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Mon fils, mon maitre

Chapitre 7

Baise avec mes parents

Inceste
Nous sommes vendredi et, ce matin, je me lève avec une appréhension qui me met la boule au ventre. C’est le grand jour et ce soir mon maître et moi allons recevoir mes parents et le prêtre qui baise avec eux. Antoine a bien essayé de me rassurer hier soir mais alors que je viens de me réveiller, je ne suis plus tout à fait aussi sûre de vouloir que cela se passe. Je descends en petite tenue dans la cuisine pour y prendre mon petit-déjeuner. Mon fils est déjà parti pour ses cours et Sarah m’accueille avec un grand sourire lorsque j’entre dans la pièce. Elle remarque l’air bizarre qui se lit sur mon visage et s’approche de moi pour m’embrasser tendrement.
— Ça n’a pas l’air d’aller Séverine !! me dit-elle après ce doux baiser.— Ce soir mes parents viennent avec le père Louis et cela m’angoisse.— Tu es angoissée par la venue de tes parents, c’est bien la première fois !! Me dit-elle sur un ton surpris.— Ce qui m’angoisse c’est que notre maître m’a montré une vidéo d’eux en train de baiser avec le prêtre et qu’il veut que nous nous occupions d’eux.— Tu veux dire sexuellement ? me demande-t-elle en glissant une main entre mes cuisses.— Oui !! Dis-je en poussant un soupir de désespoir.— Et cela ne te plaît pas ? me demande-t-elle en commençant à me caresser lentement la chatte.— Ce sont mes parents, je ne sais pas si j’aurais le courage !! Dis-je en écartant largement les cuisses pour faciliter l’accès à la main de ma bonne.— Je pense que s’ils baisent avec un prêtre, tes parents ne doivent pas avoir de réels tabous en ce domaine, contrairement à l’image qu’ils donnent d’eux. M’affirme-t-elle en glissant deux doigts dans ma vulve déjà trempée.— Hummm... tu as toujours les mots pour me rassurer !! Dis-je en lui tendant les lèvres.
Sarah m’embrasse avec fougue tout en me pistonnant la chatte de ses doigts. Je glisse ma main sous sa jupe et lui caresse les fesses tout en la laissant œuvrer entre mes cuisses. Ma bonne me fait vite oublier mes noires pensées et je ne tarde pas à jouir sur les trois doigts plantés dans mon vagin.
Cette petite séance avec Sarah m’a remise en forme et j’aborde la journée sous un autre angle. Je me sens plus légère et je ne pense qu’à préparer la venue de mes parents et du père Louis. Après m’être douchée et habillée, je file au marché pour acheter tout ce dont j’aurai besoin pour le repas du soir. Dès mon retour, je mets Sarah à contribution pour préparer le menu et je lui donne tous mes ordres pour qu’elle prépare la maison comme je le souhaite. Elle s’exécute avec entrain tout en me gratifiant de quelques caresses lorsqu’elle sent ma motivation baisser. Grâce à ses encouragements, petit à petit, j’imagine un scénario pour la soirée mais je me rends compte que je vais avoir besoin de l’aide de Sarah. En plein après-midi alors qu’elle s’active pour préparer le dîner, je lui demande en lui posant une main sur les fesses :— Sarah, serais-tu d’accord pour rester après le dîner ? Je pense que j’aurai besoin de ton aide et de ton soutien !!— Je me demandais à quel moment tu allais me le demander Séverine !! Me répond-elle avec un grand sourire.— Tu es d’accord ?— Bien sûr, ma chérie !! Je ferai tout ce que tu veux après le service, j’ai tellement envie de te voir baiser avec tes parents !! Me répond-elle avec enthousiasme.— Tu feras tout ce que je te demande ? lui dis-je en posant un baiser sur ses douces lèvres.— Bien sûr, ma chérie !! Puisque c’est ce que notre maître veut !!— Je t’aime plus que tout, ma belle !! Je vais devoir aller me préparer pour la soirée !! Lui dis-je avant de l’embrasser avec fougue.
Lorsque je sors de la salle de bain, je retrouve Antoine qui m’attend assis sur mon lit. Je m’approche de lui et je lui tends les lèvres qu’il prend avec envie. Il m’embrasse avec fougue et caresse mes fesses à peine dissimulée par la serviette que je porte nouée au-dessus de mes seins. Il m’attire à lui et me fait asseoir à cheval sur ses cuisses. Ma chatte se cale sur son entrejambe et je sens clairement son érection naissante entre mes cuisses.

— Alors, maman !! Tu es prête ? me demande-t-il en me tirant par les cheveux pour mettre fin à notre baiser.— Hummm... je crois bien que oui... mais il va falloir que je m’habille, mon chéri !! Lui réponds-je avec un petit sourire pervers.— Tu serais pourtant parfaite, à poil... ma très chère mère !! Me répond-il avec le même sourire vicieux.— Je vous en prie, mon fils !! Il faut un minimum de bienséance, tout de même !! Lui dis-je avec un sourire coquin.— Comme vous le souhaiterez, ma très chère mère !! Cette soirée est la vôtre et je me plierai à vos exigences !! Me dit-il en me prenant par les fesses pour rapprocher mon sexe du sien.— C’est parfait !! Alors laissez-moi me préparer et cessez de me rapprocher de votre queue si attirante !! Lui dis-je avant de lui plonger ma langue dans la bouche pour le faire taire.
