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Mon flic

Chapitre 4

Zoophilie
Nous retournons au parc pour nous allonger sur nos transats avec une boisson fraîche. Le soleil plombe et réchauffe nos peaux. Nous discutons de tout et de rien, mais l’ambiance n’est pas à la franche rigolade, il y a dans l’atmosphère une sorte de non-dit, de gêne. C’est Arielle qui débloque la situation.
–Bon, c’est bien beau de se faire baiser par un chien, mais c’est encore plus excitant et jouissif de se faire enculer par un chien.–Tu as déjà essayé ?–Bien sûr, et je dois dire que c’est ce que je préfère, mais si on veut que ce soit agréable, il faut se préparer.–Comment ça ?–Il faut être nickel du fion, c’est-à-dire se vider et se rincer.–Je vois et on fait ça où ?–Aux toilettes et après, dans une douche, mais ne vous en faites pas, j’ai tout ce qu’il faut, je ne m’en sépare jamais. Vous êtes partantes les filles ?–Moi oui, et toi Layla ?–Pourquoi ne pas essayer, mais je dois te dire que je suis vierge de ce côté-là.–Vous as déjà été sodomisée Virginie ?–Moi oui, et je dois dire que ça m’a bien plu.–Ok, il va falloir préparer Layla plus particulièrement, allons d’abord nous préparer.
Nous nous préparons en suivant les directives d’Arielle. Au bout d’une demi-heure, nous retournons sur les transats en attendant Arielle qui est allé chercher quelque chose dans ses affaires. Elle revient avec un gode ceinture et une boite. La culotte du gode contient deux godes à l’intérieur et un à l’extérieur.
–Ça, c’est pour Layla, je vais te dépuceler le cul si tu veux bien.–Bien sûr que je veux, mais c’est quoi ces godes à l’intérieur ?–C’est pour moi, regarde.
Elle enfile la ceinture, se positionne au-dessus des godes et se les enfonce, un devant, l’autre derrière.
–Comme ça, je me baise et m’encule en même temps que je t’encule.–Ça a l’air super.
–Oui, mais pour l’instant, mets-toi à quatre pattes.
Je m’agenouille sur l’herbe et pose mes mains sur le sol. Arielle me passe un produit visqueux sur l’anus.
–Tu me dis si je te fais mal.–Ok.
Elle m’enfonce doucement un doigt dans le fondement. Il entre sans problème. Elle fait des va et vient jusqu’à ce que son doigt glisse librement. Elle ajoute un second doigt et recommence ses va et vient. Ceci jusqu’à ce qu’elle utilise trois doigts. Quand ils vont librement dans mon anus, elle arrête et pose ses mains sur mes hanches. Je sens un objet dur se glisser jusqu’à ma rondelle et forcer le passage.
–Ça va ?–Oui
L’objet s’enfonce un peu plus et écarte ma rondelle qui le laisse passer. Je sens mon sphincter se dilater, une douleur minime apparaît, mais je ne dis rien, je veux aller jusqu’au bout. La douleur s’estompe et je fini par sentir le haut des cuisses d’Arielle sur mes fesses.
–Voilà, il est au fond.–Vas-y, dépucèle-moi à fond.
Arielle commence des va et vient, Virginie me caresse sur tout le corps en insistant un peu sur les seins qu’elle adore. Je sens mon sphincter s’assouplir de plus en plus au point que je ne sens plus très bien le gode qui me besogne. Flic est à côté de moi, il sent l’odeur de la cyprine qui sort de mon sexe.
–Tu es prête ?–Oui, à son tour.
Arielle se dégage, Virginie amène Flic derrière moi qui me monte dessus immédiatement et commence à vouloir me baiser, sa bite s’enfonce dans mon vagin, mais ce n’est pas ce que je veux. Arielle le dégage et guide sa bite vers ma rondelle. Il s’enfonce d’un seul coup, heureusement qu’Arielle m’a préparé, car malgré ça, je ressens une douleur vive. Je serre les dents, et la douleur disparait lentement au point de devenir plaisir. Flic me défonce à toute vitesse, ses coups de reins sont violents et profonds, à tel point que sa bite sort de temps en temps pour me perforer l’oignon aussitôt après. Je découvre de nouveaux horizons, c’est la première fois que je me fais enculer, mais j’aime beaucoup, mon cul est aussi érogène que mon vagin. Je sens mon corps s’éveiller au plaisir qui monte doucement pour finir par exploser en un merveilleux feu d’artifice. Encore une fois, je m’exprime.
