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Mon fils, mon maitre

Chapitre 5

Je m'offre à mon beau-père

Inceste
Après ce week-end riche en baise et en révélations, la vie a repris son cours normal si ce n’est que mes relations avec ma bonne ont quelque peu évolué. Sarah continue à travailler normalement mais, lorsque je suis à la maison, je suis le plus souvent en petite tenue pour l’exciter et il n’est pas rare que nous nous retrouvions dans un coin ou un autre de la demeure pour nous caresser et nous faire du bien. Antoine m’a demandé d’organiser un dîner avec mes parents et le père Louis. J’ai longuement hésité à appeler ma mère mais j’ai fini par décrocher fébrilement mon téléphone et nous avons pris rendez-vous pour ce prochain vendredi. Depuis que j’ai baisé avec Chantal et Philippe, j’ai une folle envie de m’envoyer en l’air avec des personnes qui sont bien plus âgées que moi. Je pense qu’Antoine a déjà préparé son intervention pour vendredi mais ce qui me préoccupe depuis dimanche c’est la vision que j’ai eue de moi avec Roger, mon beau-père. Il a toujours été assez proche de moi et j’aime sa façon de glisser sa main sur ma hanche lorsqu’il me dit bonjour.
Il place invariablement ses doigts sur le haut de mes fesses, l’air de rien, en m’embrassant sur les joues au plus près de la commissure de mes lèvres. De tout temps, il a toujours trouvé une occasion pour passer un bras dans mon dos lors d’une conversation, par exemple, et quand j’y repense, il me semble que sa main a toujours eu tendance à glisser sur le haut de mes fesses. Quand je pense à ces petits gestes, je me dis que ce ne sont pas de simples gestes d’amitié mais que mon beau-père a sûrement toujours eu envie de moi. Je songe à ce jour où j’étais enceinte d’Antoine et où il m’a demandé de l’accompagner à la cave pour choisir le vin pour le repas. Roger s’est frotté contre mes fesses sous prétexte d’attraper une bouteille située juste au-dessus de ma tête et je me souviens clairement avoir senti son sexe tendu sur mes fesses. Je n’en avais pas fait de cas ce jour-là mais le souvenir de ce petit épisode de ma vie me met en émoi et je sens ma petite chatte s’humidifier. Nous sommes mercredi et, depuis dimanche, j’ai eu de nombreuses visions dans mon sommeil où je me retrouvais avec mon beau-père en train de me faire défoncer la chatte et le cul après lui avoir pompé la queue.
Ces pensées m’obsèdent depuis dimanche mais je n’ose pas et j’ai peur de franchir le pas. C’est Olivier, mon mari, qui va me porter secours sans le vouloir. Il me contacte en visioconférence le mercredi soir pour prendre des nouvelles et il me dit qu’il a eu son père au téléphone. Ce dernier se sent seul et déplore de ne pas voir grand monde. Il faut dire qu’il est veuf de sa femme Francine, décédée des suites d’un cancer depuis près de deux ans, et qu’il n’a que de très rares visites si l’on excepte celles de ses meilleurs amis une à deux fois par semaine. J’ai toujours mis un point d’honneur à lui rendre régulièrement visite mais il faut admettre que ces dernières semaines je ne me suis pas trop préoccupée de lui, tellement j’étais prise par ma nouvelle vie au service de mon fils. Je fais la promesse à mon mari d’aller le voir dès le lendemain et m’excuse de n’avoir pas pris soin de mon beau-père ces derniers temps. Olivier ne semble pas se soucier de ce qui a bien pu m’empêcher d’aller chez son père et cela m’arrange bien.
Je pense cependant que cette prochaine visite va nous rendre heureux, mon beau-père et moi. Après l’avoir appelé pour lui dire que je viendrais déjeuner avec lui le lendemain, je m’imagine déjà entre ses bras avant de me laisser descendre sur mes genoux pour ouvrir sa braguette et prendre sa queue dans ma bouche. J’ai très envie de lui offrir mon corps et, allongé sur mon canapé, je me caresse doucement la chatte en pensant à lui. Je n’ai pas entendu Antoine rentrer à la maison et il me découvre allongée sur le canapé, les yeux fermés et deux doigts dans la chatte. Doucement, il s’approche de moi en sortant sa queue de son pantalon et présente son gland sur mes lèvres. Surprise, j’ouvre les yeux et j’ouvre grand la bouche en découvrant la bite de mon fils. Il m’attrape par les cheveux et imprime le rythme de la fellation en me remplissant la bouche au maximum. Je referme les yeux, repense à mon beau-père et lui suce la queue avec passion et envie. Mon fils ne tarde pas à prendre place entre mes cuisses et plonge son dard dans ma chatte en fusion.