Après ce profond baiser, Antoine quitte ma chambre avec la satisfaction de m’avoir bien excitée. Ce petit salaud sait y faire et il sait très bien que cette petite séance m’a mise en ébullition. Ma chatte est déjà tout humide et la perspective de la soirée qui nous attend n’arrange rien. Je vais avoir nos trois invités à ma merci et maintenant, malgré tous mes doutes de la journée, je suis excitée à l’idée de pouvoir les dominer. J’ai surtout très envie de m’occuper de ma mère depuis que Roger m’a appris qu’elle aimait se soumettre. En l’imaginant entre les mains de mon beau-père ma main est descendue entre mes cuisses et je me caresse doucement le clitoris. Je ne rêve plus de me soumettre à mes parents comme je l’avais évoqué avec Antoine lorsqu’il m’a montré la vidéo mais je souhaite bel et bien me servir d’eux pour mon propre plaisir. Je dois me préparer et ma main quitte à regret mon entrejambe. Il faut que je me choisisse une tenue et je décide de porter le genre de tailleur que mes parents m’ont toujours vu porter. Je ne souhaite pas éveiller leurs soupçons sur une quelconque tenue qui pourrait leur mettre la puce à l’oreille. J’opte donc pour un tailleur bleu ciel dont la jupe m’arrive juste au-dessus du genou. La petite veste cintrée de mon tailleur recouvrira un sage chemisier blanc mais je vais prendre soin d’ouvrir suffisamment de boutons pour que l’on puisse deviner ma poitrine. Je choisis enfin une paire de bas perlés aux reflets bleus que je fixe à un porte-jarretelles blanc à dentelle bleu. Mes escarpins à hauts talons, du même ton que mon tailleur, complètent merveilleusement ma tenue. Je repasse par la salle de bain pour appliquer un subtil maquillage sur mon visage qui me donne un air de femme respectable. Je décide enfin de coiffer mes cheveux en chignon, ce qui me donne un air plus sévère. Il va bientôt être 18H30 et je me décide enfin à redescendre au rez-de-chaussée pour aller me présenter devant mon fils. Je le retrouve en train de donner un coup de main à Sarah dans la cuisine. En me voyant arriver, Antoine me regarde de la tête aux pieds et approuve ma tenue d’un signe de tête. Mais lorsque je passe à sa portée, il ne peut s’empêcher de glisser sa main sur mes fesses pour vérifier si je porte un quelconque sous-vêtement.
— Si tu veux tout savoir, je n’ai rien mis dessous !! Lui dis-je avec un sourire aguicheur.— Je l’espérais bien ainsi !! Me répond-il en me donnant une petite claque sur les fesses.— Normale, vue de l’extérieur mais salope en dessous !! Je vous rappelle que nous avons signé un contrat, mon très cher fils !! Lui dis-je en lui rendant sa petite claque sur les fesses.— Et je constate avec plaisir que vous le respectez, ma très chère mère.— Et Sarah, le respecte-t-elle ? Dis-je en prenant la main de mon fils pour la glisser sous la courte jupe de ma bonne.— Il semble que oui !! Cette petite cochonne a les fesses à l’air sous sa jupe !! Répond Antoine en lui caressant son joli petit derrière.— Bien, je vois que tout le monde est prêt, il ne nous manque plus que nos invités !! Dis-je en les regardant d’un air coquin.
J’ai à peine prononcé ces quelques mots que la sonnerie de la porte retentit. Je demande à Sarah d’aller ouvrir et de diriger nos invités vers le salon où nous les attendrons avec mon fils. Je file dans le salon, suivie d’Antoine. Pour me donner de la contenance, je m’assois dans un fauteuil et mon fils se place juste derrière moi. C’est ma mère qui entre la première dans la pièce. A 67 ans, elle est encore une très jolie femme. Elle est un peu plus petite que moi et doit mesurer dans les 1m65. Elle a toujours fait attention à son corps qui est resté svelte malgré ses trois grossesses. Ses cheveux bruns teintés depuis plusieurs années, encadrent son fin visage par une coupe au carré que je lui ai toujours connu. Elle porte une robe rouge qui souligne discrètement les lignes de son corps. Elle s’approche de moi avec un grand sourire en faisant claquer ses hauts talons noirs sur le carrelage du salon. Je me lève pour l’accueillir et nous nous faisons la bise comme à chaque fois que nous nous voyons. Elle est suivie de près par mon père. Le temps ne semble pas avoir de prise sur lui et on pourrait facilement lui donner dix ans de moins lorsque l’on sait qu’il vient de fêter ses 70 ans. Bien plus grand que ma mère, il mesure 1m85 et peut se vanter d’avoir encore un corps athlétique. Il a les cheveux poivre et sel coupés courts et son regard bleu clair ne manque jamais de pénétrer ceux qu’il regarde. Tout souriant, il s’approche de moi pour m’embrasser. Enfin, le père Louis se présente devant moi et me donne une poignée de main chaleureuse en me présentant ses hommages. Maintenant que je sais ce qu’il fait avec mes parents, je le regarde d’une manière différente. Il doit avoir à peu près mon âge mais ses traits fins pourraient facilement m’induire en erreur. Il mesure dans les 1m90 et sa forte carrure m’impressionne. Il porte un costume noir avec le petit col blanc qui caractérise les prêtres catholiques. Au contact de sa main, je me surprends à imaginer sa queue que je n’ai que partiellement aperçue dans la vidéo. Il ressent mon trouble et me demande :
— Quelque chose ne va pas, ma chère enfant ?— Veuillez m’excuser, mon père, je pensais à autre chose. Installez-vous tous, Sarah va venir nous servir un petit apéritif.
