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Mon frère me dévergonde

Chapitre 1

Je suis des cours pour devenir une salope

Inceste
Je m’appelle Julie, je vis à la campagne pas loin de Cruas dans l’Ardèche. C’est un coin tranquille et calme... trop calme. Je m’ennuie terriblement chaque jour, et je ne peux même pas me distraire en surfant sur internet, on est en zone blanche.
Le plus souvent, j’occupe mes journées en me baladant avec mes trois meilleures amies. On se promène au milieu des prés, des chèvres et des vaches et on bavarde. C’est agréable, mais c’est aussi très chiant. Et puis j’ai l’impression de faire tache parmi elles. C’est des filles simples qui ont des plans d’avenir tout tracés. L’une veut reprendre la boulangerie de son papa, une autre souhaite travailler à la ferme familiale, et la dernière est un juste un peu simple (mais gentille.).
Moi je rêve d’aller en ville, à PARIS ! de poursuivre mes études et de devenir une patronne. J’ai de l’ambition, et des envies d’ailleurs. Des envies qui vont se réaliser ; à la fin du mois d’août, je pars à la capitale pour étudier en fac... Tout serait parfait sauf que j’ai la trouille. J’ai bien conscience d’être une cul-terreuse, une petite ardéchoise qui ne connaît rien à la vie en ville. Alors chaque fois que mon frère revient, je l’assaille de questions.
Mon frère, c’est Marc, lui aussi fait ses études à Paris. Il passe un doctorat ! Alors je lui demande comment s’habillent les filles dans son université, combien de fois il faut faire la bise, si c’est bien vu de dire qu’on vient de la campagne... il y a tellement de choses que j’ignore... Je sais que je l’agace avec mes questions, mais c’est le seul mec à qui je peux les poser. Les garçons du coin sont encore plus pécores que les filles ; une fois, je suis sortie avec un de ces garçons de la campagne et ça s’est mal passé. Je me souviens qu’on s’embrassait et qu’il voulait aller plus loin, alors je lui ai demandé :
« T’as un préservatif ?
— Non, jamais je mettrais un truc comme ça, c’est pour les pédés.
— Mais je risque de tomber enceinte.
— Bah et alors ? Les vaches font bien des veaux, et tant mieux. »
Inutile de dire que j’ai mal pris d’être comparée à une vache. De toute façon à la campagne, les femmes c’est juste censé s’occuper de la maison. Je n’avais aucune envie de rester avec des bouffons pareils.
Pour en revenir à mon frère, il est justement de retour de Paris. Hier, on a festonné pour fêter son arrivée et aujourd’hui, Maman est partie à la ville où elle travaille comme coiffeuse. Du coup dès le petit-déjeuner, je questionne mon frère :
« Et tu as des petites amies là-bas ?
— Oh oui ! Tu sais, en ville c’est très différent d’ici. Coucher c’est courant, c’est même comme ça qu’on se fait des réseaux.
— Des réseaux ?

— Oui, on se fait des relations qui seront utiles plus tard. C’est pour ça, il faut pas hésiter à coucher...
— Sérieux ? (je rougissais un peu), mais tu es sorti avec plusieurs filles alors ? Genre trois ?
— Ahahaha ! T’es loin du compte. En fac, on baise comme jamais, on est rarement avec la même fille d’un mois sur l’autre. Depuis le début de l’année, je suis sorti avec au moins huit gonzesses. Et c’est sans compter les coups d’un soir...
— Les coups d’un soir ?
— Eh bien oui. Tu vois il y a des fêtes organisées chaque semaine, et si tu ne veux pas passer pour le dernier des ringards, il faut coucher avec des filles à ces soirées.
— Mais ces filles, c’est des putes ?
— Mais non ! c’est des étudiantes aussi... Tu sais, à Paris c’n’est pas comme ici, les filles sont pas coincées. Elles savent que baiser, ça fait partie du cursus. Ça leur permet de se faire des relations, et de l’expérience.
— Comment ça ?
— Pour les relations, c’est simple. Un garçon va avoir du mal à refuser de partager son travail avec une fille avec qui il a couché. C’est important parce qu’il faut publier des articles dans des journaux scientifiques, et ça permet à certaines filles d’ajouter leur nom en signature.
— Oh ! Et pour l’expérience ?
— C’est simple, tu sais, ici, une fille qui couche avec tout le monde c’est mal vu.
