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Mon fils, mon maitre

Chapitre 12

L'étendue réelle de ma soumission

Inceste
J’ai passé la nuit au pied de mon lit alors que mon fils s’est amusé avec ma mère, ma bonne et ma rivale une partie de la nuit dans le lit conjugal avant que je ne tombe de fatigue à même le sol de ma chambre. Ils se sont relayés pour venir entretenir mon excitation en me caressant la chatte et le clitoris alors qu’ils s’adonnaient à des plaisirs charnels sous mes yeux. Je me réveille, le corps tout endolori des excès de la veille et de ma nuit passée à même le sol de ma chambre. Une âme charitable a pris soin de me couvrir d’une couette et je reconnais là, la bienveillance de ma mère. Je me redresse et je découvre sur le lit conjugal les corps emmêlés de ma mère, de ma bonne et d’Audrey. Je constate qu’Antoine a abandonné le champ de bataille et je me relève doucement pour rejoindre le trio sur mon lit. Au moment où je pose mes fesses sur le matelas, mon fils entre dans la chambre et me fusille du regard en m’invectivant :
— Je ne me rappelle pas t’avoir autorisé à monter sur ce lit, salope !!
Sans rien dire, je me laisse glisser au pied de mon lit sous la remarque cinglante de mon Maître alors que les trois autres femmes sortent de leur torpeur. Antoine embrasse langoureusement sa grand-mère et lui demande d’aller se préparer puis il attrape Sarah par les cheveux et l’embrasse tout aussi langoureusement avant de lui dire :
— Je dois partir avec Hélène afin de préparer notre soirée et je te demande de mettre ces deux petites salopes en condition pour ce soir. Je te donne carte blanche pour qu’elles soient prêtes à recevoir mes invités. Il est déjà 14h30 et j’ai prévu le début de la réception pour 19h. Nous reviendrons vers 18h afin de m’assurer que ces deux salopes sont prêtes à recevoir nos invités.— Je ferai comme vous le désirez, Maître ! répond Sarah en me regardant avec un sourire carnassier. Viens-me donner ta langue, salope !! me dit-elle en écartant largement les cuisses alors que notre Maître quitte la chambre en compagnie de ma mère.
Je sais ce que ma bonne réclame et je monte sur le lit pour glisser ma tête entre ses cuisses. J’approche mes lèvres de sa chatte accueillante et je darde ma langue sur son petit bouton encore dissimulé dans sa gangue de chair. Mes premiers coups de langue le font apparaitre et Sarah ne tarde pas à gémir alors que ma langue prend possession de son sexe tout entier. Je butine sa vulve et ose lui remonter les jambes pour pouvoir atteindre sa petite rondelle qui s’élargit lentement sous mes coups de langues. Ma bonne se met à gémir sous mes caresses buccales et au moment où je lève la tête pour reprendre un peu mon souffle, je constate qu’elle embrasse Audrey tout en lui caressant les seins. Ma jalousie remonte et je m’active de plus belle entre les cuisses de ma bonne pour faire monter son plaisir. Très vite, les mouvements de ma langue combinés à ceux de mes doigts sur sa chatte et son clitoris la conduise vers un orgasme qu’elle n’espérait pas si tôt.
Après un long moment passé à reprendre son souffle, Sarah se lève et nous ordonne de passer sous la douche. Elle sait que j’ai encore des réticences à me rapprocher d’Audrey et elle m’oblige à prendre la douche avec elle en me donnant l’ordre de savonner son corps. Rapidement, le contact de mes mains sur sa peau glissante déclenche une boule au creux de mon ventre et mes mouvements de main sur sa peau se transforment en caresses. Mes mains savonneuses glissent entre ses cuisses et ses fesses alors que mes lèvres se posent sur les lèvres qu’elle me tend. A son tour, ses mains se posent sur mon corps et nous nous caressons tout en nettoyant mutuellement nos corps tendus par l’excitation. Sentant que ce petit jeu va nous conduire lentement vers la jouissance, ma bonne entre sous la douche et nous sépare. Elle nous ordonne de la laver et lorsqu’elle juge que le travail est satisfaisant, nous somme priées de sortir de la douche pour nous sécher.
