah qui entre rapidement dans son rôle.— Bien, maîtresse !! dis-je en regardant mon fils droit dans les yeux tout en m’approchant du fauteuil de Sarah.— Montre-moi ta chatte de petite salope !!
Sans dire un mot, je place mon pied droit sur l’accoudoir de son fauteuil. La fente de ma robe s’ouvre sur ma jambe dévoilant le haute de ma cuisse. De ma main gauche, j’écarte l’étoffe de ma robe dévoilant ainsi ma petite chatte bien épilée. Sarah se penche en avant et vient caresser mes lèvres intimes de ses doigts. Je me rappelle le bonheur qu’elle m’a procuré en fin d’après-midi et je me mets immédiatement à mouiller. Lentement, elle glisse un doigt dans mon vagin et le fait coulisser en me regardant droit dans les yeux.
— Il a l’air de te plaire mon doigt, ma petite chienne !! me dit-elle avec un grand sourire.— Hummm, oui maîtresse.— Veux-tu que je t’en mette un deuxième ?— Tout ce que vous voudrez, maîtresse !! Dis-je en sentant un autre doigt entrer en moi.— Tiens, suce-les maintenant ! me dit-elle après les avoir fait coulisser quelques minutes dans ma chatte.— Oui, maîtresse ! Dis-je en ouvrant la bouche.— Elle a bon goût, ta petite chatte ? Me demande-t-elle alors que je suce ses doigts avec empressement.— Hummm, oui !! Dis-je en me délectant de ma propre mouille sur les doigts de ma bonne.— Très bien, mesdames, je vois que vous avez compris. Maintenant, vous êtes de nouveau toute à moi et je vais vous demander de passer à table.
Nous passons dans la salle à manger où Antoine a dressé une belle table pour nous trois. Il nous sert un bon repas et nos conversations n’ont rien à voir avec ce pourquoi nous sommes là. Sarah et moi nous tutoyons et nous mettons ce repas à profit pour nous découvrir mutuellement. Je me surprends à glisser ma main entre les cuisses de Sarah dès qu’Antoine repart en cuisine et cette dernière les ouvre largement en pressant ma main sur sa chatte. Elle est toute chaude et humide mais je retire toujours vivement ma main lorsque mon fils réapparaît. Après le dessert, mon fils nous demande de nous retirer au salon le temps qu’il remette de l’ordre dans la salle à manger. Sarah et moi nous retrouvons sur le grand canapé mais nous nous resserrons au centre. Nos corps sont collés et je me penche pour embrasser Sarah. Elle me rend mon baiser et nos langues se mélangent dans et en dehors de nos bouches. Ma main droite s’empare de sa poitrine alors que sa main passe sous ma robe et se glisse lentement vers ma chatte. Nous sommes en pleine action lorsqu’Antoine nous rejoint. Il se place à ma droite et me soulève doucement la cuisse. Sa main rejoint celle de Sarah qui a déjà un doigt planté dans ma chatte. Antoine glisse à son tour un doigt dans mon vagin et ils se mettent tous deux à me fouiller l’intimité de concert. Je sens leurs doigts remuer en moi et je me mets à gémir alors que mon fils se penche au-dessus de moi pour embrasser notre bonne. J’en profite pour ouvrir le zip sur le côté de la robe de Sarah et je libère ses seins. Ma bouche descend vers sa poitrine et je m’applique à les lécher et à mordiller les tétons qui pointent de désir. Le doigt d’Antoine vient de quitter ma chatte et caresse doucement mon anus qui palpite déjà d’excitation. Il ne tarde pas à me pénétrer le cul et je sens les doigts de mes amants me fouiller sans retenue. Je me mets à gémir en léchant les seins de Sarah. J’ai envie de sa chatte et je lui dis :
— J’ai envie de te lécher la chatte, Sarah !— Moi aussi je veux te manger le minou, Séverine !! me répond-elle dans un souffle.— Je vous ai entendu, mes petites chéries !! Annonce Antoine. J’ai prévu quelque chose pour ce petit rituel et vous allez devoir me suivre.
