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Mon flic

Chapitre 3

Zoophilie
Arielle caresse Flic, sa main descend sous son ventre et arrive sur son sexe et s’en saisi. Il bande déjà un peu, mais elle le branle un peu. Quand son sexe est sorti sur six ou sept centimètres, il commence à goûter. Elle se penche sous lui et le gobe pour le faire encore plus grossir, il se laisse faire. Quand elle juge qu’il est prêt, elle le libère et se positionne devant lui. Il n’hésite pas une seconde et lui saute dessus. Il donne des coups de reins, mais sa bite passe entre ses cuisses. Avant qu’elle ne s’en saisisse et le guide, je me suis levé et ai pris son sexe en main pour le diriger vers sa vulve.
–Merci.
Il s’enfonce en elle d’un seul coup et la pistonne violement sur toute la longueur de son sexe. Ce contact avec une bite de chien ne m’a pas laissé indifférente, je reste à côté d’elle pour mieux voir ce sexe la labourer. Virginie vient me rejoindre, comme moi, elle est fascinée par ce spectacle.
–Quelle vigueur.–Oui, je crois que je vais essayer.–Moi aussi, amis sans passer par l’étape fellation.–Tu as tords, c’est délicieux.
Arielle nous regarde en savourant l’instant qu’elle est en train de vivre, il est évident qu’elle est au paradis et qu’elle prend un super pied. Je vois une boule se former à la base de sa bite, c’est ce que j’ai vu hier, il va lui introduire. Au bout d’un bon moment, Flic ralenti et donne un coup de rein un peu plus important pour faire disparaitre sa boule dans la vulve d’Arielle. Elle pousse un petit cri.
–AAAAAHHHHH, Ça y est, je suis sa chienne, il se vide en moi, il me remplit de son sperme, je vais finir par jouir, je sens que je pars, oui, oui, je joui, je joui, oui, oui, AAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHH.
Elle secoue sa tête, tremble de tout son corps et finit par s’écrouler le visage à terre, mais ses fesses sont toujours à bonne hauteur et Flic continu de se vider en elle. Flic ne bouge presque plus, il se retourne, mais reste coincé dans le sexe d’Arielle.
–Ne vous en faites pas, je sais comment faire pour abréger le verrouillage.
Quelques secondes plus tard, le sexe de Flic sort en faisant un bruit de ventouse. Ce n’est pas très glamour. Arielle a l’air parfaitement heureuse, elle est détendue, calme, sereine. Elle s’allonge sur le dos sur l’herbe. Flic vient entre ses jambes et commence à lui lécher la vulve. Sa langue va chercher son sperme, mais surtout, elle passe à chaque coup sur son clitoris. Arielle ne met pas longtemps à jouir une nouvelle fois.
–AAAAAAAAAHHHHHHHHH
Flic continu, sa langue s’active toujours sur son sexe, elle écarte au maximum ses jambes et explose encore une fois. Mais Flic ne s’arrête pas, il lèche toujours ce délicieux fruit, Arielle jouit une troisième fois. Ça va durer une demi-heure, jusqu’à ce qu’Arielle lui demande de s’arrêter, pendant lesquelles, elle jouira au moins dix fois. Quand Flic s’arrête, elle est incapable de se lever, elle reste inerte sur l’herbe, les jambes grandes ouvertes qui laissent voir un clitoris gonflé à l’extrême et des lèvres rouge vif. Elle ferme les yeux et apprécie à sa juste valeur ce moment de plénitude. Il est presque midi, nous la laissons pour aller préparer à manger. Un quart d’heure plus tard, elle nous rejoint dans la cuisine.