— Hummm, oui mon chéri !! Défonce ta maman qui a très envie d’une grosse bite !!— Tu es vraiment devenue une bonne grosse salope, maman !!— Ouiiii, je suis ta salope et je veux ta grosse queue !!— Elle te plaît, ma bite !! Tu la veux où ??— Je veux te sentir jouir dans ma chatte, mon chéri !! Hummmm, ouiii !! Vas-y, défonce la petite chatte de maman !!
Il relève mes jambes sur ses épaules et pèse de tout son poids sur moi en me besognant sans retenue. Je sens sa queue taper au fond de mon vagin et je ne tarde pas à partir dans un fulgurant orgasme en fermant les yeux pour m’imaginer avec la bite de mon beau-père tout au fond de ma chatte.Antoine a passé toute la nuit avec moi et n’a pas manqué de s’occuper de ma chatte et de mon cul avant que je ne tombe dans un profond sommeil. Je me réveille seule le lendemain. Nous sommes jeudi et je vais rendre visite à mon beau-père. J’ai encore fait un rêve dans lequel je me retrouvais prise par mon père et mon beau-père alors qu’Antoine prenait ma mère sans ménagement en l’obligeant à lécher la chatte de Sarah. Je suis devenue totalement accro au sexe et mon esprit est complètement focalisé sur la recherche du plaisir. J’ai envie de queue et, aujourd’hui, je vais m’offrir celle de mon beau-père. Dès le réveil, je suis très excitée et lorsque je retrouve Sarah dans la cuisine je la laisse me fourrer deux doigts dans la chatte avant même de l’avoir embrassée pour lui dire bonjour. Elle me fait allonger sur la table de la cuisine afin de me manger la chatte, pour mon plus grand plaisir. Elle s’occupe tellement bien de mon petit clito que je ne tarde pas à jouir en lui tenant la tête des deux mains.
Je lui rends la politesse en lui glissant deux doigts dans la chatte et un autre dans le cul tout en l’embrassant avec fougue. Rapidement, elle crie sa jouissance dans ma bouche. Elle rajuste sa tenue et, avant qu’elle ne retourne à son travail, je lui demande de faire un ménage intense dans la salle du sous-sol en prévision de la soirée du lendemain. Je lui annonce que je pars pour la journée et qu’elle pourra partir dès que son travail sera terminé.Je dois faire vite car, ce matin, j’ai pris un rendez-vous avec Vanessa, mon esthéticienne, et je n’ai pas l’intention d’être en retard. La visite chez mon beau-père n’était pas prévue mais je pense que cette visite à l’institut me mettra dans de bonnes conditions pour aller voir Roger. J’ai pris un forfait « deux heures » avec elle afin que nous soyons tranquilles et j’espère secrètement que Vanessa sera dans les mêmes dispositions que la dernière fois. Je prends rapidement une douche et je passe dans mon dressing pour me choisir une tenue. Je choisis un tailleur noir à la jupe très courte et un chemisier en soie rouge. Pour tout sous-vêtement, j’enfile un porte-jarretelles noir enjolivé de fines dentelles rouges. Je gaine mes jambes de bas en fine résille noir et je termine ma tenue par des escarpins rouges vernis à très hauts talons. Je suis un peu en retard et je quitte très vite la demeure. Je dépasse un peu les limitations de vitesse et j’arrive tout juste à l’heure à mon rendez-vous.
Vanessa m’attend et m’invite à la suivre dans l’institut. Elle me conduit dans une pièce tout au fond de l’édifice et me demande de me dévêtir après avoir fermé la porte à clef. Je n’en fais pas de cas et, très vite, je me retrouve sur la table de soin seulement vêtue de mon porte-jarretelles et de mes bas. Vanessa porte une mini-jupe bleue et un petit corsage blanc. Entre mon arrivée et le passage dans la pièce, j’ai pu remarquer que les boutons du corsage s’étaient ouverts. Très professionnelle, Vanessa commence par mes aisselles et lorsqu’elle se penche sur moi je peux admirer ses jolis seins dans l’ouverture du corsage. Elle a une très belle poitrine et je ne peux résister plus longtemps. Je lève une main et la glisse dans son décolleté pour lui caresser un sein. Vanessa reste impassible et continue son œuvre tout en poussant un léger gémissement en sentant ma main lui caresser le sein. Mon autre main se pose sur sa jambe et remonte lentement sous sa jupe. J’ai très envie de la troubler avant qu’elle ne me trouble.
Ma main remonte entre ses cuisses, cette petite salope ne porte pas de culotte et, tout en s’occupant de mes dessous de bras, elle écarte les cuisses pour laisser le passage à ma main. Mes doigts s’emparent de sa vulve et je caresse lentement les lèvres de son sexe et son petit bouton. Elle se met à gémir de plus en plus fort et fini par retirer ma main d’entre ses cuisses en me disant :
— C’est trop bon, Madame !! Je vous prie d’arrêter le temps que je m’occupe de votre... Chatte ! Elle a hésité sur le dernier mot mais je la mets vite en confiance.