Sans rien dire, nous nous levons. Sarah rajuste sa robe, s’empare du petit sac qui ne l’a pas quitté depuis le début de la soirée et nous suivons notre maître dans la maison. Il nous entraîne jusqu’à la salle de billard qui se trouve juste après la bibliothèque et le bureau de mon mari, au rez-de-chaussée de la maison. C’est une pièce d’une quarantaine de mètres carrés où trône en son centre un immense billard français. Une grande lumière basse illumine le billard et de multiples petits spots inondent la pièce d’une douce lumière tamisée et colorée. Cette salle de billard existait déjà lorsque nous avons acheté la demeure et, malgré le fait qu’il ne joue pas vraiment au billard, Olivier a tenu à la garder pour en faire profiter nos amis. Mon fils se place dans un coin et, à ma grande surprise, un panneau au fond de la pièce se met à coulisser. Antoine nous fait signe de le suivre et je découvre, ébahie, un escalier qui s’enfonce dans le sol. Mon fils me prend par la main et m’entraîne dans l’escalier tournant jusqu’à une immense pièce qui se trouve manifestement sous notre grande demeure. Nous nous retrouvons dans une pièce toute capitonnée qui fait au moins le double de la salle de billard. Au milieu trône un lit immense qui peut recevoir au moins trois couples côte à côte. A quatre endroits de la pièce, des chaînes terminées par des menottes pendent du plafond. Dans un coin de la pièce je peux voir une grande croix de Saint André en bois poli muni de lanière en cuir. Dans le coin opposé, un banc recouvert de velours rouge comporte des lanières de cuir à chacun de ses pieds. La pièce renferme aussi plusieurs râteliers garnis de fouets, de martinets, de lanières de cuir, de cravaches et d’objets dont je ne connais pas la destination. Après avoir fait un rapide état des lieux, je me tourne vers mon fils, le regard plein d’interrogation.
— J’ai découvert cet endroit totalement par hasard, Sève ! A part Sarah, je suis le seul à en connaître l’existence. Je l’ai découvert il y a deux ans et c’était dans un tel état de saleté que j’étais sûr que vous, mes parents, n’en connaissiez pas l’existence. Je pense que ce local a été élaboré par les précédents propriétaires et qu’ils se sont bien gardés de vous en parler. Dès que je pouvais, je me suis activé pour le remettre en état mais Sarah s’en est chargée bien mieux que moi depuis qu’elle est ma soumise. Qu’en penses-tu Sève ?— Je... je ne sais que penser, maître ! Dis-je abasourdit.
Il y a quinze ans que nous possédons cette demeure et, à aucun moment, je n’ai imaginé l’existence d’une telle pièce dans ma maison. Je me rappelle cependant une phrase de la précédente propriétaire qu’elle m’a glissé à l’oreille après nous avoir remis les clefs : « nous vous avons laissé une petite surprise au sous-sol et je pense que votre maman va apprécier ». Après leur départ, je descendais à la cave et j’y trouvais une caisse de bouteilles d’un grand cru de Bordeaux. Les anciens propriétaires sont des amis de mes parents qui, souhaitant se rapprocher de la ville, avaient vendu leur grande demeure pour acheter une maison de maître en ville. Je n’ai pas compris pourquoi ils nous laissaient un grand cru de rouge alors que ma mère n’aime pas le vin rouge. Je n’en avais pas fait de cas à l’époque mais, maintenant que je viens de découvrir cette pièce cachée, j’ai des doutes. Non, ce n’est pas possible, la précédente propriétaire ne pouvait pas parler de ce lieu en pensant à mes parents. Comment pourraient-ils se complaire dans ce genre d’endroit ? Ils sont trop coincés dans leur carcan de préjugé et de religion !! Je me trompe forcément et mon jugement est altéré par ce que je viens de découvrir. La voix de mon fils m’arrache à mes pensées.
— Sève, tu es avec nous ?— Oui... oui, maître !! réponds-je en essayant de cacher mon trouble.