— Oui. »
C’était pour ça aussi que je ne veux pas coucher avec des garçons, j’aurais trop honte d’aller acheter des préservatifs ou des pilules à la pharmacie.
« En ville, une fille qui couche beaucoup, souvent ça veut dire que c’est un bon coup. Enfin... c’est plus compliqué que ça, on en parle entre mecs, on se donne les bons tuyaux... On discute pour savoir celle qui est la meilleure pour faire bander un mec, de celle qui suce le mieux... »
Je rougis encore plus en entendant mon frère expliquer comment les garçons voient les filles à la fac. Moi qui pensais qu’en université, c’était l’intelligence qui comptait, je me trompais lourdement. C’était tout le contraire, c’était la beauté et le physique qui vous assuraient un avenir. Mon frère poursuivait :
« Et les filles dont on dit du bien, on cherche à coucher avec. C’est un genre de cercle vertueux. Plus une fille assure au lit, plus elle a des prétendants potentiels, et plus elle peut choisir judicieusement avec qui baiser... Celui qui est intelligent, beau et riche par exemple. »
Je reste silencieuse le temps de réfléchir à tout ça. Car ce qu’il me dit m’inquiète beaucoup, alors je demande :
« Mais... si les garçons disent d’une fille que c’est un mauvais coup alors...
— C’est embêtant pour elle, personne ne voudra travailler avec elle, parce que personne ne sera intéressé à coucher avec elle. Alors elle aura de moins bons résultats et, au final, elle risque d’échouer à son diplôme.
— Mais c’est horrible ! On va se moquer de moi ! J’ai jamais couché avec personne !
— T’es sérieuse ?! C’est embêtant ça... Enfin tu sais quand même sucer ? »
Je suis affreusement embarrassée par la question de mon frère, non seulement c’est une question intime, mais en plus je dois avouer mon inexpérience quasi totale.
« Non... mais j’ai déjà embrassé un mec.
— Ma pauvre, tu vas être bien dépaysée là-bas...
— Je ne peux pas rater mes études ! Je veux pas revenir ici en ayant été recalée !
— T’en fais pas... Tu as quand même tes chances, tu n’es pas idiote.
— Non ! Non ! Non ! Je veux pas prendre de risque, il faut que j’apprenne à plaire aux garçons. »
Mon frère me regarde attentivement, il se caresse le menton comme s’il est en pleine réflexion, puis il lâche un soupir et déclare :
« Bon, je veux bien t’aider. »
Je me jette dans ses bras : « T’es le meilleur grand frère du monde ! » Je le sers fort fort fort pendant deux bonnes minutes avant de relâcher mon étreinte.
« Alors par quoi je commence ?
— D’abord, décris-toi.
— Me décrire ?
— Oui, je veux savoir de quelle façon tu te perçois.
— Euh... Alors je suis blonde, j’ai des yeux verts, je mesure un mètre soixante-dix, je chausse du quarante. Euh... je suis blanche, je suis Ardéchoise. Voilà.
— C’est très mauvais. C’est pas du tout comme ça que les garçons vont te voir. Déjà il faut te rendre sexy. À chaque caractéristique physique, trouve-toi une qualité sensuelle, et ensuite insiste sur euh... les parties plus... intimes.
— Intime ?
— Tes seins, tes fesses, ta chatte.
— Oh... »
Mon visage prend une couleur pivoine, j’ai honte de parler de ces choses-là à mon frère, mais c’était nécessaire si je veux avoir une chance à Paris.
« Reprends, mets-toi en valeur !
— OK... Alors, j’ai les cheveux blonds comme les prés, mon visage est sensuel, fin et doux, et j’ai un petit nez mutin. Si on regarde mes yeux attentivement, on devine que je suis douce et docile. J’ai de gros seins, presque comme des pastèques, avec ça il y a de quoi me palucher. Mes jambes sont galbées, et mes fesses ont la forme d’un cœur. Quant à ma chatte... euh... qu’est-ce que je peux dire ?
— Comment elle est rasée, est-ce qu’elle mouille facilement, ce genre de chose.
— Oh... » je baissais la tête n’osant même plus regarder mon frère dans les yeux. « Ma chatte n’est pas rasée, et je mouille normalement, je pense.
— Ça ne va pas du tout ! Il va falloir que tu t’épiles, toutes les étudiantes ont une chatte bien entretenue, c’est un minimum. Bon, comme tu es ma sœur, je vais te dire ce que les garçons préfèrent : c’est le ticket de métro.
