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Mon fils, mon maitre

Chapitre 9

Préparation de la vengeance

Inceste
Deux jours passent pendant lesquels mon fils prépare sa stratégie pour attirer Audrey dans ses filets. Ce matin, Antoine me rejoint au petit-déjeuner alors qu’Olivier est déjà parti pour ses bureaux. Il se penche vers moi pour me donner un baiser et glisse sa main dans mon déshabillé pour venir effleurer la pointe de mes tétons qui se mettent à durcir sous la caresse incestueuse. Ce doux baiser matinal et la main agile de mon fils sur mes seins me font oublier la nuit sans sexe que je viens de passer aux côtés de mon mari dans le lit conjugal. Mes gémissements se perdent dans la bouche de mon fils lorsque je sens une main se perdre entre mes cuisses. Il s’agit de la main de Sarah, ma bonne, qui vient de nous rejoindre et qui approche son visage du nôtre pour prendre sa part de baiser. Elle nous embrasse tour à tour en me caressant le clitoris avant de glisser deux doigts dans ma chatte tout humide.
Mon fils baisse son pantalon et approche sa grosse queue de mon visage en me disant :
— Sève, je vais t’offrir ton petit-déjeuner de salope en chaleur !!— Oui, maître !! dis-je avant d’ouvrir grand la bouche pour qu’il y plonge sa queue.
De sa main droite, il me prend par les cheveux et me baise la bouche sans ménagement. Ma salope de bonne veut aussi sa part et elle approche son visage du mien en ouvrant la bouche. Notre maître saisit ses cheveux de la main gauche et se met à lui baiser la bouche pendant que je reprends mon souffle. Après quelques allers et retours dans la bouche de Sarah, mon maître replonge sa queue dans la mienne et au bout de quelques minutes, il ressort son membre pour jouir sur le visage de ma bonne. Il approche mon visage de celui de ma compagne de chaîne et m’ordonne de lui nettoyer le visage. Avec ma langue, je m’applique à faire disparaître le foutre du visage de ma bonne et je me délecte de cette semence que mon fils m’offre pour le petit-déjeuner. Sarah me jette un regard implorant et, après que mon maître m’ait donné l’autorisation, je mêle ma langue à la sienne pour partager mon trésor liquide.
Cette journée commence vraiment bien et mon maître va me donner un bel espoir en me disant qu’il sera de retour de la fac en début d’après-midi et qu’il veut que j’appelle ma mère pour qu’elle vienne seule à la maison. Il m’explique avant de partir qu’il va montrer la vidéo des ébats de ma mère avec mon mari pour l’obliger à contacter Audrey pour la faire tomber dans le piège qu’il lui tend. Il m’embrasse avec passion et me laisse seule face à la responsabilité qu’il vient de me confier. Durant tout le temps que je passe à prendre ma douche et à me préparer pour la journée, je pense à la manière de présenter cette invitation à ma mère sans éveiller ses soupçons. Je fais part de mes interrogations à Sarah pendant qu’elle s’affaire dans le salon et c’est elle qui me donne la solution :
— Tu n’as qu’à lui dire que notre maître souhaite vous voir toutes les deux pour faire une surprise à son grand-père !— Sarah, ma mère est méfiante et je ne suis pas sûre que cela suffise à la faire venir à la maison !! dis-je, pleine de doutes.— Laisse lui entendre que cette surprise est sexuelle et je pense que sa curiosité sera piquée au vif !! me répond Sarah avec enthousiasme.— Tu as sûrement raison !! dis-je en posant un baiser sur ses lèvres avant de saisir mon téléphone.