— Oui, occupe-toi de ma chatte, Vanessa !! Tu peux m’appeler Séverine et me tutoyer, ma chérie !!— Oui, Séverine !! Je vais bien m’occuper de ta petite chatte.
Elle me tourne le dos et fait son œuvre entre mes cuisses que je garde largement ouvertes. Elle se penche et je ne peux résister à l’envie de glisser ma main entre ses cuisses. Je remonte lentement vers sa chatte où je glisse un doigt. Elle se met à gémir en s’activant sur ma chatte qui n’a pas besoin de beaucoup de soin car je l’ai entretenue du mieux possible pour faire plaisir à mon maître de fils. Vanessa termine très vite et se penche pour placer son visage entre mes cuisses. Sa langue vient effleurer mon clitoris provoquant une décharge électrique dans mes reins. Elle se met à me lécher la chatte et j’ai très envie de goûter à son petit abricot.
— Donne-moi ta chatte petite salope !! Dis-je avec envie.
Sans dire un mot, elle remonte sa jupe sur ses hanches et monte sur la table me présentant sa chatte au-dessus de mon visage. De mes deux mains, je lui empoigne les fesses et je plonge mon visage entre ses cuisses alors qu’elle a déjà commencé à me lécher la chatte. Sa chatte est très humide et, tout en lui léchant le clito, je plonge un doigt tout au fond de sa grotte d’amour. Elle ne tarde pas à m’imiter et je me retrouve avec deux doigts dans le vagin alors que de son autre main elle me caresse doucement la rosette. Le mouvement de mes hanches et mes gémissements lui font rapidement comprendre que j’ai envie qu’elle me prenne le cul. Pour l’encourager, je pose mon index sur son œillet.
— Hummm, oui !! Il est bon ton doigt, Séverine !!— Vas-y, prends-moi le cul, ma chérie !! Réponds-je pour lui donner du courage.— Moi aussi je veux te sentir dans mon cul !! Donne-moi tes doigts !!— Tiens petite salope !! Dis-je en lui enfonçant deux doigts dans le cul. Tu aimes ??— Hummmm, c’est bon tes doigts !! Encoreeeeee !!— A toi, ma chérie !! Mets-moi tes doigts !! Fais-moi jouir !!
Vanessa active ses doigts sur ma rondelle et je suis tellement réceptive qu’elle arrive à me glisser trois doigts lubrifiés par ses huiles de massage. Ses doigts coulissent dans mon cul, m’arrachant de profonds soupirs que je tente de contenir au maximum pour ne pas alerter le reste de l’institut. Je retire mes doigts de son cul et je les glisse dans sa chatte largement ouverte. Rapidement, un troisième doigt entre suivi d’un quatrième. Je la pistonne doucement et je sens qu’elle en veut plus au mouvement de ses hanches. Mon pouce vient rejoindre mes quatre autres doigts et je la pistonne lentement jusqu’à voir ma main disparaître entièrement dans sa chatte. Elle se met à jouir violemment et je sens sa chatte se contracter sur ma main alors que ses doigts s’activent toujours dans mon cul. A mon tour, je pars dans une profonde jouissance sans retenir mes cris. Nous nous remettons lentement de nos orgasmes respectifs et je m’inquiète très vite du bruit que nous avons pu faire. Vanessa m’explique qu’elle m’a conduit dans la seule pièce totalement insonorisée et isolée.
Elle me laisse comprendre que certains clients ou clientes demandent des soins spécifiques que seules elles et sa patronne sont en mesure de fournir. Elle m’explique ensuite que je serai toujours la bienvenue dans cette pièce sans tarifs spéciaux car elle amoureuse de moi depuis le premier jour où elle m’a vu. Je l’embrasse avec tendresse avant de me revêtir et je la suis pour régler mes soins avant de quitter l’institut. En rejoignant ma voiture, j’appelle Roger pour le prévenir que j’aurai un peu de retard. J’avale rapidement les vingt kilomètres qui me séparent de mon beau-père. Lorsque j’arrive devant son pavillon, je le vois à l’extérieur. Il semble m’attendre avec impatience. Je descends rapidement de ma voiture et je m’approche de lui en ondulant des hanches. Fidèle à ses habitudes, il pose une main sur ma hanche et m’embrasse sur les joues très près de mes lèvres. Ces petits gestes me donnent des frissons et je sens l’humidité remonter sur les lèvres de mon sexe. Nous entrons et Roger me fait asseoir à table dans le séjour.