Nous attendons que Sarah sorte de la douche et nous l’attendons avec un drap de bain pour la sécher. Elle se présente à nous et nous l’enveloppons du linge absorbant pour sécher son corps de déesse. Elle se laisse volontiers servir par sa patronne et l’assistante de son patron en se délectant de cette situation mettant en scène deux esclaves du sexe au service d’une servante. Le temps a très vite passé et il est déjà 17h. Sarah nous pousse vers mon dressing car nous devons absolument être prêtes avant l’arrivée du Maître. Ma bonne fouille dans mon dressing qu’elle connait par cœur et tend une guêpière en dentelle rouge et noir à Audrey. Je refreine une envie de crier car il se trouve que c’est ma préférée parce que c’est mon fils qui me l’a offerte. Sarah semble s’en amuser et me tend une simple culotte en coton blanc que je ne porte que lorsque j’ai mes règles. Je commence à ouvrir la bouche pour protester mais un gifle single ma joue avant qu’un seul son ne sorte de ma bouche.
Docile, je baisse la tête et laisse ma bonne prendre les décisions qui lui ont sûrement été dictées par mon Maître. Je relève la tête au moment où ma bonne nous ordonne de nous lever et je découvre la tenue que Sarah a choisi pour ma rivale. Elle porte donc la guêpière que m’a offerte mon fils, des bas noirs en soie avec une couture sur l’arrière de la jambe et mes escarpins vernis rouges aux talons de 10 cm. Elle porte un collier identique à celui que mon Maître ma offert. Avant de m’obliger à me lever, Sarah me pose mon propre collier de soumise et je comprends qu’Audrey vient d’être élevée au même rang que moi. Sarah nous demande de la suivre et je devine l’endroit de notre destination. En effet, elle nous guide vers le rez-de-chaussée et nous fait traverser le manoir jusqu’à l’escalier qui mène à la pièce secrète. Elle pousse Audrey vers des chaines qui pendent du plafond et y attache ses poignets avant de poser une cagoule sur sa tête.
Pour moi, le traitement est différent : elle me place à genoux face à la porte et me lie les mains dans le dos au moyen d’une cordelette. Elle se dirige vers la commode à l’opposé de la pièce et en rapporte un bâillon-boule qu’elle met en place sans trop de ménagement. Satisfaite, elle annonce en me regardant droit dans les yeux :
— Vous allez attendre là sagement pendant que je vais accueillir Antoine et qu’il vienne constater que je vous ai bien préparée pour cette soirée spéciale.
Ma bonne tourne les talons et quitte la pièce alors que je me fais encore des réflexions sur ce qu’elle vient de dire. Comment ose-t-elle appeler notre Maître par son prénom ? Se rend-elle compte de ce qu’elle dit en ma présence même si je sais qu’en l’absence du Maître, elle le remplace ? Je me dis qu’il va falloir que j’en touche deux mots à mon Maître au moment où il fait son apparition dans la pièce, suivi de ma bonne et de ma mère. Il est vêtu d’un costume trois pièces qui lui donne un air d’homme d’affaires et qui le rend hyper sexy à mes yeux. Il s’approche de moi et m’attrape par les cheveux en déclarant :
— J’espère que tu as fait en sorte que ces deux salopes soient bien propres pour ne pas décevoir nos invités qui ne vont sûrement pas tarder !!— J’ai fait comme vous l’avez demandé Maître et je peux vous assurer que ces deux salopes se sont nettoyées mutuellement sans oublier une parcelle de leur corps. A tel point que j’ai dû les séparer car elles allaient se donner du plaisir sous la douche !! répond fièrement Sarah à mon fils.
— Tu penses que ces deux salopes vont être à la hauteur de nos invités, mon chéri ? demande ma mère en posant ses lèvres sur celles de son petit-fils.— Je crois qu’elles sont prêtes !! répond mon fils en enlaçant sa grand-mère avant de l’embrasser à pleine bouche.