Nous prenons un rafraîchissement dans le salon et nous ne tardons pas à passer à table. Pendant le repas, les conversations vont bon train et Antoine veille à ce que les verres de nos invités soient toujours bien remplis. A plusieurs reprises je constate que les regards du père Louis et de mon père se focalisent sur le cul de Sarah. Il faut dire qu’elle ne les a pas vraiment épargnés en servant l’apéritif. Elle s’est arrangée pour leur tourner le dos en posant les boissons sur la table basse et sa courte jupe est remontée jusqu’à la lisière de ses bas. Dès qu’elle passe dans leur champ de vision, je les surveille du coin de l’œil et ils ne peuvent détacher leur regard de ses fesses. Sarah m’aide bien dans mon projet et je lui adresse un sourire de satisfaction. Au moment de passer au dessert, je demande à tout le monde de passer dans le salon. Sarah vient nous servir et, comme pour l’apéritif, elle en profite pour montrer ses charmes au père Louis et à mon père. Les deux hommes qui sont assis dans le canapé ne la lâchent pas du regard et je devine une bosse se former dans leurs pantalons. Ma mère est assise dans le fauteuil près du mien et, comme elle a un peu bu, ne prête pas attention au petit jeu de séduction de ma bonne. Alors que tout le monde déguste le gâteau en trempant les lèvres dans une coupe de champagne, j’en profite pour tendre à Antoine le CD qu’il a préparé pour cette occasion.
— Tiens mon chéri, j’aimerais que tu nous passes ce petit film afin d’animer un peu notre soirée ! Lui dis-je avec un grand sourire.— Vos désirs sont des ordres ma très chère mère !! me répond-il en me rendant mon sourire.
Dès les premières images, je lis de la stupeur sur le visage de nos trois invités. Ils se sont reconnus sur la vidéo et se regardent d’un air gêné. C’est mon père, le premier, qui rompt le silence.
— Comment as-tu eu ces images, Séverine ?— Peu importe comment je les ai eus !! La question est de savoir ce que je vais en faire, papa !!— Et que comptes-tu en faire, ma fille ? Me demande-t-il, soudainement anxieux.— Tout dépend de vous trois !! Si vous faites tout ce que je vous demande, ces images ne quitteront pas cette demeure. Dans le cas contraire, j’ai prévu d’en envoyer une copie à l’évêché. Pensez-vous que l’évêque sera ravi de voir l’un de ses prêtres en pleine action avec vous ?— C’est infâme ce que tu nous fais là, Sève !! Crie ma mère en se levant de son fauteuil.— Toi, tu vas commencer par te rasseoir et réfléchir à ce que je viens de dire. Je ne veux plus t’entendre, à moins que je ne t’invite à parler. Dis-je à ma mère sur un ton sévère qui ne supporte pas la répartie.— Et qu’attends-tu de nous ? Me demande mon père en regardant ma mère reprendre place dans son fauteuil sans dire un mot.— Vous m’avez toujours prise pour une sainte-nitouche et je vous en veux de m’avoir élevée dans ce carcan de bienséance et de respect de la religion. Il y a peu, je me suis révélée et mon fils m’y a bien aidée. Je souhaite vous montrer ce soir à quel point je me suis libérée. Je veux que vous exécutiez à la lettre tout ce que je vous demande sans vous poser de question.— Si c’est ce que tu veux, nous ferons cela, ma fille. Mais par pitié, n’envoie pas ces images !!— Je n’en ferai rien si vous faites ce que je vous dis. Pour le moment, je ne veux pas vous voir bouger. Antoine va vous montrer à quel point ma vie a changé depuis quelques semaines. Allez mon chéri, viens t’occuper de maman. J’ai envie que tu me manges les seins et que tu me caresses la chatte.
Sans dire un mot, mon fils s’approche de moi et se penche sur moi pour me tendre ses lèvres. Je lui offre ma bouche et il m’embrasse tendrement alors que sa main ouvre la veste de mon tailleur. Il fait ensuite sauter un à un les boutons de mon chemisier afin d’exposer ma poitrine à la vue de tous. Mes seins enfin libérés, il met fin à notre baiser et laisse descendre sa bouche sur ma poitrine. Il me lèche alternativement les deux seins alors que sa main se glisse entre mes cuisses. J’écarte largement les jambes afin de lui faciliter le passage et il en profite pour remonter ma jupe au plus haut. Je sais que les deux hommes assis en face de moi ont une vue imprenable sur ma chatte fraîchement épilée. Les yeux mi-clos, je commence doucement à gémir en observant mon père et le père Louis. Le spectacle ne les laisse pas indifférent et je constate qu’une grosse bosse se forme dans leurs pantalons. Antoine me mordille les seins alors qu’il vient de me glisser un doigt dans la chatte. Mes gémissements s’amplifient et j’encourage Antoine à bien s’occuper de moi.
— Humm, oui mon chéri !! Fais du bien à maman !! Enfonce tes doigts dans ma chatte !!— Sève, tu n’es vraiment pas bien !! Tu te rends compte que tu te fais caresser par ton propre fils devant nous !! S’écrie ma mère.— Tu te fais bien sauter par un prêtre !! Et il me semblait t’avoir dit de la fermer !! Dis-je sur un ton sévère à l’encontre de ma génitrice.— Tu... tu n’as pas le droit de me parler comme ça, Sève !!— Je te parle comme je veux !! Arrête-toi mon chéri, je crois que je vais devoir apprendre les bonnes manières à cette dame !! Dis-je en m’adressant à mon fils.— Mais... mais !! Bredouille ma mère.— Approche !! Dis-je à ma mère sur un ton impérieux.— Il en est hors de question !! Me répond-elle en prenant un air effronté.— Très bien, je sais ce qu’il me reste à faire !! Dis-je en rabaissant ma jupe et en commençant à rajuster mon chemisier.— Hélène, tu ferais mieux de faire ce que ta fille te dit !! Intervient mon père. Je n’ai aucune envie que cette vidéo sorte de cette maison et encore moins pour qu’elle atterrisse à l’évêché. Je pense que le père Louis sera d’accord avec moi.— Je pense qu’Edouard a raison, Hélène !! Intervient le prêtre.— Très bien !! Dit ma mère sur un ton résigné en se levant pour venir se présenter devant moi.— Remonte ta robe !! Lui dis-je en la regardant droit dans les yeux.— Non, Sève !! Je t’en prie, pas ça !! me dit-elle sur un ton désespéré.— Il n’y a plus de Sève, maintenant ce sera Maîtresse !! Allez, remonte ta robe vieille salope. Dis-je sur un ton qui ne supporte pas le refus.— Oui ! Me répond-elle doucement en baissant la tête avant de laisser glisser ses mains vers le bas de sa robe.— Oui, qui ?— Oui, maîtresse !! Me répond-elle alors qu’elle dévoile son intimité en remontant sa robe sur son ventre. Je découvre qu’elle porte des bas clips et qu’aucun sous-vêtement ne recouvre sa chatte entièrement épilée.— Dis-moi, tu t’étais préparée pour la fin de soirée à ce que je vois. Tu étais sûrement pressée de rentrer à la maison pour te faire sauter !! Dis-je en l’attirant à moi.