— Un ticket de métro ? Quel rapport avec ma euh... chatte.
— T’es vraiment pas à la page. Ticket de métro, ça veut dire, rasé en rectangle et de la taille d’un ticket de métro... Tiens... » il me tend un ticket. « Tu vas aller dans la salle de bain et tu ne ressortiras que quand ta chatte aura la même taille que ça. »
Je vais dans la salle de bain, j’ai l’impression d’être une souillon, je vais faire des coquineries pendant que mon frère attend en sachant ce que je m’apprête à faire. Une fois dans la salle de bain, je retire ma jupe à fleurs puis ma petite culotte blanche. Je regarde mon petit minou qui était couvert de poil dru... c’est vrai que les garçons ne doivent pas trouver ça bien excitant, j’aurais eu l’air vraiment sotte si un garçon de la ville voyait ça.
C’est alors que j’ai un gros doute, et si je ratais ? Si je rase mal ma petite chatte qu’elle ne ressemble plus à rien ! J’aurais l’air encore plus ridicule ! Je passe la tête par la porte et crie :
« Marc, tu peux venir une seconde ? »
Je l’entends arriver et je me rhabille avant qu’il n’entre. Puis, je lui fais part de mes doutes :
« Si je rate ! Si ça a une forme moche ! J’aurais l’air d’une vraie idiote. Je sais pas quoi faire !
— Tu n’es vraiment pas dégourdie. Mais c’est vrai que tu n’as jamais été douée de tes dix doigts... Bon, pour cette fois je vais t’aider, mais la prochaine fois, tu devras te débrouiller toute seule.
— Merci ! T’es vraiment super !
— Ouais... Bon... qu’est-ce que tu attends ?
— Comment ça ?
— Eh bien, je veux bien te raser la chatoune, mais je ne vais pas retirer tes vêtements à ta place. T’es une grande fille maintenant, non ? Tu sais te déshabiller toute seule.»
Mince ! Je suis vraiment idiote, je n’ai pas réalisé que je vais devoir me mettre presque toute nue devant mon grand frère. Tout d’un coup, j’hésite, je peux tenter de me raser la chatte toute seule... Mais déjà qu’il me pense nunuche, si en plus il pense que je suis girouette, il risque d’arrêter de me conseiller.
Je retire ma fine jupette à imprimé à fleurs, puis ma petite culotte. Je vois que mon frère rougit lui aussi, mais il réussit à garder une expression relativement neutre. Il faut dire que lui, il a l’habitude de voir des minous à Paris...
« Écarte les jambes, que je m’approche. »
Je m’assois sur la baignoire et ouvre mes cuisses, il peut maintenant voir ma petite fente. Malgré la honte que j’ai de demander à mon frère de m’aider à cet endroit, je me sens un peu excitée. C’est la première fois qu’un homme me voit aussi nue...
« Dis-moi, tu prétendais que tu mouillais normalement, mais j’ai l’impression que t’es une vraie petite dévergondée. »
Je ne réponds rien, le liquide qui s’écoule de mon abricot parle à ma place. Mon frère secoue la bombe à raser et presse le bouton déclencheur, la mousse jaillit de la bombe et se répand sur mes poils de foufoune. Le contact est doux, mais un peu frais et je frémis. Puis, avec le rasoir, il commence à raser les bords, faisant tomber de bonnes quantités de poils. Il est vraiment doué à raser des chattes, peut-être qu’il pratique ça sur certaines de ses petites amies. Il sort ensuite un petit ciseau du placard à pharmacie et se met à couper. Je vois ma toison fondre peu à peu. Ce qui était il y a dix minutes une forêt vierge se transforme en piste d’atterrissage. Il donne le dernier coup de ciseau, puis avec un gant de toilette, il caresse ma petite chatte pour retirer toute la mousse. Je ne peux m’empêcher de pousser un petit gémissement à me faire caresser ainsi.
« Un peu de sérieux, Julie ! Je ne fais pas ça pour te donner du plaisir, mais pour que tu sois présentable quand tu arriveras à Paris. »
Je suis vraiment embarrassée... Il doit penser que je me comporte comme une petite salope pour ne pas savoir me retenir quand mon propre frère me touche, en tout cas il aborde une mine sévère... Je baisse les yeux, un peu honteuse, et constate avec ravissement le résultat de son rasage. J’ai vraiment une chatte de femme, quelque chose qui donnerait une sacrée trique à tous les garçons qui la verront. Je pose ma main dessus pour la caresser et sentir le poil coupé ras... c’était si doux et mignon.