Prétextant d’avoir un peu chaud, je retire ma veste de tailleur et je file à la salle de bain pour me laver les mains. J’en profite pour ouvrir les boutons de mon chemisier afin que Roger puisse voir mes seins lorsque je me pencherai. Le frottement de la soie et l’excitation qu’a provoquée l’accueil de Roger font pointer mes tétons. Faisant comme si tout était normal, je reviens m’asseoir face à mon beau-père. Je l’observe à la dérobée et je m’aperçois que son regard s’accroche sur ma poitrine. A 73 ans, Roger est encore très bel homme. Militaire à la retraite, il entretient encore son physique et fait encore deux à trois footings par semaine. Il fait au moins 1,85 m et a gardé une belle musculature. Il a encore les cheveux bruns et ses tempes grises lui donnent un air très sexy. Nous déjeunons en parlant de choses et d’autres mais je note que mon beau-père fait assez souvent des allusions tournées vers le sexe. Je me garde bien de relever ses paroles mais je sens que la vision qu’il a de ma poitrine lui donne des idées.
Après le dessert, je me lève pour débarrasser la table sans tenir compte de ses protestations. Je suis en train de tout placer dans le lave-vaisselle quand je l’entends arriver derrière moi. Je me penche un peu plus pour bien lui présenter mes fesses et, soudain, ses mains se posent sur mes hanches. Je me redresse et, sans me retourner vers lui, je saisis ses mains. Je l’attire vers moi, je sens sa queue se caler contre mes fesses. Ma main gauche tire la sienne vers ma poitrine et je la fais glisser sous mon chemisier pour qu’il atteigne mon sein droit.
— Mais, Séverine !! Que fais-tu ? demande-t-il avec un trémolo dans la voix.— Je pensais que vous aimeriez me caresser les seins, Roger !!— Ce n’est pas bien, Séverine !! Il ne faut pas ! Dit-il tout en me caressant les seins de sa main gauche que j’ai laissée seule dans mon chemisier.— Peut-être préféreriez-vous me caresser la chatte !! Dis-je en attirant sa main droite avec la mienne vers mon entrejambe.— Tu vas me rendre fou, Séverine !! Dit-il en collant son bassin contre mes fesses. Je lui fais vraiment de l’effet car je sens un énorme barreau se frotter contre mon cul.— Peut-être pourriez-vous m’embrasser !! Lui dis-je en tournant mon visage vers le sien.
Sans hésiter, il penche son visage vers le mien et pose ses lèvres sur les miennes. J’entrouvre les lèvres et sa langue entre dans ma bouche à la recherche de la mienne. Nos langues entrent dans une danse amoureuse et se mélangent dans un profond baiser. Roger s’enhardit et sa main remonte le bas de ma jupe. Elle glisse lentement sur mon bas jusqu’à rejoindre la peau nue de mes cuisses, ultime passage pour rejoindre mon sexe. J’écarte légèrement les cuisses pour laisser le passage à cette main inquisitrice qui ne tarde pas à rejoindre ma chatte moite d’excitation. La main gauche de Roger n’est pas en reste car elle fait rouler mon téton érigé par l’excitation avant de le pincer, m’arrachant un doux gémissement. Mon beau-père interrompt notre baiser et me regarde droit dans les yeux.
— Pourquoi maintenant, Séverine ?— Il y a longtemps que j’ai envie mais j’étais freinée par Francine. Je ne pouvais pas lui faire ça !! Dis-je en mentant légèrement car je n’y avais jamais vraiment pensé. Je me rends compte seulement aujourd’hui que cette envie était vraiment sous-jacente.— Comme je regrette aujourd’hui de n’avoir pas écouté ma pauvre femme. Nous étions un couple libertin et dès le jour où Olivier t’a présenté à nous, Francine m’a tout de suite dit qu’elle aimerait bien t’avoir dans notre lit. Tu étais la femme de notre fils et je l’en ai très vite dissuadée.— Fran... Francine avait envie de moi ??— Oui, très !! Je pense que tu es une méchante fille d’avoir attendu aussi longtemps et que tu mérites une bonne fessée !! Dit-il en m’entraînant vers une chaise de la cuisine.— Mais... Mais !! Dis-je en bredouillant tout en sentant une excitation nouvelle monter en moi face à cette situation inédite.
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me retrouve couchée en travers de ses cuisses la jupe relevée sur mes hanches. Dans cette position, mon beau-père a une vue imprenable sur mon cul qu’il caresse lentement de sa main droite.