–OOOOOOOOOHHHHHHHHH, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Flic ne s’arrête pas, mon plaisir l’indiffère, et c’est ce que j’aime, il continu à m’enculer avec hardiesse. De nouveau le plaisir monte et j’explose encore.
–AAAAAAHHHHHH
Il donne un dernier coup de rein et enfonce sa boule entièrement. Ça, je le sens passer, je ressens violente douleur au moment de la pénétration vite atténuée par le plaisir de le sentir se vider dans mes entrailles. Quand il s’est bien vidé, il se retourne, mais nous restons bloqués.
–Ça va durer une dizaine de minutes.–On ne peut pas se libérer comme tout à l’heure ?–Non, le sphincter est moins souple, il se contracte et reste bloqué un petit moment, mais profite de ce monstre dans tes entrailles.
Pour profiter, je profite. Il reste immobile, pour lui, c’est tout à fait normal, il vient de féconder sa femelle et reste bloqué pour que son sperme reste en moi pour me féconder. Pendant que j’attends d’être libérée, Arielle prépare Virginie en l’enculant avec son gode. Une douzaine de minutes plus tard, sa boule a suffisamment diminué pour me libérer. Je me redresse, Virginie me prend dans ses bras.
–C’était bon ?–Super, à ton tour.–Oh oui, je n’attends que ça.–Ok les filles, mais il faut laisser un peu de temps à Flic, mais je vais te préparer.–Et pourquoi c’est toujours toi ?–Je te laisse volontiers ma place.
Elle enlève la ceinture et me la donne. Je l’enfile et me plante les deux godes dans ma chatte et mon cul. C’est une sensation super d’être prise par mes deux trous en même temps. Virginie se met à quatre pattes devant moi, je m’agenouille derrière elle. Arielle lui passe de la graisse sur l’anus et je me positionne pour lui défoncer le cul. Le gland du gode se fraye un passage entre ses fesses et arrive sur sa rondelle.
–Vas-y.
Je pousse un peu plus et son cul englouti le gode d’une seule traite. Je commence mes va et vient, mais tout en donnant du plaisir à ma chérie, j’en prends autant. Les deux godes bougent dans mes orifices et font monter le plaisir en même temps que le fais monter celui de Virginie. Je la sodomise pendant de longues minutes, mais, aussi paradoxale que ça puisse paraître, c’est moi qui jouit, mais là, silencieusement. Virginie me connaissant bien s’en rend compte.
–Mais tu prends ton pied ma parole.–Oui.
Je continu tout de même mes va et vient pendant qu’Arielle ajoute un peu de graisse de temps en temps.
–Je crois qu’il est temps.
Je libère Virginie, Arielle amène Flic qui lui saute dessus et lui plante son dard d’un seul coup dans le fion.
–Oh oui, il ne m’a pas raté.
Flic se déchaîne, il donne de violents coups de reins, mais Virginie recommence ses divagations.
–Oh oui, vas-y, défonce moi l’ognon, encule-moi mon chien, encule maman, elle aime ça cette chienne, cette salope de chienne, vas-y, bourre moi, tringle moi, tronche moi, farci moi le fion.
Encore une fois, je suis sidérée par ce langage, mais je réalise qu’elle n’est pas dans son état normal, qu’elle vit un moment intense de plaisir. Elle ne tarde pas à jouir.
–Oui, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiii, vas-y mon chien, tu me fais jouir, oui, oui, encore.
Flic ne se le fait pas dire deux fois, il continu de la besogner avec vigueur. Quelques minutes plus tard, elle repart au septième ciel.