« Aheum ! »
Oups, j’ai oublié que mon grand frère est là, en train de me regarder me caresser.
« C’est formidable ! J’adore ! »
À nouveau, j’enlace mon grand frère. Mais cette fois, alors que son corps est collé contre le mien, je sens qu’une grosse bosse s’est formée au niveau de son entrejambe. Je relâche mon grand frère, intimidée de produire cet effet.
« Alors, c’est bon ? Je suis assez canon pour les mecs de la ville ?
— Pour le bas, ça va. Maintenant, je voudrais voir le haut.
— Pourquoi ?
— Tu me fais confiance ? »
Évidemment que je lui fais confiance. Je ne réponds même pas à sa question et je retire mon t-shirt. Dessous, j’avais un soutif beige que je déclipse. Mes deux gros seins plantureux sont maintenant pleinement visibles... et je suis complètement à poil devant mon frère.
« Alors qu’est-ce que tu en penses ? demandé-je.
— Ça ne va pas. D’abord tes vêtements... il faudra tout changer. Comme tu n’as pas besoin de Wonderbra, et c’est tant mieux, tu vas acheter de la lingerie, des soutiens-gorge en dentelle, et des strings. Quand tu porteras un chemisier, tu feras bien attention à avoir un décolleté plongeant. Pour ta jupe, elle ne doit pas tomber plus bas que tes cuisses, sinon tu auras vraiment l’air de débarquer de la province. »
Ou la la ! Moi qui étais atrocement gênée quand je portais un bikini à la plage... Il fallait donc que je montre tous mes atouts aux garçons qui étudieront avec moi... Et même aux profs !
Marc continuait : « Il faudra ajouter quelque chose d’autre pour te faire remarquer, qu’on veuille te déshabiller...
— Quoi donc ?
— Un piercing sur un téton par exemple, ce sera sensuel. Et tu devrais te faire un tatouage aussi, ça montrera que tu es fière de ton corps.
— C’est obligatoire ?
— Oui, si tu ne veux pas passer pour une grue. Mais si tu ne veux pas suivre mes conseils, je peux m’arrêter là.
— Non ! Non ! J’obéirais.
— Autre chose, tu as honte de ton corps ?
— Euh... non ?
— Alors pourquoi mets-tu une main devant ta chatte et l’autre devant tes nichons ? »
C’est vrai ! Je ne m’en suis même pas rendu compte. C’est un genre de réflexe, c’est la première fois que je suis toute nue devant un homme, et c’est d’autant plus gênant que cet homme, c’est mon frère. Je retire vite mes mains de devant ma foufoune et ma paire de nibards.
« Très bien, mais je vois bien que tu n’es pas à l’aise, tu es trop pudique. Ce que tu vas faire, c’est que tu vas rester nue chaque fois que maman sera absente, ça te donnera plus de confiance en toi. Maintenant, viens avec moi. »
Je le suis alors qu’il entre dans la chambre de notre mère, il fouille dans l’armoire et en sort une boîte à chaussure. Il l’ouvre, et dedans se trouve un gros objet oblong, cela ressemblait un peu à... une bite ?
« C’est le gode de notre petite maman, expliqua Marc. Je sais depuis longtemps qu’elle le cache là. Mais ce n’est pas pour dévoiler ses honteux petits secrets que je te le montre, ce que tu vas faire, c’est t’entraîner à sucer ce gode. Il fait plus de vingt centimètres, si tu arrives à le mettre entièrement dans ta bouche, tu devrais être capable de faire des gorges profondes à presque tous les mecs.
— Mais il est énorme ! »
Et dire que maman s’enfonce ça dans la chatte ! Je n’y crois pas !
« Pas si énorme que ça... allez, prends-le. »
Je m’en saisis et commence à le faire entrer lentement dans ma bouche. Je réalise un peu tard que j’aurais dû le laver avant. Si ça se trouve, il y avait encore de la mouille de maman dessus. Mais c’est trop tard, j’ai déjà bien essuyé le chibre en métal avec ma langue, et je ne veux pas que mon frère ait une nouvelle occasion de me considérer comme une oie blanche.
Après de nombreux essais, et malgré toute ma bonne volonté, j’arrive au maximum de mes capacités quand le gode cogne contre ma gorge, je suis incapable d’aller plus loin.