— Je vais faire rougir ton joli petit cul Séverine. Je vais te donner dix claques sur tes petites fesses de salope et tu vas les compter. Et la première claque tombe sur mes fesses.— Je n’ai pas entendu !! Me dit-il sur un ton sévère.— Aïe... Une !! Dis-je avec empressement.— Comme j’aurais aimé que Francine te donne cette fessée !! Pan, une autre claque tombe.— Deux ! Dis-je très vite sentant déjà mon petit cul monter en température.— Je vois que tu commences à comprendre. Tu aurais sûrement fait une très bonne soumise ! Et une autre claque retentit sur mon petit cul tendu. Il ne frappe pas très fort et je sens une douce chaleur monter dans mon ventre.— Hummm... Trois !!— Ce petit cul m’en rappelle un autre !! Et pan, une autre claque.— Quatre !! Hummm, oui !! Plus fort Roger !! J’ai maintenant très envie de sentir la puissance de cet homme qui me donne ma première fessée.— Tu ne veux pas savoir à qui ton petit cul me fait penser ? Et une claque un peu plus forte que les autres retentit dans la cuisine.— Ouille, cinq ! Dis-je en serrant un peu les dents en sentant la claque me cingler les fesses. Je sens cependant ma petite chatte se liquéfier tant la situation m’excite. Oui Roger, j’aimerais savoir à qui mes fesses vous font penser.— Tes fesses me font penser à celles de ta mère !! Et pan, une claque encore un peu plus forte.— Six ! Ma mère ? Dis-je en marquant un temps d’arrêt.— Oui, ta mère. Elle aime beaucoup que je lui donne la fessée !! Pan...— Hummmm, sept !! Je n’en crois rien, elle vous a toujours considéré comme de la merde, Roger !— C’est ce qu’elle a toujours voulu faire croire pour donner le change auprès de ton père. Mon beau-père me parle tout en me massant les fesses. Sa main glisse entre mes cuisses et me caresse délicieusement la chatte.— Cela a commencé après votre mariage. Ta mère s’était rapprochée de Francine et un jour où j’étais censé être en déplacement, je les ai surprises en plein acte dans le lit conjugal. Je suis entré dans une fausse colère et j’ai attrapé ta mère pour la placer en travers de mes genoux. Elle a pris une fessée magistrale et cette petite chienne en a redemandé. Sa chatte était inondée, tout comme la tienne en ce moment. Après cette séance, je lui ai pris la chatte et le cul alors que Francine lui donnait sa chatte à lécher. Elle est rapidement devenue notre soumise et je lui donnais du fouet ou du martinet alors que Francine prenait toujours plaisir à l’attacher et à lui donner la fessée. Pan, une autre claque s’abat sur mes fesses.— Haaaa, ouiii, encoreeeee ! Huit !! Je tortille mes hanches de plaisir et j’arrive à glisser ma main sous mon ventre pour caresser la queue de mon beau-père.— Tu aimes ça autant que ta mère, ma petite salope !! Ta mère s’est toujours débrouillée pour venir nous voir et prendre sa correction avant de se faire baiser comme une chienne. C’était plus facile lorsque ton père travaillait car il était souvent en déplacement. Elle a passé de nombreuses nuits dans notre lit car elle aimait se sentir rabaissée par des gens qu’elle considérait, avant, comme de simples larbins. Depuis que ton père est à la retraite, elle s’est toujours débrouillée pour venir passer des journées avec nous et, encore aujourd’hui, elle me rend visite et fait tout ce que je lui demande comme une bonne soumise. Tu pourrais devenir ma soumise, Séverine, et remplacer Francine quand ta mère me rend visite. J’aimerais bien te voir soumettre ta propre mère !! Une autre claque résonne dans la cuisine en arrivant sur mes fesses.— Hummm... Neuf !! Je ne peux devenir votre soumise, j’ai déjà un maître, Roger !! Hummm... Mais combien j’aimerais soumettre ma mère avec vous !! Vous me faites mouiller comme une chienne avec vos histoires, Roger !!— Tu as déjà un maître ? Je le connais ? Ça m’étonnerait que ce soit mon fils car il faudrait qu’il soit un peu plus présent !! Pan, une claque bien plus forte tombe sur mes fesses.— Aïe !! Dix !! Hummm... Vous m’avez mis le derrière en feu, Roger !! Maintenant je peux vraiment dire que j’ai le feu au cul, au sens propre comme au figuré. Je n’aurais jamais cru que cela me plaise autant.— Ton maître ne te donne pas de corrections ? J’aimerais que tu me répondes, est-ce que je le connais ? Dit-il en écartant mes cuisses pour glisser deux doigts dans ma chatte. Ma petite grotte d’amour est tellement trempée que ses doigts coulissent sans problème.— Oui, vous le connaissez et, non, il ne me corrige pas !! Hummm... Vos doigts... Comme c’est bon !! Je fais exprès de ne pas lui révéler qui est mon maître, afin de jouer avec sa curiosité.— Dis-moi qui est ton maître, Séverine !!— Je ne sais pas si je le dois !! Humm... Ouiii... Vos doigts !! Mais, malheureusement, les doigts quittent ma petite chatte et une grande claque retentit sur mes fesses.— C’est... C’est Antoine, votre petit-fils !! Dis-je en comprenant qu’il n’est pas utile de lutter contre cet homme qui me tient à sa merci sur ses genoux.— Antoine !! Eh bien, tu en fais une belle petite salope en te tapant ton fils !! Il a bien de la chance de t’avoir tous les jours à sa disposition. Comment en êtes-vous arrivé là ? Me demande-t-il en repassant sa main entre mes cuisses pour me caresser la chatte.— Olivier n’est quasiment jamais à la maison. J’ai tenu très longtemps en tentant d’oublier mes besoins et mes envies mais ma libido m’a rattrapée, j’avais envie de sexe !! Je lui raconte alors l’épisode du viol sur commande et l’intervention d’Antoine que j’avais demandée dans le contrat. Je lui raconte ensuite comment il est devenu mon maître et les choses qu’il m’a fait faire depuis.— Si je comprends bien, tu es passée de la bonne mère de famille à une bonne salope qui ne pense qu’à baiser.— C’est à peu près ça mais je dois vous avouer que je ne regrette rien !!— Il va falloir que tu parles à Antoine, j’aimerais tant te baiser avec lui !! Le grand-père et son petit-fils qui baisent la bonne petite salope de maman, hummmm !! Mais pour le moment, tu vas me sucer la queue ma petite chienne, j’en ai trop envie !! Il me fait descendre de ses genoux et me fait mettre à genoux devant lui.
