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Mon fils, mon maitre

Chapitre 8

La trahison d'Olivier

Inceste
Cinq jours après cette merveilleuse soirée avec mes parents, mon époux Olivier rentre enfin de sa tournée asiatique. En attendant ce retour programmé, Antoine m’a fait une place d’honneur dans son lit où il m’a partagée tantôt avec l’un de ses amis et tantôt avec Sarah. Il m’a souvent fait jouir en évoquant la soirée avec mes parents et en me demandant de raconter dans le détail la nuit passée dans ma chambre avec papa et maman. Antoine m’a conditionnée en vue du retour de son père en me sevrant de sexe deux jours avant son retour. J’ai eu beau me comporter en parfaite petite esclave, il a refusé de me faire bénéficier de sa queue en me disant qu’il fallait que je me préserve pour son père afin qu’il n’ait pas de soupçons en constatant mon manque d’appétit sexuel. Le petit salaud avait raison, car lorsque mon époux a débarqué à la maison, je n’avais qu’une seule envie : me retrouver au lit avec lui.
Contrairement à son habitude, Olivier se montre plein d’attention à mon égard et me couvre de cadeaux plus somptueux les uns que les autres. Bijoux, parfums et fines soies orientales sont là pour me faire oublier ses absences prolongées. Toutes ces petites attentions me touchent, mais le seul cadeau que je convoite est sa queue. Mon fils m’a privée de sexe pendant deux jours et je suis pressée de sentir une queue en moi. La soirée passe trop lentement à mon goût et je prends les devants en minaudant à mon mari que je souhaite aller me coucher. Lorsqu’il entre dans la chambre, je suis allongée en nuisette transparente sur le lit. Il prend le temps de se déshabiller et vient se coucher près de moi après être passé à la salle de bain. Je me suis glissée entre les draps en l’attendant et j’ai commencé à me caresser la chatte. Lorsqu’il me rejoint, il se couche près de moi et, sans préliminaires, il s’enfonce en moi.
Mon cri de surprise fait place à de petits halètements à mesure que sa queue me lime la chatte. Très vite, Olivier jouit en moi sans même se préoccuper de mon plaisir. Il se retire et, avant même que je me retourne pour l’embrasser, j’entends sa respiration profonde. Il a dû prendre des somnifères, car il dort déjà comme une souche. Sa respiration se transforme lentement en ronflement et le feu brûle violemment dans mon ventre. Mon mari m’a baisée sans me faire jouir alors que le plaisir montait en moi. Il va falloir éteindre cet incendie qui consume lentement mon ventre et je ne vois qu’une façon de le faire. Je repousse les draps et sans me préoccuper d’Olivier je me glisse dans le couloir jusqu’à la porte de la chambre de mon fils. De la lumière filtre sous la porte et je l’ouvre lentement en tremblant. Antoine est en train de lire allongé sur son lit. Il lève la tête et fronce les sourcils en me voyant pénétrer dans sa chambre.
Je lui fais signe de ne pas faire de bruit et m’approche lentement de sa couche. Il s’est assis sur le bord de son lit et lorsque je suis assez près de lui, il me saisit par le poignet et me tire vers lui en me grondant dans un chuchotement :
— Sève ! Qu’est-ce que tu fais dans ma chambre ? Tu devrais être avec ton mari à l’heure qu’il est !! — Ne vous fâchez pas, maître, il a dû prendre des somnifères et il dort profondément ! dis-je pour ma défense.— Ce n’est pas une raison suffisante pour te retrouver ici !! gronde-t-il encore en me serrant un peu plus le poignet.— Mon époux a joui en moi avant de m’avoir procuré du plaisir, maître ! J’ai trop envie et j’aimerais que mon maître me fasse l’honneur de faire jouir sa petite salope soumise pour que je puisse me reposer. Dis-je en baissant la tête.— C’est tellement bien demandé que je ne peux pas refuser. Tu vas me mettre en forme ma petite chienne soumise et je te donnerai ce que tu demandes ! me dit-il en posant ma main sur son membre qui commence à gonfler.