« J’y arrive pas ! pleurniché-je.
— Allons ! Sois pas une mauviette, toutes les filles un peu débrouillardes en sont capable... et je suis sûr que toi aussi. »
Mais j’avais beau faire des efforts, impossible ! Je trouvais le métal trop dur pour ma gorge et je m’en plaignais à mon frère :
« C’est pas juste, je suis sûre que si c’était un vrai pénis, je pourrais l’avaler, mais là c’est du métal... j’ai peur de me faire mal. »
Mon frère soupire, exaspéré que je me montre aussi obtuse. Puis devant mes piètres résultats, il finit par m’accorder une faveur.
« Allez, on va voir si c’est une excuse bidon, tu vas sucer une vraie bite. Comme ça on verra bien si c’est la matière qui te gêne. »
Disant cela, il défait sa ceinture.
Mon Dieu ! Il veut que je lui suce la queue ! Ce sera le premier pénis sur lequel je poserai les lèvres, je devrais être humiliée que ce soit la queue de mon frère et non celui d’un petit-ami classique, mais en fait je suis trop excitée. Il est tellement plus expérimenté que moi et tellement sûr de lui que je suis impatiente de pouvoir goûter à son chibre. Avec son membre, nul doute que je vais apprendre quantité de nouvelles choses. D’ailleurs, mon frère entame déjà une nouvelle leçon :
« Au passage, je vais t’enseigner à utiliser ta langue. Approche et mets-toi à niveau. »
Pendant que je me mets à genoux devant lui, il retire son boxer. Sa queue se dresse devant moi, elle est plus grosse que le gode de maman ! Un vrai chibre d’homme, je suis impressionnée, il a vraiment dû combler un tas de femmes avec ça, et maintenant c’est mon tour. Il n’a même pas besoin de le dire que j’ouvre la bouche et gobe son gros morceau.
« Tourne avec ta langue autour, n’hésite pas à bien saliver. »
J’exécute ses ordres à la lettre, apprenant à sucer comme une reine.
« Pense que c’est une glace, essaie de me faire fondre. Passe ta langue sur mon gland aussi, je veux te sentir tout autour de ma bite. »
Je suis une étudiante docile, ma langue est comme un serpent, se lovant autour de sa queue.
« Maintenant, fais un va-et-vient avec ta tête, tout en continuant tes mouvements de langue. Fais comme si tu me baisais avec ta bouche. »
Cette fois, malgré tout ma bonne volonté, j’ai plus de mal, c’est difficile de tout coordonner !
« Fais un effort ! » crie-t-il. Mais malgré sa remontrance, je n’y arrive pas plus. Alors il me prend l’arrière du crâne et commence à exercer les va-et-vient lui-même. Quand il parlait de baiser avec la bouche, je comprends ce qu’il voulait dire... j’ai l’impression qu’il me fourre la gueule. C’est assez humiliant, ma tête devient un jouet entre ses mains et je ne peux pas parler, juste subir. Mais c’est une bonne leçon, et je comprends que faire une pipe c’est bien plus compliqué que je ne le croyais, et que ça demande des efforts, j’étais loin du compte quand je pensais qu’il fallait simplement mettre la queue dans la bouche.
« Là, je t’aide pour les va-et-vient, concentre-toi sur ta langue. »
J’obéis à sa commande, j’ai un peu de mal à retenir la salive de me couler le long de la bouche, je sens que je ne dois pas avoir fière allure avec la bave qui tombe sur mes seins. Quand il arrête de me tenir la tête, je continue le mouvement de moi-même sur la même cadence que quand il m’y contraignait. Je commence à prendre le pli, à être capable de sucer tout en hochant la tête.
« C’est bien, maintenant, tu vas enfoncer ta bouche encore plus en avant jusqu’à ce que toute ma bite soit à l’intérieur. »
Je prends mon temps, et j’y parviens peu à peu. Centimètre par centimètre, j’avance. Je suis fière de moi, et excitée... Je suis soulagée que mon frère ne puisse pas voir ma petite chatte dans la position où il est, car sinon il verrait que je dégouline de mouille. Avoir une queue dans ma bouche, celle de mon frère, c’est si intense... Soudain il crie :
« Et quand on éjacule dans ta bouche, tu gardes bien tout et tu ne recraches pas ! il faudra que tu avales après. »
À peine a-t-il dit ça qu’il gicle une substance dans ma bouche. Heureusement qu’il m’a prévenue ou j’aurais tout craché par terre sur le coup de la surprise. Je l’entends se mettre à pousser un cri guttural alors que sa queue se dégorge du contenu de ses couilles dans ma bouche. Jet après jet, le sperme emplit ma bouche jusqu’à ce que je sois presque obligé d’en laisser couler le long de mes lèvres. Quand il a fini de déverser sa semence, il retire sa bite.