Il défait la ceinture de son pantalon et ouvre sa braguette en se levant de sa chaise. Fébrilement, des deux mains je baisse son pantalon et son slip. Sa queue apparaît juste au niveau de mon visage. Je sais maintenant de qui tiennent mon mari et mon fils. La bite de mon beau-père fait vingt bons centimètres mais elle est encore plus épaisse que celle de mes deux hommes. De ma main droite, je saisis la belle hampe et j’approche mes lèvres du gland qui se présente à moi. J’entame une fellation digne d’une pute même si j’ai un peu de mal à ouvrir assez grand la bouche pour recevoir ce joli présent. Roger me prend par les cheveux et, comme le fait mon fils, il pousse ma tête vers sa queue pour que je l’engloutisse au plus profond de ma bouche. Il se met à bouger les reins pour imprimer le rythme de la fellation. Il me baise littéralement la bouche et je m’applique à lui donner le maximum de plaisir.
— Vas-y ma petite traînée, suce-moi bien la queue !! Tu t’y prends aussi bien que ta chienne de mère !!
Il se laisse sucer encore quelques minutes puis il me tire par les cheveux pour que je cesse la fellation. Il me demande de m’allonger sur la table de la cuisine car il a envie de me bouffer la moule. Je me prépare à me déshabiller mais il m’arrête tout de suite en me disant :
— Non reste habillée, j’ai envie de te baiser comme une bonne petite pute !! Remonte juste ta jupe, je te promets que je vais te faire du bien !!— Comme vous voulez, Roger !! Cet après-midi, je suis à vous !! Lui dis-je en remontant ma jupe avant de poser mes fesses sur le bord de la table.
Je m’allonge et je pose mes talons sur le bord de la table en écartant largement les cuisses. J’ai l’impression de me retrouver sur la table d’examen du gynécologue et je sais que dans cette position j’offre à mon beau-père une vue imprenable sur ma chatte et mon petit cul fraîchement épilés. Avec avidité, il plonge son visage entre mes cuisses et sa langue prend possession de mon sexe. Le contact de sa langue sur mon clitoris m’électrise et je me mets très vite à gémir en lui prenant la tête des deux mains. Je n’ai pas besoin de le guider pour qu’il sache ce qui me fait du bien. Sa langue experte fait des merveilles sur ma vulve et mon clitoris et mes hanches se mettent à onduler au rythme de ses caresses buccales. Deux doigts entrent dans ma chatte dégoulinante de cyprine et très rapidement un troisième les rejoint avant de rapidement ressortir pour caresser mon petit trou du cul. Je ne sais plus où j’en suis et je me mets très vite à jouir en sentant ce doigt me pénétrer le cul. Roger me laisse quelques instants pour reprendre mes esprits mais il ne compte pas en rester là.
Je suis là, à sa merci, et il compte bien en profiter. Il saisit mes chevilles et les place sur ses épaules avant de planter son dard dans ma chatte. Il ne me laisse aucun répit et me lime la chatte sans ménagement.