Sarah avait raison, car, après avoir expliqué à ma mère qu’Antoine souhaitait faire une surprise à son grand-père et préparer une soirée spéciale dans les sous-sols de la maison, ma mère a manifesté son enthousiasme en se déclarant prête à venir sur-le-champ. J’ai eu alors toutes les peines du monde à lui faire comprendre que mon fils ne serait pas à la maison avant 13h00. Elle a fini par me déclarer qu’elle serait là pour 13h30. Sarah a vu mon grand soulagement au moment de raccrocher alors qu’elle écoutait la conversation avec ma mère en m’encourageant à la persuader de venir. Soulagée d’avoir pu attirer ma mère comme me l’avait demandé mon fils et maître, je donne un profond baiser à ma bonne avant qu’elle ne s’éclipse pour vaquer à ses occupations.Je passe le reste de la matinée à tourner en rond en attendant le retour d’Antoine. Il arrive enfin et prend rapidement les commandes :
— Sève, tu as appelé ta mère ?— Oui, maître, elle sera là pour 13h30 ! dis-je sur un ton feutré en baissant la tête.— Tu es une bonne petite soumise obéissante ! Je présume que tu as respecté le contrat et que tu es nue sous cette jolie robe !! me dit-il en soulevant le bas de mon vêtement.— Je suis ici pour vous plaire, maître ! réponds-je alors qu’il découvre mes jambes gainées de bas et ma chatte à l’air libre.— Je vois que tu respectes ton contrat à la lettre, ma petite esclave salope.— Vous obéir est un pur plaisir, maître !! dis-je au moment où la sonnerie de la porte d’entrée résonne.

Une minute plus tard, ma mère apparaît dans le salon, précédée de Sarah qui est allée lui ouvrir. Elle semble tout excitée et saute au cou de mon fils pour l’embrasser sur les deux joues. Il la tire par les cheveux et lui demande de l’embrasser mieux que ça alors qu’il pose ses lèvres sur les siennes. Hélène ouvre ses lèvres et plonge sa langue dans la bouche de son petit-fils en miaulant de plaisir. D’un signe de la main, mon maître m’invite à les rejoindre. Je m’approche du couple alors que Sarah quitte la pièce. Je me place derrière Hélène et je fais glisser son manteau sur ses épaules. Elle porte un petit tailleur rose dont la jupe est très courte. Je me colle à ma mère et entreprends de l’embrasser dans le cou alors que ma main droite remonte lentement entre ses deux jambes qu’elle écarte afin de faciliter ma progression. Ma main atteint la peau nue au-dessus de ses bas et glisse vers sa chatte. Mes doigts se posent sur les lèvres déjà humides de ma mère.
Cette salope a la chatte à l’air, mais comment pourrais-je la blâmer alors que la mienne est aussi peu protégée que la sienne ? Mes doigts glissent sur sa fente et viennent titiller son clitoris déjà tendu par l’excitation. Mon maître interrompt son baiser et tire sur les cheveux d’Hélène pour qu’elle tourne la tête vers moi et lui ordonne de me dire bonjour. Elle en a autant envie que moi et nos bouches s’unissent dans un profond baiser. Mon maître nous interrompt et demande à Hélène de prendre place sur le canapé. Il m’attire à lui et passe son bras autour de ma taille avant d’attaquer ma mère de front :
— Alors, espèce de salope !! Ça te plaît de baiser avec mon père ?— Mais enfin, Antoine !! Je ne te permets pas de me parler comme ça !! Je suis ta grand-mère tout de même !!— Je te parle comme je veux, vieille pute !! Réponds-moi immédiatement !! Est-ce que tu baises avec le mari de Sève ?— Je ne comprends pas cette question !! Comment peux-tu me poser une telle question ?— Alors peut-être vas-tu pouvoir m’expliquer ça !! déclare mon maître en montrant l’écran de son téléphone à ma mère.
