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Mon flic

Chapitre 1

Zoophilie
Mon flic
Nous sommes en deux mille douze, je m’appelle Layla, j’ai vingt-trois ans. Je viens de finir mes études d’ingénieur aéronautique et d’intégrer une équipe d’une grande société d’aéronautique de Toulouse, sous-traitante du gros constructeur local. Je suis originaire de la seine saint Denis, pupille de la nation, mon père, un policier, a été tué il y a douze ans alors qu’il intervenait sur un braquage. Ma famille et mes amis me manquent encore un peu, mais si je veux réussir dans cette branche, je me dois d’être au cœur de l’action. Je vis dans la banlieue de Toulouse en colocation avec Virginie. Dans une maison entourée d’un parc arboré, entièrement fermé, à quelques kilomètres de la société. Elle est de plein pied et comporte un grand salon, trois chambres, deux salles de bain, deux WC et une grande cuisine. Toutes les pièces donnant sur le parc par une grande baie vitrée. J’ai connu Virginie dans mon école d’ingénieur, elle était en seconde année quand je suis arrivé, c’était mon référent, elle a un an de plus que moi, elle m’a bien aidé au début. Elle est originaire de la ville qu’elle m’a fait connaitre.
C’est une grande fille, un mètre soixante-quinze, pour soixante-neuf kilos, jolie, yeux verts, cheveux blonds décolorés qui lui tombent jusque sur ses seins, belle poitrine haute et ferme, bonnet C, hanche fines, jambes longues et bien galbées prolongeant de magnifiques fesses rondes et hautes et un pubis épilé et délicieux. Je le sais car j’y goûte tous les jours, nous sommes amantes. Elle travaille dans une autre société.
Personnellement, je suis un peu plus petite qu’elle, un mètre soixante et onze pour soixante-cinq kilos. Cheveux noirs et lisses allant jusqu’aux fesses, yeux noirs, poitrine haute et encore ferme, un petit bonnet B, mais bien ronds, elle les adore, ventre plat, fesses hautes, pubis lisse comme une peau de bébé et jambes bien galbées. Comme nous sommes toutes les deux naturistes, nous sommes intégralement bronzées.
Virginie a trouvé cette maison l’année dernière quand elle a fini ses études et qu’elle commençait dans sa nouvelle boite. J’étais en dernière année, et elle m’a proposé de prendre avec elle cette maison en colocation. Ayant une bourse suffisante, j’ai accepté, d’autant que la maison n’était pas loin de mon école. Le jour où nous avons emménagé, début juillet, il faisait beau et une fois les copains partis, nous nous sommes mises à l’aise. Elle a enfilé un tee-shirt qui lui arrivait juste en haut des cuisses. Moi, j’ai mis un short de sport et un tee-shirt. Nous avons décidé de ranger pièce par pièce et avons commencé par sa chambre.
Ce n’est qu’au bout de quelques secondes que je me suis aperçu qu’elle était nue sous son tee-shirt. J’ai pu admirer ses magnifiques fesses quand elle se penchait, et son pubis lisse avec un clitoris qui pointait entre ses lèvres quand elle mettait ses affaires sur des étagères. Elle me faisait du rentre-dedans. Je n’avais jamais touché un corps de femme dans l’intention de prendre du plaisir, je n’avais jamais eu de rapports homosexuels, mais j’ai succombé devant un tel corps et l’ai prise dans mes bras pour l’embrasser. Nous n’avions pas fini notre baiser que nous étions déjà allongées sur son lit. Elle m’a déshabillé prestement, faisant valser mes fringues comme son tee-shirt.
