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Mon frère, mon amour

Chapitre 9

Une relation amoureuse fructifiée

Inceste
Même si, après plusieurs mois à essayer de faire un bébé ensemble, le résultat ne semblait toujours pas être là, Alex et moi continuions de faire l’amour. Au moins, même si la tentative de faire un enfant était infructueuse, le plaisir charnel demeurait quand même. Même si chaque mois mes règles revenaient pour signaler que je n’étais toujours pas enceinte, je prenais plaisir à m’offrir à Alex autant de fois que nécessaire et que nous en avions envie. Autant dire que certains jours, il nous arrivait d’avoir envie de faire l’amour très souvent et que seule la fatigue nous empêchait de le faire.
Un jour, j’ai commencé à me sentir nauséeuse et très fatiguée, beaucoup plus que la fatigue habituelle d’une journée ordinaire. Je ne pensais à rien durant un jour ou deux car un phénomène de fatigue plus important peut se produire de façon ponctuelle, mais après quatre ou cinq jours, j’ai commencé à essayer de prendre des vitamines en automédication. Le résultat était un peu mieux mais ce n’était toujours pas optimal. Quant aux nausées, elles se faisaient de plus en plus fréquentes le matin. Puis j’ai commencé à réfléchir à la dernière fois que j’avais eu mes règles. J’avais beau chercher, je ne me souvenais pas les avoir eu depuis plus d’un mois. Dans ma tête, l’idée d’une éventuelle grossesse commença à germer, ce qui me mit rapidement en joie.Un soir, en rentrant du travail, je décidai de faire un détour dans la pharmacie la plus proche pour acheter un test de grossesse. En rentrant chez moi, Alex n’était toujours pas présent. Je me rendis alors aux toilettes et j’ai uriné sur mon test. Après quelques minutes, les deux barres s’affichèrent. Même si, contrairement à Anaïs qui s’était sentie différente le jour de la conception de son bébé, de mon côté je n’ai pas senti de changement particulier, le résultat était affiché sous mes yeux. J’attendais un enfant de mon propre frère. Lorsqu’il franchit la porte, je sautai au cou de mon chéri en l’embrassant. J’étais folle de joie et je ne parvenais pas à me calmer. Mais en une phrase, Alex trouva le moyen de faire retomber mon enthousiasme.— Tu es bien enthousiaste aujourd’hui, me dit-il. Tu as eu une promotion au travail ?— Mieux que ça bébé. Je suis enceinte ! lui répondis-je.
Je pensais qu’il serait tout aussi content que moi à l’idée d’être prochainement papa, mais sa réaction me fit rapidement déchanter.— Tu es sûre qu’il n’y a pas d’erreur ? me demanda-t-il. Je veux dire, tu en as fait d’autres ?— Non, juste celui-là. Pourquoi ?— Ça fait des mois qu’on essaye sans y arriver. Je ne veux pas me faire de fausse joie.
J’étais déçue. Moi qui croyais lui faire plaisir, j’avais l’impression de m’être prise un bus en pleine face.— J’en referai un autre demain si tu veux, lui dis-je un peu sèchement.— Je préfère.Voyant que sa réaction me décevait, il tenta de faire un pas vers moi.— En tout cas, sache que je serais vraiment très heureux si le second test confirme celui-là. J’ai vraiment envie d’avoir un bébé avec toi.— Je sais, mais je pensais que tu allais être plus enthousiaste.— Je le serai peut-être vraiment demain. Je n’ai pas envie d’être heureux pour ensuite redescendre de mon nuage.
Au fond de moi, j’étais sûre d’être enceinte. Tous les symptômes concordaient et le test ne faisait que confirmer tous ces signes. Mais si Alex voulait un second test pour confirmer mon état, je n’allais pas hésiter à en effectuer un second. Je ne sais pas pourquoi Alex agissait de la sorte en ne cessant de me chouchouter durant la soirée alors qu’il ne semblait pas si enthousiaste que ça suite à mon annonce, mais j’appréciais beaucoup. Il me faisait le repas, tira ma chaise, me prenait dans mes bras à chaque occasion et me préservait de toute tâche ménagère. Et en allant nous coucher, j’avais l’impression qu’il me faisait l’amour de façon différente. J’avais la sensation qu’il était plus heureux que les autres jours. Et surtout, il esseyait de ne pas trop écraser mon ventre.
Le lendemain, en rentrant du travail, je me rendis dans une autre pharmacie où je comptais acheter un autre test de grossesse. J’en pris un et dans mon geste, j’en fis tomber deux autres. En les ramassant, j’en fis tomber un troisième. Je décidai finalement d’acheter les quatre. Au moins, avec tous ces tests, il ne pourrait pas avoir de doute. En rentrant à l’appartement, je m’empressai d’aller faire le nécessaire pour que le premier test effectué la veille soit confirmé, c’est-à-dire, uriner sur le test. Je ne regardai pas le résultat puis je pris un second test. Les deux tests sur lesquels je venais d’uriner confirmèrent celui de la veille. Je décidai de boire ensuite une grande quantité d’eau pour retourner aux toilettes afin d’uriner sur les deux autres tests. Ceux-ci confirmèrent également le résultat des autres. Je ne pouvais m’empêcher d’être sur un nuage. Mais lorsque mon frère rentra de son travail, suite à sa réaction de la veille, je décidai d’essayer de me montrer froide envers lui pour qu’il comprenne ce que j’avais ressenti la veille suite à sa réaction. Je ne suis donc pas allée vers lui pour l’embrasser comme c’était le cas les autres jours.