Je lui ordonne de s’allonger en travers de mes cuisses et je vois dans son regard qu’elle sait ce qui l’attend. C’est à ce moment que Sarah fait son apparition dans le salon et je lui demande de s’occuper de mon père et du prêtre. Alors que je donne une première claque sur les fesses de ma mère, Sarah se place entre les deux hommes sur le canapé. Elle saisit la main droite de mon père et la dirige entre ses cuisses, de son autre main elle attrape la main gauche du père Louis et la pose sur sa poitrine. Tout en me regardant, les deux hommes se mettent à caresser ma bonne qui ne demande que ça. Ma main s’abat sur les fesses de ma mère sans douceur et elle pousse un cri de surprise. Ma main claque encore deux fois son cul sans ménagement et la peau de ses fesses commence à rosir.
— Je vais t’apprendre à me désobéir, espèce de suceuse de curé ! Je vais te faire rougir le cul comme tu le faisais avec moi quand j’étais enfant !!— Non, je t’en prie Sève !! Pour l’amour de Dieu, arrête s’il te plaît ! Me répond-elle dans un gémissement plaintif.— Je crois t’avoir demandé de ne plus m’appeler ainsi ! Dis-je en lui claquant de plus belle les fesses.— Ah, non maîtresse !! je vous implore d’arrêter !! Aie... non !!— Je vais te faire chauffer le cul, espèce de vieille salope baiseuse de prêtre !! Et ma main s’abat sans ménagement sur son cul. Malgré ses protestations, ma mère se trémousse sur mes cuisses et ses fesses vont à la rencontre de ma main.— Hummm, je vous en prie... non !! Me dit-elle en écartant de plus en plus ses cuisses. Sa voix a changé et je sens l’excitation monter en elle. Après une nouvelle claque, ma main descend entre ses cuisses et mes doigts rencontre l’humidité de sa chatte. Je fais mouiller ma mère en lui donnant la fessée et cela m’excite.— Tu as ce que tu mérites, espèce de chienne en chaleur !! Et je lui claque encore trois fois le cul.— Non... non !! Aïe, ça fait mal... non !!— Antoine, mets-lui ta queue dans la bouche !! Je ne veux plus l’entendre se plaindre !! Dis-je à mon fils qui avait commencé à se branler en regardant Sarah s’occuper de nos deux invités. Deux nouvelles claques s’abattent sur le cul déjà bien rouge de ma mère.— Non, je vous en prie !! Pas ça, pas mon petit-fils !! Lance ma mère alors que sa voix exprime une certaine excitation.— Allez suce moi bien la queue ma vieille cochonne !! Lui intime Antoine en lui présentant sa queue devant la bouche et en la tirant par les cheveux pour la forcer à le sucer.— Tu n’as qu’à fermer les yeux et penser que Francine te donne la fessée et que tu gobes la grosse queue de Roger !! Lui dis-je à l’oreille après m’être penchée sur elle. Et les coups sur ses fesses redoublent mais avec moins de vigueur.
Elle ferme les yeux, pose sa main gauche sur la bite de son petit-fils et ouvre la bouche pour entamer sa fellation. Je continue à lui claquer les fesses lorsque, soudain, je sens sa main droite se glisser entre son ventre et mes cuisses. Ses plaintes étouffées par la queue de mon fils dans sa bouche ne tardent pas à se transformer en gémissements. Cette vieille cochonne est en train de se caresser alors que je lui frappe le cul et que mon fils lui baise la bouche. Ma main gauche glisse sur sa poitrine et je lui pince un téton dressé par l’excitation lui arrachant un profond gémissement. Dans le même temps ma main droite qui lui donnait jusque-là la fessée descend entre ses cuisses. Je sens ses doigts s’activer sur son clitoris et la mouille suinter des lèvres de sa chatte. Je lui plonge un doigt dans le con et je le fais coulisser dans son vagin chaud et humide. Elle se met à onduler du bassin en sentant mon doigt lui fouiller la chatte.De son côté, Sarah s’active pour donner du plaisir à mon père et au curé. Elle a extrait les deux queues de leurs pantalons et elle les branle alors que le père Louis lui lèche les seins et que mon père lui pistonne la chatte de ses doigts. Elle gémit sous les caresses des deux hommes et regarde avec envie la grosse queue du prêtre sénégalais qui mesure 25 bons centimètres et que sa petite main arrive tout juste à enserrer. Sarah se libère des doigts de mon père et se met à genoux sur le tapis du salon devant le prêtre avant de prendre son énorme matraque en bouche. Je regarde mon père dans les yeux et je lui dis :
— Vas-y papa, baise-la, elle ne demande que ça !!