Mon fils me prend par la main et m’entraîne vers Sarah qui s’est déjà allongée sur l’immense lit. Sans plus me poser de question, je m’allonge près d’elle et j’entreprends de lui retirer sa robe tout en l’embrassant. J’ai très envie de découvrir son corps et c’est les mains tremblantes que je lui retire sa robe. Je la découvre en porte-jarretelles et en bas et, comme moi, elle ne porte aucun sous-vêtement. Elle a de jolis seins tout ronds et fermes, sa taille est fine et ses larges hanches sont un véritable appel au viol. Je me penche sur elle et lui donne un doux baiser avant de laisser mes lèvres et ma langue vagabonder sur son corps. Ma bouche arrive sur ses seins et je m’applique à lui lécher les tétons qui ne tardent pas à réagir à ma caresse. Ses petites pointes se dressent et je l’entends gémir de plaisir. Ma langue descend lentement sur son ventre en prenant la direction de ce que je convoite. J’ai très envie de lui lécher la chatte et ma langue arrive bientôt sur son petit sexe totalement épilé. Sarah ouvre largement les cuisses pour me laisser l’accès à son petit abricot. Ma tête glisse entre ses cuisses et ma langue prend rapidement possession de sa vulve. Ses lèvres toutes humides délivrent un doux parfum totalement enivrant. Je lèche toute sa fente et remonte lentement vers son clitoris qui darde déjà de désir. Je l’entends gémir de plus en plus fort et elle se met à m’encourager :
— Hummm, oui Séverine, mange-moi ma petite chatte de salope !!— Vas-y Sève, dévore-lui le con à cette petite chienne !! me dit mon fils tout en faisant glisser ma robe sur ma peau.— Hummm, elle est bonne ta petite chatte, Sarah ! Dis-je avant de plonger ma langue entre ses lèvres béantes.— Donne-lui ta chatte, Sève !! me dit Antoine en poussant mes hanches vers le visage de Sarah.
Je ne me fais pas prier et je place mes jambes de part et d’autre du visage de ma bonne. Nous nous retrouvons en 69 et Sarah ne tarde pas à faire courir sa langue sur mon sexe avide de plaisir. Nos gémissements remplissent maintenant la pièce et nous nous dévorons mutuellement le minou. Alors que Sarah fait tournoyer sa langue sur mon petit bouton, je sens un doigt de mon fils entrer dans ma chatte. De ses deux mains ma bonne m’écarte les fesses et le doigt de mon fils remonte vers ma petite rosette. Il lubrifie lentement mon anus avec ma propre mouille. Son doigt replonge dans mon vagin et revient faire de petits cercles sur mon cul afin de l’assouplir. Au bout de quelques minutes de ce traitement, ma rosette se détend et je sens son doigt coulisser dans mon rectum. Antoine se place derrière moi et plonge sa grosse queue tout au fond de mon vagin, il fait quelques aller et retour m’arrachant de profonds gémissements.
— Hummm ouiiii, maître !! Votre queue... votre doigt... hummm, j’aimeeeee !!— J’ai envie de te la mettre dans le cul !! Tu veux, sève ?— Hummm, j’ai envie que vous m’enculiez comme une pute, maître ! Je veux votre grosse bite dans mon cul de salope, maître !!— C’est tellement bien demander que je vais te la mettre tout au fond, ma petite soumise !!
Mon fils retire son doigt de mon cul et vient présenter son gland sur ma petite rosette. Il pousse et son gland entre lentement en moi. J’ai tellement envie de le sentir bouger dans mon cul que je donne un violent coup de reins vers sa queue et je m’empale moi-même sur son sexe volumineux. Il me saisit par les hanches et fait aller et venir son gros manche dans mes entrailles.
— Ouiii, maître !! Défoncez-moi le cul !! Je suis votre petite chienne en chaleur !!— Tu l’aimes ma grosse bite dans ton cul, hein Sève !!— Hummm, ouiii !! Défoncez-moi bien le cul, maître !!— A toi de jouer Sarah ! Dit mon fils en tapotant la joue de notre bonne.
Sans dire un mot, Sarah se dégage de dessous moi et se dirige vers le petit sac qui la suit depuis le début de soirée. Les yeux mi-clos, je la vois en extraire un énorme gode qu’elle se fixe sur les hanches avant de s’approcher de moi. Elle m’attrape par les cheveux et présente l’engin aux belles dimensions devant ma bouche.
— Suce le bien Séverine pour qu’il puisse entrer dans ta petite chatte ! Me dit Sarah alors que j’ai déjà ouvert la bouche pour avaler le sexe factice.— Humm, humm ! Répons-je alors que j’ai la bouche emplie par l’énorme engin. Il faut dire que ses dimensions ne laissent pas de place dans ma bouche, il mesure entre 25 et 30 centimètres et son diamètre doit dépasser les six centimètres.