« Ouvre la bouche. »
J’ouvre, j’ignore quelle quantité de sperme un homme doit gicler en moyenne, mais c’était sans doute beaucoup moins, car j’ai la gueule remplie de jus et je ne peux plus dire un mot.
« Alors comment tu trouves ça ? Tu aimes le goût ? »
Comme je ne peux pas parler, je secoue la tête de droite à gauche. La consistance me déplaît, c’est gluant, grumeleux et chaud ; vraiment pas à mon goût.
« Non !? Pourtant tu vas devoir tout avaler. Et surtout, j’ai peur que tu ne grimaces quand un garçon te jouira dans ta bouche... Ça ne va pas du tout. Ce que tu vas faire, c’est que tu vas garder mon sperme dans ta bouche aussi longtemps que tu pourras, il faut que tu t’habitues au goût du foutre, c’est essentiel. »
Il a raison et je hoche la tête. Marc est satisfait de mon accord et remet son boxer et son pantalon pendant que je reste à poil. Lui s’installe sur le canapé pour regarder la télé, moi pendant ce temps je reste concentré sur le contenu visqueux et amer dans ma bouche, ne bougeant pas et faisant bien attention de ne pas l’avaler ou d’en faire tomber. Au bout d’une demi-heure alors que l’émission se termine, il se tourne vers moi :
« Viens ici et ouvre ! »
Je m’exécute, me mettant à nouveau à genoux devant lui et ouvrant la bouche pour lui fournir la preuve que je n’ai rien avalé ni recraché.
« C’est bien, je vois que tu as la bouche pleine, tu as tout gardé. Alors tu t’es habituée au goût ? »
Je hoche la tête de bas en haut. Ma langue passe sur le foutre sans répugnance maintenant, je m’amuse même avec la substance. J’ai l’impression de pouvoir toucher les petits spermatozoïdes dans cette mélasse.
« Alors, avale. Et quand tu déglutis, souris. Les hommes aiment ça quand les filles savent apprécier la saveur de leur semence. »
Le foutre glisse dans ma trachée, et j’ai un grand sourire ravi.
« Chaque fois que tu accomplis un acte sexuel, tu dois toujours te montrer enthousiaste, dire que tu adores ce que tu viens de faire. Tu dois aussi te montrer entreprenante, les mecs n’aiment pas ça quand ils doivent tout faire. Ils ont peur que la fille n’ait pas envie. Si c’est elle qui prend l’initiative, ils peuvent se relaxer. »
Je comprends la leçon immédiatement.
« J’ai adoré sucer ta queue, et ton sperme était délicieux.
— Très bien. »
Il me tapote la tête, comme quand j’étais gamine et que j’avais bien récité ma leçon.
« Maintenant, il faut que tu fasses preuve d’initiative... »
J’ai beau être un peu nouille, je devine ce qu’un garçon peut vouloir d’une fille en priorité. Je me mets à lui retirer à son pantalon et son boxer. Je constate avec surprise que sa queue a repris toute sa vigueur. Je me lève pour me mettre face à lui et m’enfonce sur son gros chibre. Il me déchire l’hymen, je crie de douleur, alors que du sang s’écoule...
« Ça va aller... T’inquiète pas... C’est un progrès que tu aies perdu ton pucelage. Imagine que tu l’aies gardé, le premier garçon qui t’aurait baisée l’aurait raconté à tout le monde. Tu te serais fait traiter de petite niaise toute l’année...
— Merci ! »
Maintenant que je suis une vraie femme grâce à mon frère, je pourrais me faire baiser sans problème par tous les mecs de la fac.