— C’est sur la table de la cuisine, lui lançais-je depuis le salon lorsqu’il franchit la porte de l’appartement.Il ne chercha pas à venir vers moi et se dirigea directement vers la cuisine. Je me levai alors du canapé et je décidai d’aller dans la cuisine pour voir sa réaction.— Ça te suffit pour y croire ou tu veux encore que j’en fasse d’autres ? lui demandais-je en venant dans son dos et en le prenant dans mes bras.— Ça me va. Les trois tests d’aujourd’hui confirment celui d’hier, dit-il en pensant que j’avais simplement rajouté trois tests à celui de la veille.— Non, ceux-là sont tous ceux d’aujourd’hui. Celui d’hier est encore dans la chambre.
Comme je m’en doutais, avec un total de cinq tests positifs, il ne doutait plus de mon état. Il prenait enfin conscience que d’ici peu, il allait devenir père pour la première fois (car dans ma tête, j’envisageais déjà d’avoir d’autres enfants avec lui).
Durant les jours suivants, nous avions réfléchi à une explication à donner pour expliquer ma grossesse puisque officiellement, j’étais encore célibataire. Me souvenant d’un collègue qui me draguait souvent au travail, nous avons pensé à justifier ma grossesse par le biais d’une fréquentation d’un de mes collègues. Et pour expliquer les raisons pour lesquels je ne leur ai jamais présenté, nous avons pensé au fait qu’il soit marié. Et s’ils s’obstinaient à trop savoir le prénom de ce collègue qui m’avait mise enceinte, j’optais pour la discrétion auprès de sa femme en préférant ne pas donner de nom.Si tout le monde était content pour moi, il y en a une qui fut très en colère lorsque nous sommes allés lui annoncer chez elle.— Putain mais ça ne vous suffit pas de baiser ensemble, il faut que vous fassiez un gosse en plus ? cria notre sœur. Foutez le camp de chez moi. Ce que je vous ai dit à mon mariage tient toujours et encore plus maintenant, je ne veux plus vous revoir.
Si seulement elle savait que nous ne baisons jamais mais que nous faisons l’amour à chaque fois, je ne suis pas sûre que cela l’aurait calmée. Mais après ce qu’elle avait surpris durant son mariage, elle n’a pas cru un seul instant à l’excuse que nous avions inventée. En même temps, je me doutais qu’elle allait facilement faire le rapprochement et qu’elle n’était pas dupe. Heureusement pour nous, elle était seule chez elle au moment où nous lui avions annoncé, sinon la conversation aurait pu être entendue par d’autres personnes, comme son mari par exemple. Mais nous avons toujours ignoré si elle avait gardé le secret ou si elle ne lui cachait vraiment rien et qu’il aurait préféré garder le silence pour ne pas nous mettre dans l’embarras.
Les mois passèrent et mon ventre s’arrondissait de plus en plus. Chaque jour, Alex pouvait voir notre enfant se développer en moi. Et moi, après quelques mois de grossesse, je pouvais également sentir notre bébé bouger. Toutefois, la grossesse changeait mon corps de façon assez rapide, si bien que vers la fin, je me trouvais grosse comme une baleine et je me demandais parfois comment mon chéri pouvait me faire l’amour aussi souvent. La réponse était simple, il m’aime.
Le jour de l’accouchement, une personne n’est pas venu, notre grande sœur. Elle a prétexté être surchargée par le travail. Et son excuse était valable puisque j’ai accouché durant un jour de semaine et en plein après-midi. Donc notre sœur pouvait facilement prétendre travailler beaucoup trop pour être disponible. Et quand nos parents insistaient, elle préférait dire qu’elle essaierait de venir plutôt que de promettre de venir, car cela lui permettait une fois de plus de prétendre ne pas avoir eu le temps. Il a fallut plus d’un mois et demi pour qu’elle voit notre bébé. Mais elle ne savait pas que nous venions chez les parents ce jour-là. Donc elle avait été prise de cours. Devant la famille, elle fit semblant d’être heureuse pour moi, mais nous n’étions pas dupes, cela se voyait qu’elle se forçait. Et jamais elle n’a complimenté notre bébé. C’est la seule de notre famille qui ait eu un tel rejet pour le fruit de notre amour.
Et lorsque ce fut à son tour d’avoir un enfant, elle s’entretint avec nous au préalable, nous interdisant formellement de toucher son bébé pour ne pas le contaminer par notre perversion. Malgré le temps, notre sœur ne semblait vraiment pas prête à accepter notre relation.
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