Lorsque Sarah estime que je l’ai suffisamment lubrifié, elle se retire de ma bouche et vient s’allonger à côté de moi. Mon fils sort de mon cul et m’invite à prendre place au-dessus de notre bonne. Je me mets à califourchon au-dessus d’elle, d’une main je saisis le sexe énorme et le guide vers l’entrée de ma chatte. Je me laisse descendre lentement sur l’énorme queue qui me dilate le con à l’extrême. Peu à peu, je me laisse envahir par cet énorme pieu et lorsqu’il est enfin entré en entier je me penche en avant pour venir embrasser Sarah à pleine bouche. Elle donne des petits coups de bassin pour remuer en moi et je me cambre pour profiter de cet énorme sexe qui me défonce la chatte. Dans cette position j’offre ma petite rosette bien ouverte à mon fils et il m’agrippe par les hanches avant de se planter tout au fond de mon cul. Je me mets rapidement à gémir en appréciant cette double pénétration. Je sens les deux queues se frotter à travers la mince paroi qui sépare mon cul de mon vagin et j’ondule des hanches pour bien les ressentir tout au fond de moi. Depuis ma première expérience il y a quelques jours, j’apprécie beaucoup me faire prendre ainsi. Comment ai-je pu passer à côté d’une telle expérience pendant autant de temps ? Il y a quelques années, mon mari m’avait proposé à plusieurs reprises une partie à trois lors de nos ébats mais je m’y étais toujours refusée. C’est tout juste si j’acceptais de lui lécher les doigts quand il me prenait en levrette et il avait bien vite abandonné l’idée de m’offrir à un autre homme. J’étais bloquée par mes préjugés imbéciles et aujourd’hui je me rends compte à quel point j’ai pu être idiote. J’aime vraiment me faire défoncer la chatte et le cul et, à l’instant présent, j’aurais même apprécié avoir une bonne bite à sucer. Je me rends compte que je suis devenue une grosse salope avide de queues et j’aime ça.
— Hummm, c’est bon vos queues !— Tu aimes ma grosse bite, Séverine ? Me demande Sarah en me caressant les seins.— Ouiii, elle est bonne et notre maître s’occupe bien de mon cul... hummm !!
Ils se mettent à remuer en cadence et je sens les deux queues coulisser sans effort en moi. Antoine me pilonne le cul à grands coups de reins et je sens ma chatte se contracter sur l’énorme engin qui me remplit la chatte. Je sens des vagues de plaisir me tordre le ventre et je sais que l’orgasme n’est pas loin.
— Hummm, ouiiii... c’est bon... encore... encore !! Vos queues... hummm !!— Tu aimes ça, petite chienne !! me lance mon fils en me claquant une fesse.— Oui, ouiii !! Je suis une grosse salope qui aime se faire défoncer par tous les trous ! Ah, oui... ouiii !! Hummm c’est bon... encore... encoreeeee !! me mets-je à crier avant de me laisser submerger pas un violent orgasme.
Antoine se retire de mon cul et je me laisse rouler sur le côté. Sarah se retire de ma chatte et enlève son gode-ceinture. Je suis encore toute secouée de spasme lorsqu’elle plonge sa tête entre mes cuisses pour me lécher la chatte et le cul. Je suis complètement anéantie par mon orgasme et je me laisse faire. Tout en me léchant la chatte, notre bonne a les fesses bien en l’air et les balance sous le nez de mon fils car, elle aussi, veut sa ration de bite. Antoine n’a pas besoin de beaucoup d’encouragement, il la saisit par les hanches et plante son chibre tout au fond de sa chatte. Elle gémit tout en me léchant le clitoris et deux doigts prennent rapidement possession de ma chatte. Je me remets tout juste de mon orgasme et je sens de nouveau le plaisir monter en moi. A tâtons, je cherche le gode qu’elle a posé non loin de moi sur le lit et je l’approche de ma chatte. Comprenant ce que je souhaite, elle le prend d’une main, retire ses doigts de ma chatte et d’une franche poussée, me l’introduit tout au fond du con m’arrachant un profond soupir. Ses doigts tout humides de ma mouille se posent sur ma rondelle encore dilatée par la sodomie de mon fils et ils n’ont aucun problème à me pénétrer. Je me sens chienne, j’ai envie qu’elle abuse de moi, qu’elle se serve de mes trous, qu’elle fasse de moi sa petite pute. Prise par cette folle idée, je me dégage d’elle, retire le gode de mon vagin et l’accroche à ses hanches. Je me place sur le dos face à elle et de mes deux mains je ramène mes jambes largement ouvertes sur ma poitrine. Dans cette position, je sais lui offrir une vision très obscène de ma chatte et de mon cul.
— Met-la moi dans le cul, Sarah !! J’en meure d’envie !!— Tu es sûre, Séverine ? C’est vraiment gros !!— Oui, vas-y avant que je ne change d’avis.