Hélène blêmit en se reconnaissant sur les images qui défilent sur l’écran du téléphone d’Antoine. Elle rougit et baisse la tête, prise par la honte d’avoir été découverte par son petit-fils. Mon maître reprend :
— Tu ne peux plus nier !! Je me fiche de savoir comment tu en es arrivée là même si je pense que Sève voudra en savoir plus. Je vais garder cette vidéo pour moi à la seule condition que tu fasses ce que j’attends de toi.— Tout ce que tu voudras tant que ces images restent un secret !! murmure ma mère en écrasant une larme sur sa joue.— As-tu un moyen de contacter Audrey, l’assistante de mon père ?— Oui, elle m’a donné son numéro, car elle voulait que nous puissions nous retrouver sans Olivier.— Mon père part pour Lille dans deux jours et je veux que tu la fasses venir ici. Je vais lui apprendre ce que ça coûte de baiser avec un homme marié et je pense entamer son dressage.— Je ne vois pas trop comment je pourrais la faire venir ici !! répond Hélène d’une voix tremblante.— Dis-lui que tu as envie de la revoir et que tu aimerais lui présenter une amie ! rétorque mon maître.— J’ai peur qu’elle refuse...— Je vois que tu as besoin de motivation !! la coupe mon maître en me poussant doucement vers le canapé.
Je m’assieds près d’Hélène et je commence à l’embrasser tendrement dans le cou. Ma mère tourne son visage vers moi et cherche mes lèvres des siennes. Nos bouches s’unissent et ma main part à l’aventure sur son ventre et se dirige vers le bas de sa jupe qui est remontée lorsqu’elle s’est assise. Ma main remonte vers sa chatte et mes doigts se posent sur sa fente humide. Ma mère écarte les cuisses et gémit dans ma bouche en sentant mes doigts atteindre sa vulve. J’interromps notre baiser et je glisse à son oreille :
— Appelle-la, j’ai très envie de profiter de cette petite salope !!— Hummm, vous avoir toutes les deux !! répond ma mère en se laissant aller dans le canapé.— Appelle cette salope et mets le haut-parleur, je veux entendre ce qu’elle te dit !! déclare mon maître en saisissant le téléphone de ma mère avant de lui tendre.
Mon maître m’attrape par le bras et me tire de façon à ce que je me mette à genoux aux pieds de ma mère. Alors qu’Hélène compose le numéro d’Audrey, il lui écarte les jambes et pousse doucement sur ma nuque. Je comprends immédiatement les désirs de mon maître et, de mes deux mains, je remonte fébrilement la jupe de ma mère. Elle avance son bassin au bord du canapé et ouvre largement les cuisses alors que les sonneries commencent à s’enchaîner dans son téléphone. La voix d’Audrey résonne au moment où mes lèvres se posent sur les lèvres intimes de ma mère :
— Bonjour Hélène, ça me fait plaisir que tu m’appelles !!— Il y a quelques jours que j’ai envie de t’appeler, mais je n’arrivais pas à me décider ! répond Hélène dans un souffle alors que ma langue commence à jouer sur son clitoris tendu.— Et qu’est-ce qui peut bien faire que tu te sois décidée ? Je ne te cache pas que je suis heureuse de t’entendre et je commençais à désespérer d’avoir de tes nouvelles !! répond Audrey d’une voix suave.— En fait, je suis chez une amie et nous en sommes venues à parler de toi...— En bien, j’espère !! la coupe Audrey.— Elle est ma confidente et elle a su me faire dire que j’avais eu une aventure avec toi. Elle rêve de te rencontrer et c’est la raison de mon appel !! répond ma mère dans un gémissement étouffé.— Ta voix est étrange, tu es sûr que tout va bien ? s’inquiète Audrey.— Hummm, oui !! Pour tout te dire, elle me dévore la chatte pendant que je te parle !! rétorque Hélène sans masquer plus longtemps ses gémissements.— Oh mon Dieu, c’est très excitant !! Dis-moi comment elle est !!— Elle a 45 ans et c’est une petite bourgeoise qui s’ennuie chez elle. Je ne veux pas t’en dire plus, je préférerais que tu la découvres par toi-même. Elle a une langue merveilleuse, hummm !! — Il se trouve que ton gendre m’a accordé un congé et je pense qu’il serait dommage que je ne rencontre pas cette dame !! Quand pouvons-nous nous rencontrer ? demande Audrey.— Son mari va partir en voyage d’affaires, nous pourrions peut-être nous voir après-demain !!— Ma chère Hélène, je ne te cache pas que je suis impatiente de te voir et de rencontrer ta mystérieuse amie !!— Envoie-moi ton adresse, je passe te récupérer à 14h après-demain !! annonce ma mère en gémissant de plaisir.— Je fais ça et je te laisse à ton plaisir, petite veinarde !!