Sa bouche a parcouru mon corps, allant des pieds à ma bouche. Je me laisse faire, je veux que mon corps prenne le pouvoir. Mon corps réagissait comme jamais il ne l’avait fait, je sentais une onde me parcourir au fur et à mesure que sa bouche se promenait sur lui. Quand elle est arrivée sur ma vulve, sa langue s’est introduite entre mes lèvres, je ne savais plus ou j’étais, une boule me crispait le ventre, mais quand elle s’est mise à me titiller le clitoris, j’ai explosé dans un gigantesque orgasme. Je n’avais jamais joui comme ça, tout mon corps était parcouru de feux d’artifices, jamais je n’avais ressenti une telle intensité dans le plaisir. Il m’a fallu plusieurs minutes pour revenir à moi, pendant lesquelles une main de Virginie parcourait mon corps en une caresse aérienne.
–Tu as aimé ?–Ça ne s’est pas vu ?–Tu n’as pas crié.–Je ne crie jamais quand je jouis, tout se passe à l’intérieur, mais je peux te dire que je n’ai jamais joui comme ça de ma vie.–Tu avais déjà eu des rapports avec une fille ?–Jamais.–C’est pour ça.–Comment ça ?–C’est pour ça que tu as joui comme jamais, parce que les filles savent donner plus de plaisir car elles savent ce qu’il faut faire pour faire exploser le corps d’une femme.–Bien sûr, mais toutes les femmes ne réagissent pas pareil.–Oh, je n’en ai jamais rencontré qui me résiste. Tu crois que je te résisterais ?

C’est une invite que je ne peux pas esquiver. Je me lève, fait allongé Virginie sur le dos en lui écartant légèrement les jambes. Je promène mes mains sur son corps en n’oubliant aucun centimètre carré, puis ma bouche remplace mes mains et explore son corps en posant des baisers sur toute le surface de sa peau. Je la sens onduler sous mes caresses. Moi-même je m’auto-excite, je sens que ma vulve coule. Ma bouche finit sur ses lèvres intimes. Je suis enivrée par cette odeur et cette douceur. Ma langue écarte les petites lèvres pour pénétrer dans le vagin. Je n’ai jamais ressenti un tel bonheur, j’ai envie de la boire, de m’enivrer de ce nectar qui coule de son sexe. Je remonte un peu pour aller sur son clitoris. Je le lèche, le mordille, le titille. Elle se raidi un peu, pose ses mains sur ma tête et explose dans un magnifique orgasme.
–AAAAAAAAHHHHHHHH, oui, oui.
Je continu tant que je la sens jouir. Quand son corps se détend un peu, je me redresse pour la regarder. Elle est magnifique, ses yeux me déclarent son bonheur. Je m’allonge à côté d’elle pour l’enlacer et la serrer contre moi. C’est la première fois que j’étreins de la sorte un corps de femme, j’ai envie de m’en imprégner, de me fondre dedans.
–Tu vois, toi aussi tu sais faire chanter le corps d’une femme.–Oui, et j’en suis très heureuse.–Tu recommenceras ?–Demande à un aveugle s’il veut voir. –En tout cas, c’est quand tu veux avec moi.–Je peux te dire la même chose.–Tu crois vraiment qu’il nous faut deux lits ?–Non, installons-nous dans cette chambre.
J’ai donc mis mes affaires dans la chambre, à côté des siennes, nous avons donc deux chambres d’amis, et ça dure depuis un peu plus d’un an.