Je commence à branler lentement sa queue et il pose sa main sur ma tête. Comprenant tout de suite son désir, je me laisse descendre sur le sol de la chambre et me retrouve à ses pieds pour prendre sa belle queue en bouche. Mon maître me saisit par les cheveux et imprime le rythme qu’il souhaite donner à ma bouche qui enserre sa queue. Ma bouche descend de plus en plus bas sur son manche qui prend tout son volume sous mes caresses buccales. Lorsqu’il se sent prêt, mon maître me tire par les cheveux et m’oblige à me mettre à quatre pattes sur le tapis de sa chambre. Il se place derrière moi et place son gland à l’entrée de ma grotte en fusion. Il me saisit par les hanches et plante son engin d’un seul coup de reins tout au fond de ma chatte avide de son sexe. Cette violente intrusion me fait pousser un cri, mais je me mets très vite à haleter et à gémir en sentant sa grosse queue me ramoner la chatte.
Je me comporte comme une vulgaire pute et implore mon maître de me faire reluire comme une chienne en chaleur. Après m’avoir limé la chatte pendant plusieurs minutes, il sort son dard de ma grotte dégoulinante de mouille et place son gland sur ma petite rosette.
— Ton mari n’a pas voulu profiter d’une salope comme toi et il a eu tort. Je vais te donner ce que tu es venu chercher et te faire jouir en te prenant par tous les trous comme une pute infidèle !! me dit-il en me tirant par les cheveux pour accentuer la courbure de mes reins.— Oui, maître !! Prenez-moi, je suis à vous !! dis-je en poussant mon bassin vers l’arrière.
Dans le mouvement, je sens son gland passer la barrière de mon sphincter et sa queue prendre possession de mon petit trou du cul. Comme il l’a fait avec ma chatte, il donne une vive poussée de reins et je sens ses couilles venir taper contre les lèvres gonflées de ma chatte. Je commence seulement à reprendre mon souffle lorsque mon fils entame un va-et-vient implacable qui me mène rapidement vers le plaisir. Je pars dans un violent orgasme au moment où je le sens déverser sa semence en longs jets saccadés entre mes fesses. Je m’effondre sur le tapis, ivre de jouissance alors que mon maître sort sa queue de mes entrailles et que je sens son sperme couler sur mes cuisses.Avec tendresse, Antoine me donne un doux baiser avant de me saisir comme un fétu de paille et de me poser sur son lit. Il s’allonge près de moi et m’attire à lui afin que je pose ma tête sur son épaule. Il caresse doucement mes cheveux et me demande après m’avoir donné un léger baiser sur le front :
— Tout va bien, maman ?
— Je ne sais pas trop, mon chéri ! Je ne sais pas si ce sont les événements récents entre toi et moi, mais je trouve que ton père est différent depuis son retour.— Comment ça ? Je n’ai rien remarqué de différent !— Eh bien, il m’a couverte de cadeaux alors qu’il ne le fait jamais. Et puis, il n’est plus aussi avenant avec moi. Habituellement, quand il rentre, il me touche dans les coins quand il est sûr que tu ne vois rien et il m’embrasse tout le temps. Aujourd’hui, c’est tout juste s’il m’a embrassée, et le pire est qu’il n’a rien fait pour me donner du plaisir ce soir !! Dis-je en sentant rouler une larme sur ma joue.— Qu’est-ce qui te chagrine ? Aurais-tu des doutes, ma petite maman ? Me demande-t-il en écrasant la larme qui coule sur ma joue de son pouce.— Oui, je pense qu’il me trompe !! Les femmes ressentent ce genre de chose, mon chéri !!— Si c’est vraiment le cas, je pense que tu n’as rien à lui envier. Depuis quelques semaines, tu le trompes avec son propre fils qui te partage avec ses amis.— Tu as sûrement raison, mais je n’aime pas avoir ce genre de doute ! dis-je dans un début de sanglot.— Je vais faire ce qu’il faut pour lever ce doute ma petite maman, mais, en attendant, il va falloir que tu retournes dans ta chambre. Je ne pense pas que papa serait heureux de te découvrir à moitié nue dans ma chambre ! me dit-il en me donnant une claque sur les fesses pour que je quitte son lit.