La conversation cesse et moins d’une minute plus tard, j’entends les gémissements étouffés de ma mère alors que deux de mes doigts coulissent dans son vagin et que mes dents mordillent son clitoris. Je relève brièvement la tête et je constate que la grosse queue de mon maître coulisse entre les lèvres de ma mère. D’un simple regard, il m’invite à les rejoindre et dans les secondes qui suivent, je me retrouve à me disputer la queue de mon fils avec ma mère. Tout en lui suçant la queue, nous nous déshabillons mutuellement et nous retrouvons très vite en bas et porte-jarretelles. Je ne peux m’empêcher d’admirer le corps parfaitement conservé de cette femme de 67 ans et je me surprends à envier ses courbes parfaites. Perdue dans mes pensées, je sursaute en sentant une main me tirer par les cheveux. Sarah est nue devant moi et ses hanches sont parées d’une ceinture qui maintient un magnifique gode d’ébène au niveau de son pubis.
Elle attire mon visage vers le sexe factice et j’ouvre la bouche pour le sucer alors que ma mère se délecte de la queue de son petit-fils. Au bout de quelques minutes, mon maître lance :
— Tu arrives juste au bon moment ma petite soumise !! Nous allons pouvoir faire reluire ces deux salopes qui réclament de la bite !!— Comme il vous plaira, maître !! répond Sarah en me tirant par les cheveux pour interrompre ma fellation.
Mon maître nous fait mettre côte à côte sur le canapé face au dossier. Il nous fait pencher en avant de façon à ce que nos bras reposent sur le dossier et que nos croupes soient tendues de façon obscène vers eux. Sarah se place derrière moi et plonge l’énorme sexe noir au fond de ma chatte en me saisissant par les hanches. Antoine se place derrière sa grand-mère et plante sa grosse queue tout au fond de son vagin. Ils nous besognent sauvagement alors que nos langues se mêlent dans un baiser pervers digne des meilleures actrices pornos. Sur ordre du maître, nous écartons nos fesses des deux mains pour exposer nos rondelles qui palpitent d’excitation. Soudain, ma mère s’écrie :
— Non, mon chéri !! Pas par là, tu es trop gros !!— Sève, fais taire ta vieille pute de mère !! m’ordonne mon maître.
Je passe ma main dans ses cheveux et je plonge ma langue dans sa bouche. Antoine a empoigné les mains de sa grand-mère et les maintient sur ses fesses pour qu’elle les garde ouvertes. Hélène pousse un grand cri qui meurt au fond de ma gorge quand il s’enfonce d’un seul coup en elle. Pendant une bonne minute, il ne bouge pas et peu à peu ma mère s’habitue à cette présence hors norme au fond de son cul. Elle se met à grogner lorsqu’il commence à bouger en elle et je sais que mon maître a gagné la partie quand elle me rend mon baiser avec fougue. Sarah en profite pour changer d’orifice en plongeant le sexe d’ébène dans mon cul. Habituée à la grosse queue de mon maître, j’accueille avec bonheur ce gode qui m’élargit la rondelle. Nos cris de plaisir finissent par emplir le salon et c’est en nous embrassant à pleine bouche que nous partons ensemble dans un profond orgasme.
Une demi-heure plus tard, ma mère quitte la maison comme s’il ne s’était rien passé à la nuance près qu’elle nous embrasse tous les trois avec la langue. Elle part avec le sourire, car son petit-fils lui a demandé de se débrouiller pour se libérer trois jours sans éveiller les soupçons de son mari. Les prochains jours risquent d’être fous...
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