Mon père ne se le fait pas dire deux fois. Il se place derrière elle, remonte sa courte jupe sur ses hanches et lui plante sa queue d’un seul coup dans la chatte, lui arrachant un profond soupir. La queue de mon père qui mesure une quinzaine de centimètres mais qui est très épaisse semble la combler de bonheur. Sarah se met à remuer des hanches tout en suçant avec passion la grosse queue du père Louis. Ma mère a rouvert les yeux et se délecte de la grosse bite de son petit-fils. Elle pousse un gémissement en sentant un deuxième doigt entrer dans sa chatte et ses hanches ondulent au rythme de mes doigts. Cette vieille cochonne aime se faire doigter et me le prouve en posant ses doigts sur les miens afin de m’inciter à lui en donner plus. Je sens sa vulve sens sa vulve s’élargir et j’y glisse sans difficulté un troisième doigt. Les gémissements de ma mère sont de plus en plus perceptibles et elle lâche un instant la queue de son petit-fils pour m’encourager à aller plus loin.
— Hummm... oui maîtresse, donnez-moi vos doigts !!— Tu aimes ça ma petite chienne soumise !! Lui dis-je en enfonçant un quatrième doigt dans sa chatte.— Hummm... hummm... Encore !! Implore-t-elle avant de reprendre la queue d’Antoine en bouche.
Elle remue des hanches et ses doigts poussent encore les miens vers sa chatte. Elle resserre mon pouce vers mes autres doigts et je sens sa vulve s’élargir encore plus. Ma mère est encore plus salope que je ne l’imaginais. Elle m’encourage à entrer ma main dans sa chatte et, manifestement, ce n’est pas la première fois qu’elle pratique le fisting. Sous la pression de la main de ma mère, mon pouce a rejoint mes quatre autres doigts. Elle mouille tellement que mes doigts glissent librement dans sa chatte. Elle pousse ses hanches en arrière pour aller à la rencontre de ma main que je vois soudain disparaître en elle. Elle lâche la queue d’Antoine et pousse un long râle de bonheur. Ma main a été comme aspirée par sa vulve béante et je ne vois plus que mon fin poignet émerger de sa chatte. Je suis effarée par ce que je suis en train de vivre. Je savais que de telles pratiques existaient mais j’étais loin de me douter que ma génitrice puisse en être une adepte. Elle semble apprécier avoir la vulve remplie par une main qui dépasse de loin la taille des plus grosses bites que j’ai pu voir ces derniers temps. Elle remue des hanches et se baise elle-même avec ma main. Elle part dans un violent orgasme et je sens les muscles de sa chatte convulser autour de ma main. Ma mère a lâché la queue d’Antoine et se détend lentement sur mes cuisses tout en poussant des gémissements de bien-être. Je ressors ma main de sa chatte et la laisse reprendre son souffle tranquillement en observant le trio face à moi. Sarah vient de se détacher de mon père et elle place ses genoux de part et d’autre des jambes du père Louis sur le canapé. Elle s’accroche à ses épaules et se laisse doucement descendre sur le pieu de notre curé. Je vois l’énorme chibre lui écarteler les chaires et disparaître lentement dans sa chatte. Lorsque ses fesses viennent se poser sur les cuisses du père Louis, elle se lance dans une lente chevauchée en gémissant de plaisir. Mon père prend le temps de se déshabiller, se place derrière elle et des deux mains lui écarte les fesses. Il approche son visage de son cul et commence à lui lécher la rosette. De sa salive, il lui lubrifie l’anus et finit par y plonger un doigt. Son doigt tourne dans son petit cul et je vois la rosette se détendre et s’élargir d’excitation.
— Je vais te prendre le cul, petite salope !! Annonce mon père à Sarah en retirant son doigt avant de présenter son gland sur le petit œillet qui palpite d’excitation.— Hummm oui, Monsieur !! Donnez-moi votre grosse queue !! Lui répond-elle en tournant la tête pour le regarder.
Des deux mains, il lui écarte les fesses et s’enfonce lentement dans ce petit cul offert et consentant. En quelques secondes, la queue de mon père se retrouve plantée tout au fond du rectum de ma bonne, lui arrachant de profonds soupirs. Sarah se fait besogner par deux grosses queues et crie son plaisir.
Ma mère a repris ses esprits et je lui demande de se remettre debout. A mon tour, je me lève et j’entreprends de lui retirer sa robe. Je fais glisser les fines bretelles sur ses épaules et je tire le haut de sa robe vers le bas. Le vêtement ne tarde pas à tomber à ses pieds et je découvre qu’elle est entièrement nue sous sa robe. Mes mains se posent sur ses seins qui sont, malgré son âge, relativement fermes et galbés. Je penche mon visage vers le sien et mes lèvres viennent se poser sur les siennes. Elle entrouvre les lèvres et ma langue prend possession de sa bouche. Nos langues se mêlent dans un doux baiser et je lui pince les tétons lui arrachant un gémissement entre douleur et plaisir. Antoine s’est placé derrière sa grand-mère et lui caresse les fesses en l’embrassant dans le cou. Ma mère pose la main dans les cheveux de son petit-fils et se laisse aller à nos caresses.
— Tu avais vraiment prévu de te faire baiser ce soir, vieille cochonne !! Lui dis-je en interrompant notre baiser.— Le père Louis devait me préparer à l’arrière de la voiture sur le retour, maîtresse !— C’est évidemment plus facile quand on est à poil sous sa robe, comme une bonne pute !!— Oui maîtresse !! Me répond-elle en posant ses mains sur les boutons de ma veste de tailleur.— Déshabille ta maîtresse, espèce de chienne vicieuse !!
Ma mère retire ma veste et la jette négligemment sur le tapis du salon. Elle écarte les pans de mon chemisier et dévoile rapidement mes seins aux tétons dressés par l’excitation. Elle ouvre les boutons de mes poignets et retire mon chemisier qui va rejoindre la veste au sol.
— Maintenant, tu vas me lécher les seins et me retirer ma jupe !! Lui dis-je en la saisissant par les cheveux.— Oui, maîtresse !!