Deux jours plus tard, Antoine vient me rejoindre dans le salon alors qu’Olivier est parti pour la journée dans les bureaux de son entreprise. Il me demande de m’asseoir sur le canapé et vient se placer à côté de moi. Il place son bras sur mes épaules pour m’attirer à lui et m’embrasser avant de me faire une révélation en me montrant l’écran de son Smartphone :
— Ma petite maman, je me suis débrouillé pour introduire un logiciel espion dans le téléphone de ton cher époux et j’ai quelques réponses à tes interrogations.— Tu as vraiment pu faire ça ?— Oui et je crois pouvoir te dire que tes soupçons sont désormais fondés !!— Je ne sais pas si j’ai vraiment envie de savoir, maintenant !! dis-je avec une moue.— Sève, tu as voulu savoir alors je vais te montrer ce que j’ai trouvé !! me répond mon fils sur un ton sévère.— Bien maître ! réponds-je docilement en entendant mon prénom de soumise.— Mon père est malin, mais pas autant que moi. Son téléphone comporte deux cartes SIM dont une comportant un accès très limité. Sur la première, on trouve tout ce qui a un rapport avec son travail et sa famille, mais pour l’autre, il en fait un usage beaucoup plus sombre.— C’est-à-dire, maître ? dis-je, soudain piquée par la curiosité.— J’y ai trouvé des tchats avec des personnes que je suppose être des contacts d’affaires qui ne laissent aucun doute sur certaines soirées que ton mari a pu passer ces dernières semaines. Mais le plus intéressant est, sans doute, cette conversation entre mon père et Audrey, son assistante !! me dit-il en me montrant l’écran de son Smartphone.— Ce soir, pendant le repas, Mr Kagami, le directeur commercial de la société « M » m’a demandé si tu allais nous rejoindre dans sa suite.— Mon chéri, tu sais bien que tu ne peux pas me demander ça !!— J’aimerais tant que tu le fasses pour moi, j’ai tellement envie de te voir avec d’autres hommes...— Tu sais bien qu’avant de te connaître, les hommes ne m’intéressaient pas. Je ne veux me donner qu’à toi... à moins que tu ne trouves des dirigeants du sexe féminin...— Je n’insiste pas mon cœur. Laisse ta porte ouverte, je viendrai te rendre une visite en rentrant.— Si tu es seul, je t’accepte à moins que tu ne me ramènes une jolie petite serveuse comme la dernière fois.— Nous rentrons dans trois jours et tu auras tout le temps de profiter des charmes d’Hélène mon cœur !!