Nous sommes trois nouveaux à intégrer l’équipe en même temps, deux filles, moi et Arielle, et un garçon Enzo. Le responsable du service a organisé une petite fête pour nous présenter au reste de l’équipe. Nous ne sommes pas loin de cinquante dans un grand hangar. Je fais le tour accompagné d’un ingénieur qui me présente toutes les personnes que je n’ai pas encore rencontrées. La soirée est agréable et je rentre chez moi vers les vingt heures. Je suis accueilli par Flic, le jeune dog allemand qu’elle a acheté à la SPA la veille. C’est un adorable chien, gigantesque, mais d’une gentillesse incroyable, il n’a que deux ans et est encore un peu fou.  Virginie m’ouvre, elle porte juste un débardeur très échancré qui lui la couvre à peine jusqu’à la moitié des fesses et montre, plus qu’il ne les couvre, ses magnifiques seins. Je l’enlace et nous nous embrassons avec passion, Flic entre avec moi, il va se coucher sur sa couverture, il a très rapidement pris ses marques et ne nous gêne pas du tout. Nous sommes fin août et il fait encore très chaud, nous allons prendre une douche ensemble ce qui n’est pas de tout repos. Nous ne prenons de douche qu’ensemble et ça se termine toujours par de grands soupirs. Virginie s’accroupie pour m’embrasser le sexe, mais sa langue a vite fait de me faire partir au septième ciel, ce que je lui rends bien volontiers immédiatement après.
Nous restons à poil chez nous, ce qui fait que les mains trainent un peu sur nos corps, ce que nous adorons. Après le diner, nous nous installons sur le divan du salon à écouter de la musique en nous caressant tendrement. Mais Virginie en veut plus, elle me fait allongé sur le divan et commence à me caresser de manière plus incisive. Sa main glisse sur mon corps, passe sur mon ventre, mes hanches, remonte vers mes seins pour redescendre sur mon nombril avant de se poser sur mon pubis. Mon corps répond à ses caresses en ondulant doucement. Je ferme les yeux pour me concentrer sur cette main et goûter au plaisir qu’elle me procure. Elle glisse entre mes cuisses légèrement ouvertes, un doigt pénètre entre mes lèvres pendant que son pouce atterri par inadvertance sur mon clitoris. Je ruissèle, elle se penche pour m’embrasser tout en me malaxant le sexe. Je ne résiste pas longtemps, tout mon corps se tend vers le plaisir qu’il sent venir. Je me laisse aller et joui sur sa main. Je joui toujours en silence, juste un petit son qui sort de ma bouche, à peine audible.
Elle se redresse, je m’assoie et l’attire à moi pour plonger ma bouche sur sa vulve. Ma langue titille son clitoris pendant que mes mains lui caressent les fesses. Elle aussi était demandeuse et se laisse aller à son plaisir en exprimant sa joie assez rapidement.
–Oh oui chérie, oui, oui, je t’aime.
Flic se lève et vient vers nous, il s’assoie à quelques mètres de nous et nous regarde. Virginie s’assoie à côté de moi, nous nous enlaçons et restons sans bouger un petit instant.
–Je crois que nous avons intrigué Flic.–Oui, il doit se demander ce qu’on fait.
Virginie l’appelle et il vient se faire caresser. Nous le caressons toutes les deux, il penche un peu sa tête vers mes jambes en se laissant faire. Je me lève pour aller chercher quelque chose à boire dans la cuisine. Quand je reviens, je me penche pour poser deux verres et une bouteille de coca sur la table basse. Flic est derrière moi et je sens son souffle sur mes cuisses.
–Couché Flic.
Il retourne gentiment sur sa couverture et se couche pour se lécher la bite.
–Je crois qu’il a senti ta cyprine, ça doit l’émoustiller un peu.–Tu crois ?–Ça doit quand même lui rappeler une chienne en chaleur.–Je n’ai rien remarqué de spécial.
Nous buvons notre boisson fraîche en écoutant toujours de la musique et en nous caressant. Tout de même un peu fatiguées par nos journées respectives et devant aller bosser le lendemain, nous allons nous coucher assez tôt. Flic reste sur sa couverture dans le coin du salon. Le lendemain vendredi, en fin de matinée, Arielle vient me voir un peu gênée.
–Layla, j’ai besoin d’un service.–A bon ?–Je me suis disputé avec mon copain, il m’a trompé avec ma sœur, et comme c’est lui le locataire je suis dehors, je ne veux plus les voir ces salauds. Je sais que tu as plusieurs chambres chez toi, est ce que tu pourrais m’héberger ce week-end ?–Juste le week-end ?–Oui, tu peux voir avec Virginie si ça ne la dérange pas ?