La langue de ma mère tourne agréablement sur mon téton droit alors qu’elle ouvre le zip de ma jupe pour la faire tomber à mes pieds. Je la laisse un instant me lécher les seins avant de pousser sa tête vers le bas de mon corps. Elle comprend ce que je désire et se met à genoux pour poser sa langue sur ma chatte épilée. Je pose mes fesses sur le bord du fauteuil et je me laisse aller sur le dossier en écartant largement les jambes offrant ainsi ma chatte et mon cul à ma mère. Elle approche son visage de ma chatte et commence à me lécher le clitoris de la pointe de la langue.
— Vas-y, bouffe-moi bien la chatte ma vieille salope de mère !! Lui dis-je en la reprenant par les cheveux pour coller sa bouche sur ma chatte.— Oui, maîtresse !! Me répond-elle avant de plaquer les lèvres de sa bouche sur les lèvres de ma chatte.— Je veux que tu me prépares mes trous de chienne en chaleur avant que je me fasse baiser par mon père et le curé.
Elle commence à me lécher la chatte de la façon la plus délectable qui soit. Elle sait y faire et m’arrache très vite des gémissements de plaisir. Sa langue fouille mon vagin avant de remonter vers mon clitoris puis redescend vers ma chatte après avoir virevolté sur mon clitoris. Tout dans sa façon de faire montre que ma mère a l’habitude de donner du plaisir à une femme. Je veux qu’elle en fasse plus et je remonte mes jambes vers ma poitrine pour lui présenter mon cul. Elle n’a aucune hésitation et sa langue vient se poser sur mon petit œillet. Antoine vient de se placer derrière sa grand-mère et la prend en levrette sans ménagement. Il s’agrippe à ses hanches et lui gifle régulièrement les fesses lui arrachant des gémissements de plaisir. Hélène vient de me glisser un doigt dans le cul et me dévore la chatte et le clitoris.
— Hummm... c’est bon ta langue !! Tu es une sacrée brouteuse de minou ma salope de mère !! Hummm... mets-moi un deuxième doigt... hummm !!— Putain, cette vieille pute aime se faire défoncer la chatte !! Elle a le con en feu !! Je vais voir si elle aime se faire enculer cette chienne en chaleur !! Me dit Antoine en sortant sa queue de sa chatte pour poser son gland sur la rondelle de ma mère.— Hummm... oui, défonce-moi le cul espèce de petit salaud lubrique !! Crie ma mère avant de se remettre à me bouffer la chatte en me limant le cul de ses deux doigts.
Je vois la queue de mon fils disparaître lentement dans le cul de ma mère qui se déchaîne entre mes cuisses. Cette salope a bien caché son jeu pendant toutes ces années en me laissant penser qu’elle était une grenouille de bénitier. En fait, je me rends compte qu’elle ne recule devant aucune pratique sexuelle et que sa ferveur religieuse n’est qu’une façade qui cache en réalité une femme assoiffée de sexe. Elle se laisse docilement enculer par son petit-fils en broutant la chatte de sa propre fille et cela semble la combler de bonheur. Elle se met à dire des choses que je n’aurais jamais cru entendre sortir de sa bouche.
— Oui, vas-y petit salaud !! Défonce-moi le cul !! Prends-moi comme une pute !! Hummm... j’aime ta grosse bite dans mon cul !! Hummm... ouiiii !!— Oui ma petite pute, il va te faire jouir du cul !! Il sait y faire mon amour de fils !! Dis-je à ma mère en lançant un regard vers le trio qui s’active sur le canapé.
Sarah se fait limer sans ménagement par les deux hommes. Le père Louis lui a ouvert son chemisier et il lui mange les seins. Elle crie de plus en plus fort et je sais qu’elle ne va pas tarder à jouir. Mon père lui lime le cul de plus en plus vite alors qu’elle reste plantée sur l’énorme braquemart du curé. Ma bonne part dans un violent orgasme alors que les deux hommes se vident les couilles dans ses orifices et ma mère répond en écho en jouissant sur la queue de son petit-fils. Ces deux salopes viennent de jouir en même temps et j’ai envie de me faire défoncer à mon tour. Je tire sur les cheveux de ma mère pour qu’elle cesse de me manger la chatte et je lui demande de retirer ses doigts de mon cul.
— Maintenant je vais me faire baiser et toi, ma soumise, tu vas nettoyer la chatte et le cul de ma bonne !! Dis-je à ma mère en me levant du fauteuil.— Oui maîtresse ! Me dit-elle encore secouée par la jouissance que vient de lui procurer Antoine.