–Ce chien est dressé pour ça, on lui a appris à ne pas s’arrêter tant qu’on ne lui demande pas. Je n’ai jamais vu un chien faire ce qu’il vient de faire, en général, ils se contentent de te baiser, quelques fois ils te lèchent, mais une ou deux fois, pas pendant plus d’une demi-heure. Vous allez vous régaler avec ce chien les filles.–Si on aime ça.–Alors là, je n’en doute pas, je suis prête à prendre de gros paris.–Ça ira comme ça.–Ça ne vous a pas plu tout à l’heure ?–Oui, mais il ne nous a pas encore baisées.–Et tu verras quand il te sodomisera.–On en est pas encore là.–On verra bien.–Pour l’instant, à table.
Le repas léger est vite pris, quelque chose d’autre nous attend, inconsciemment nos esprits sont fixés sur ce qui va se passer, nos corps sont impatients. Une fois tout rangé, nous retournons dans le parc.
–A qui l’honneur ?–Je crois que cela revient à la propriétaire.–Ok, j’y vais.–Mais d’abord, il faut bien la préparer, allonge toi sur ton transat.
Virginie s’allonge, Arielle se penche sur son sexe et commence un délicieux broute minou. Quand elle sent que Virginie est prête, elle se redresse.
–Mets-toi à quatre pattes.
Elle s’exécute sur l’herbe, Arielle prend Flic par son collier et l’amène derrière elle. Flic approche son museau vers les lèvres de Virginie, je vois son sexe sortir doucement, il donne un coup de langue et commence à avoir envie de lui monter dessus. Arielle le maintien encore quelques secondes, quand elle juge que sa queue est suffisamment sortie, elle le libère. Il saute sur le dos de Virginie, il est immédiatement en position, je n’ai pas le temps de me saisir de sa bite pour la guider qu’il lui plante du premier coup dans le vagin.
–Oh putain, quelle énergie.
Flic se défonce dans l’antre de sa maîtresse, il donne de grands coups de rein à un rythme endiablé.
–Oh oui, oui, oh la la, oh la la, quelle bite.
Virginie se pâme de plaisir, elle savoure cette belle bite qui la besogne comme nulle autre ne pourrait le faire. Flic est en forme, il maintient un rythme infernal pendant plus de cinq minutes, Virginie reste la bouche ouverte, les yeux exorbités, elle se concentre sur ce sexe qui la possède. Flic ralenti pour donner un dernier coup de rein qui introduit sa boule.
–Oh la vache, quel morceau, il me remplit entièrement, oh oui, son sperme, il se vide, je suis pleine, vas-y mon chien, vas-y, vide toi dans maman, vide toi, rempli moi la chatte, la chatte ah ah ah, oui mon chien, dans la chatte. Oh, je jouis, je jouis, AAAAAAAAHHHHHHHH
Je suis sidérée, depuis un an que je vis avec elle, jamais je ne l’ai entendu divaguer comme ça, elle est dans un état second. Flic se retourne, ils sont scotchés, du sperme s’échappe de son sexe, mais très vite, ils se dissocient. Je suis obligé d’aider Virginie à se lever.
–Quel pied, jamais je ne m’étais faites limer comme ça. –Je trouve que tu as un vocabulaire très imagé d’un seul coup.–Et tu n’as encore rien entendu ma chérie, n’oublie pas que je suis la toute dernière d’une fratrie de six enfants dont cinq garçons.–Ça promet.–Je vais prendre une douche, ne fais rien avant que je ne revienne.–Ok
Virginie va prendre sa douche en posant sa main sur son sexe pendant qu’Arielle caresse Flic pour le calmer. Moi, je suis dans tous mes états, je sens que je ruisselle, voir Flic prendre Virginie de la sorte ne m’a pas laissée indifférente, non seulement ça m’a excité un maximum, mais ça m’a aussi donné envie de faire comme elle. Maintenant, je n’attends plus que le moment ou Flic pourra recommencer avec moi.
–Tu as envie, je vois que tes lèvres brillent.–Oui, je n’attends que ça, je suis prête et je sens mon sexe lui aussi prêt à le recevoir.