— Hummm... Ouiii, Roger !! J’aime votre queue !! Prenez-moi fort !!— Je vais te défoncer, petite salope !! Tu vas prendre tout ce que j’ai rêvé de te mettre pendant toutes ces années.— Ouiii beau-papa, je veux être votre chienne, comme ma mère !! — Je vais aussi te la mettre dans le cul, comme je le fais avec ta salope de mère !!— Hummm... Ouiii... Je la veux aussi dans mon cul !!— Tu es vraiment une bonne salope comme je les aime !! Je vais te faire couiner comme personne ne l’a jamais fait !! Me dit-il en me limant la chatte avec une énergie que je n’aurais jamais imaginée. Malgré son âge, mon beau-père a une terrible endurance et sa queue me ravage la chatte comme je ne l’aurais jamais imaginé.— Oui, ouiii !! Défoncez votre petite salope de belle-fille !! Je suis à vous... Hummm... Votre queue... Ouiiii !!!— Eh bien, on n’a pas l’air de s’ennuyer ici !! Dit une voix près de nous.— Ah, bordel !! Vous auriez pu frapper avant d’entrer ! S’écrit Roger en se bloquant tout au fond de mon vagin.— Nous l’avons fait mais n’entendant aucune réponse, nous nous sommes inquiétés et nous sommes entrés. Nous avons entendu des bruits étranges dans la cuisine et nous voilà. Annonce, comme pour s’excuser, Gérard l’un des meilleurs amis de Roger.— J’avais oublié que vous deviez venir mais vous tombez bien ! Je ne vous présente pas Séverine, ma belle-fille, vous l’avez déjà rencontrée à maintes reprises !!— Certes, nous l’avons déjà rencontrée mais jamais dans cette tenue !! Lance Daniel, le second meilleur ami de mon beau-père. Ces deux hommes sont aussi d’anciens militaires, Gérard a 69 ans et Daniel 65, ils sont d’anciens camarades de régiment de mon beau-père et amis de très longue date.— Vous devriez vous joindre à nous, cette petite salope est chaude comme la braise !! Lance Roger en reprenant ses mouvements dans ma chatte. Il ne semble pas troublé par cette présence et continue à me limer le minou avec ardeur.— Tu ne nous avais jamais dit que tu t’envoyais ta belle-fille, petit cachottier !! Dit Daniel en riant et en s’approchant de moi pour me caresser un sein.— Pour tout vous dire, c’est la première fois que cette petite salope s’offre à moi et comme vous êtes là, je pense que ma belle-fille ne sera pas contre vous faire plaisir. Vous avez déjà goûté à la mère, pourquoi ne pas déguster la fille !! N’est-ce pas Séverine ?— Je ferai tout ce que vous voudrez, Roger !! Dis-je en approchant une main de l’entrejambe de Daniel. J’avais envie de me faire sauter par un homme qui pourrait être mon père et j’en ai trois pour le prix d’un, me dis-je avec une terrible envie de leur donner tout mon corps. De plus, il semble que ces trois vieux cochons ont donné ce même plaisir à ma mère. Je suis très excitée de me retrouver à la place de ma génitrice et je suis aux anges !!
Daniel se penche vers moi et me donne sa bouche tout en me triturant un téton. J’entrouvre les lèvres et laisse sa langue investir ma bouche. Nos langues se mêlent dans un baiser plein de fougue. De sa main libre, il déboutonne comme il le peut mon chemisier afin de libérer ma poitrine qui ne demande qu’à être exposée. Dès qu’il a terminé son œuvre, sa bouche descend sur mes seins et il commence à me lécher et à me mordiller les tétons. Cette douce sensation sur mes seins et l’action de la queue de mon beau-père dans ma chatte me font gémir de bonheur. Gérard n’a pas perdu de temps car il s’est déshabillé et il s’approche de la table en face de son ami Daniel. Il me saisit par les cheveux et me fait glisser vers le bord de la table pour approcher mon visage de sa queue. Ces vieux cochons me rendent folle, comment peuvent-ils être aussi avides de sexe à leur âge ? Je me laisse manipuler par ces trois hommes et j’y prends beaucoup de plaisir. J’ouvre la bouche et je laisse Gérard me l’envahir avec sa queue.
Il a une bite dans la norme mais terriblement raide. Après quelques va-et-vient dans ma bouche, il tire un peu plus sur mes cheveux pour que je l’avale plus profond. Son gland finit par passer ma glotte et il me prend la bouche en gorge profonde. J’ai un haut-le-cœur et Gérard se retire un peu pour me laisser souffler. Je sens une larme couler sur ma joue et je me mets à saliver en abondance. Je me sens avilie comme une pute prise par des soudards mais j’ai envie de leur donner tout ce qu’ils souhaitent. De moi-même, je reprends la fellation et je m’efforce à prendre cette queue jusqu’au fond de ma gorge. J’ai encore un petit haut-le-cœur mais mes lèvres finissent par venir toucher la basse du sexe de Gérard. Mes lèvres coulissent maintenant tout le long de la hampe et je peux prendre cette queue tout au fond de ma gorge. Cette queue dans ma gorge, les dents de Daniel qui me mordillent les seins et la queue de mon beau-père qui me démonte la chatte me propulsent dans un orgasme sans nom.