Je me déplace vers le canapé et je demande à Sarah d’aller prendre ma place sur le fauteuil. Mon père se retire de son cul et se place à côté du prêtre sur le canapé. Ma bonne se soulève lentement et l’énorme pieu du prêtre sort de sa chatte. Des filets de sperme coule de ses orifices tant les deux hommes ont joui en elle. Sarah va prendre ma place sur le fauteuil et ma mère se met en devoir de lui nettoyer la chatte et le cul avec sa langue. Cette vieille salope aime autant le sperme que moi. Antoine qui vient de se retirer du cul de sa grand-mère sans avoir joui se place près de Sarah et lui donne son chibre à sucer. Elle enserre la grosse queue d’une main et ouvre la bouche pour lui pomper le nœud. Je m’approche du père Louis qui est encore à moitié habillé et j’entreprends de lui retirer ses vêtements. Je commence par son pantalon et son boxer qu’il a descendu sur ses genoux avant de commencer lentement à ouvrir sa chemise à col blanc de prêtre. Une fois la chemise ouverte, je commence à lui lécher le torse tout en posant une main sur la queue de mon père. Les deux hommes ont commencé à débander et je vais devoir les remettre en forme pour me faire baiser. Je commence à branler lentement mon père alors que ma langue descend lentement sur le ventre du curé qui vient de me poser une main sur la tête pour la pousser vers sa queue. Je me mets à genoux sur le tapis entre les deux hommes au moment où mes lèvres entrent en contact avec le gland du prêtre. Je pose mon autre main sur sa queue aux dimensions impressionnantes et j’ouvre la bouche pour le sucer. Je le suce avec peine pendant quelques minutes tout en branlant la queue de mon père. Lorsque je sens que la queue du prêtre commence à durcir je continue à le branler et je prends la queue de mon père en bouche. Il pousse un gémissement et sa queue se remet très vite à durcir. Il a enfin ce dont il rêvait depuis mon adolescence. Il va pouvoir enfin baiser sa fille et cela semble beaucoup l’exciter. Ma bouche passe d’une queue à l’autre et mon acharnement finit par payer: ils bandent de nouveau. Je me place à califourchon au-dessus des jambes de mon père car je veux le regarder droit dans les yeux lorsque sa queue va enfin s’enfoncer dans ma chatte. De ma main droite, j’attrape sa bite et la dirige vers l’entrée de ma chatte trempée d’excitation. Je laisse lentement descendre mon bassin et je sens son épaisse queue m’écarteler les chaires. Nos regards ne se quittent pas et je lis dans ses yeux le bonheur qu’il éprouve d’enfin pouvoir baiser sa fille. Lorsque sa queue est tout entière en moi, je me mets lentement à remuer des hanches tout en le regardant dans les yeux.
— Alors, papa !! Ça te fait quoi de baiser ta fille ?— Hummm... c’est bon !! Depuis le temps que j’en rêvais !!— Ah bon !! Fais-je innocemment. Depuis quand ?— Depuis tes seize ans, ma fille, mais je n’ai jamais osé franchir le pas ! M’avoue-t-il.— J’espère que tu aimes ce que je t’offre car j’aime bien ta queue dans ma chatte !! Lui dis-je avant de me pencher vers lui pour lui offrir ma bouche.
Mon père ouvre la bouche et nos langues ne tardent pas à se mêler dans un baiser plein de fougue. Il place ses mains sur mes fesses et les écarte pour dévoiler ma petite rosette. Le père Louis en profite pour passer derrière moi et se met à darder sa langue dans mon petit trou du cul. Cette caresse me fait frémir et je lâche un gémissement dans la bouche de mon père. Il cesse de m’embrasser pour s’adresser au prêtre.
— Vas-y Louis, je pense que ma petite salope de fille aime bien se faire lécher le cul.— Hummm... oui et j’adore sentir une grosse queue dans mon cul !! Dis-je en regardant le prêtre avec un regard lubrique.— Elle a l’air d’aimer autant se faire baiser que sa sœur, Edouard !! Tes deux filles sont vraiment de vraies chiennes en chaleur, sans parler de ta femme !!— Vous baisez avec Elodie ? Dis en regardant mon père d’un air faussement indigné.— Nous avons fait avec elle ce que nous n’avons jamais osé faire avec toi, Séverine. Dès qu’elle a été adolescente, ta mère lui a appris les choses du sexe et l’a très vite attirée dans notre lit. Je lui ai très vite pris son pucelage avec l’aide de ta mère. Elodie était très réceptive et s’est très vite laissé entraîner dans nos jeux pervers. Elle a pendant longtemps été le jouet sexuel de nos soirées entre amis et elle a très vite pris goût à nos jeux les plus pervers.— Hummm... comme j’aurais aimé être à sa place !! Dis-je en bougeant de plus en plus vite sur sa queue.— Nous ne pourrons pas rattraper le temps perdu mais je vais te baiser comme j’en ai souvent rêvé. Vas-y Louis, prends-lui le cul à ma petite salope de fille !! Dit-il en écartant encore plus mes fesses des deux mains.
Le prêtre cesse de me bouffer le cul et se place derrière moi. Il pose son gland sur mon petit œillet et pousse lentement vers l’avant. Il est vraiment énorme et je sens son gland entrer millimètre par millimètre dans mon cul. Sa queue me dilate le cul comme jamais et je dois me concentrer pour ne pas crier de douleur. Je me penche sur mon père pour lui offrir ma bouche et je lui roule une pelle passionnée pour oublier ce qui se passe dans mon dos.
— Haaaaaaaaa !! Me mets-je à crier alors qu’il vient de s’enfoncer d’un seul coup en moi.— Détends-toi, mon enfant !! Me dit-il alors qu’il reste planté tout au fond de mon cul sans bouger.
Le père Louis semble avoir une grande expérience de cette pratique car il ne bouge pas et je commence à m’habituer à la présence de son énorme chibre dans mon cul. La douleur première s’estompe peu à peu et lorsqu’il me sent plus réceptive, il se met à bouger lentement en moi. Je me sens encore écartelée mais ses lents mouvements commencent à me procurer du plaisir. Je sens les deux queues se frotter à travers la mince paroi qui sépare mes deux orifices et le plaisir monte lentement en moi. Mon père me pince les tétons et remue en rythme dans ma chatte. Je ferme les yeux et je m’imagine encore adolescente à participer aux jeux pervers de mes parents. J’imagine ma mère m’offrant à tous ses amis pendant les longues absences de mon père et ce dernier me défoncer le cul en écoutant ma mère lui raconter comment j’ai donné du plaisir à tous ces hommes. Les deux hommes me prennent de plus en plus fort et je ne suis plus qu’un jouet sexuel entre leurs bras. Je me mets à gémir sans retenue en les sentant me défoncer la chatte et le cul.