« Bien... Tu as ma bite enfoncée en toi, alors ne reste pas bêtement immobile. Remue du bassin, je veux sentir ma bite coulisser en toi... et n’oublie pas de te montrer expressive. »
J’avais un peu mal à cause de mon dépucelage, mais mon petit abricot était tellement chaud et juteux après tout ce que j’avais accompli ce matin que j’oubliais vite le petit désagrément pour m’agiter sur son chibre. Ses mains se posent sur mes gros seins et se mettent à les peloter. Je sens au frétillement de sa bite qu’il aime ça, jouer avec mes nichons. Il ne s’arrête pas là, avec sa bouche, il suce un de mes tétons, ce qui me fait glapir de plaisir. En même temps, sa queue raide et épaisse frotte contre les parois de ma crevasse d’amour, c’est un délice.
Son chibre est si gros qu’il me remplit tout le bas-ventre. Mon nectar se ruisselle tout autour de son membre. Je jouis en criant comme une folle ! Je ne pensais pas que faire l’amour pouvait être si bon... Comme je regrettais qu’il ne m’ait pas baisée avant !
Lui n’a pas joui. Mais il est décidé à prendre les choses en main. Il se lève en m’écartant gentiment et se place derrière moi.
« Pour aujourd’hui, je vais laisser ton petit trou tranquille, mais je vais te prendre en levrette, c’est une position qu’il est fondamental que tu maîtrises. »
J’appréhende ce moment, mais à la place de sa queue, c’est sa langue que je sens sur mes petites lèvres gonflées, il lèche ma mouille qui coule avec abondance.
« Oh c’est si bon, mange-moi ! »
Mon frère me dévore le minou, c’est si excitant... Jamais je ne pensais connaître un plaisir aussi intense, sauf qu’une extase encore plus délicieuse arrive juste après quand sa bite longue et massive s’enfonce dans ma chatte. Mon cœur bat plus fort que quand je pique un sprint, sauf que là ce n’est pas de la douleur que je ressens, mais du bonheur à l’état pur. Il me donne encore des consignes.
« Lève le cul plus haut, cambre-toi. »
Sans hésiter un instant, j’obéis. Je veux tellement lui faire plaire, qu’il soit fier de sa petite sœur. Qu’il puisse dire que me baiser était super, que je suis une vraie salope. Ses mains sont sur mes hanches, me tenant fermement alors que sa bite me martèle tel un marteau-piqueur. Je crie sans m’en rendre compte, et il me félicite pour ça. Alors je n’hésite plus, je hurle les pires insanités qui n’aient jamais été dites dans la maison familiale.
« Baise-moi fort, fourre-moi comme la pire des traînées ! Je veux que tu me baises mieux que tu as baisé toutes tes autres copines ! »
Mes paroles produisent un effet immédiat, il redouble d’ardeur, pourfend mon petit minou dépucelé quelque minutes plus tôt. Il me défonce comme si c’était le trou d’une de ces pétasses qu’il baise dans sa chambre d’étudiant.
« Vas-y, je suis ta pute, ta chienne ! enfonce-moi ton gros chibre.
— Oui ! Salope de pute de sœur ! Je savais que t’étais une traînée, tu vas payer pour toutes ses années où tu m’as allumé. »
Son rythme devient de plus en plus rapide, je chauffe comme une fusée, ça devient intenable.
« Je jouis !!! Encore ! J’en peux plus, c’est top bon ! »
Je sens sa queue se mettre à gonfler alors que je suis prise de spasme. Il pourrait jouir à l’intérieur de mon utérus, et je serais comblée. Mais il se retire alors que je me retourne pour le voir et son sperme jaillit en une quantité phénoménale et me peinturlure le visage. Des jets épais et puissants de sa sauce me couvrent la peau... Il reprend sa respiration et me prodigue encore ses conseils :
« Tu es délicieuse comme ça... garde mon jus sur toi, habitue-toi à sentir le sperme séché sur ta peau. Quand tu sentiras qu’il aura formé une croûte, viens me voir dans ma chambre, j’ai encore à t’apprendre à te maquiller pour que les hommes voient tout de suite que tu crèves d’envie de sucer leur queue.
— Ce sera génial.
— Ouais... quand j’aurai fini mes cours, toute la faculté pensera que tu es une vraie salope, une experte de la baise. Cet été, je vais passer mes journées à te baiser par chaque trou, à te faire connaître toutes les positions. Il faut que fin août, tu puisses pomper des queues et chevaucher des mecs comme une vraie pute et qu’on te dise de toi que tu es le meilleur coup de leur vie. Et toi tu vas te régaler avec toutes les bites que tu pourras sucer.
— Mais c’est toujours la tienne que je préférerais. »
Toujours complimentée, j’apprends vite mes leçons...
FIN.
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