Pendant un bref instant, je trouve leur attitude étrange. Jusque-là, j’avais toujours pensé que mon fils dominait ma mère et qu’elle lui obéissait pour l’empêcher de révéler au monde entier ses agissements pervers. A les voir ainsi, j’ai le sentiment d’une grande complicité entre eux mais je me sens rassurée quand Antoine repousse sa grand-mère et l’oblige à se mettre à genoux face à moi. Lentement, il défait son nœud de cravate et la présente devant mes yeux pour les bander. Il s’assure que je n’y vois plus rien avant de déclarer :
— Maintenant, je vais aller accueillir mes invités et je vous laisse sous la surveillance de Sarah. Préparez-vous mentalement à vivre la soirée de votre vie.
J’entend ses talons claquer sur le sol et le silence se fait. Au bout de très longues minutes, des bruits de pas se font entendre dans l’escalier qui mène à la pièce secrète du manoir. Etrangement, aucun éclat de voix ne couvre le bruit des pas dans l’escalier comme si Antoine avait demandé un silence absolu. Je sens des gens se rassembler autour de moi et mon fils prends enfin la parole :
— Sève, tu vas montrer à la salope qui baise avec ton mari comment tu prends du plaisir avec plusieurs hommes !! es-tu prête à relever ce défi ?— Oui, Maître ! réponds-je, docile.
J’entends le zip de son pantalon descendre et le bout d’un gland se poser sur mes lèvres. Pour plaire à mon maître, j’ouvre la bouche et accueille sa queue qui glisse lentement entre mes lèvres. Il m’attrape par les cheveux et donne le rythme de la fellation. Je m’applique à le satisfaire et je sens le coton de ma culotte s’humidifier à la seule pensée que je me donne en spectacle devant des inconnus. Mon Maître se retire de ma bouche et je sens une autre queue se présenter sur mes lèvres. Pour plaire à mon Maître, j’ouvre la bouche et avale cette nouvelle queue moins longue mais plus épaisse que celle d’Antoine. Après quelques minutes à se faire sucer, le propriétaire de cette queue se retire de ma bouche et une nouvelle bite vient y prendre place. Je m’applique de nouveau à donner un maximum de plaisir à cet inconnu avant que s’opère un nouveau changement. Cette nouvelle queue dans ma bouche me rappelle étrangement celle de mon fils, bien que plus fine et un peu moins longue.
Je veux tellement plaire à mon Maître que je m’applique une nouvelle fois à provoquer du plaisir à ce nouveau partenaire qui se met doucement à gémir au moment où Antoine brise enfin le silence :
— Tu avais raison, papa !! Nous avons vraiment réussi à en faire une vraie salope suceuse de bite !!— J’en étais sûr, fils !! Elle ne pouvait pas être différente de sa chienne de mère !!
Mortifiée, je viens d’entendre ce court dialogue entre mon fils et son père, car mes sens ne me trompent pas, c’est bien la voix de mon mari que je viens d’entendre.
— Les chiens ne font pas des chats mais je dois avouer que j’ai aimé gouter à sa petite chatte !! déclare la voix de ma mère.— C’est vrai qu’elle est à mon gout !! répond une voix que j’identifie comme étant celle d’Audrey.— Nous te l’avions dit mais il a fallu que tu y goute pour nous croire !! renchérit la voix de Sarah.
En une fraction de seconde, je réalise que j’ai été l’objet d’une conspiration de certains de mes proches pour m’amener à cette condition de soumise que, désormais, je revendique. Je sens des mains délier la cravate de mon fils qui me rend aveugle et après que mes yeux aient fait le point dans la pièce plongée dans la pénombre, je reconnais tous les visages qui sont tournés vers moi. Il y a bien sûr mon fils, mon mari, ma mère, Sarah et Audrey mais je reconnais aussi dans la pénombre, mon père et mon beau-père. Olivier se place à genoux face à moi et commence à me parler alors que sa main droite glisse dans ma culotte en coton déjà bien humide d’excitation :
— Ma chérie, je vais te raconter l’histoire de l’épouse trop coincée qui devient la pire des salopes !— Mais… je… ! Ma tentative de prise de parole est stoppée net par une gifle donnée par mon Maître.— Tais-toi et écoute ton histoire, salope !! déclare mon fils sur un ton autoritaire.— Tout d’abord, je veux que tu saches et que tu connaisses les rôles de chacun dans cette histoire. Nous allons commencer par toi qui, depuis quelques années, se donne à son mari comme une bonne mère de famille sans entendre les envies et les fantasmes qu’il lui souffle à l’oreille pendant leurs ébats devenus si rares. Ensuite il y a moi, ton mari, qui, las d’avoir l’impression de quémander en permanence des rapports sexuels avec son épouse a fini par céder aux avances à peine masquées de son assistante. J’ai profité de ma position de force pour en faire ma soumise et en faire ce que j’aurais aimé faire de toi.— Et je vous en remercie, Maître !! déclare Audrey avec conviction.