Je suis un peu surprise, elle connait Virginie, mais n’est pas au courant de nos relations, et il nous sera impossible de cacher quoi que ce soit à Arielle, nous en sommes incapables. Personnellement, je suis à l’aise dans mes basquettes, je me fous de ce que pensent les autres de ma relation avec Virginie, mais je veux être sûre qu’elle est d’accord.
–Ok, je te dis ça dans une heure.
Je téléphone à Virginie qui accepte, si Arielle a des problèmes avec nous, elle n’aura qu’à s’en aller. A la fin de la journée de travail, vers seize heures, j’amène Arielle chez elle pour qu’elle récupère ses affaires et nous rentrons à la maison. Virginie est déjà rentrée et toujours dans sa tenue plus que légère. Arielle ne bronche pas, elle n’a même pas l’air d’être étonnée. Elle la détaille du regard, j’ai l’impression qu’elle apprécie ce qu’elle voit, d’autant que Virginie ne fait rien pour cacher son corps. Flic vient la voir et se colle à elle, elle le caresse et il reste avec elle, je n’existe pas. Nous amenons Arielle dans sa chambre, Flic reste dans le salon, il a déjà compris qu’il n’avait pas le droit d’aller ailleurs que dans le salon et la cuisine. Nous laissons Arielle ranger un peu ses affaires et allons prendre une douche. Evidemment, nous nous faisons plaisir et Virginie exprime sa joie un peu fort. J’ai quand même un peu de scrupule à aller dans le salon comme d’habitude, à poil alors qu’Arielle est là.
–Tu crois qu’on peut sortir de la salle de bain nues ?–Ecoutes, nous sommes chez nous et nous faisons ce que nous voulons, ceux qui ne sont pas contents n’ont qu’à aller voir ailleurs.–Ok
Nous allons dans le salon dans le plus simple appareil, Virginie va préparer des boissons fraîches pendant que je dispose les transats devant la baie vitrée du salon. Nous nous installons au soleil, allongées sur les transats. Arielle arrive, et surprise, elle est nue.
–Je me suis mise dans la tenue locale, j’ai vu de ma chambre Layla disposer les transats et j’ai décidé de me mettre dans la même tenue, surtout que j’adore être nue.
Ça se voit car elle est intégralement bronzée.
–Et tu vas ou pour bronzer comme ça ?–Montalivet, et vous ?–Cette année, nous avons essayé le Cap, et je dois dire que nous y retournerons, on s’est bien amusé.
Maintenant qu’elle est nue devant moi, je peux mieux la détailler. C’est ma copie, même taille, même ventre plat, même hanches, même cheveux longs, juste un peu plus de poitrine et comme nous, intégralement épilée, comme presque tous les naturistes. Elle s’installe en face de nous, nous sommes disposées en étoile autour d’une petite table basse ronde. Elle a les jambes un peu écartées, je peux voir son clitoris qui émerge en haut de ses lèvres. Flic vient nous rejoindre, mais il se met à côté d’Arielle, il a l’air de bien l’aimer. Arielle le caresse, lui tapote un peu la tête, il s’assoie et pose sa tête sur une de ses cuisses, le nez en direction de son entre cuisse. Cela n’a pas l’air de la déranger, et nous discutons de tout et de rien pendant une bonne heure. Je remarque tout de même que son entre cuisse brille un peu plus que tout à l’heure.
Mais le soleil est descendu et les arbres le cachent, nous sommes à l’ombre et décidons de rentrer dans la maison. Flic ne décolle pas Arielle d’une semelle, il la suit comme s’il était aimanté. Ça n’a pas l’air de la gêner.
–Si Flic te gêne, tu lui dis d’aller se coucher.–Non, il ne me gêne pas du tout, j’adore les gros chiens.…/…
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