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Mon frère, mon amour

Chapitre 1

Pourquoi j'aime mon frère ?

Inceste
Bonjour à tous,
Comme vous l’avez constaté, le pseudo comporte deux prénoms, celui de mon frère et le mien. Avant de se lancer dans l’écriture de notre relation, mon frère m’a demandé si j’y étais opposée. Suite à mon accord, il m’a également proposé de donner ma version des faits. Faire part de mon regard sur la situation (qui, vous allez le voir, était lors de notre voyage, très différente de celle de mon frère).Vous aurez donc ma version à partir du prochain chapitre. Celui-ci est consacré aux événements qui ont fait naître les sentiments que j’éprouve pour mon frère et qui ne cesse de croître chaque jour. J’aurais bien voulu l’écrire à quatre mains, mais il y en a souvent deux qui se promènent dans mon soutien-gorge, donc je préfère écrire seule les parties qui me concernent.
Vous avez pu lire dans le second chapitre du récit de mon frère que je lui avais caché mes sentiments pour lui durant trois ans avant de faire l’amour avec lui pour la première fois (ou plutôt pour les deux premières fois au cours de la même nuit). Je pense que de nombreuses personnes (surtout des femmes) peuvent se demander comment on en arrive à tomber amoureuse de son propre frère. Évidemment, celles qui sont dans la même situation que moi peuvent facilement comprendre. Pour les autres, sachez que cela ne se décide pas. Au contraire, quand j’ai commencé à ressentir des choses pour lui, j’ai lutter pour chasser cet amour qui naissait. J’ai ressenti cette crainte du rejet. Pas celui de la famille, mais celui de l’être aimé. J’avais peur de tout lui avouer et que ce ne soit pas réciproque. J’avais peur d’être moquée comme étant "la débile qui aime son frère".
Mes sentiments pour lui ne sont pas apparus du jour au lendemain. Je dirais même que, sans qu’il s’en rende compte, mon frère a eu un comportement qui a fait naître ces sentiments pour lui.Depuis que je suis toute petite, nous avons toujours été très proches (même si nous étions également proches de notre grande sœur). Il était là pour me rassurer lors de ma première rentrée à l’école (je me souviens surtout de la rentrée au collège, pas de celle de la maternelle).Il était toujours là pour me défendre des moqueries que je pouvais subir de la part des autres filles jalouses et il m’apprenait à les surmonter lorsqu’il savait qu’il ne pourrait pas être présent (lorsqu’il est entré au lycée et que j’étais toujours au collège).
Mon frère a toujours été là pour moi dans les plus mauvais moments. Il était celui qui me rassurait quand je doutais, l’épaule sur laquelle je pouvais pleurer lors de mon premier chagrin d’amour. Il m’a fait éviter pas mal d’erreurs que j’aurais pu commettre, même si j’en ai quand même commis. Pourtant, il ne m’a jamais rien demandé en contrepartie (je ne parle pas de sexualité, mais des choses bêtes d’ados comme de ranger sa chambre par exemple).
Je me souviens, avec mon premier petit-copain, mon frère tenta de me protéger. Il ne le sentait pas sérieux, me disant de me méfier, qu’il avait probablement envie de prendre ma virginité pour me quitter quelques temps plus tard. Il avait entièrement raison. Et même s’il m’avait prévenue, il ne m’a jamais jugée d’avoir été trop naïve. Et il m’a consolée durant plusieurs jours pour cette peine de cœur.
Et contrairement à ce que vous pourriez croire, ce n’est pas Anaïs (notre amie vivant en Espagne) qui m’a fait prendre conscience de mes sentiments pour mon frère, tout simplement parce qu’à cette époque, elle avait déjà quitté la France avec Cyril.La première fois que j’ai éprouvé un sentiment étrange pour lui, c’est lors d’une sortie en famille, les parents, lui et moi, mais pas notre grande sœur qui n’était pas avec nous ce jour là. À un moment, nous nous sommes arrêtés au bord de la route pour que chacun puisse aller se soulager. Malgré que je n’étais pas vers lui et que je n’avais donc rien qui aurait pu me tenter au point de faire naître un fantasme, je me suis vue isolée avec lui, accroupie et en train de lui faire une fellation. Lorsqu’il est remonté dans la voiture quelques minutes plus tard, je n’osais plus trop le regarder. Mais quelques jours plus tard, durant la nuit, j’avais fait un rêve érotique avec mon frère. Et dans ce rêve, nous étions au-delà de la fellation. Il était en moi et je prenais beaucoup de plaisir. Et le lendemain matin de ce rêve, comme souvent, mon frère était venu me réveillée. J’avais l’impression d’être rouge de honte, mais si c’était visible, mon frère ne m’avait pas fait de remarque.
Ces premières pensées intimes envers Alex, je les avais mises sur le dos du célibat. Pourtant, cela ne faisait pas si longtemps que j’étais seule. Probablement deux ou trois mois, pas plus. Donc même si le sexe me manquait, j’étais loin d’être prête à fantasmer sur le premier homme venu.Pourtant, quelques semaines plus tard, lorsque j’avais retrouvé un copain, la première image qui me traversa l’esprit en me déshabillant devant lui était celle de mon frère allongé à sa place sur le lit, sexe dressé. J’ai tenté de penser à l’homme qui était là, mais mon frère revenait à chaque fois hanter mes pensées. Pour ma première fois avec cet ex, j’avais joui en pensant à mon frère et je m’en étais voulu d’avoir ce genre de désir.
Au final, cette histoire n’a pas duré, car à chaque fois que je faisais quelque chose d’intime ou même sexuel, je pensais à Alex. Et le pire dans tout ça, c’est que mon frère venait me consoler à chacune de mes ruptures. Je luttais sans cesse pour ne pas l’embrasser dans ces moments-là.
Et un jour, alors que j’étais déjà très amoureuse de lui, je pris une énorme gifle qui me ramena à la réalité. Ce jour-là, je m’étais rendue chez lui, car il s’était trouvé un appartement. Tout se déroulait normalement, parlant de tout et n’importe quoi. Puis au moment du départ, Alex rata complètement sa bise et ses lèvres se posèrent sur les miennes. Il ne s’agissait pas d’un léger raté qui aurait fini sur la commissure des lèvres. Non, là, nos lèvres furent pleinement posées l’une sur l’autre tel un vrai baiser. L’euphorie ne dura qu’une ou deux secondes, le temps qu’Alex s’excuse. Je venais de prendre la plus grosse gifle de ma vie et j’étais vite redescendue sur terre, réalisant que mon frère ne me voyait que comme sa petite sœur.
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