Après cette coupure, mon mari reprend son récit qui est loin de me laisser indifférente tant ses doigts jouent avec ma fente lubrifiée par l’excitation.
— Ensuite, il y a ta mère. Je te confirme que c’est une vraie salope mais, je te rassure, tu n’as pas grand-chose à lui envier. Je l’ai surprise en train de se faire défoncer par mon père alors que je passais à l’improviste chez lui. Tu le connais, il ne s’est pas démonté et m’a invité à les rejoindre pour satisfaire ses envies de chienne en chaleur !!— Enfin, Olivier !! Tu pourrais ménager un peu ta belle-mère !! s’écrie Hélène sur un ton faussement offusqué.— C’est pourtant ce que tu es, ma chère belle-mère !!— Je ne peux que te le concéder, mon cher gendre !! répond ma mère avec un large sourire.— Reprenons notre histoire !! Avec ta mère, ça fait bientôt cinq ans que ça dure. Comme tu as pu le deviner, tes parents sont libertins depuis toujours contrairement à l’image qu’ils peuvent donner à l’extérieur. Ton père a rapidement su qu’Hélène était devenu l’esclave sexuelle de mes parents et en a largement profité en la laissant passer des week-ends chez eux alors qu’il partageait ta sœur, Élodie, avec ses amis libertins. Depuis qu’Audrey est devenue ma soumise, je l’ai souvent offerte à tes parents pour qu’ils puissent s’en servir dans leurs soirées avec mon père et ta sœur. J’oubliais, ta sœur n’est pas encore au courant de ta condition de soumise salope mais elle sera surement heureuse de partager ses chaines d’esclave sexuelle avec toi !!
La voix d’olivier s’est faite suave et les doigts qu’il glisse lentement dans ma fente me transportent lentement vers une sourde envie de me faire baiser. Ce discourt qui m’aurait choquée il y a encore quelques semaines fait lentement plonger vers une envie de me donner comme la salope que je suis devenue. Motivée par l’envie d’ans savoir plus, je me permets de poser une question :
— Et mon fils dans tout ça ?— Ton fils, ma chère épouse, a été la clef de tout mes espoirs te concernant. Voilà bientôt deux ans, un week-end où tu étais chez tes parents, au grand désespoir d’Elodie, il est descendu dans cette pièce avec Sarah. Je dois avouer qu’Antoine est le digne fils de son père car il a réussi à soumettre notre bonne et à la transformer en chienne en chaleur. Il pensait être le seul à connaitre l’existence de cette pièce mais s’était sans compter sur la connaissance de tes parents de ce manoir. J’ai donc surpris ton fils en pleine phase de dressage de Sarah et en digne mâle de la famille, il m’a invité à baiser sa soumise avec lui. Dans les semaines qui ont suivi, je lui ai présenté Audrey que nous avons baisée ensemble. Les semaines passant, ton fils a très vite découvert mes relations particulières avec tes parents et mon père et je revois encore le visage épanoui de ta mère se faisant défoncer par le père, le fils et le petit-fils sous le regard bienveillant de son mari.