Je deviens blême en lisant ces derniers mots. Se pourrait-il que cette Hélène soit ma propre mère ? Non, je me fais des idées !! Pourquoi est-ce que je pense tout de suite à elle ? Je me retourne vers mon maître qui semble s’amuser de mon air interrogateur. Il fouille dans son téléphone et met en route une vidéo en m’expliquant qu’il a eu beaucoup de mal à découvrir le mot de passe qui la protégeait. Je découvre une chambre d’hôtel et deux femmes dans la position du soixante-neuf sur le lit King-size. La caméra se rapproche et je reconnais sans difficulté ma mère à quatre pattes sur le lit en train de dévorer une jolie petite chatte parfaitement glabre. La caméra se déplace et je n’ai aucun mal à reconnaître le visage d’Audrey entre les cuisses de ma mère. L’homme qui tient le portable se place derrière ma mère et baisse l’objectif afin de mettre en images sa queue qui pénètre lentement le cul d’Hélène. J’entends sa voix implorante :
— Oui, mon gendre !! Défonce-moi le cul pendant que ta jolie assistante me mange la chatte.— Ma vieille salope, nous avons toute la nuit pour te faire du bien !!— Humm, j’aime quand tu me fais reluire et que tu m’offres une bonne petite chatte !! minaude ma mère.— Si seulement ta fille pouvait être aussi salope que toi !! grogne mon mari.— Peut-être ne fais-tu pas ce qu’il faut, mon gendre !! déclare ma mère sur un ton mystérieux que ne décèle pas mon mari.— Elle ne pense qu’à ses œuvres de bienfaisance, elle est bien trop coincée !!— En faisant les efforts nécessaires, tu pourrais peut-être briser ce bouclier !— Tais-toi salope ! Je vais me contenter de sa salope de mère et te défoncer le cul !!
Je ne peux détacher mon regard de la vidéo et la façon que j’ai de croiser et décroiser mes jambes en dit long sur mon état d’excitation. Dans un premier temps, l’échange de messages entre mon mari et son assistante m’a mise en colère qui s’est estompée peu à peu en regardant cette vidéo. Ma salope de mère a même tenté de révéler à demi-mot à mon mari que sa femme pourrait être aussi salope qu’elle.
Mon regard se pose sur la date et l’heure de la vidéo et je constate qu’elle date de la veille du retour d’Oliver à la maison. Ce salaud est rentré un jour plus tôt pour passer une nuit avec ma mère et son assistante. Je me rappelle avoir appelé mes parents ce jour-là et soudain tout s’éclaire !! Ce jour-là, c’est mon père qui a répondu et qui m’a dit que ma mère était allée rendre visite à une amie souffrante et qu’elle devait passer la nuit en ville pour ne pas rentrer de nuit.
Mon maître remarque mon trouble et glisse sa main entre mes cuisses. Ses doigts remontent vers ma chatte déjà humide d’excitation. J’ouvre mes cuisses pour lui faciliter le passage et il plonge deux doigts dans mon volcan en fusion. Il continue à me doigter et me lance :
— Sève, tu n’as pas l’air d’être en colère ! Ta petite chatte de salope parle pour toi !!— Je devrais être en colère, mais... mais...— Mais ta salope de mère t’a excitée !!— Oui, maître...— Et tu aurais aimé qu’elle lui révèle qu’en fait tu es encore plus salope qu’elle ? me demande-t-il en enfonçant encore plus ses doigts dans ma chatte.— Non, maître !! Je souhaite que ce soit vous qui lui montriez à quel point vous avez su me dresser comme une bonne petite pute !!— Peut-être pourrions-nous commencer par Audrey et lui faire comprendre que ce n’est pas bien de se donner à un homme marié ?— Comme j’aimerais qu’elle devienne votre soumise et que vous donniez cette lesbienne à plusieurs hommes devant mon époux !! — Je crois que nous allons faire ça et que je vais me servir de ta salope de mère pour l’attirer dans nos filets. Les échanges d’Audrey avec mon père m’ont révélé qu’elle a pris un congé pour les quinze prochains jours. Nous allons lui préparer un piège la semaine prochaine pendant que papa sera parti pour Lille. Ces trois jours de voyage d’affaires devraient nous suffire pour rendre la belle assistante aussi docile et réceptive que toi.
Sur ces mots, mon fils me place à quatre pattes sur le canapé, remonte ma robe sur mes reins et plante sa queue dans ma chatte dégoulinante de mouille. J’ai gardé son Smartphone entre les mains et je redémarre la vidéo. Je veux que mon maître me prenne comme mon mari prend ma mère et je lui demande de me défoncer le cul avec sa grosse queue. Je ferme les yeux en imaginant les tourments que nous allons pouvoir faire subir à Audrey avant de partir dans un violent orgasme.
A suivre
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