Antoine s’est retiré de la chatte de Sarah et nous regarde faire. Notre bonne s’approche de moi, prend mes jambes et les pose sur ses épaules. Elle pose ses bras de part et d’autre de mes épaules ce qui me place dans une position de totale soumission. Je ne peux plus bouger, mon bassin est encore remonté et je me sens totalement offerte à cette femme qui va me prendre le cul. Le gland de l’énorme matraque se pose sur ma petite rondelle et Sarah commence à pousser lentement. C’est vraiment très gros et je dois serrer les dents pour ne pas me mettre à hurler. Le mandrin poursuit sa lente progression et une larme coule sur ma joue au moment où le gland passe la barrière de mon sphincter. Malgré moi, je pousse comme si je voulais éjecter ce corps étranger et, au moment où je me relâche, je sens l’énorme queue m’emplir complètement le cul. Je me sens comme écartelée mais le plus dur est fait. Sarah se maintient tout au fond de moi sans bouger le temps que je m’habitue à la présence de cette énorme queue. Peu à peu, je me détends et elle se met à bouger lentement en moi. Mon fils se replace derrière Sarah et je comprends très vite ce qu’il lui fait.
— Oh, oui maître ! Prenez-moi le cul pendant que j’encule votre mère !!— Ma salope de mère a l’air d’aimer se faire défoncer le cul par une énorme queue, alors bourre-lui le fion à cette petite pute !! lui répond Antoine.— Elle te fait du bien ma grosse queue dans ton cul, Séverine ? Me demande Sarah.— Hummm, oui !! Bouge plus fort, j’ai très envie que tu me fasses jouir !!
Mon fils pilonne le cul de notre bonne et c’est lui qui donne le rythme des deux sodomies. Lorsqu’il pousse entre les fesses de Sarah le gode entre encore plus profond en moi m’arrachant gémissements et petits cris. Sarah qui subit les assauts d’Antoine ne tarde pas à me rejoindre dans mes gémissements et la pièce s’emplit très vite de nos vocalises amoureuses.
— Hummm, ouiii maître !! J’aime votre queue, vous allez me faire jouir !! Crie Sarah.— Je veux vous entendre jouir ensemble mes petites chiennes en chaleur !! Annonce mon fils en accélérant encore le rythme.— Oh... ohhh... je sens que je vais venir !! hummm, je vais jouir !! dis-je en sentant mon anus palpiter sur l’énorme mandrin qui me remplit le cul.— Hummm !! Votre queue... humm... c’est trop bon... ouiiiii ! Se met à crier Sarah.
Nous partons ensemble dans une profonde jouissance et Sarah se penche pour venir plonger sa langue dans ma bouche. Nous nous embrassons avec fougue encore secoués par nos orgasmes respectifs. Antoine qui vient de se retirer du cul de notre bonne et qui n’a pas encore joui approche sa queue bien raide de nos visages. Il saisit Sarah par les cheveux pour la contraindre à arrêter notre baiser et il plonge sa queue dans ma bouche encore ouverte. Je resserre mes lèvres sur sa hampe et je remonte une main sur ses fesses tout en le suçant avec passion. Je devrais éprouver du dégoût à sucer cette queue qui sort du cul de ma bonne mais il n’en est rien. J’y prends beaucoup de plaisir comme la salope que je suis devenue en peu de temps. Antoine se retire de ma bouche et tend sa queue à Sarah qui la gobe avec avidité. Il a ses couilles juste au-dessus de mon visage et je les gobe et les suce avec frénésie alors que mon majeur ses posé sur l’anus de mon fils. Je fais tourner lentement mon doigt et peu à peu j’arrive à l’introduire dans son cul lui arrachant un grognement de plaisir. C’est le moment qu’Antoine choisit pour se retirer de la bouche de Sarah et lâcher sa semence sur mon visage. J’ouvre la bouche pour tenter de récupérer le précieux liquide mais un seul jet atterrit entre mes lèvres, le reste se retrouve sur mon cou, mes joues et mon front. Sarah de met à lécher le sperme sur mon visage et, le gardant en bouche, m’embrasse pour partager la semence de mon fils. Je me délecte de ce baiser plein du sperme d’Antoine. Je retire mon doigt du cul de mon fils et Sarah se retire de mon cul. Je suis épuisée et je me laisse glisser dans un profond sommeil qui devrait se remplir de jolis rêves érotiques.
A suivre
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