Je ne peux retenir un gémissement de plaisir en entendant ce discourt de débauche familiale alors que deux doigts de mon époux fouillent maintenant le volcan en éruption de ma vulve de chienne en chaleur. Je gémis de plus belle alors que mon mari poursuit son récit :
— C’est alors que m’est venu l’idée d’employer les compétences de mon fils. Je lui ai demandé s’il était possible de surveiller tes activités sur le Net. Il m’a répondu qu’il n’y avait rien de plus simple et il a fait le nécessaire pour pouvoir t’espionner. Je dois avouer que j’ai fait exprès de te négliger pour voir ce qui allait se passer. Au bout de trois semaines de ce traitement, tu as commencé à visiter des sites pornos puis tes recherches ont lentement glissées vers des sites de rencontre. Parallèlement à ça, ton fils a constaté que tu cherchais désespérément un moyen d’assouvir tes fantasmes. Tout s’est déclenché au moment où tu as fait plusieurs recherches sur les relations incestueuse et que tu as révélé sur un blog envisager te donner à ton fils.— J’avais trop envie de me faire baiser et il m’avait montré sa grosse queue sans le vouloir !! dis-je dans un souffle.— Si tu as vu sa queue, c’était voulu car je lui avais demandé. Il avait déjà très envie de te la mettre dans la bouche, ce jour-là !! J’ai profité de sa maitrise de l’informatique pour que des pubs s’affichent sur les sites de rencontre que tu visitais et que tu ais envie de te rendre sur ce site qu’il a créé de toute pièce. Tu as mordu à l’hameçon et tu t’ais doucement laissée glisser dans ce flot de perversion et de déchéance.— A partir de ce moment-là, tout a été très facile !! déclare mon fils pour terminer l’histoire que son père a commencé. Tous les messages que tu envoyais m’étaient destinés et il m’a été très facile de te manipuler. Le plus bandant, c’est quand tu t’es mise à me trimballer partout sous des prétextes divers et variés. Ce que tu ne savais pas c’est que c’était moi qui menais le jeu et que tu subirais ce viol fictif tant espéré que lorsque papa et moi l’aurions décidé. Ce que tu n’as jamais deviné c’est que, ce soir-là, l’un de tes violeurs n’était autre que ton cher mari. La suite, tu la connais car tu en as été la principale actrice. Cependant, j’ai pris tellement de plaisir à te dominer que ton mari a décidé que j’allais rester ton Maître tant que je le souhaiterai. Tu es donc toujours sa femme mais tu es avant tout ma soumise et il admet que j’aurais toujours la priorité sur lui, te concernant. Son seul plaisir est désormais de te voir te donner comme une chienne soumise à tous ceux que je voudrais bien te donner, lui y compris.— Hummm, je ferai comme vous le souhaitez, Maitre !! dis-je dans un souffle.— Il est désormais admis que tu passeras tes nuits avec moi, qu’Audrey va emménager ici et qu’elle passera ses nuits avec ton mari. Tu seras en permanence vêtue de façon à ce que tous tes orifices soit accessible immédiatement. Toutes les personnes vivant dans cette maison ainsi que tous ceux qui y seront de passage pourront se servir de toi à leur guise sans que tu ais à y redire. Je te prêterai à toute personne ici présente dans cette pièce et à toute personne de leur connaissance. Veux-tu que je dispose ainsi de toi, salope ?— Oui Maître, je suis à vous et vous pouvez disposer de moi comme vous l’entendez.— Je vais donc te prépare ton nouveau contrat que tu me signeras demain. Maintenant je vais te livrer à tous ces gens qui brulent d’envie de profiter de tes charmes de chienne soumise.
A partir de cet instant, je n’ai plus jamais compté le nombre de queues qui se sont introduite dans mes orifices. Il va sans dire que j’ai léché un nombre incalculable de chatte et de trou du cul. Mon Maître m’a introduite dans tous les cercles échangistes de la région où j’ai retrouvé, sous couvert d’anonymat, bon nombre de personnes de la haute société locales s’adonnant à des pratiques qu’ils réprouvent en public. Je me suis maintes fois retrouvée comme centre d’attraction auprès de ma jeune sœur chez mes parents qui s’appliquaient à nous donner en pâture à tous leurs amis libertins qui ne manquaient pas de les accompagner à la messe le week-end suivant.
Pourtant, dans tout ce qui a pu m’arriver par la suite, mes moments préférés ont toujours été ceux où mon Maitre me confiait à son père pour que je l’accompagne dans ses déplacements où il devait rencontrer des clients un peu coriaces. Je lui servais de faire-valoir et, bien souvent, il remportait des contrats juteux après m’avoir fait passer des nuits très mouvementées avec ses clients friqués accompagnée ou non d’Audrey. Mais lorsque les contrats étaient signés, je devenais l’égale de sa soumise et je pouvais partager mes nuits avec eux, avec LUI.
FIN
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