— Hummm, ouiiii !! Prenez-moi fort !!— Tu aimes te faire piner comme une pute, ma salope de fille !! Me dit mon père en me pinçant encore plus fort les tétons.— Hummm... c’est bon vos grosses queues !! Haaa, ouiii... encore, bien au fond... ouiii !!— Vas-y Louis, défonce-lui le cul à cette petite chienne en chaleur !!— Hummm... ouiiii !! Défoncez-moi comme une pute !! Ouiiii, c’est trop bon... oh ouiii, je viens... hummm, ouiiiii !!
Et je me mets à jouir comme une chienne en chaleur en me calant bien sur la queue épaisse de mon père avec l’énorme queue du père Louis tout au fond de mon cul. La jouissance me tétanise et je m’effondre sur le torse de mon père qui me caresse les cheveux tout en approchant sa bouche de la mienne pour me donner un tendre baiser. Je mets plusieurs minutes à reprendre mes esprits avec ces deux queues toujours en mouvement dans mes orifices. Je viens de jouir comme une folle dans les bras de mon père mais j’ai maintenant envie de me retrouver avec mes parents. Je veux faire l’amour rien qu’avec eux et je me libère de l’emprise des deux hommes pour reprendre les choses en main. Je me lève pour interrompre le trio qui s’activait derrière nous et je prends ma mère par les cheveux pour la traîner jusqu’à mon père.
— Ma petite salope, tu vas maintenir papa en forme le temps que je revienne. Dis-je à ma mère en l’obligeant à se mettre à genoux devant la queue de son mari.— Bien, maîtresse !! répond ma mère avant de prendre la queue de mon père en bouche.— Vous, mon père, je vous invite à rejoindre Sarah et Antoine qui vont bien s’occuper de vous. Dis-je avant de sortir de la pièce.
Je rejoins rapidement ma chambre pour y récupérer mon gode-ceinture et je retourne aussi vite dans le salon pour ne pas laisser retomber l’excitation ambiante. J’y retrouve ma mère en train de faire une bonne pipe à mon père qui la tient par les cheveux et s’enfonce au plus profond de sa bouche. En face d’eux, je découvre le père Louis debout assis sur le fauteuil avec ma bonne et mon fils qui se dispute sa queue. Antoine est en train de lui sucer le gland alors que Sarah lui lèche la hampe tout en remontant vers la bouche de mon fils. Ils s’embrassent au niveau du gland du prêtre et alternent la position de leurs bouches sur le membre du prêtre qui ferme les yeux en appréciant la double fellation que lui offrent ses hôtes. Tout en fixant mon gode-ceinture autour de mes hanches, je les observe et je constate que Sarah a introduit deux doigts dans le cul de mon fils. Avant que j’aie pu m’approcher de mes parents, le trio change de position. Sarah vient d’inviter le père Louis à se lever et elle cale sa poitrine sur l’assise du fauteuil les genoux au sol et les fesses bien offertes. Antoine se place derrière elle et, la saisissant par les hanches, il plante son gros dard tout au fond de son cul. Antoine commence à limer notre bonne et invite le prêtre à se placer derrière lui. Le père Louis comprend très vite et se met à genoux derrière mon fils. Il enduit son gland de salive et le place sur la rondelle de mon fils qui s’ouvre la fente culière d’une main. Comme il l’a fait avec moi, le père Louis produit une lente mais impitoyable poussée et s’enfonce lentement dans le cul de mon fils. Cette vision m’excite au plus haut point et je rejoins mes parents sur le canapé. Je saisis à nouveau ma mère par les cheveux et je la fais mettre à quatre pattes sur le tapis du salon de façon à ce que je puisse voir le trio sans avoir à me retourner. Dans la position que j’ai choisie, ma mère comme mon père pourront voir ce qui se passe entre mon fils, la bonne et le prêtre. Je saisis ma mère par les hanches et je place le gland de mon gode sur sa rosette. Cette vieille salope est tellement excitée qu’elle recule son bassin d’un seul coup et se plante sur mon chibre. Je me retrouve plantée en elle et je me mets à la limer sans ménagement tant elle a envie de me sentir bouger en elle. Je me retourne vers mon père et je l’encourage à venir nous rejoindre.
— Papa, viens prendre le cul de ta salope de fille pendant que je m’occupe du cul de ta femme !!— Hummm, avec plaisir !! me répond mon père en se plaçant derrière moi.— J’ai très envie de te sentir dans mon cul pendant que je défonce ta chienne de femme !!— Vas-y défonce-lui le cul et je vais m’occuper du tien ma petite salope de fille.
Après le passage du père Louis dans mon rectum, mon père n’a aucune difficulté à s’y introduire et il se retrouve très rapidement bien au fond de mon cul. Il se met à me limer frénétiquement et chacune de ses poussées propulse mon gode au fond du cul de ma mère. Cette vieille cochonne se met à gémir au même rythme que sa salope de fille. Brièvement, je regarde le trio près de nous et je constate que ma mère les regarde aussi. Antoine se cambre sous les coups de boutoir du prêtre et gémit en s’enfonçant dans le cul de notre bonne. Je vois l’énorme queue du père Louis disparaître dans le cul de mon fils et cette vision me rend folle. Je remue des hanches pour inciter mon père à me prendre au plus profond et le mouvement de son corps me fait entrer encore plus profond dans le cul de ma mère. Mon père qui rêvait de ce moment depuis si longtemps se répand très vite dans mon cul déclenchant en moi une jouissance qui se répercute rapidement dans la pièce. En m’entendant hurler ma jouissance, les autres protagonistes se mettent à jouir en criant leur bonheur.Mes parents ont enfin pu baiser avec leur fille et je suis heureuse que mon fils m’ait poussée à le faire. Ils semblent tellement heureux que je n’ai pas pu leur refuser de passer le reste de la nuit avec eux. Nous avons abandonné le trio dans le salon pour nous retrouver dans ma chambre où je me suis retrouvée sur le lit entre mes parents qui se sont occupés de moi une très grosse partie de la nuit.
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