Je suis devenue leur chose, leur objet sexuel et j’en tire le plus grand plaisir. Roger vient de se retirer de ma chatte et, encore dans l’émotion de mon orgasme, je les sens me transporter vers la chambre du maître des lieux. Ils me posent sur le lit et me font mettre à quatre pattes, les fesses bien en l’air. Mon chemisier est grand ouvert et ma jupe toujours remontée sur mes hanches. Roger s’allonge près de moi et me demande de l’enjamber et de me planter sur sa queue. Dans un état second, j’obéis et je me laisse descendre sur sa grosse colonne de chair. Folle de désir, je me mets à remuer des hanches pour bien sentir cette grosse queue qui m’emplit le vagin. Mon beau-père attire mon visage vers le sien et me roule une grosse pelle avant de m’annoncer :
— Maintenant ma petite Séverine, nous allons te prendre par tous les trous comme la bonne petite chienne que tu es !!— Hummm... Ouiii !!! Prenez-moi, j’ai envie de sentir vos queues de vieux cochons me défoncer !!
Déjà des mains m’agrippent les hanches et je sens une queue se frotter contre mes fesses. Un doigt glisse sur ma rondelle et je sens qu’il est enduit de lubrifiant. Il tourne sur mon petit œillet et finit par s’y introduire sans difficulté. Daniel me saisit par les cheveux et me présente sa queue devant la bouche. Sa bite est longue mais assez fine et elle ne tarde pas à glisser en doux va-et-vient dans ma bouche. Derrière moi, Gérard présente son gland sur ma rondelle et, d’une seule poussée, il se retrouve tout au fond de mon cul m’arrachant un cri étouffé par la queue de Daniel qui m’envahit la bouche. Ces trois vieux cochons me prennent par tous les trous et, très rapidement, je me remets à jouir. Leurs queues font des ravages dans mes différents trous. Ils sont terriblement endurants et me font jouir à plusieurs reprises en changeant de place après chacun de mes orgasmes. Après deux heures à me faire labourer tous les orifices, ils me retournent sur le dos et se mettent autour de moi pour se branler.
— Maintenant on va se vider les couilles sur ton corps de petite pute, Séverine !! Annonce Roger en se branlant au niveau de ma bouche. Daniel s’est placé au niveau de mes seins alors que Gérard a pris place entre mes cuisses.— Hummm, ouiiii !! Donnez-moi toute votre semence, je suis votre petite pute qui aime le sperme !!
Ils s’activent tout autour de moi et c’est Daniel qui se vide le premier en longs jets sur mes seins. De mes doigts je récupère la semence, la porte à ma bouche et je déguste le précieux liquide blanchâtre en regardant mon beau-père d’un air pervers. Gérard se lâche entre mes cuisses et inonde de ses jets puissants mon intimité. De ma main droite j’attrape la queue de mon beau-père et je la dirige vers ma bouche pour qu’il se vide les couilles entre mes lèvres. Il ne tarde pas à jouir et j’avale son sperme qui se déverse à grand flot dans ma bouche. J’avale toute la semence de mon beau-père et je récupère le sperme qui coule entre mes cuisses pour l’avaler en regardant mes trois vieux amants comme une salope qui en redemande. Daniel et Gérard ne tardent pas à se rhabiller et m’embrassent à pleine bouche avant de quitter la pièce. Daniel me lance avant de quitter la chambre :
— La prochaine fois, viens avec ta mère !! J’aimerais pouvoir l’enculer pendant qu’elle te bouffe la chatte !!— Putain, ce serait trop bon de voir ces deux chiennes se bouffer le minou !! Ajoute Gérard avant de quitter la chambre.
Restée seule avec mon beau-père, ce dernier m’embrasse tendrement avant de me proposer de prendre une douche. J’accepte volontiers et je me retrouve seule dans la salle de bain sous la douche. Après m’être lavée, je rejoins Roger dans le salon, nous nous embrassons tendrement et il me fait promettre de revenir plus souvent. J’ai tellement aimé cette séance avec ces trois hommes qui pourraient tous être mon père que je lui promets de revenir très vite. Il est près de 17h30 et je prends congé de mon beau-père en posant un doux baiser sur ses lèvres. Je rentre très vite à la maison dans l’espoir d’arriver avant mon fils. Lorsque je passe la porte d’entrée je sens que je vais me retrouver en faute. La demeure est silencieuse mais je sais, d’instinct, que mon fils est là. Je ne lui ai pas dit où j’allais aujourd’hui et je redoute sa réaction. J’entre dans le salon et je le trouve assis sur le canapé. Il a sa mine des mauvais jours et me regarde entrer sans dire un mot. Son regard empli de reproches me fait baisser la tête et je m’approche de lui comme une petite fille prise en faute.
A suivre
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