–OOOOOOOOOOOOOOOHHHHHHHHHHHHHHH
Cette fois, sa jouissance est plus profonde, plus intérieure. Mais je ne peux m’empêcher de me coucher sous elle et de mettre ma tête entre ses jambes. Je suis aux premières loges, je peux vois ce phallus entrer et sortir du fion de ma chérie et lui donner tout ce bonheur. La boule grossie et prend des proportions inquiétantes, c’est à ce moment que je réalise qu’il m’a mis la même chose dans le fion et que je l’ai accepté sans trop de problèmes. Il donne un violent coup et la boule disparait dans ses entrailles. Je le vois se raidir par saccades, il se vide en elle. Je me redresse un peu et pose ma langue sur son clitoris. Elle explose.
–AAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHH, oui ma chérie, oui, oui, oui.
Flic se retourne et, comme avec moi, reste bloqué. Il s’immobilise et attend. Je suis sur l’herbe, sur le dos. J’ai toujours la ceinture gode. Arielle me chevauche en s’agenouillant face à moi. Elle se laisse descendre doucement sur moi. Son fion bien graissé arrive sur le gode externe et le gobe sans hésitation. Elle monte et descend dessus en en retirant un plaisir certain. Elle se caresse, se touche le clitoris, se pince les seins pour finir par jouir.
–MMMMMMMMMMMMMMMMMMMM
Juste un son, amis elle continu de se sodomiser sur moi.
–MMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM
Elle jouit coup sur coup plusieurs fois, jusqu’à ce que Flic libère Virginie. Elle se redresse et m’aide à ma lever. Nous levons Virginie et l’allongeons sur son transat.
–Oh lala quel pied, c’est vrai Arielle, je crois que je préfère comme ça. en tout cas, je peux t’assurer que je n’ai plus besoin d’homme, surtout que ce n’était pas la tasse de thé.–Moi aussi, je crois qu’on a trouvé notre amant, mais si tu veux, on peut partager avec toi.–Bien sûr que je veux, je peux vous assurer que je viendrais souvent vous voir, j’espère que vous m’accueillerez. –Bien sûr, tu es notre professeur, mais tu ne veux pas en profiter ?–Dans un moment, il faut qu’il récupère un peu le pauvre.
Nous nous installons à côté de Virginie, moi à droite, elle à gauche et serrant nos transats. J’appelle Flic qui vient tout de suite. J’ai les jambes grandes ouvertes et je suis sûr que l’odeur qui se dégage de mon sexe va l’inciter à prendre des initiatives. Il n’hésite pas une seconde et plonge sa tête entre mes cuisses. Sa langue s’active sur ma vulve allant du périnée au clitoris. Bien sûr, il ne faut que quelques minutes que je parte en vrille.
–OOOOOOOOOHHHHHHHHH
Je m’étonne moi-même de réagir en m’exprimant comme ça, il faut croire que c’est très fort. Je repousse Flic qui remarque les cuisses ouvertes de Virginie et va se consoler entres elles. Comme moi, Virginie explose dans un bel orgasme. Virginie le repousse à son tour et il va s’occuper d’Arielle, mais dès qu’elle a jouit, elle se lève et se met à quatre pattes. Flic a repris des forces, son sexe est complètement sorti, il saute sur elle et lui plante son sexe dans le vagin. Elle se libère et le guide dans le bon trou.
Virginie se couche sous elle pour s’occuper de son clitoris, moi, je m’occupe de ses seins que j’adore. Flic la besogne longuement, elle jouit cinq fois de suite sous les assauts de Flic et nos caresses. Cette fille est une véritable machine à jouir, son corps est fait pour ça, et elle aime ça. Flic la verrouille avec sa boule, nous continuons nos caresses, et elle jouit encore deux fois. Quand il finit par la libérer, nous décidons d’aller prendre une douche toutes les trois. Nous sommes obligées de soutenir Arielle qui est dans un autre monde. L’après-midi se passe normalement, nous nous relaxons sur les transats sans oublier de nous faite un petit plaisir de temps en temps. Flic est entré dans le salon, il doit en avoir marre.
En définitive, Arielle n’a jamais quitté la maison, elle s’est installée avec nous. Nous avons acheté un grand lit rond, c’était un peu serré à trois dans un cent soixante. Nous avons aménagé la plus grande chambre avec une douche à l’italienne dans un coin et une grande baignoire transparente sur une estrade au-dessus du lit, comme ça, nous sommes toujours ensembles.
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