Arielle vient vers moi en tenant flic par son collier. Heureusement qu’il est très doux et qu’il a été bien éduqué, car aucune de nous ne ferions le poids s’il s’énervait. Il vient devant moi, baisse un peu la tête pour venir renifler entre mes cuisses. Il comprend très vite que je suis excitée et donne un coup de langue entre mes cuisses et remonte sur mon clitoris. Une décharge électrique me parcoure le corps, j’écarte les cuisses au maximum pour laisser sa langue passer entre mes lèvres et sur mon clitoris. Flic a l’air d’aimer ce qu’il trouve entre mes cuisses, mais le principal, c’est que sa bite sort doucement de son fourreau.
–Il commence à bander, il va pouvoir te prendre.–Je dois attendre Virginie.–Je suis là.
Virginie déboule dans la pièce, elle vient vers moi, m’embrasse et me caresse les fesses et les seins.
–Tu es prête ma chérie, à toi maintenant, mets-toi à quatre pattes.
Je m’exécute sur l’herbe, Arielle amène Flic derrière moi qui me monte dessus instantanément et donne de grands coups de rein. Je sens sa bite qui tape sur ma cuisse gauche, Virginie s’en empare et la dirige vers mon nid d’amour. Elle s’enfonce d’un seul coup sur toute sa longueur, je sens les poils des cuisses de Flic sur mes fesses. Flic donne de coups de rein à un rythme infernal, il me serre avec ses pattes, tout en m’écrasant de son poids. J’ai du mal à respirer, mais le plaisir l’emporte, cette bite qui me laboure le vagin me fait tout oublier sauf mon sexe qui répond à cette pénétration inhabituelle. Flic ne ralenti pas, mon corps réagit, il m’envoie des ondes de plaisir qui se transforment en un magnifique orgasme. Contrairement à mon habitude, je ne peux m’empêcher d’exprimer ma joie.
–Oh oui, oui, quel pied, oui, oui, oui, encore, je jouis, je juoiiiiiiiiiiiiiiiiis, AAAAAAAAHHHHHHHH.
Mes bras me trahissent et se replient sous moi, ma tête tombe à terre, mais mes fesses restent toujours à la bonne hauteur et Flic ne ralenti pas son rythme, sa bite sort de temps en temps pour me perforer à nouveau immédiatement. Deux minutes plus tard, je joui de nouveau, mais là, je divague complètement.
–Oui, oui, vas-y mon chien, vas-y, défonce ta chienne, baise moi, je suis ta femelle, ta chienne, ta chose, rempli moi, féconde moi, encore, encore, ta bite, AAAAAAAAHHHHHHHH
Je vois Arielle et Virginie qui me regardent avec un petit peu stupeur et de jalousie, elles n’ont pas joui comme moi. Flic ralenti d’un seul coup et m’enfonce sa boule violemment. Là, je ressens une petite douleur vite compensée par un nouvel orgasme déclenché par ses jets de sperme qui me remplissent le cul.
–AAAAAAAAHHHHHHHH, oui, rempli moi, féconde moi, oui, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Je suis à bout, mon corps n’a plus de ressort et je m’écroule par terre en libérant Flic. Le trop plein de sperme coule sur ma cuisse. Arielle et Virginie se penchent pour me remettre debout et me m’allonger sur le divan.
–Non, une douche.
Elles m’amènent dans la salle de bain, le sperme coule le long de mes cuisses. Arielle règle l’eau et nous allons toutes les trois sous la cascade d’eau chaude et reposante. Des mains me caressent les fesses, le ventre, les seins, le sexe, je caresse des seins, des fesses, des sexes. Nous jouons avec nos corps pendant dix bonnes minutes et ne sortons de la douche que quand nous avons joui toutes les trois. Quand nous retournons au salon, Flic est entré et s’est mis sur sa couverture, il se lèche le sexe. Il nous regarde arriver, mais retourne à ses ablutions.…/…
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