Je m’appelle Anna, j’ai 21 ans. Cela fait plusieurs années que je vis seule dans un appartement. Il y a deux ans, je prenais tous les matins et tous les soirs l’ascenseur avec mon cher voisin qui avait 42 ans : David. Il est marié et a une fille de mon âge a peu près. Il était assez bien conservé, grand, brun, les yeux verts : il est magnifique. Nos échanges sont restés très précaires la première année de mon emménagement. De vagues salutations et des petites anecdotes de travail... sans plus. Un matin dans l’ascenseur, je sens la main de David effleurer mon postérieur. Mal réveillée, je me dis que c’est sûrement une erreur. Mais chaque matin David me faisait des caresses de plus en plus explicites. Il m’excitait de plus en plus et j’avais envie qu’il me touche. je m’habillais plus sexy qu’avant, juste pour lui. Le soir, quand je rentrais chez moi, je me caressais longuement en pensant à lui. Savourant chacune de mes caresses comme si c’était sa main qui touchait doucement puis passionnément mon clitoris. Des fois même, je laissais traîner ma pomme de douche délicatement sur ma vulve, en augmentant la pression du jet petit à petit, jusqu’à atteindre l’orgasme tout en pensant à lui. Puis, un soir j’entends frapper à ma porte. Sortant de ma douche, je prend juste le temps de passer un débardeur et un mini-short. Quand j’ouvre la porte je suis étonnée de trouver David, le regard fiévreux. Il me pousse dans mon appartement, referme la porte derrière lui et sans un mot me pousse contre le mur et m’embrasse brutalement, en laissant traîner ses mains partout sur mon corps.Il s’approche de mon oreille et murmure d’une voix rauque : — J’ai envie de toi Anna. Là, maintenant, tout de suite. Sans préliminaires. Ce n’est pas une question, c’est un ordre. — Je...— Chut, le seul son que je veux entendre ce sont tes gémissements et mon nom que tu crieras! D’un coup, il fait tire mon short et me l’enlève complètement. je mouille, cela m’excite terriblement qu’il soit si brutal. Il descend sa braguette et me prend dans ses bras. Brusquement et instinctivement, j’enroule mes jambes autour de sa taille. Il me plaque contre le mur et il plonge en moi d’un coup de rein habile. Cette entrée brutale, m’arrache un cri de douleur vite remplacé par des cris de jouissance. Ces mouvements sont durs, précis, rapides. Je veux jouir. comme s’il avait lu dans mes pensées il me dit rapidement : — Ne jouis pas!— Mais...— Attends moi ma belle... hum t’es si bonne, si serrée... Il grogne et me mord le cou de manière sauvage, animale... c’est si bon... — Tu es prête ma belle?— Oh oui, je vous en supplies! Il frotte énergiquement mon clitoris et au moment ou j’atteins l’orgasme, il éjacule au fond de moi. Il reste en moi pendant encore quelques longues secondes avant de me reposer par terre et de me dire : — Tu as été parfaite Anna.— Je.. merci...— Le prochaine fois, je goûterais ta petite chatte... elle a l’air délicieuse. Comme pour joindre les gestes à ces paroles, il plonge sa main entre mes plis intimes et l’apporte à sa bouche : — Humm... bandante ma petite Anna. Si ma femme n’attendait pas mon retour je te prendrais bien une deuxième fois... Au faite, tu as du lait? Surprise par cette demande, je hoche la tête. Il m’embrasse encore une fois, brutalement. Je me rhabille, vais dans la cuisine et lui rapporte une bouteille, il me dit : — Bien, a la prochaine ma belle...— Au revoir... David!
(C’est un rêve que j’ai fait souvent ces temps-ci... j’espère qu’il se réalisera, je suis déjà toute excitée)
